27 | Hatori Sohma
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· Manga / Anime | Fruit Basket
· Personnage | Sohma Hatori
· Commande | Aucune
· Spécificité | Lemon pas indiqué
Titre | La neige te défini
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- " La neige est belle, vous ne trouvez pas ? " Demandas-tu calment à l'homme à tes côtés.
Tu venais juste de d'asseoir à une table en hauteur collée à une vitre, tu avais posé ton café sur le comptoir en bois, ne faisant attention à la personne à ta droite. Tu étais ensuite montée sur le haut tabouret avec plus ou moins de difficulté avec ta jupe crayon. Tu portais cet habit juste parce que tu étais professeur au lycée et un code vestimentaire y était imposé.
Ton regard s'était ensuite porté sur l'extérieur, tes yeux suivaient les flocons tombés mollement sur le sol de goudron pour y fondre. Sans vraiment contrôler ta parole, tu avais posé cette question à un inconnu que tu n'avais même pas regardé. Tes yeux restaient fixés sur les flocons alors que le brun à tes côtés avait tourné sa tête en ta direction.
Cette question l'avait surpris alors qu'il regardait lui aussi la neige tomber par la fenêtre du café où il avait son habitude quand il était en pose. Ses yeux gris-violet te regardaient de haut en bas, se questionnant, t'adressais-tu à lui ou à la personne un peu plus loin. Il continua à te détailler alors que tu commençais à boire ton [B/C], le regard toujours posé sur l'extérieur.
Tu le sentais te détailler de haut en bas, mais tu en avais l'habitude après tout, tu étais professeur. Tu avais souvent le regard de tes élèves sur toi, même si le regard de l'homme à tes côtés n'avait pas la même intensité que tes élèves. Il détourna son regard de toi avant de poser à son tour une question qu'il lui trottait un moment dans la tête.
- " Que devient la neige ? " Te questionna-t-il à son tour connaissant déjà la réponse.
- " Le printemps. " Répondis-tu sans hésitation avec un sourire sur tes lèvres bien que tu te repris très vite. " Mais de l'eau à proprement parler, mais elle fait poussé les fleurs, les végétaux et nourrit les animaux. Donc, bien le printemps ou la vie comme vous voulez. " Continuas-tu sans vraiment faire attention à l'état d'âme dans lequel tu m'étais le jeune homme.
- " C'est une belle réponse. " Commenta-t-il alors qu'il terminait son café, le regard de nouveau posé sur la vitre.
Se fut ton tour de tournée la tête vers lui avec un certain entrain. Tu voulais voir à quoi ressemblait l'homme qui engageait la conversation sur un sujet aussi anodin avec une inconnue. Tu en fus légèrement surprise après tout, il était très beau, des cheveux ébènes, une peau laiteuse, un nez légèrement retroussé, des traits fins et des yeux gris avec une pointe de violet.
Il était beau, c'était un fait, mais même si ses vêtements recouvraient une bonne partie de son corps, tu pouvais entre voir ses muscles fins sous son pull noir. Tes yeux [C/Y] le détaillaient, il pouvait le sentir sans même te regarder. Il aurait pu en être dérangé, mais être détaillé par une femme aussi belle que toi, il ne pouvait qu'en être fier et puis s'était agréable.
Après tout, il ne s'était pas gêné pour te détailler aussi, tes [L/C] cheveux [C/C] légèrement éclairés par la lune. Tes yeux [C/Y] concentrés sur la neige à ce moment-là, savoir que ses mêmes yeux le regardaient avec cette même intensité l'excitait grandement.
Et puis même si tu étais [T/T], il ne trouvait pas sa désagréable pour autant, bien que certains hommes n'aiment pas. Et pour finir cette magnifique peau [C/P] qu'il voulait faire rouler sous ses doigts bien que ce soit impossible.
Tu pus voir le jeune homme troublé, tu pensais que c'était ta faute enfin la faute ton regard. C'était bien de ta faute dans un sens, le jeune homme ne s'attendait pas à avoir de telle pensée, surtout sur une inconnue. Était-il tend que ça en manque ?
C'est toi qui lui faisais cet effet, il ne pouvait plus arrêter ses pensées, il te voyait déjà sous lui tremblante de passion et de désir. Que lui arrivait-il, cette phrase ne faisait que tourner dans son esprit. Il prit sa veste en main avant de descendre du tabouret, te lançant un " au revoir " précipiter alors que tu le regardais partir.
