Daiki Aomine x Reader {Kuroko no Basuke}
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"Le seul qui puisse me battre, c'est moi !"
Aomine Daiki
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Codes utilisés :
(t/p) : ton prénom
(t/n) : ton nom
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Je connais Aomine depuis tout petit. Nos parents étaient voisins et amis. On a grandi ensemble. Je l'ai vu apprendre à jouer au basket avec mon père. Je l'ai vu gagner des matchs de street-basket contre des adultes. On jouait ensemble à ce sport que nous aimions tant. Nous étions tout le temps dans la même classe, comme si nos parents avaient demandé (et je pense que c'était le cas). J'étais avec lui à Teiko. Je l'ai vu sombrer. Je n'ai rien pu faire. J'ai essayé de le faire redevenir comme avant. On s'est disputé. Il m'a dit que je ne pouvais pas comprendre, que j'étais faible, qu'il en avait marre d'avoir un pot de colle derrière lui, que je ne servais à rien. Une larme a coulé et je suis partie. Je ne lui ai plus jamais adressée la parole. Et je regrette. Chaque jour à Too, je le vois sombrer encore plus, avec pour seul ami Momoi-chan. Je suis toujours amie avec elle et quand on se voit elle me parle de Aomine. J'ai appris qu'il avait continué le basket mais qu'il ne participait plus aux entraînements. Il n'a toujours pas perdu et continue de répéter encore et toujours la même phrase :
"Le seul qui puisse me battre, c'est moi."
Nous ne sommes plus dans la même classe et mon seul moyen d'information sur lui c'est Momoi-chan. Je m'en veux. Je m'en veux d'être trop faible pour lui, de ne pas savoir jouer au basket aussi bien que lui, de ne pas être capable de le sortir de son mal. Même si ça ne se fait pas, je souhaite qu'il perde. En perdant j'aurais peut-être une chance de retrouver le Aomine de mon enfance, l'homme dont je suis tombée amoureuse il y a de ça longtemps. Non (t/p), tu ne dois pas penser comme ça, tu dois juste l'oublier. Ne plus penser à lui. Ne plus l'aimer. Malgré mon ambition, je n'arrive pas à faire un effort qui marquerait ce premier pas vers l'oublie : changer de lycée. Alors je fais semblant. Semblant que tout va bien. Semblant que je ne ressens aucun manque. Semblant d'être heureuse sans lui. Et ce depuis maintenant 3 ans.
🏀
Je sors des cours et pars rejoindre Momoi-chan dans notre café habituel. Elle est déjà assise à notre table, près de la fenêtre. Je commande un chocolat chaud puis la rejoins. On commence à parler de tout et de rien, à rire, à chantonner. Le patron nous connait bien alors il nous laisse faire pas mal de choses. Après une bonne demi-heure, Momoi-chan reprend son sérieux et me parle avec un ton calme et posé, comme elle le fait à chaque fois qu'elle me parle d'Aomine.
"Tu sais (t/p)-chan que le club de basket de Too participe à la Winter Cup ?
- Bien sûr que je le sais. Tu sais très bien que j'adore le basket. Mais pourquoi cette question ?
- En fait... Samedi nous avons un match contre l'équipe de Tetsu. Ce n'ai pas la première fois qu'on les affronte et il y a un As dans leur équipe qui est presque aussi fort que Aomine...
- Et...? En quoi ça me concerne ? Je ne fais pas partie du club de basket.
- Je... Je ne crois pas que nous arriverons à remporter la victoire. Je pense que Aomine va perdre.
- Voyons Momoi-chan, tu sais tout comme moi que c'est impossible. Aomine fait partie de la génération miracle, c'est même le plus fort après Akashi. Et je ne comprends toujours pas pourquoi tu me parles de ça.
- J'y viens. Leur As a déjà battu Kise et Midorima. Il est digne de la génération miracle. Et puis ils font un super duo Tetsu et lui. Ils sont du même niveau que l'ancien duo de Teiko avec Aomine et Tetsu.
