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dabi x oc

bien le bonjour ou bonsoir. je suis de retour pour une petite inspiration fanfic. comment allez vous ?

présentation de mon oc. yuriko hikaru, une vilaine qui fait partie de l'alliance des vilains.
sont alter est les pouvoir des ombre. elle beaucoup de possibilités, mais ca, vous allez le découvrir pendant l'histoire.
voici une image pour vous montrer à quoi elle ressemble.

Dans les ruelles sombres de la ville, la tension électrique de la nuit était palpable. Parmi les ombres dansantes, deux figures se détachaient : Dabi, vêtu de bleu nuit, et Yuriko, une silhouette féline vêtue de noir. Leur rencontre n'était pas un hasard, mais une convergence de destins tracés par des chemins tortueux. Yuriko, dont le regard perçant semblait disséquer chaque secret, croisa celui de Dabi. Une étincelle fugace passa entre eux, une connexion instantanée qui défiait toute logique. Leurs pas les menèrent vers un recoin isolé où le silence leur offrait un endroit pour leurs paroles.

"Tu as du cran pour te montrer ainsi, Dabi "

susurra Yuriko, son ton oscillant entre le sarcasme et l'admiration. Dabi esquissa un sourire ironique.

" Disons juste que j'ai appris à danser avec le danger. Et toi chaton, tu sembles bien à l'aise dans ces ruelles sinistres. "

Elle lui rendit son sourire, énigmatique. " J'ai appris à trouver ma place là où personne n'ose regarder. Mais je vois que je ne suis pas seule ce soir. "

Je m'assis sur le muret brisé, le regard fixé sur le ciel étriqué entre les deux hauts murs qui limitaient ma vue. Dabi, d'un geste énigmatique, se joignit à moi sans un mot de plus. Notre relation était un labyrinthe d'ambiguïtés, difficile à définir. Entre nous, c'était un jeu constant : taquineries, mots durs échangés, mais une attraction indéniable flottait dans l'air chargé de nos échanges.

Il arqua un sourcil, son regard incandescent rencontrant le mien dans un échange silencieux, comme si nos pensées dansaient sans avoir besoin de paroles pour s'exprimer.

Le silence entre nous était une symphonie étrange, chargée de significations non dites. Assis côte à côte, nos épaules presque effleurées, nous contemplions le crépuscule qui peignait le ciel de teintes brumeuses.

Le vent soufflait doucement, caressant nos visages comme s'il tentait de porter nos secrets vers l'horizon lointain. Dabi rompit enfin le mutisme, sa voix calme, presque songeuse, brisant la quiétude de l'instant.

"Tu sais, chaton, notre danse incessante cache bien des énigmes. Nos mots tranchants dissimulent peut-être une connexion plus profonde. "

Je tournai la tête vers lui, mes iris capturant la lueur de ses yeux embrasés par les flammes de ses convictions.

" Peut-être que nos différences sont des passerelles vers quelque chose de plus grand ", répondis-je, laissant échapper un souffle mêlé d'incertitude et de curiosité.

Les instants de clarté entre Dabi et moi semblaient être des oasis dans un désert de mystères. Nous avions tous deux conscience de l'électricité qui crépitait entre nous, mais aucun n'était prêt à reconnaître l'évidence.

Alors que nous étions absorbés par cette bulle fugace, notre intimité fut brutalement interrompue par l'arrivée impromptue de Twice, accompagné de Toga. D'un bond vif, je me levai de mon perchoir pour accueillir Toga dans mes bras. Cette jeune fille semblait être une âme égarée et, malgré tout, je ne pouvais rester indifférente à sa détresse.

Toga, avec sa jovialité caractéristique, taquinait Dabi qui, agacé, préféra se retirer à l'intérieur. Dans un geste presque instinctif, je resserrai Toga dans une étreinte protectrice, consciente de sa vulnérabilité dissimulée sous ses airs espiègles.

"Hey, Yuriko, tu as vu comment il est grognon aujourd'hui ?" s'exclama Toga avec une pointe d'amusement, ses yeux pétillants de malice.

Je lui offris un sourire rassurant. "Il a juste besoin d'un peu de temps pour lui, je suppose. Comment vas-tu, Toga ? Tu as l'air d'avoir eu une journée mouvementée."