Tu regrettais de ne pas avoir pris son numéro, tu le vis passer devant le vitre où tu étais. Tes yeux [C/Y] rencontrèrent ses iris gris-violet, elles te regardaient avec une telle intensité que tu sentis un frisson te parcourir le corps.
Il avait un tel désir dans le regard, mais aussi une telle incompréhension face à ce sentiment. Tu le regardas accélérer le pas pour partir au plus vite de devant la vitrine, un fin sourire se plaça sur tes lèvres. Tes yeux se reposèrent sur les flocons alors que ton menton se posa sur le dos de ta main, ton coude appuyé sur la table.
Quel bel homme avais-tu eu là, quelle belle réaction surtout. Tu ne pouvais pas nier que tu ressentais un certain désir physique pour cet homme, une certaine tension restait. Quelle était grisante. Tu terminas ta boisson avant d'à ton tour sortir dans le froid hivernal à la recherche de ta maison, prête pour une nouvelle journée de travail après une bonne nuit de sommeil.
Tu étais maintenant assise dans ta salle de classe après les cours attendant patiemment le tuteur d'un de tes élèves. Il n'avait rien de particulier, de bonne note enfin des notes moyennes, mais acceptable voir même très bien. Tu l'avais convoqué pour autre chose, il se trouvait cet élève avait tendance à ce transformé en lapin dès qu'il te touchait.
La première fois, c'était un simple accident, mais, après il s'amusait à te prendre dans ses bras pour retrouver sa forme de lapin. Bien sûr, tu ignorais si son tuteur était au courant étant un homme, mais il devait t'en informer pour en être sûr, sans révéler son secret.
Donc tu étais assise à ton bureau en train de corriger certaine copie, tes yeux [C/Y] fixés sur la copie ne te doutant pas que par la fenêtre de ta salle, le dit tuteur te regardait. Celui-ci n'en croyait pas ses yeux devant lui se tenait la femme du café, celle qui lui avait fait comprendre qu'il manquait cruellement de contacts charnels.
Il laissa de nouveau sans s'en rendre compte son regard glisser sur tes courbes, il faisait très pervers cacher derrière la porte à observer par la petite fenêtre de celle-ci. Lui qui était si calme, sérieux, voir même froid, se trouvait troublé par une simple femme qu'il ne connaissait même pas. Enfin pas encore plutôt.
Il inspira pour reprendre sa carapace et toqua doucement à la porte qu'il ouvrit en entendant un " Entrer " lui aussi faible. Tu fus surprise de reconnaître l'homme du café, un sourire pris place sur tes lèvres alors que tu le saluais en lui tendant la main.
- " Je suis désolé, je ne suis pas très tactile. " S'excusa l'homme en refusant de tes serrer la main alors qu'il s'installait en face de toi.
- " Vous êtes donc Hatori Sohma, le tuteur de Momiji. " Demandas-tu, ce qu'il confirma en hochant la tête alors que tu continuais. " Momiji, ce n'est pas un mauvais élève en soit, il est assez agité et pleins d'énergie, mais il a comme vous du mal avec les contacts physiques. Y aurait-il une quelconque raison à cela ? Si je vous pose la question, c'est pour ne pas l'offenser avec une quelconque parole qui pourrait lui paraître blessante. " Te justifias-tu ton regard plongé sur la personne en face de toi, qui semblait se retenir de plusieurs choses vu ses points serrer sur son pantalon.
- " Sa mère l'a rejeté à la naissance, il l'a plutôt mal vécu. Il en garde un léger traumatisme. " Te révéla l'homme dont le regard avait du mal à rester neutre.
Pourquoi tu l'attirais autant, qu'elle était cette attraction pour ta personne. Jamais, au grand jamais, l'homme froid et taciturne qu'il était n'avait réagi autant devant une femme. Était-ce à cause de l'esprit maudite qu'il avait dans le corps, est-ce que l'esprit du dragon était attiré par elle.
Toutes ses questions traversaient son esprit sans lui laisser une minute de répit, il sentait ses joues, son visage chauffé. Il était gêné des pensées qu'il avait eues toute la nuit, des scènes où il te faisait l'amour sans s'arrêter. Il avait le cœur qui battait à tout rompre, serte, l'esprit était attiré vers toi, comme si vous partagiez quelque chose depuis longtemps.
