1 | Oikawa Tooru
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· 🌏 Manga / Anime | Haikyuu
· 💕 Amour du Jour | Oikawa Tooru
· 🌿 Genre | Fluffy
Titre | Manipulateur
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Tu connaissais maintenant depuis plusieurs années Tooru Oikawa, le grand roi comme l'appelait Hinata, ton ami depuis le collège. Le brun était un passeur aux multiples talents, dont un service qui aurait pu t'arracher le bras si tu tentais de le réceptionner. Tu l'as surtout connue au début grâce à ses fans girls dont faisait partie ta meilleure amie [ N / M / A ]. Comment aurais-tu fait pour ne pas connaître le grand Oikawa avec toutes les filles qui criaient son nom en permanence, au moins, lui-même ne pouvait pas l'oublier. Enfin, pour toi il était surtout le meilleur ami de ton ami d'enfance, donc ne pas le connaître était encore plus difficile.
Ta première rencontre avec le brun n'avait pas été de tout repos, il avait été tellement agaçant en te draguant ouvertement. Si ça n'avait été que ça, mais il était en réalité en vrai gamin, doublé d'un idiot par-dessus le marché. Certain aurait pu dire que ça fait son charme, mais pas pour toi. Si tu voulais être avec un enfant tous les jours, tu serais sortie en balade avec tes cousins et cousines pas avec un adolescent presque adulte incroyablement sexy.
Après un énième monologue de ta meilleure amie sur l'être parfait et génialissime qu'était Oikawa - notez cette ironie fine et faite avec style - tu te levas d'un coup avec une très forte envie de refaire le portrait à ce brun. Tu souris à ta meilleure amie avant de partir en direction des vestiaires de ton lycée, où tu n'avais jamais, au grand jamais, mis les pieds aux passages. On pouvait voir de ton corps, se dégager une aura meurtrière quand tu passas les portes du gymnase en question. Pourtant, devant toi ne se tenait pas les corps transpirants d'athlètes en plein effort, mais l'homme de ménage d'un certain âge avec son balai en train de remuer son popotin sur une musique latine qui sortait très fort de ses écouteurs. Tes yeux, ton cerveau et tes gestes restèrent bloqués sur cette vision qui remplaça toute ta colère par de l'incompréhension. Comment une personne en plein travail dans un gymnase pouvait bouger son popotin comme ça ? Ce fut la voix enrouée du vieil homme qui te sortit de ta "contemplation".
- " Si vous chercher l'équipe de volley, ils sont en matchs amicaux contre une autre équipe, désolé. " S'excusa le vieil homme comme si tu n'avais pas vu son cul se trémousser devant tes yeux, n'avait-il donc aucune gêne et pêne pour tes pauvres petits yeux bafoués par sa dance.
- " Merci monsieur. " Lui répondis-tu, mais il avait déjà repris ses activités t'attaquant une nouvelle fois le regard.
Tu sortis du gymnase essayant de t'enlever les dernières images de ton cerveau, tout en gratifiant le monde d'une drôle de grimace. Enlever cette image semblait bien plus compliqué que ceux à quoi tu t'attendais, mais comprenait maintenant le message qu'Hajime t'avait envoyer le matin même. " Je ne mangerais pas avec toi ce midi. Bise. " Tout était clair à présent, il ne t'avait pas lâché pour manger avec son équipe, il était juste partie. Ta mère aurait pu te le dire, tu étais sûre que la mère d'Hajime et la tienne avaient parlé ensemble étant elles-mêmes des amies d'enfance, et celle-ci n'avait pas jugé bon de te tenir au courant. Tu retournas en classe pour ton plus grand malheur te rappelant que tu devais passer voir Shittikawa et Iwaizumi.
Ta journée et ta nuit passèrent beaucoup plus vite que prévue quand tu entendus ton saleté de réveil faire un bruit infernal digne des plus grands réveilles, avec ce bruit typique de " Bibibip bibibip " - le meilleur bruitage au monde - que tu arrêtas d'une grande latte sur son dessus et un grognement de ta part avant de te lever. Tes affaires sous un bras, à moitié en somnolant et constant les dégâts qu'avaient eu la nuit sur ton beau visage. Tu finis par fermer la porte de ta salle de bain, t'attelant aux travaux qui fallait pour te rendre présentable au reste du monde. Tu ne voulais pas casser le mythe de ta beauté éternelle, et faire fuir quatre-vingts pour-cent de la population dont tu faisais partie.
