Chapitre spécial Noël
Dans le contexte suivant : dans un monde alternatif à mon histoire, où Maiko et Katsuki seraient en couple depuis 3 ans. L'ancienne classe de la 1A a actuellement 22 ans. Ca sera un peu niais et mignon, mais c'est pas grave. C'est cool de temps en temps. Et puis, c'est Noël, j'ai le droit mdrr
Faudrait que j'arrête de chercher des images après avoir écrit un truc. Je mets 524 heures à trouver quelque chose qui corresponde ptdr. ( Il est BG sinon, on est d'accord ? :))
— Katsuki ! Bouge toi, on va être en retard chez tes parents ! cria Maiko depuis le petit hall d'entrée de leur appartement. Ils le partageaient depuis bientôt deux ans. Il se situait non loin de leur agence — agence qu'ils avaient créée un an après avoir reçu leur diplôme de Yuei.
— Ouais j'arrive ! Si j'mets pas cette satanée cravate que ma vieille m'a offert à mon anniversaire, elle va me faire chier toute la soirée ! répondit le jeune homme depuis leur chambre.
La jeune femme attendait toujours, regardant sa montre une énième fois. Ils devaient aller dîner chez la famille Bakugo, et ses parents le rejoignaient là-bas. Au bout de trois longues minutes, Katsuki sortit finalement de la salle de bain, vêtu d'une élégante chemise noire et d'un jean droit sombre. Maiko lui tendit sa veste avec un sourire légèrement moqueur.
— Quoi ? grogna le blond en voyant le regard de sa compagne.
— C'est bien la première fois que je te vois passer autant de temps à te préparer, dit Maiko. Elle attrapa son sac à main et son trousseau de clef avant d'ouvrir la porte. Passe devant, je vais fermer.
— C'est ça, moque toi espèce de poiscaille.
Katsuki disparut dans le couloir extérieur, un bouquet de fleur en main. Il laissa la jeune femme derrière lui et descendit jusqu'au parking souterrain pour trouver sa voiture. Il ouvrit le coffre pour déposer le bouquet fleuri à côté du sac rempli de cadeaux pour leurs parents. Maiko l'avait traîné dans plusieurs centres commerciaux pour trouver quelque chose pour tout le monde.
La jeune femme le rejoignit, une courte veste sur les épaules. Sa robe rose lui arrivait au dessus des genoux, et mettait en valeur ses longues jambes. Katsuki laissa glisser son regard sur elles un instant avec de croiser les prunelles rosâtre de Maiko. Il monta dans la voiture et mit le contact dès qu'ils furent prêt à partir.
— Je te préviens, si tu insultes quelqu'un pendant le trajet, je te fais manger ta cravate.
— La ferme... marmonna Katsuki en commençant à rouler.
Le trajet fut rapide, et malgré les quelques chauffeurs lents qu'ils rencontrèrent, le blond réussit à garder sa bouche fermée. Mais Maiko avait vu ses mains cramponnées au volant, ce qui l'avait fait sourire.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent devant la maison où Katsuki avait passé la plupart de sa vie. Quelques décorations de noël illuminaient les briques de la maison au toit vert.
— J'ai hâte que cette foutue soirée se termine, grommela Katsuki en prenant les affaires dans le coffre. Maiko attrapa le bouquet de fleur et passa son bras sous celui du blond.
— Aller souris. C'est juste une soirée.
— Soirée avec nos vieux. J'ai juste envie de me casser d'ici.
Les deux jeunes adultes soupirèrent un coup avant d'aller sonner à la porte. Katsuki n'attendit pas d'avoir une réponse et il rentra en claquant la porte contre le mur intérieur.
— On est là !
— Espèce d'idiot ! Si tu pétes la porte, je te casse la figure ! mugit la voix si reconnaissable de Mitsuki.
— On est là depuis trois secondes et demi, et tu t'engueules déjà avec ta mère... Tu bats les records.
