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Ch@pitre boni. (Petite enfance)

[Chapitre bonus, vous pouvez le sauter, si vous le désirez. Cela concerne Laïteza.]

PDV ???

Où... Où suis-je...?

J'étais... Dans une maison, précisément, dans un salon. J'étais couchée sur un tapis gris bleuté et sans motifs.
Cet endroit me rappelait quelque chose...

En me levant, je remarqua que j'étais plus petite. J'entendis un: ''Laïteza, viens te préparer."

Attends... Mais je suis dans mon ancien chez moi... Ici me semble tellement lointain... J'avais barré cet endroit de la mémoire.

Je vis ma mère, en entrant dans la cuisine.

Maman: Oh, Laïteza, tu n'es pas encore prête.

Moi: Mais maman, prête pour aller où ?

Maman: Mais chez le psychologue bien sûr, comme tous les samedis. Es-tu malade ?

Que ?- Oh... Je me souviens maintenant de cette journée...
Je n'avais pas plus de 7 ans, dans ce temps-là.
Mais...le reste m'est encore embrouillé. Je ne me souviens plus de ce qu'il fallait faire, où je rangeais mes vêtements. Je dû faire au mieux de mes capacités, sans trop faire attention.

Lorsque je fus prête, je vis ma mère, mon grand frère et ma petite soeur, m'attendaient au cadre de la porte d'entrée. Nous sortîmes alors sans perdre de temps.

Nous embarquâmes dans la voiture familiale, en direction de chez ce foutu psychologue. Nous avions commencé à le consulter lorsque notre mère, à court de patience dans sa vie de tous les jours, avait remarqué que nous n'étions pas comme les autres enfants normaux. Elle n'arrivait pas à mettre le doigt sur quoi, mais elle savait simplement que nous dégagions une aura différente. Et elle ne se gênait pas de nous en faire la remarque.

"- Quand le psychologue vous aura réparés, tout ira mieux dans votre vie, mes chéris."

Lorsque nous fûmes arrivés, nous descendîmes et entrâmes dans le bâtiment macabre. Ça ressemblait à une clinique toute simple, mais les couleurs étaient terriblement ternes, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur.

Nous allons nous asseoir mais étonnemment, nous n'avions pas à attendre.
Et je fus celle qui devait y aller en premier.
Je lança un regard suppliant à ma petite sœur, même si je savais pertinemment qu'elle ne pouvait rien y faire.

J'étais -et suis- plutôt proche de ma sœur. Elle était plutôt calme à cet âge-là, contrairement à mon grand frère. Moi je suis plus de nature timide et ne parle que quand c'est nécessaire. Je pense être la seule à n'avoir jamais vraiment changé, si ce n'est que physiquement.

J'entra dans le bureau et le psychologue en question, essaya de me faire un sourire rassurant en fermant la porte sur mes pas.

Hélas, il fait plus peur que autre chose.

Psy: Tu peux t'asseoir sur cette chaise, très chère.

Dit-il en me désignant une chaise en cuir en face du bureau.

Qu'est-ce que la décoratoon pouvait être moche. Je me souviens m'être faite la réflexion à plusieurs reprises.
Je sais que ça ne fait aucun rapport, mais rendu là, procurez-vous un autre bureau, docteur.

On pouvait aussi entendre l'horloge de grand-mère tictaquer.

Psy: Alors Laïteza, comment vas-tu ?

Je ne fis que le regarder, en silence.
Pourquoi répondre à une question aussi simple, aussi sans âme ?

Psy: D'accord, le silence est aussi une réponse. Ta maman m'a dit que tu faisais des rêves plutôt... avancés, pour ton âge. Que peux-tu m'en dire ?

Ah voilà, je me rappelle de manière plus distinctement, maintenant.

En fait, c'était plutôt des rêves prémonitoires.
Je me rappelle d'ailleurs qu'à ce moment-là, j'avais justement rêvé de cette visite complètement inutile.

Bref, je ne réponds pas non plus. Je sais comment cette visite va se terminer, et je jure que les choses n'iront pas en s'arrangeant.