Elle rit, mais quelque chose dans son regard trahissait une fragilité que peu pouvaient déceler. "Oh, tu sais, les journées ici sont toujours pleines de rebondissements. Mais avec toi, c'est toujours mieux !"

En l'enlaçant, je la guidai vers l'intérieur, cherchant à lui offrir un peu de réconfort dans ce monde tumultueux où chaque ombre dissimulait une histoire complexe. Pendant ce temps, Dabi s'éclipsait vers le bar, cherchant probablement un moment de solitude pour apaiser les flammes qui brûlaient en lui.

Les jours se succédaient, façonnant une relation faite de contradictions et de mystères. Chacune de nos rencontres était une danseentre attirance et distance.

La nuit enveloppait la ville de ses ténèbres, masquant les mouvements furtifs de ceux qui œuvraient dans l'ombre. Dabi et moi, côte à côte, avancions silencieusement vers notre objectif pour le compte de Shigaraki.

Notre mission semblait simple sur le papier : récupérer un colis précieux. Mais la réalité décidait souvent autrement. Alors que nous approchions du lieu de récupération, une tension électrique emplissait l'air, annonçant des ennuis imminents.

Soudain, un groupe de malfrats émergea des ombres, déterminés à nous barrer la route. Leur regard hostile et leurs armes étincelantes trahissaient des intentions hostiles. Dabi prit position à mes côtés, son regard incandescent démontrant sa détermination.

"Je suppose que rien ne peut être simple", murmura-t-il, son ton mêlé de résignation et de défi.

Un échange de regards suffit pour comprendre que nous devions lutter pour atteindre notre objectif. Sans un mot, nous nous lancions dans la bataille, nos mouvements synchronisés comme s'ils avaient été chorégraphiés dans l'obscurité de la nuit.

Les lumières de la ville vacillaient dans la noirceur de la nuit, offrant un écrin sombre à notre affrontement imminent. Les malfrats, aguerris et déterminés, semblaient prêts à tout pour protéger ce que nous cherchions à récupérer. Aux côtés de Dabi, je sentais l'adrénaline monter, mêlée à une pointe d'appréhension.

Dabi, ses flammes bleutées crépitant autour de lui, fixa les assaillants d'un regard ardent. "Prête, Yuriko ?" lança-t-il, son ton à la fois assuré et empreint d'une inquiétude contenue.

"Autant que je le serai", répondis-je, laissant échapper un souffle de concentration. Mes pouvoirs d'ombre étaient puissants, mais leur contrôle était parfois une lutte contre mes propres démons intérieurs.

Les malfrats se lancèrent à l'assaut, une tempête d'attaques et de mouvements rapides. Les ténèbres se tordirent autour de moi, se formant en des lames d'ombre tranchantes, mais ma concentration vacilla un instant. Un voile de doute s'insinua dans mon esprit, perturbant le flux de mes pouvoirs.

Dabi fendit l'air de ses flammes, repoussant nos assaillants, mais je sentais mes pouvoirs me glisser entre les doigts, comme s'ils résistaient à mon contrôle. La peur montait en moi, une sensation étrange mêlée à la frustration de ne pas pouvoir déployer tout mon potentiel.

"Yuriko, reste concentrée !" rugit Dabi, sa voix résonnant comme un écho dans la cacophonie du combat.

J'acquiesçai, reprenant mon souffle pour me recentrer, mais les ombres semblaient désobéir à mes ordres. Les malfrats en profitèrent, intensifiant leur offensive, me forçant à reculer sous la pression de leurs assauts incessants.

Dabi bondit à mes côtés, son regard déterminé croisant le mien. "On peut le faire, Yuriko. Ensemble. alors ne fatigue pas princesse !"

" aucun risque !"

Ses paroles ravivèrent une lueur de détermination en moi. Je fermai les yeux, plongeant au plus profond de mes pouvoirs. Les ténèbres répondirent à mon appel, s'enroulant autour de moi avec une force renouvelée. D'une explosion d'ombres, je me lançai dans la bataille, retrouvant la confiance en mes capacités.