Mitsuki arriva de la cuisine en essuyant ses mains dans le tablier qu'elle portait autour de la taille.
— Maiko ma chérie, comment vas-tu ? demanda la mère Bakugo en s'approchant du couple. Elle lui prit sa veste, ignorant totalement son fils qui la regardait, complètement blasé par son attitude.
— Je vais bien et toi ? sourit Maiko. Katsuki t'a acheté ce bouquet pour Noël au fait. Tiens !
— Cet imbécile de descendant m'a choisi des fleurs ? se mit à rire Mitsuki. Pas la peine de me mentir ma chérie, la seule chose qu'il sait faire, c'est hurler et frapper. Je me demande bien comment tu fais pour le supporter !
— Demande à Papa, il doit bien te supporter depuis qu'il te connaît !
Maiko resta silencieuse devant l'échange explosif de la mère et de son fils. Elle ne savait si s'incruster dans la conversation était une bonne idée, alors elle s'éclipsa doucement vers la cuisine pour trouver un vase adéquat à ces fleurs.
— Je me disais bien que vous étiez arrivés, fit une voix derrière elle.
La jeune femme se tourna pour faire face à son beau-père. Masaru portait un étrange pull rouge, et il n'avait absolument pas l'air à l'aise avec. Maiko salua le père Bakugo.
— Oui, on peut dire que notre entrée était... fracassante, ricana Maiko. Est ce que vous sauriez où je peux trouver un vase ?
Masaru invita la jeune femme à le suivre, et ils discutèrent pendant quelques minutes, essayant de passer outre les cris des deux autres Bakugo. Soudain, on sonna à la porte. Maiko se lava rapidement les mains et partit dans l'entrée, où Mitsuki venait d'ouvrir la porte à ses parents. Avec un sourire, elle s'avança vers eux et les prit longuement dans ses bras.
Son travail à l'agence lui prenait beaucoup de temps, et aller voir ses parents était difficile entre deux missions.
— Pourquoi j'ai pas le droit à un câlin de mon fils moi ? se plaignit Mitsuki. Regarde comment cette jeune femme est filiale !
— Il est sûrement trop timide pour montrer ses sentiments, gloussa Hana en cachant ses lèvres derrière sa main.
Maiko sourit en voyant sa mère aussi joyeuse.
— Bon, puisque ce sale gosse ne sait pas être un fils attentionné, il va venir m'aider en cuisine ! Aller, viens là toi !
Mistuki attrapa Katsuki par le col, et le traîna jusque dans la cuisine. Le blond lança un regard suppliant à Maiko, mais la jeune femme ne fit qu'hausser les épaules, un sourire désolé sur le visage. Elle ne voulait pas risquer d'énerver Mitsuki.
— Bon, nous pouvons déjà aller nous installer, fit Masaru en montrant le chemin à la famille Buto.
Maiko suivit ses parents. Elle vit qu'ils se tenaient la main, et ça lui fit chaud au coeur.
Une table de six avait été savamment dressée, et la décoration était magnifique. Hana et Kenji s'assirent côte à côte, et Maiko prit place face à sa mère. Masaru leur servit d'un verre, et posa sa veste à la gauche de Kenji.
— Je vais aller voir où ils en sont, dit Maiko en se levant. Elle était presque certaine que ses parents allaient commencer à parler de Katsuki et elle, et elle ne voulait absolument pas entendre ça. Alors elle fuit vers la cuisine, où un étrange silence avait prit place.
Appuyée contre le chambranle de la porte, Maiko regardait la mère et son fils aux fourneaux. Ils agissaient sans se parler, dans la plus grande harmonie. Malgré leurs nombreuses disputes, les voir cuisiner ensemble avait quelque chose d'apaisant.
— Je peux vous aider ? demanda-t-elle d'une petite voix.
— Tant que tu touches ni au four, ni aux couteaux...
Mitsuki donna un coup de pied à l'arrière des cuisses de son fils. Katsuki faillit se casser la figure, et se retint au plan de travail.