Psy: Écoute, ma chère Laïteza, il va bien falloir répondre, pour avancer. Sinon, je ne pourrai pas t'aider.

Dit-il d'un ton calme.

Je n'ajoute toujours rien. J'étais la reine du silence.

Psy: Et aussi, ce n'est pas tout.

Il ouvre son tiroir et en ressort un dessin.

Dessiné de façon enfantin, mais le thème n'était pas du tout d'un jeune âge. Le dessin représentait un homme mort, gisant dans une belle marre de sang.

Psy: Est-ce ta signature... là ?

Dit-il en pointant une signature avec son stylo.
Je m'avance pour mieux voir.
Il me semble bien qu'il soit écrit:

Laïteza Sutton

Oui, c'est ma signature.

Alors soit, comme une fille stupide, je réponds oui.
Ou soit comme une fille intelligente, je me tait.
Et s'il me fait comme remarque, que c'est mon nom, je nierai et dirai que c'est un ami qui a fait ça.

Je le regarde avec aucune émotion soutenue.

Psy: Écoute, nous essayons juste de t'aider. Avec l'aide qu'il faut. Est-ce toi qui a dessiné ça ?

Pour finir dans un asile ?
Non merci...!...

...

Pourtant, ma tête a bougé toute seule. J'ai dit oui.

Psy: Bien, nous serons en charge de revoir tout ça. En attendant, la session est terminée. À la prochaine fois, Laïteza.

Pourquoi j'ai dit oui ?!
Je ne voulais pas répondre !
C'est comme si j'étais... obligée !

Je quitte le bureau et me rendit vers ma famille qui attendait bien patiemment. J'observa de nouveau, les traits enfantins de mes frangins.

Notre mère nous avait pourtant tellement bien éduqués, nous étions beaucoup plus mature que la normale, même pour des enfant.

Mon grand frère avait 10 ans, moi 7 ans, et ma petite soeur, 6 ans.
Ce qui fait qu'en temps normal, mon grand frère a 21 ans, moi 18, et ma petite soeur 17. Que le temps passe vite...

~

Cette nuit, je rêva à une femme qui eut un accident de voiture.

Cette femme n'était personne d'autre que la meilleure amie de ma mère. L'accident s'était déroulé sur l'autoroute 75, précisément.

Je n'avais pas quitté ce souvenir, lorsque le jour précédent était terminé. J'imagine que je vais devoir revivre le moment fatidique, afin de revenir au moment présent.

~

Je me réveilla en sursaut, et me sentit bizarre, comme à chaque fois que je faisais un rêve prémonitoire. Ça ne m'avait pas manqué.

Je me rendis à la cuisine.

Ça sentait... le gâteau au fromage !
Argh, je déteste les gâteaux au fromage, tantdisque les autres en raffolent.

Je m'asseois à table sans faire d'histoire et fit part de mon rêve, sans contrôler ma bouche.

Moi: Cette nuit, j'ai fait un rêve vraiment bizarre...

Soeurette​: Ah oui ? C'est quoi?

Moi: J'ai rêvé que la meilleure amie de maman se faisait tuer dans un accident de voiture... Sur l'autoroute 75.

Maman: Bein voyons, elle est juste partie à Caen, ça se fait bien...

L'avant midi passa et je jouais à la scientifique avec ma petite soeur. Nous allions devenir scientifiques, plus tard.
On adorait la science et la médecine déjà à cet âge.

Pendant ce temps là, ma mère alla dans le salon et ouvrit la télévision.
On pouvait entendre le présentateur parler jusqu'à notre chambre.

Présentateur: Sur l'autoroute 75, un accident produit par un camionneur soûl, tue une jeune femme de 39 ans. La femme se nommant Caroline Laworaie mourru sur le coup.
Bien, maintenant, passons à la météo.

(Car on s'en bas les couilles de Caroline.)

On entendit ma mère crier "non !!" avant qu'elle n'éclate en sanglot.

Ma soeur et moi allâmes dans le salon.
Ma soeur lui donna un câlin pour la réconforter. J'allais faire de même, mais notre mère recula brusquement, rompant ainsi le câlin avec ma soeur.