Le combat reprit avec une intensité renouvelée, nos mouvements synchronisés comme une danse macabre. Les flammes de Dabi et les ombres de mes pouvoirs créaient une symphonie chaotique, mais, cette fois-ci, j'étais ancrée dans le contrôle, déployant toute ma force pour repousser nos adversaires.

Le bruit des combats se dissipait peu à peu, laissant place à un calme précaire dans les rues désertées. Les malfrats, mis en déroute par l'assaut conjoint de Dabi et moi-même, prenaient la fuite, laissant derrière eux des lambeaux de chaos et de désolation.

Mon souffle était haletant, la fatigue se frayant un chemin dans chaque fibre de mon être. Dabi se tenait près de moi, son regard scrutant mon état avec une inquiétude palpable. Mais avant qu'il n'ait pu dire un mot, un cri de douleur m'échappa.

Une blessure, discrète mais profonde, s'était logée dans mon flanc, m'éveillant à une réalité douloureuse. La douleur irradiait de la blessure, mon souffle se faisant saccadé alors que je tentais de masquer la gravité de la situation.

Dabi réagit instantanément, sa main se posant avec précaution sur ma blessure. "Yuriko, non... Ne t'inquiète pas, ça va aller", murmura-t-il, mais ses yeux trahissaient une inquiétude profonde, mêlée à une colère incontrôlable.

Je tentai un sourire pour le rassurer, mais la douleur me tirailla, m'arrachant un gémissement. "Ce n'est rien, juste une égratignure", mentis-je, essayant de minimiser l'impact de ma blessure.

Son expression se durcit, une rage incommensurable l'envahissant. Ses flammes dansaient avec une intensité déconcertante, révélant l'orage qui grondait en lui. "Ce n'est rien ?! Comment oses-tu dire ça ?!" s'exclama-t-il, sa voix empreinte d'une fureur contenue.

Ses poings se serrèrent, les flammes vacillant dans ses yeux, une lueur meurtrière éclairant son visage. Je sentais sa colère s'embraser comme un feu incontrôlable, motivé par la peur de me perdre.

"Dabi, je vais bien, je te promets...", tentai-je de le calmer, mais mes mots se noyaient dans la tempête de ses émotions déchaînées.

Il se détourna brusquement, refusant de me regarder, comme s'il craignait que son regard ne révèle toute l'ampleur de ses sentiments. Les flammes qui l'entouraient semblaient refléter sa propre tourmente intérieure.

Je tentai de me relever malgré la douleur, mais il me retint d'une main ferme. "Reste là, ne bouge pas", ordonna-t-il, son ton trahissant à la fois une fermeté et une angoisse poignante.

Les minutes semblaient s'étirer dans un silence oppressant. Dabi, déchiré entre la colère et l'inquiétude, s'éloigna de moi pour dissimuler l'orage émotionnel qui grondait en lui. Pourtant, sa présence restait tangible, comme si chaque fibre de son être restait connectée à ma détresse.

Je luttais contre la douleur, mais chaque mouvement augmenté ma douleur dans mon flanc. Je sentais mon esprit s'embrumer, la fatigue et la douleur s'emparant de mes sens. Je tentai de dissimuler ma vulnérabilité, mais mes forces m'abandonnaient peu à peu.

Dans un élan de détermination, Dabi revint vers moi, son regard cherchant le mien avec une intensité saisissante. "Tu vas rester ici, Yuriko. Je vais trouver de l'aide, vite."

Sa voix trahissait une anxiété palpable, un sentiment d'impuissance qu'il tentait en vain de dissimuler. Mais avant qu'il ne puisse s'éloigner, je saisis sa main avec ce qu'il me restait de force.

"Dabi, attends... Ne t'éloigne pas trop longtemps", articulai-je faiblement, luttant pour garder ma voix stable malgré la douleur croissante.

Il hocha la tête avec une détermination farouche, une lueur déterminée dans son regard brûlant. Sans un mot de plus, il s'élança dans les ruelles obscures, laissant derrière lui une trace d'inquiétude mêlée à une détermination farouche.

La nuit semblait s'étendre indéfiniment, l'attente s'étirant dans un silence pesant. Chaque instant sans nouvelle amplifiait l'étau de l'incertitude. Mes paupières devenaient lourdes, la fatigue et la douleur engourdissant mes sens, mais je me battais pour rester consciente, pour attendre son retour.