— Sois poli espèce de voyou !
— Mitsuki ! Ne lui cris pas dessus, il a raison ! Je ne suis pas douée en cuisine, dit Maiko. Enfin, je ne suis pas aussi douée que lui, alors il n'aime pas m'avoir dans ses pattes quand il est en pleine création culinaire.
— Ah... C'est pas une raison pour te parler avec ce ton condescendant !
— Certes. Alors, je peux faire quelque chose ?
— Et bien, tu peux emmener les premières assiettes, pour tes parents. On finit ici dans deux minutes et on vous rejoint, expliqua Mitsuki avec un sourire bienveillant.
Maiko attrapa donc les deux assiettes qui venait de lui montrer Mitsuki, et retourna dans la salle à manger pour servir ses parents. Elle se rassit à sa place, et quelques instants plus tard, les deux Bakugo blond arrivèrent avec les deux autres plats. Katsuki déposa ses assiettes devant Maiko et lui même, et prit place à son tour.
Le repas se déroula tranquillement, même si Maiko et Katsuki avaient parfois envie de fuir les questions indiscrètes de leurs parents.
— Et c'est pour quand le bébé ? demanda Hana à la fin du repas.
Maiko avala de travers sa boisson alors que Katsuki se tendait sur sa chaise.
— Maman ! Tu peux pas arrêter avec tes questions ? On a pas le temps pour un gamin en plus, s'expliqua Maiko en cherchant l'aide de son copain avec un regard rempli de sous-entendu.
— Euh, ouais, on a pas le temps, dit Katsuki d'une voix presque robotique, comme s'il ne savait plus comment réagir. Maiko soupira devant sa réaction étrange.
— Bon, et si on ouvrait les cadeaux maintenant ? s'exclama-t-elle pour changer de sujet.
Mitsuki et Hana échangèrent un regard complice, que Maiko intercepta. Ça sentait mauvais. Katsuki avait peut-être eu raison de vouloir faire demi tour sur le traiter aller. La jeune femme se leva pour aller chercher le sac contenant les présents pour leurs parents. Elle en donna deux au garçon, et garda les trois autres.
— Alors, voici pour toi Mitsuki. On a eu du mal à choisir mais on y est finalement parvenu, sourit Maiko en lui tendant une petite boîte.
La femme à la chevelure blonde prit doucement le cadeau, et après une seconde d'observation, elle arracha le papier cadeau. Maiko retint un rire en se rappelant la façon qu'avait Katsuki d'ouvrir ses cadeaux d'anniversaire. Elle savait maintenant d'où ça venait.
— Oh, ma chérie, c'est magnifique ! s'écria Mitsuki. Elle montra l'intérieur de l'emballage. Sur un coussin de velour bleu nuit se trouvait un bracelet finement taillé et recouvert d'une particule d'or. Des motifs ressemblant à de minuscules explosions étaient dessinés sur un pendant.
— Cette fois, c'est vraiment Katsuki qui l'a choisi, sourit Maiko.
— Je m'en doute. Des explosions partout, ça ne pouvait être que lui, rit Mitsuki.
— Ouais bon, j'ai déjà fait un effort alors me prenez pas la tête, grogna le blond.
— Je sais, merci mon petit chéri d'amour, se moqua Mitsuki en envoyant des baisers à son fils.
— La ferme la vieille !
Maiko pouffa en croisant le regard de sa mère. Hana souriait, et se leva à son tour.
— Je reviens, on vous a trouvé un cadeau aussi, expliqua-t-elle en voyant le haussement de sourcil de sa fille. Hana partit prendre enveloppe dans son sac et elle la tendit à sa fille. C'est pour vous deux.
— Merci Maman !
— Merci Madame Buto, remercia Katsuki.
— Je t'ai déjà dit de m'appeler Hana. Bon ouvre la !
Maiko ne se fit pas prier, et déchira le côté du papier. Elle en sortit deux tickets et se tourna vers Katsuki, le sourire aux lèvres.