La rénovation faite, grâce à une bonne douche, et un passage de ton visage sous l'eau froide, tu avais déjà bien plus de couleur. Sortant de la salle de bain, tes vêtements sales rejoignit avec violence le dessus de ton lit non-fait, un shoot parfait, digne des plus grands basketteuses. D'un simple geste de main, tournant quelques peu en rond dans ta chambre, il est vrai, tes affaires étaient désormais entre tes bras sortir voir le monde. La démarche d'un éléphant dans un magasin de porcelaine plus tard, tu étais en bas, ayant rejoins ta mère dans la cuisine. Sur la table t'attendait la plus belle merveille du monde, tes tartines quotidiennes de Nutella. De ton jeune âge, tu pouvais déjà sentir ton corps en manque de ce chocolat marron, ou alors s'était simplement la faim qui pointait le bout de son nez.
Une bonne journée à ta maman, une tartine à la main, la mangeant comme une morte de faim, tu sortis de ta petite maison, rejoignant ta meilleure amie qui venait tout juste d'arrivé. Légèrement pas regardante sur l'heure, vous aviez passer votre chemin à marché et parler. Des collégiennes, vous auriez pu être prit pour telles, elle te parlant sans discontinuer de ragots dans votre lycée, sans oublier tes remarques sarcastiques en réponse. Enfilant votre petit déjeuner sur la route, vous aviez trottiner lentement jusqu'à l'endroit qui allait accueillir votre petit cul pendant la journée qui arrivait. Vous dépêchant par pour un sous, vous arriviez juste à l'heure, cinq minutes en plus, et s'était le retard. Un sourire pour les surveillants, vos pas se dirigèrent jusqu'à vos salles de classe respectives, non sans un adieu déchirant, quand tu entras la première dans l'endroit.
Les quatre heures matinales, un supplice que tu avais pourtant passé, les écoutant avec si peu d'envie, qu'on aurait pu juré avoir vu un mort vivant dans la classe. Certains cours avaient été, sans grande difficulté, plus passionnément que d'autres, les professeurs ne t'avait fait aucune remarque, mais leur regard dépiter devant ta tête complètement amorphe n'avait sûrement pas dû passer inaperçu. La pause de midi providentiel, fut un plaisir sans nom. C'était l'endroit, le moment parfait pour manger et dormir à ta faim, puis ce fut le retour du vice. En face de toi, en face, s'était de nouveau tenu trois heures, trois même heures qu'avait été les quatre heures de la matinée. La sonnerie de la liberté avait retentie, te libérant de tes obligations d'élèves, te ramenant à tes obligations de [ T / P ]. Le regard balayant la pièce, tu trouva ta victime, il était là, à ranger ses affaires dans son sac. Innocent, si innocent alors qu'un Pokémon sauvage apparaissait devant lui, le visage neutre, sans aucune surprise, son regard se leva vers toi. Pokerface, Akira Kunimi, un des joueurs du club de volley dans la classe 2°3, justement ta propre classe.
- " Tu vas au club de volley ? Je me trompe ? "
Direct et sans aucun petit détour, tu lui demandas d'une traite. Ce jeune homme à qui tu n'avais parlé que pour des copies doubles, devait sûrement te prendre pour une sombre folle, mais ton ange gardien était là. Bénie soit Hajime qui avait eu l'intelligence, ou le bon sens, de parlé de toi aux autres gars club volley. Aussi non, le brun t'aurait sûrement fait un tête de cent pieds de long avant de partir en t'ignorant, mais bien plus sociable qu'à l'accoutumé, il te répondit, avec son visage toujours aussi expressif qu'une moule. Quoi que derrière sa voix posé, en y regardant bien, le garçon avait eu un fin sourire, mais si fin qu'il en était presque inexistant.