Des minutes qui semblaient être des heures s'écoulèrent avant que je ne distingue une silhouette familière émerger des ténèbres. Dabi revenait, accompagné par une figure anonyme, probablement une aide qu'il avait pu trouver dans l'urgence.

Son regard croisa le mien, une lueur de soulagement éclairant ses traits marqués par l'inquiétude. "On va te soigner, Yuriko. Tout ira bien", déclara-t-il avec une détermination qui dissimulait à peine son soulagement de me retrouver encore consciente.

Alors que l'aide s'affairait autour de moi, le regard de Dabi ne me quittait pas, comme s'il voulait graver dans sa mémoire chaque instant passé à mes côtés. Dans cet éclat fugace de soulagement et de reconnaissance, nos cœurs se lièrent davantage, une connexion indélébile forgée dans l'adversité et l'angoisse de la perte.

Alors que la douleur s'estompait peu à peu, mes paupières se firent lourdes, m'emportant dans un sommeil sans rêve, loin des ombres de la nuit. Le temps s'écoula, un intervalle flou entre la conscience et l'inconscience, jusqu'à ce que la lumière du jour filtre à travers mes cils.

Mes yeux s'ouvrirent doucement, s'adaptant à la lueur tamisée de la pièce. Je réalisai que je me trouvais dans une chambre à l'alliance, allongée sur un lit, une sensation de quiétude enveloppant mon être. À mes côtés, Dabi était là, assis près du lit, une expression mêlée de soulagement et d'anxiété sur son visage.

Il semblait perdu dans ses pensées, mais lorsque mes yeux rencontrèrent les siens, une lueur d'espoir s'embrasa dans son regard incandescent. Il se redressa immédiatement, ses traits tirés par les heures d'attente.

"la princesse ses enfin réveillé?", murmura-t-il doucement, un mélange d'épuisement et de soulagement se lisant dans sa voix.

Je tentai de me redresser, mais une douleur persistante me ramena sur l'oreiller, témoignant de la gravité de ma blessure. "Je suis... désolée", articulai-je faiblement, mes mots se mêlant à la brume de la fatigue.

Il s'approcha, ses yeux reflétant une tendresse qu'il ne cherchait plus à dissimuler. "Ne t'excuse pas, Yuriko. Tout ce qui compte, c'est que tu ailles mieux maintenant."

Sa présence était apaisante, comme un phare dans la tempête, et je me laissai bercer par le réconfort de savoir qu'il veillait sur moi. Une sensation de chaleur émanait de sa proximité, un lien fragile et précieux tissé entre nos âmes tourmentées.

"Tu es resté ici tout ce temps ?" demandai-je, le regardant avec reconnaissance.

Il acquiesça, un sourire tendre étirant ses lèvres. "Je ne voulais pas te laisser seule. J'avais besoin de savoir que tu irais bien."

Un silence doux s'installa entre nous, une sorte de calme réconfortant dans l'atmosphère de la chambre. Les instants s'étiraient, chacun de nous semblant retenir des mots qui, comme des ombres fugaces, dansaient au bord de nos lèvres.

Je sentais mon cœur tambouriner dans ma poitrine, une tension délicate imprégnant l'air entre nous. C'était comme si chaque respiration rehaussait l'importance de ce moment, comme si le temps se suspendait pour nous offrir un instant d'une rare intensité.

Finalement, je rompis le silence, ma voix douce mais empreinte de détermination. "Dabi, il y a quelque chose que je ne peux plus cacher..."

Son regard se figea sur moi, une lueur d'attente brillant dans ses prunelles ardentes. Ses flammes semblaient capturer chaque parcelle de vérité, de chaque secret que je retenais.

"Depuis longtemps, nos chemins se croisent et... Je ressens quelque chose de plus fort que de la simple camaraderie." Les mots, enfin libérés, semblaient se frayer un chemin à travers mes lèvres avec une vérité inéluctable. "Je crois que je..."

Avant que je ne puisse finir ma phrase, une lueur d'espoir mêlée à une étincelle de compréhension naquit dans ses yeux. Un sourire timide naquit sur son visage, révélant une émotion sincère et une connivence partagée.