— C'est quand nos prochains congés ensemble ?
— J'en sais rien moi. Montre moi ça, fit le blond en prenant les billets d'avions des mains de Maiko.
— On a déjà appelé celui qui gère vos emplois du temps, vous partez pendant les vacances de février, sourit Kenji.
— Maman, Papa, c'est génial, vraiment merci !
— Ça vient pas seulement de nous. Mitsuki et Masaru ont aussi participé, répondit Hana avec un grand sourire.
Maiko remercia également ses beaux-parents, et la fin du repas se finit dans la joie et la bonne humeur. La jeune fille avait offert des ornements pour les cheveux pour sa mère, et des places de concert pour son père pour un de ses groupes préférés. Elle voulait que ses parents passent un bon moment, comme lorsqu'ils avaient encore vingt ans. Après le dessert, Katsuki s'excusa brièvement auprès des autres et emmena Maiko dans son ancienne chambre. Main dans la main, ils montèrent les escaliers sous le regard réjoui des adultes.
Katsuki ouvrit la porte de sa chambre, et fit passer la jeune femme devant lui. Maiko rentra dans la pièce, et reste debout en plein milieu, se contentant d'observer les murs et les meubles autour d'elle. Ce n'était pas la première fois qu'elle venait, mais ça faisait longtemps qu'ils n'étaient venus ici ensemble. La chambre d'adolescent de Katsuki lui rappelait quelques bons souvenirs. Les moments où ils regardaient des films, allongés ensemble sur le lit, ou encore les longues nuits à discuter — sans que le blond n'haussa la voix.
— Assieds-toi.
Maiko s'exécuta et se laissa tomber sur le matelas légèrement rebondi. Elle avait enlevé ses chaussures avant de monter les escaliers, alors elle s'allongea sur le lit en prenant toute la place. Son sourire malicieux narguait Katsuki, mais ce dernier ne semblait pas vraiment y faire attention. Doucement, il enleva sa veste et tout à coup, il se jeta sur le lit, les bras écartés.
La jeune femme poussa un cri de surprise et se roula en boule pour éviter de se faire écraser. Katsuki atterrit sur le matelas, faisant rebondir Maiko. Ils éclatèrent de rire lorsque leurs regards se croisèrent.
— Alors, pourquoi on est là ? demanda Maiko en s'allongeant, la tête appuyée sur sa main.
— Pour ton cadeau. Je voulais pas que les vieux le voient. Ils sont assez chiants comme ça, je vais pas leur faire le plaisir de leur donner une raison de me saouler.
Maiko rit devant le visage dégouté de son copain. Elle était la seule qui avait le droit de le voir dans presque n'importe quel état. Couché sur le dos, le garçon regardait le plafond, les bras croisés sous la tête. Maiko continuait de leur regarder, un sourire aux lèvres.
— Quoi ?
— J'ai pas le droit de te regarder ?
— Si mais pourquoi tu le fais ?
— J'ai envie de te regarder, c'est tout.
Katsuki soupira avant de s'asseoir sur le lit. Il attrapa sa veste, et en sortie une boite de la poche intérieure. Maiko se releva à son tour, et s'agenouilla devant le blond. Sans faire plus de cérémonie, il lui donna l'écrin. La jeune femme saisit l'objet avec douceur. Elle défit lentement le ruban rouge autour du paquet, alors que Katsuki commençait déjà à s'impatienter.
— Bon, tu te dépêches oui ?
— C'est bien trop drôle de te voir stresser, plaisanta Maiko.
— Je vais te tuer si tu accélères pas, répondit Katsuki en la fusillant du regard. Maiko lui envoya un baiser volant, toujours moqueuse, avant de se reconcentrer sur son cadeau. Elle retira le papier cadeau noir, et souleva le couvercle.
— Wouah, c'est... splendide. Je savais pas que tu étais capable d'aller faire des courses de Noël sans qu'on t'y traîne, rit Maiko en observant le bijou. Tu peux me le mettre ?