- " Oui, [ T / P ], mais pourquoi ? Tu veux y aller avec moi ? "
- " C'est ça ! Tu es un devin ma parole Kunimi-san ! " T'exclamas-tu faisant doucement rire le jeune homme alors que tu lui emboîtais le pas jusqu'au gymnase.
Une exclamation d'enfant de quatre an et demi, ou de petite personne simplette, tu lui avais fait un grand sourire. Pourtant, tu avais laisser filler un brin d'ironie naissant, mais tu te plaisais à être enfantine avec les autres "inconnus". Lui emboîtant le pas en direction du gymnase, pensant qu'il ne te parlerait pas, le garçon était étonnement bavard, comme s'il te connaissait depuis toujours. Votre conversation dériva sur le volley et sa position d'ailier dans l'équipe, ainsi que ton talent inexistant pour le volley. Ce n'était pas de ta faute, si à chaque fois que la balle venait vers toi, c'était pour te la prendre en pleine tête. Tant d'incidents dramatiques avaient touché ton visage, depuis tu l'as fuyais comme ton pire cauchemar cauchemardesque. Ce qui interpela plus le garçon à tes côtés, fut ta capacité d'analyse et ton sens de l'observation. Le chemin se fit plutôt vite, tu avais presque réussi à le faire réellement sourire à pleines dents, mais il était trop tard pour ton challenge puisque vous aviez tous les deux passer les portes du grand gymnase.
Une appréhension d'entrer dans ce gymnase, ne voulant ravoir cette vision. Tu t'attendais à réapercevoir ta vision d'horreur, comme dans un jour sans fin, celle que tu n'avais pas pu oublier à ton plus grand malheur, elle revenait même te hanté pendant tes rêves. Mais à ton plus grand soulagement, devant toi se tenait des lycéens discutant ensemble de leur prochaine tactique de match. Cependant, un joueur te frappa parmi tous les autres, un poireau humain, il en fallait pour tous les goûts dans la nature, mais rare son ceux à être poireauphyle. Tu laissas alors ton regard dériver pour chercher ton chère Hajime, mais aucun être de sa carrure à l'horizon quand un des volleyeurs prit la parole.
- " C'est qui, Kunimi ? "
Une question sûrement d'Issei Matsukawa, d'après la description qu'avait faite Hajime, mais comme tu avais le dont et le talent d'emmêler les visages et les prénoms donc tu ne l'affirmerais pas. Toujours amant et légèrement ami avec les moules, l'intéresser répondit d'une voix désintéressée, avançant vers les vestiaires.
- " [ T / P ] [ T / N ], elle est dans ma classe. "
- " Ah. Tu cherches quelqu'un ? " Continua le jeune homme, mais reprit aussitôt ne te laissant pas le temps de répondre. " Attends ! Laisse-moi deviner ! Oikawa ! C'est ça ? Tu es une de ses fans obsessionnelles ? "
- " Pourquoi je chercherais Shittikawa ? "
Brisant ses espoirs, son sourire en coin qui s'était étaler sur ses lèvres mutins. Innocente comme à son habitude, la jeune femme que tu étais, les interrogeait. De loin, il aurait pu voir des points d'interrogation dandiné sur le haut de sa tête, alors qu'un silence de mort régnait dans le gymnase. Ton regard passa tour à tour sur les joueurs, cherchant en vain la raison de ce silence, alors qu'un bruit en direction de vestiaire coupa ce silence, tournant ton regard dans cette direction. Tu reconnus aussitôt l'autre gamin accompagné d'Hajime qui fut plutôt surpris de te voir, là, au milieu de son équipe. Oikawa, quand à lui, te regardait de son sourire charmeur et appréciateur de ta présence, alors qu'un grain de surprise se trouvait dans son regard. Tu l'ignoras purement et simplement alors que tu courus dans les bras de ton ami d'enfance en criant un grand "Haji ! " qui eu le don de lui bousiller les tympans. Le jeune homme te réceptionna, tandis qu'un grognement d'insatisfaction sortait de la gorge de ton ami.
- " Iwa-chan ! [T/P] est méchante, elle m'a ignoré ! Elle ne m'aime pas ! Console-moi ! " Pleura faussement l'enfant qu'était le brun alors que l'équipe assistait à la scène dans un silence religieux.