"Yuriko, je... ressens la même chose", avoua-t-il doucement, ses paroles teintées d'une vulnérabilité qui se dévoilait pour la première fois.

Dans cet échange de confidences, une connexion profonde s'ancra entre nous. Nos cœurs, longtemps retenus par des masques et des mots non dits, semblaient enfin trouver une résonance commune, une mélodie d'émotions authentiques.

Nos regards se croisèrent et il pose sa main sur ma joue, une étincelle de bonheur et de soulagement illuminant cet instant de révélation mutuelle. Dans cette chambre, au cœur de l'alliance, nos âmes se découvraient enfin, libres de la vérité et de l'authenticité de nos sentiments.

Je sentis une intensité soudaine émaner de Dabi, un tourbillon d'émotions qui semblaient exploser dans l'air chargé d'électricité entre nous. Avant même que je puisse anticiper ses intentions, ses lèvres trouvèrent les miennes avec une ardeur passionnée, une étreinte aussi douce que puissante.

Son baiser était un tourbillon de sensations, une fusion de désirs longtemps retenus, libérés dans cette étreinte enflammée. Je me laissai emporter par la tendresse, par la fougue de ce moment qui scellait notre connexion naissante.

Ses lèvres, douces et ferventes, étaient comme une promesse d'une affection authentique, dépassant les barrières que nous avions érigées. Chaque instant de ce baiser était chargé d'une émotion pure, d'une vérité profonde qui éclatait entre nous.

Dans cet échange passionné, le monde semblait s'effacer autour de nous, ne laissant que cette harmonie entre nos cœurs battants. Un murmure d'émotions indicibles se tissait dans cette étreinte, scellant un lien plus profond que les mots ne pourraient jamais exprimer.

Lorsque nos lèvres finirent par se séparer, une aura de douceur et de vulnérabilité flottait dans l'air. Nos regards se croisèrent, nos respirations s'entremêlant dans un silence chargé d'une complicité nouvelle et d'un élan d'affection jusque-là inexploré.

"Yuriko...", souffla-t-il, son regard vibrant d'une sincérité déconcertante.

Aucun mot ne fut nécessaire. Dans ce moment, nos cœurs, longtemps retenus par les masques de nos vies tumultueuses, semblaient trouver enfin une terre d'authenticité où nos sentiments pouvaient fleurir librement.

Dans la quiétude de cette chambre à l'alliance, nos sentiments nouvellement avoués semblaient illuminer l'espace autour de nous. Chaque regard échangé, chaque infime geste témoignait de cette nouvelle étape dans notre relation, une tendresse palpable tissée entre nos âmes.

Le silence, loin d'être gênant, était un doux écrin où nos pensées pouvaient enfin se dévoiler sans crainte. Nos regards se croisaient, un accord tacite scellant nos promesses non-dites.

"Dabi..." murmurais-je, la chaleur de son étreinte imprégnant encore ma peau.

Il m'observait avec une tendresse infinie, ses yeux brûlants reflétant une connexion émotionnelle intense. "Yuriko, peu importe ce qui se passera, je serai là pour toi. Toujours."

Ses mots étaient comme une étreinte pour mon âme tourmentée, une promesse qui transcendait les vicissitudes de nos vies tumultueuses. Nous étions deux âmes en quête de rédemption, cherchant refuge dans la présence l'un de l'autre.

Dans ce moment de vérité, nous avions trouvé un havre de paix, un équilibre fragile mais précieux où nos sentiments pouvaient croître et prospérer.

La porte de la chambre s'ouvrit doucement, révélant l'entrée d'un membre de l'alliance, brisant l'intimité de cet instant. Dabi et moi échangèrent un regard complice, comme si ce bref moment de séparation ne pouvait entamer la connexion naissante entre nos cœurs.

Alors que la journée s'écoulait, la promesse d'un nouveau chapitre dans notre histoire se dessinait à l'horizon. Nous avions révélé nos sentiments, tissé un lien indéniable, et même si l'avenir restait incertain, nous étions prêts à affronter les défis ensemble.

Dans cet espace où les ombres et les flammes se rencontraient, nos cœurs s'étaient trouvés, emplissant nos vies de la lueur d'un amour inattendu mais authentique.

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