— Je vais essayer de ne pas mal le prendre, grommela Katsuki en attrapant le collier. Tourne toi.
Maiko se mit face au mur et souleva ses longs cheveux bleus le temps que Katsuki lui mette le collier. Elle frissonna lorsque le bijou, froid, toucha sa peau, mais les doigts chauds du blond effacèrent toute trace de chair-de-poule. Elle se retourna vers Katsuki, le sourire aux lèvres.
— Alors ? Il me va bien ?
— Bah ouais. Je l'aurai pas pris sinon.
Maiko pouffa devant l'assurance excessive du blond. Elle se leva pour regarder dans le petit miroir posé sur l'ancien bureau de Katsuki. Au creux de son coup reposé un pendentif, de la forme d'une goutte d'eau. Le contour de la larme était en argent, et l'intérieur, rempli de plusieurs petits saphirs, brillait de milles feux. Elle effleura le bijou de la pulpe du doigt. Soudain, deux bras puissants passèrent autour de sa taille, et Katsuki glissa son menton dans le cou de Maiko.
— Il te plaît ?
— Il est parfait. Merci Katsuki.
Maiko tourna légèrement la tête et déposa un baiser sur la joue du blond. Ils restèrent ainsi quelques instants, avant de retourner s'asseoir l'un en face de l'autre sur le lit. Au passage, Maiko avait attrapé le cadeau qu'elle avait préparé pour Katsuki. Elle le lui donna en souriant. Il y découvrit une montre dernier cri, et la jeune femme lui tendit une enveloppe de la taille d'une feuille A4.
— Oui, cette année, tu as le droit à une double surprise, gloussa Maiko à la vue du regard dubitatif que venait de lui jeter Katsuki.
— Et en quel honneur ?
— Simple envie. Aller, ouvre !
Katsuki obéit, et il arracha la moitié de l'enveloppe pour voir ce qu'il y avait à l'intérieur.
— Alors comme ça, tu nous emmènes en randonnée au Mont Kita ? T'es sûre que tu vas réussir à suivre ? fit Katsuki d'un ton compétiteur.
— Et comment ! Au pire, je finirais sur ton dos, rit Maiko. Et j'ai aussi réservé un chalet pour un Week-end entier. Alors, content ?
Katsuki fit mine de réfléchir pendant quelques secondes, et Maiko croisa les bras sous sa poitrine, et s'allongea dos au blond. Il attrapa son épaule pour la tourner vers lui, mais la jeune femme résista, allant même jusqu'à cacher son visage faussement boudeur sous l'oreille de Katsuki. La seule façon de la faire bouger vint à l'esprit du garçon, et il fit craquer ses doigts avant de se mettre à chatouiller Maiko. Cette dernière poussa un cri avant de se lever, les poings devant elle.
— Refais ça encore une fois et je te casse les doigts ! cria Maiko.
— Comme si tu en étais capable, se moqua Katsuki avec un regard narquois. Tout à coup, il faucha les jambes de la jeune femme, et elle s'écroula lourdement sur lui. Un craquement se fit entendre, et ils se regardèrent, surpris par le bruit.
— On vient de péter une latte à cause de toi, marmonna Maiko. Idiot.
— Joyeux Noël à toi aussi, miss Poisson-volant.
Katsuki l'enlaça et Maiko sourit.
— Crétin.
Bouuuh, ça dégouline de mignonnerie, tous aux abris ! mdrr
C'est la première fois que j'écris une partie aussi longue sur ce livre :')
Bon, j'espère que ce petit OS dans un univers alternatif vous aura plus. Je sais, j'aurais dû écrire quelque chose avec tout le monde ( Kana, Eiko, et compagnie ) mais je préfère garder ça pour la suite, parce que ça pourrait spoiler le futur. :)
Bref. Je vous souhaite un Joyeux Noël, de ma part de celles de Maiko, Kana ( toujours absente à l'heure où on parle ), Eiko et Hide, ainsi que le reste de la classe 2A !
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