- " Qu'est-ce qui t'amène [T/P] ? " Demanda l'As ignorant son passeur se concentrant sur ta personne entre ses bras.
- " Ah ! J'en avais marre de ne pas savoir quand tu étais là ou non, donc j'ai décidé de devenir votre manager. " Lui appris-tu en te détachant de lui avec un grand sourire sur les lèvres.
- " Je vois que tu leurs as appris [T/P]... Bien, au travail bande de fainéants ! " Cria le coach alors que tout le monde baillait aux corneilles en vous écoutant.
Personne ne se le fit redire une deuxième fois et couru jusqu'au terrain pour commencer leur échauffement pendant que tu écoutais les différentes règles que t'énonçait l'entraîneur. Tu les observais à chaque fois qu'ils s'entraînaient, qu'ils allaient à des matchs amicaux, des tournois.
Tu étais toujours à leurs côtés, ce qui t'attira la colère de certaines fans des joueurs - surtout celles d'Oikawa - et c'est ainsi que quatre longs mois passèrent à toutes vitesses avec leurs lots de surprise.
Tu te rappelais encore d'une qui changeait complètement ta vie, tes sentiments pour Oikawa. Tu marchais tranquillement au côté d'Hajime, vous rentriez chez vous quand tu déclaras à voir haute, de butte en blanc.
- " J'aime Oikawa, Haji. " Lui appris-tu, c'était comme une conclusion à une longue réflexion de ton esprit.
- " Ah. " Avait été la seule réponse qu'il t'avait formulée.
Mais avec le temps ton ami avait accepté que son amie d'enfance puisse aimer se dragueur né. Au bout d'un temps, il t'avait même encouragé à te déclarer à son meilleur ami. Ce n'est pas que tu ne voulais pas, mais à chaque fois la panique prenait le dessus alors tu avais simplement décidé d'abandonner et de continuer ta vie.
Mais s'était sans compter sur l'As qui avait réussi par tu ne sais qu'elle procédés à te coincer tard le soir avec le volleyeur à lui faire des passes, car tout le monde avait un truc à faire. Un énième soupire passa la barrière de tes lèvres quand toutes traces de lumière disparu, le noir complet avec une mince lueur dû à la lune. Tu te dirigeas à tâtons vers la porte essayant de l'ouvre en vint, quelle idée de faire une porte électrique.
Tu soupiras tentant de garder ton calme et de ne pas piquer ta crise dans le noir, tu voulus faire demi-tour mais quelqu'un te plaqua contre lui, te prenant sûrement pour une peluche pour te serrer si fort. Tu sentis un souffle irrégulier au creux de ton cou alors que tu sentais un torse se soulever et s'abaisser rapidement dans ton dos.
- " [T/P]-chan... Je dois te dire un truc. " Commença en murmurant la voix d'Oikawa te faisant frissonner alors que ta tête se mettait à imaginer toutes sortes de chose et que ton cœur en faisait des siennes.
- " Oui ... ? " Demandas-tu incertaine de sa réponse, mais tu étais prête à tout entendre à l'heure actuelle.
- " Je... J'ai peur du noir ! " Hésita le jeune homme d'une voix gémissante et très faible.
- Tu ne sus comment réagir à sa voix suppliante, tu ne pus t'empêcher de rire. " Tooru.. " T'exaspéras-tu toujours alors que ton fou rire ne voulait pas s'arrêter, mais Oikawa remarqua ta soudaine familiarité avec lui ce qui le rendit heureux..
- " Ne ris pas [T/P]-chan ! La fille que j'aime devrait me réconforter, pas rire de moi ! T'es méchante [T/P]. " Bouda le brun s'écartant de toi voulant bouder dans son coin ne se rendant même pas compte de sa boulette.