- Bon... En admettons que cet As soit plus fort qu'Aomine, quel est le rapport avec moi ?
- J'ai peur que Aomine ait beaucoup de mal à assumer la défaite et j'aimerais que tu assistes au match de ce weekend. Pour pouvoir soutenir Aomine après le match."
J'écarquille les yeux. Je ne m'y attendais pas du tout à celle-là. Je la vois baisser la tête puis elle reprend son discours, sans changer de position.
"Je sais que vous vous êtes disputés et que tu as du mal à le supporter depuis son changement au collège. Je ne te demande pas de redevenir sa meilleure amie, juste d'être présente à ce match."
Elle relève la tête et me fixe de son regard déterminé et suppliant. C'est à mon tour de baisser la tête. Comme si il avait envie de me voir, moi la faible, moi le boulet, moi le pot de colle. Je sens une larme tomber et s'exploser sur la table. J'essuie rapidement les suivantes qui veulent l'imiter et prends un air froid et distant. Je ne dois plus pleurer pour lui. J'ai assez souffert. Je décide de répondre à Momoi-chan, après ce blanc légèrement pesant.
"Je ne pense pas qu'il veille revoir un boulet et une faible telle que moi.
- Mais qu'est-ce que tu racontes ? Tu es loin d'être faible ou même d'être un boulet !"
Je me lève brusquement et me retourne. Je ne veux plus continuer cette conversation. Je lui réponds quand même une dernière chose :
"Alors va lui expliquer vu que je ne fais que ressortir ses propres mots. Ceux qu'il m'a dit lui-même en me regardant droit dans les yeux."
Je récupère mon sac de cours et quitte le café après avoir laissé un peu d'argent sur la table pour payer ma boisson. Je rentre chez moi, dans le froid de l'hiver, seul. Je prends mes écouteurs pour rompre se silence plus que pesant et mets ma musique du moment :
Bird ~ Imagine Dragon :
https://youtu.be/L7Xy7Q22HZ8
Je continue de marcher dans les rues, seule. Mon écharpe autour du cou. Ma bouche dégageant des panaches de fumée à chaque expiration. Je trouve que cette musique représente un peu ma vie : elle parle de deux personnes vivant tout ensemble et qui se sont séparées. Ça me fait un peu penser à ma situation avec Aomine. Sans m'en rendre compte, j'étais déjà devant chez moi. Je jette un rapide coup d'œil vers la fenêtre de mon voisin et le voix en train de dormir sur sa chaise de bureau. Un léger rire passe la barrière de mes lèvres. Au moins certaines choses ne changeront jamais. Même si c'était une boule d'énergie quand on était petit, Aomine pouvait s'endormir n'importe où, n'importe quand.
Je baisse la tête, même si ses souvenirs sont joyeux ils me font mal. Pour une raison assez simple : parce que je sais que je ne les revivrai jamais. Je rentre rapidement et pars dans ma chambre sans saluer mes parents. Après tout, ils ne sont quasiment jamais là alors à quoi bon essayer de les attendre. Ils partent tôt le matin et rentre tard le soir. Si bien que je me retrouve souvent seule, avec mes démons.
Je rentre dans la pièce, allume la lumière, balance mon sac dans la pièce et me jette sur mon lit. Je me retourne et regarde le plafond. Je repense à ce que m'a dit Momoi-chan. J'ai envie de venir mais je ne veux pas qu'il me recale comme la dernière fois, lors de cette dispute. Je me retourne et enfouis ma tête dans mon oreiller. Dans le pire des cas, je n'aurai juste qu'à ne pas me montrer si je viens. Et je m'endors sur cette pensée.
🏀
Je suis actuellement devant le gymnase de la Winter Cup. Il ne me manque seulement que quelques pas avant d'être dans le bâtiment mais j'hésite. Dans ma réflexion je n'entends pas une personne m'appeler. Je finis par m'en rendre compte lorsqu'un grand jeune homme blond aux yeux chocolat passe son bras sur mes épaules.
