25~
Une semaine plus tard || 10h15 || Empire Kô
Cela faisait déjà une semaine qu'Hakuryuu et Kogyoku étaient partis. Et un certain Magi noir en profitai au maximum.
Allongé dans son lit avec une princesses endormie sur son torse, Judal la regarda tout en plus caressant les cheveux Shaïmy. Un geste doux, quelques chose qu'il ne pouvait connaître et pourtant...
Il se trouvait horriblement... attendrit ?
C'est derniers jours, le grand prêtre n'avait jamais passé autant de temps avec quelqu'un.
Shaïmy par conte elle battait de record...
A croire qu'elle s'entraînait...
Il lâcha un simple soupire, peut-être que Yura avait raison finalement, l'amour l'a transformé, il était devenu attentionné et même parfois maladroit.
Mais il restait le Judal que nous connaissons tous.
Malheureusement, comme tout le monde, on sait que l'amour à ses bon côté et...ses mauvais.
Récemment, en ville, le Magi noir avait aperçu Shaïmy discuter joyeusement avec deux jeune hommes, les jeune fille qui passaient par là lancèrent de terrible regard à la pauvre princesses qui ne voyait rien.
Judal faillit en buter une.
Par contre les deux gars ne semblaient pas vouloir lui faire du mal, ils sympathisaient, pourtant, Judal avait déjà des envies de meurtres.
Il ne voyait pas l'inconvénient de les tuer, ce n'était pas la premier fois qu'il éliminait certaine personne. Cependant, quand il vit le grand sourire affiché sur le visage de la violette, Judal fut attendrit et finit par s'abstenir.
Je t'aime vraiment trop enfaite
Il l'observa dormir se disant que finalement ce qu'il voulait c'était seulement le bonheur de Shaïmy, il se promit donc, qu'après que toute cette histoire se soit finit, ils partiraient, oui, loin assez loin pour plus voir Sinbad ni Kouen ni cette folle de Gyokuen, assez loin pour.... Vivre une vie de famille ?
Il rougit et secoua la tête. Une vie de famille ? Avoir des enfants ? Hors de question, ça court partout ! Enfin c'était ce qu'il se disait avant d'avoir Shaïmy à ses côtés. Aujourd'hui, il se posait quelques question, et finissait toujours par là même conclusion : pourquoi pas...
Il avait changer, mais ça lui allait très bien ainsi.
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