Tes gémissements remontaient ses oreilles, le troublant, il n'avait qu'une envie te prendre sur le bureau. Son corps, son esprit, l'esprit maudit te réclamaient. Tu regardais l'homme devant toi prendre une légère teinte rosée, ses yeux étaient tournés sur le côté. Plus tu regardais son visage, plus un vague souvenir refaisait surface, tu le vis fermer les yeux avec force.
Tu sentais la tension augmenter, des images romantiques apparaître, vite remplacer par des visions plus torrides de ton corps frémissant, tremblant sur et sous le corps de l'homme juste en face de toi. Que se passait-il, la température de ton corps augmentait, tu voyais et entendais des gémissements, tes gémissements et les siennes.
Puis trois mots, un gémissement sortit de ta bouche alors que ton cœur battait à tout rompre " Je t'aime ". Ses mots entendirent écho dans la bouche de ton alter ego, de ton âme sœur de ta destiné. Il l'était, tu le sentais. Il le sentait, tu étais sa destiner. Sans se retenir, l'un comme l'autre, vous vous sautiez dessus.
Vos lèvres se rencontrant, vos corps se collant, vos vêtements tombant, pleuvant comme la neige, vos caresses saccader, vos gémissements, vos suçons puis comme d'un naturel vos corps s'unissant dans cette salle de classe, sur le bureau qu'il convoitait pour toi.
Il s'encrait au plus profond de ton corps, de ton être, de ton esprit. Il voulait être au plus profond de toi, il voulait de ravager, tu étais à lui, il était à toi. Il te sentait tremblante contre lui, réceptive à chaque coup de rein, chaque caresse, chaque baisser. Il les sentait, tes ongles, lui griffant le dos, s'accrochant désespérément à lui, il te ravageait, il te remplissait.
Tu étais faite pour lui, tes gémissements en étaient la preuve, à la simple vu de ton corps tremblant, il se sentait venir. Il te sentait te resserrer quémandant de venir tout entier en toi. Il laissa ses bras passer dans ton dos, te serrant contre lui, comme tu le fis à son image, avant de se délivrer à l'intérieur de toi.
Son corps se reposa sur le tien sans pour autant te lâcher, ses souvenirs, ses moments passées à tes côtés remontaient petit à petit dans vos esprits, vos mémoires, vos corps. Aucun de vous deux n'osait lâcher l'autre, les sentiments se bousculaient dans vos têtes, dans vos corps. Les larmes te montèrent aux yeux, il t'avait ravagé pour sûr, mais ton cœur battait tellement vite.
- " Hatori, tu m'as tellement manqué ! " Pleuras-tu de joie la voix à moitié cassée, le bonheur traversait tout ton corps. " Je t'ai tellement aimé, mais je t'aime tellement ! " Lui confessas-tu resserrant tes bras autour de lui.
- " [T/P] ! [T/P], c'est bien toi ! Tu m'as tellement manqué ! Je t'aime tellement ! " Clama-t-il un grand sourire aux lèvres, les larmes au bord des yeux. " On s'est enfin retrouvé. " Réalisa-t-il toujours profondément ancré en toi.
Vous étiez tous les deux rayonnant de bonheur, tous deux, vous sentiez compléter l'un par l'autre. Longtemps, auparavant, l'esprit du dragon hantait ton corps, peut-être bien deux à trois cents ans en arrière.
Un jour, alors que tu donnais naissance à votre fille, vous vous étiez jurés de vous retrouver, de vous marier et de vivre à nouveau ensemble. Tu étais morte quelques heures, après donnant naissance de votre petite, l'esprit du dragon lui avait bien entendu votre promesse et avait donc décidé de l'exaucer pour vous.
Le petit dragon avait veillé sur vos âmes, les faisant se réincarner au même moment, veillant bien à ce que vous vous rencontriez. Il vous avait redonné vos souvenirs, sensations, sentiments et espoir. Jamais vous n'aviez été aussi heureux de connaître l'esprit du dragon.
Vous étiez tous les deux yeux fermés à moitié allongé sur ton bureau complètement nu, l'un contre l'autre. Ton regard [C/Y] s'ouvrit pour rencontrer le magnifique regard gris-violet de ton amant, tous deux reflétaient l'amour. Cet amour que vous partagiez à cette époque et celui que vous alliez partager pendant des années encore.
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