"(t/p)-chan~ ! Tu m'as tellement manqué ! C'était plus pareil sans l'une de nos meilleurs managers !
- Toi aussi tu m'as manqué Kise-kun."
On finit par entrer tous les deux dans le bâtiment. Le revoir m'a donné un peu de courage. On part s'installer dans les gradins, vers le haut. Tous mes réflexes de manager me reviennent d'un coup. J'analyse tous les membres de chaque équipe et marmonne mes réflexions, ce qui fait beaucoup rire Kise-kun. Je me tais et boude un peu dans mon coin jusqu'à ce que le match commence. Je regarde le début. Toô mène mais de peu. Je comprends ce que disait Momoi-chan quand elle disait qu'ils étaient forts. Seirin hein... J'irai saluer Kuroko-kun à la fin du match.
Je ne dis que très peu de mots durant le match totalement absorbée par celui-ci. Mon regard se pose sur Aomine. On dirait que quelque chose le contrarie. L'As de Seirin entame un duel avec Aomine. J'ai beau essayer, mon regard ne veut pas quitter mon voisin. Le point est marqué pour Seirin. Il semble énervé, puis la seconde d'après, je ne lis plus rien dans son regard, comme si il avait décidé d'abandonner. Non, je dois rêver. Aomine n'abandonnerai jamais un match. Le match reprend et il joue de moins en moins bien. Le coach de Toô demande un temps mort qui lui est accordé. Je suis en train de stresser pour lui, à ma place dans les gradins. Je regrette tellement de ne pas être manager, juste pour le pousser à gagner. Je tape nerveusement du pied dans les gradins, me retenant de descendre de ces derniers pour aller lui faire se bouger le cul. L'arbitre siffle la fin du temps mort et les joueurs commencent à retourner sur le terrain. Le cinq majeur de Toô avance vers le parquet, dos à moi. Prise d'une pulsion, je me lève d'un coup et me mets à crier sur Aomine.
"Aller Aomine ! Tu ne comptes pas perdre contre Kuroko-kun quand même ?!"
Lorsqu'il entend ma voix il se retourne brusquement et je crois voir une larme sur son visage (ou est-ce de la sueur, je ne vois pas très bien d'aussi loin). Je le vois me chercher du regard. Lorsqu'il me voit, il essuie son visage et lève un pouce en l'air, un sourire en coin sur son faciès. En le voyant comme ça, j'ai l'impression de revoir le Aomine que je connaissais. Je ne peux m'empêcher de sourire pour lui répondre. Je m'assois et lui rejoint ses coéquipiers. Kise-kun ne manque pas cette occasion pour me taquiner tout le reste du match. Mon regard fixe sur le parquet, je suis Aomine des yeux. En une seule pause, il a repris du poil de la bête. Tellement qu'il est même rentré dans la zone ! J'y crois pas ! Seulement quelques joueurs pros on réussit et lui, un lycéen, y arrive sans problème ! En même temps, il fait partie de la génération miracle... Ce qui me rappelle encore une fois que je suis faible face à lui.
Le match se termine par une défaite de Toô. Alors Aomine a enfin trouvé quelqu'un de plus fort que lui... J'espère qu'il va enfin pouvoir redevenir comme avant. Je sors du gymnase toujours accompagnée de Kise-kun, qui me raconte comment Kagami (l'As de Seirin) l'a battu durant un match amical. Il est étonnamment joyeux alors qu'il parle de sa défaite, mais bon, c'est Kise-kun. On finit par se dire au revoir et cette fois c'est Momoi-chan qui me rejoint. On parle pendant une dizaine de minute toujours devant le gymnase avant qu'elle ne reçoive un message et ne parte précipitamment. Je me retrouve seule devant ce gymnase. Je me retourne et m'apprête à partir lorsqu'une voix que je n'avais pas entendue depuis 3 ans m'interpelle.
"(T/PPPPPPP) !!!
- Aomine..."