Elle me pointa en criant:

Maman: Sorcière !! Sorcière !! Éloigne-toi de moi !!

Moi: Q-quoi...? M....mais...

Ma mère se lança sur le téléphone et appela je ne sais qui. Après, elle prit un balai en me criant de ne pas l'approcher.

Je pense que ce qui a été le plus horrible, dans cette journée, c'est constater à quel point ma propre mère avait peur de moi.

~

Deux grandes personnes armées s'approchèrent de moi.

Je recule.

Moi: Ne... ne m'approchez pas !

L'une de ces grandes personnes m'aggripa le bras. Je me débat avec courage avant de tomber sur le bras de ma mère.

Tout à coup, je me sentie totalement apeurée.
Tellement que je ne pouvais plus bouger. Mon frère débarqua dans le salon. Son expression calme que j'avais l'habitude de voir, fit place à la colère et la haine.

Tout se passa si vite, il alla dans la cuisine et revint avec... un couteau de boucher.

Frèro: Ne la touchez pas !!

Dit-il en fonçant tel un taureau enragé, vers les deux personnes dangereuses.
Mais il se fit électrocuter par une matraque, et finit par s'évanouir.

Moi: Non !!

Puis, moi aussi je me fit endormir, sans même me rendre compte de quoique ce soit.

~

Je me réveille terriblement mal, enchaînée à une table. J'ai horriblement mal au dos.

Attends... Je sens... Une autre sorte de membre dans mon dos... Ou plutôt, mes 8 membres ! Je ne me souviens toujours pas pourquoi m'avait-on fait subir ça. Pourquoi une araigné, en particulier ?

Je vis un sorte de scientifique arriver dans la chambre blanche.

Hommechelou: Sujet 333, à quoi avez vous rêvé ?

Moi:...he-hein ? Mais je n'ai rêvé à rien du tout !

Hommechelou: Sujet 333, je vous demande de coopérer. À quoi avez-vous rêvé ?

Moi: Je n'ai rêvé à rien !
Maintenant, relâchez moi !

Hommechelou: Sujet 333, si vous refusez toujours de coopérer, je vais être dans l'obligation de vous obliger à parl--

???: Détachez-là. Tout de suite.

Il se retourne tout aussi surpris que moi, et je vis ma petite soeur le menacer, d'un arme à feu. Elle avait un regard sombre, très sombre.

Soeurette: T'es sourd ou quoi ?Je t'ai demandé de la détacher !

Crit-elle cette fois d'un ton glacial et très autoritaire.
On dirait que la petite fille tout innocente qui ne ferait aucun mal à une mouche n'a jamais existé.

Hommechelou: N-ne fait pas de bêtises, gamine...

Dit-il en mettant les main en l'air.

Sœurette: Je fais ce que je veux ! J'ai pas à me faire dicter ma vie par un imbécile d'adulte comme toi ! Maintenant, tu, la, DÉTACHES. Ou je fais sauter ta cervelle !

Mais comment une petite fille de 6 ans pouvait-elle parler comme ça ?
En tremblant, le mec chelou me détacha et je descendis du lit.

Soeurette : Maintenant, tu dégages ! Tu as 3 secondes pour fuir !

Elle commence.

1: Il commence à courir.
2: Il trébuche
3: Il n'est pas parti.

Elle commence alors à dire:

Soeurette: Oups ! Si seulement tu savais courir, imbécile !

Et elle tira sur lui sans hésiter. 1,2,3,4... elle tira tellement de fois que j'arrêta de compter.

Puis elle me regarde avec un sourire sadique.
Ou est passé ma petite soeur sensible ?

Elle arrêta de sourire et me dévisagea avec un air presque apeurée.

Moi: Q-quoi ?

Soeurette : Ton dos.... qu'est-ce qu'ils t'ont fait?

Moi: Mais... je ne vois rien!

Je toucha alors quelque chose de dure et humide à la fois.
Je grimace de dégoût.

Je n'étais bien sûr pas habituée à ce poids en plus. En fait, on ne s'y habitue jamais vraiment.
On ne fait que vivre avec, en se disant que le lendemain sera plus facile.

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