- Tu t'arrêtas de parler, de penser, tu étais concentrée sur sa déclaration, un fin sourire passa sur tes lèvres alors que tes joues se colorèrent de rouge. Tu lui attrapas la main pour l'arrêter. " Ne t'éloigne pas Tooru, tu vas être seul dans le noir, reste avec moi. " Lui murmuras-tu tandis que ton cœur débordait d'amour pour le brun qui s'était arrêté et tentait d'apercevoir ton visage grâce à l'astre lunaire. " Moi aussi, je t'aime. " Lui déclaras-tu suite à sa déclaration, tes yeux [C/Y] faiblement éclairée par la lumière de la lune brillaient d'amour pour le brun, ce qu'il remarqua et ne manqua pas de faire fondre son petit cœur.
- Il te tira vers lui d'un coup posant délicatement tes lèvres sur les siennes. " [T/P]. " Murmura-t-il la voix remplit d'émotion alors qu'il enchaînait vos baisers. " On ne peut pas sortir, nous allons devoir passer la nuit ensemble [T/P]. " Murmura ton petit-ami d'un ton taquin non sans des arrières-pensées.
Il t'entraîna à sa suite jusqu'à un des murs du gymnase, il s'installa au sol te forçant à t'asseoir entre ses jambes. Une fois ton dos confortablement installé contre son torse, il entreprit de passer un de ses bras autour de ta taille alors que son autre main caressait lentement ton bras. De délicats baisers se déposaient de temps à autre dans ton cou te relaxant contre lui quand quelque chose fit surface dans ton esprit.
- " Tu es manipulateur Oikawa. " Réalisas-tu après tout ce qui tu avais vécu, il ne pouvait savoir que la porte était fermé sauf en essayant et tu étais la seule à l'avoir fait et bizarrement, il n'avait plus peur du noir.
- " Qu'est-ce qui te fait dire ça [T/P] ? " Te demanda-t-il taquin sachant pertinemment que tu avais deviné son plan.
- " La porte, ta peur noire qui disparaît soudainement, et même ta question à l'instant. " Lui répondis-tu bien que tu savais pertinemment sa réponse, mais tu l'attendais quand même.
- " Je suis démasqué. M'en veux-tu pour ça [T/P] ? " T'interrogea calment le passeur connaissant ta réponse, ce fut un baiser qui lui répondit.
Un sourire passa sur les lèvres du brun, il prit sa veste et la posa sur vous deux alors que tu commençais à t'endormir au creux de ses bras. Un sourire était placé sur tes lèvres tandis que tu faisais pleinement confiance à ton compagnon qui s'endormit quelques secondes après toi.
Le lendemain, tu te réveillas au creux des bras de ton amant qui semblait en pleine discutions avec toute l'équipe. Tu avais encore ton cerveau plongé dans les vapes, tu ne comprenais pas encore tout ce qui se passait devant toi. Ton brun semblait follement joyeux, l'équipe avait des yeux ronds comme des billes, Hajime avait une aura noir autour de lui.
- " [T/P] et moi ont sort ensemble alors ne l'approcher pas à moins d'avoir une bonne raison." Menaça froidement ton amant avec un grand sourire ce qui rendait la menace plus effrayante qu'elle ne devrait l'être.
- Ton amant fut tiré par le col te faisant bouger par la même occasion " Tu comptes m'empêcher de voir [T/P], Shittikawa ! Si tu le fais le moindre mal, je te bute ! " Clama d'un air menaçant Hajime alors que ton cerveau percutait enfin à ce qui se passait.
Tu n'eux le temps de réagir que tes lèvres furent prises par ton amant qui t'entraîna dans un baiser sensuel. Tu n'arrivais plus à suivre, mais tu fermas les yeux t'abandonnant à la douce étreinte sensuelle de ton amant. Ses coéquipiers furent obligés de détourner le regard à cause de la douce étreinte amoureuse que vous échangiez.
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| Petit mot de l'Auteur |
Depuis le temps que je voulais corriger et réécrire ce One-Shot !
Je trouvais que notre cher petit Tooru avait besoin d'un nouveau lifting sur son OS, je sais que comme ça j'aurai pu voir le progrès de mon écriture, mais je me devais de faire mieux pour lui. Mais si l'ancien jet vous manque je pourrais le remettre en dessous de cette Os, car j'ai garder l'ancien je ne pouvais me résoudre à le supprimer à vous de me le dire.
En espérant qui vous plaise ! Et bien sûr j'attends votre retour avec impatience plus cette Os que les autres.
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