J'ai murmuré son prénom en me retournant vers lui. Il était en train de courir vers moi, totalement débraillé, signe qu'il s'est dépêché pour venir me voir. Je lui souris légèrement lorsqu'il arrive à mon niveau, complètement essoufflé. Je lui laisse le temps de reprendre son souffle avant d'entamer la discussion.
"Ça faisait longtemps Aomine... Que me veux-tu ?
- Je suis venu te demander pourquoi tu es venue ?"
En entendant ces mots, mon cœur se serra. J'avais raison, il ne veut pas qu'un boulet comme moi vienne le voir. Je tourne les talons et commence à partir.
"C'est bon. J'ai compris. Je n'aurais pas dut venir.
- Non attend ! Reste ! Je ne voulais pas dire ça !"
Il me retient par le poignet mais je refuse toujours de me retourner et de le regarder en face. Je n'ai pas envie qu'il remarque toute la tristesse qui siège dans mon regard. Cependant, je m'arrête de marcher.
"Ce que je voulais dire par-là, c'est... En fait... Je ne comprends pas pourquoi tu es venue après tout ce que je t'ai dit."
Je décide de rester dans le silence, refusant de lui parler. Mais pour montrer que je l'écoute, je me retourne et il me lâche le poignet. Je croise les bras contre ma poitrine et le regarde dans les yeux, cette fois sans une pointe de tristesse dedans, juste une grande colère en me rappelant de ses insultes envers moi. Je le vois baisser la tête, certainement incapable de soutenir mon regard accusateur.
"Je vois... Tu ne veux plus me parler... Alors dans ce cas écoute-moi !"
Il relève brusquement la tête. Son regard est emplit de détermination. Je le laisse parler, en le scrutant du regard.
"Je vais tout t'expliquer. Le jour de notre dispute, j'étais déjà énervé à cause du match qu'on a eu dans la journée. Et puis tu sais, avec la révélation que je m'étais faite la semaine d'avant, je n'étais pas très apte au dialogue. Le soir même, tu n'arrêtais pas d'essayer de me faire changer d'avis sur le fait que je sois le plus fort. Alors ma patience a atteint ses limites et j'ai explosé. Malheureusement, ma colère s'est déversé sur toi."
Une vague de tristesse me submerge en me souvenant de ce fameux soir, chez lui. Aomine reprend son discours après une courte pause.
" Lorsque je t'ai vu partir en pleur, je me suis rendu compte de ma bêtise et j'ai voulu aller m'excuser. Sauf que mes parents ne voulaient pas que je sorte, vu l'heure tardive. Alors j'ai décidé de m'excuser le lendemain. Sauf que tu m'évitais. D'un côté je te comprenais, tu ne voulais plus me voir après que je t'ai insulté, mais d'un autre je te détestais de ne me laisser aucune chance de m'excuser. Tu as quitté le club de basket quelques jours après et nous avions fini notre année scolaire sans se parler. Tu n'as pas voulu me voir non plus pendant les vacances et je me sentais de plus en plus coupable de t'avoir blessée à ce point, toi qui ne voulait que m'aider. A la rentrée, apprendre que tu n'étais pas dans ma classe a fini de me détruire et je suis devenu cette personne sans sentiments autre que de la colère. Et cette colère était envers moi. Chaque jour je te voyais rire avec tes amies et je regrettais de t'avoir perdu. Je me renfermais encore plus au point de perdre tous mes amis. La seule qui est restée avec moi était Momoi. C'était d'ailleurs grâce à elle que j'avais encore des nouvelles de toi. "
Alors je n'étais pas la seule à ressentir ce manque ? Je me sens coupable de l'avoir fui pendant toutes ses années. Je décroise les bras et les laisse retomber le long de mon corps. Mon regard s'attendrit et un léger sourire prend place sur mon visage. Aomine à les larmes aux yeux mais continue tout de même son histoire.
"A notre entrée au lycée, j'étais étonné de te voir dans le même que moi. Et j'ai repris espoir. De faux espoir vu que nous n'étions pas dans la même classe et que tu ne voulais toujours pas me reparler. Même lorsque mes parents t'invitaient, toi et ta famille, à dîner, tu trouvais un moyen de ne pas venir. Et lorsque c'était tes parents qui nous invitaient, tu restais à table, parlant avec mes parents et faisant comme si je n'existais pas. Dès qu'on rentrait à la maison je montais directement dans ma chambre pour pleurer des larmes de rage envers ma connerie qui m'a valu de te perdre. Tu n'imagines même pas ma joie lorsque je t'ai vu aujourd'hui dans les gradins, lorsque tu m'as encouragé. J'étais tellement heureux ! J'en ai même versé une larme ! Alors s'il te plait, redevenons amis. Je n'en peux plus de cette situation, je te veux de nouveau auprès de moi. Je suis désolé de tout ce que j'ai pu te dire qui t'as blessé, je suis désolé d'avoir été con, je suis désolé de ne pas t'avoir laissé m'aider. Mais je t'en supplie, ne m'ignore plus. Je ne pourrais plus le supporter."
Tout au long de son discours des larmes coulent le long de ses joues. Je m'avance un peu vers lui et pose délicatement ma main sur sa joue pour essuyer ses larmes. Il rouvre les yeux brusquement et je lui souris pour le rassurer. J'en profite pour caresser sa joue et il frotte de lui-même sa joue contre ma main ce qui me fait légèrement rire. Après avoir entendu tout ce qu'il avait à me dire, je décide de prendre mon courage à deux mains et de tout lui avouer.
"Tu sais Aomine, si je t'ai évité pendant tout ce temps, c'est parce que j'étais amoureuse de toi."
Je le vois écarquiller les yeux et ouvrir la bouche pour parler mais je ne lui laisse pas le temps d'en placer une que je recommence à parler.
"Le fait que j'étais amoureuse de toi m'as fait encore plus souffrir lorsque tu m'as dit que je ne te servais à rien. Alors j'ai préféré fuir comme une lâche pour ne pas souffrir plus. Même lorsque tu venais vers moi pour t'excuser, je faisais comme si je ne t'avais pas vu et je partais voir quelqu'un d'autre. Pendant tout ce temps je faisais semblant d'être heureuse, semblant que j'arrivais à supporter ton manque. Alors qu'en vrai j'étais complètement brisée. Mais quoi que je faisais, je n'arrivais pas à effacer mes sentiments pour toi.
- Et maintenant... (t/p)... Tu es toujours amoureuse de moi ?"
Je me mords la lèvre et j'hésite. Est-ce que je lui avoue ou pas ? Bon je suis lancée, autant aller jusqu'au bout. J'hoche la tête positivement. Je ne vais pas lui mentir et tant pis si je gâche ma seule chance de redevenir comme avant.
Avant même que je n'ai le temps de fuir, honteuse de ma révélation, Aomine me saute dessus et s'empare de mes lèvres. D'abord surprise, j'écarquille les yeux avant de répondre à son baiser. Je place une main sur sa nuque et l'autre sur son torse. Lui me tient fermement par la taille et je sens une de ses main remonter dans mon dos. Un frisson me parcours pendant que nos lèvres se mouvent en parfaite harmonie. A bout de souffle, je romps le baiser. Mes joues prennent une teinte rougeâtre. Je regarde Aomine qui lui a un grand sourire sur le visage.
"Je pensais vraiment pas que mes sentiments étaient réciproques. Je t'aime aussi (t/p) (t/n) et c'est pour ça que j'aimerais que tu deviennes ma petite amie.
- J'accepte avec joie Aomine Daiki."
Et nous nous embrassons une seconde fois, sous les regards amusés de quatre personnes cachées derrière un buisson : une jeune fille aux cheveux roses, un grand blond, un garçon aux cheveux bleus et un autre aux cheveux rouges qui ne comprend pas vraiment ce qu'il fait là.
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Alors c'était la première OS d'une longue liste (enfin j'espère, n'hésitez pas à commander). J'espère qu'elle vous aura plus et je retourne écrire la suivante.
Kiss ❤💋
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