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2. Attraction




Je vous conseille vivement d'écouter la chanson d'avril lavigne "Give you what you like" au moment de la danse pour comprendre l'intensité de la scène.

https://youtu.be/-rF-_4vwiMs

IMAGINEZ LA TENUE DE KALI AVEC PLUS DE FORMES AU NIVEAU DES HANCHES et UN PEU plus au niveau de la poitrine.

Bonne lecture :D

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/Attraction : 1. Action ou fait d'attirer, de s'attirer. 2. Propriété que possèdent les corps matériels de s'attirer mutuellement/




Deux ans de vie commune, et c'était ça que je récoltais ? Qu'avais-je fait de mal pour mériter une telle peine ?

J'errais dans les rues de la ville qui m'avait vue naitre. Je jetais un coup d'œil à l'intérieur de mon sac et découvrais sans surprise, que j'avais laissé mon portefeuille dans cette satanée maison. Je n'allais pas y retourner, pas avant que ces deux rats ne fichent le camp.

Je mis mes écouteurs et les branchaient fébrilement dans mon téléphone. J'augmentais le son et me laissait aller à la musique. Je n'écoutais pas les paroles, j'en étais incapable. Je savais que chaque parole allait se ficher droit dans mon cœur, que j'allais m'effondrer en sanglots en pleine rue si je faisais attention aux mots.

Une main m'arrêta sur mon chemin. Je regardais autour de moi, et en conclu que je ne savais absolument où j'étais. L'homme qui m'avait arrêté était un jeune, dans la vingtaine, les cheveux longs et les yeux noisette. Il avait un charme de guitariste dans un groupe de rock, et le piercing qu'il portait à l'oreille droite ne faisait que renforcer son allure. Il me sourit gentiment, comme s'il avait à faire à un chaton en détresse :

- Vous allez bien ? Demanda-t-il d'une voix séductrice. Ça me passait par-dessus la tête, mais à un point ! Certes, il était plutôt mignon, mais je n'avais tout simplement pas la tête à ça. Il n'était pas ce que je voulais.

Une image furtive de Matt passa devant mes yeux.

A vrai dire, je ne savais pas ce que je voulais. Mais ce n'était pas lui.

- Oui. Dis-je en réajustant la lanière de mon sac sur mon épaule. Je jetais un coup d'œil à ma tenue : Une robe rouge classique qui s'arrêtait quelques centimètres avant mes genoux et qui moulait parfaitement la forme prononcée de mes hanches et mettait en valeurs ma poitrine beaucoup moins prononcée.

Je voulais me faire jolie pour l'anniversaire de notre rencontre, à Matt et à moi. Je ne regrettais pas mon achat, seulement la raison de mon achat. Matt était une pourriture qui n'en valait pas la peine.

- Je m'appelle Paul. Vous avez l'air d'avoir besoin d'un verre. Vous joindriez-vous à moi ? Demanda-t-il en souriant, toujours. Quel charmeur celui-là...encore un qui croit pouvoir séduire tout ce qui bouge.

Je contemplais l'offre quelques secondes. Et décidais que je n'étais pas contre un verre...où dix.

- Vous invitez ? Demandais-je en le regardant dans les yeux. Je sentis son excitation quand à ma réponse. Ses yeux s'illuminèrent comme ceux d'un enfant.

- Tout pour une belle demoiselle. Dit-il d'un ton vaguement amusé.

Au moins, je l'amuse. S'il me tape trop sur les nerfs, je peux toujours rentrer. Je le suivis sans un mot dans un club à quelques mètres de là, il essaya de me faire la conversation mais j'y coupais court : Je n'étais vraiment pas d'humeur pour ce bavardage.

Nous entrons dans le club et déjà, je sentis que quelque chose n'allait pas. Ce n'était pas la musique, où encore le décor, mais les personnes qui étaient. Dés mon entrée, je sentis une multitude de regards en ma direction et décidai de les ignorer. J'avais assez de soucis comme ça, je n'avais pas besoin de me sentir observée en plus.

Au bar, Paul dit au Barman que je toutes mes boissons étaient sur à son compte. Grossière erreur parce que j'allais me souler comme s'il n'y aurait pas de lendemain. Jour où je regretterais amèrement mon excès.

Je commandais un cocktail simple qui relaxa mes muscles lorsque je l'eu fini. Je commandai un Martini sous le regard insistant de Paul. Il s'assit sur le tabouret prés de moi.

- Je ne peux pas m'empêcher mais...Qu'est-ce qu'une fille comme toi fait ici ? Demanda-t-il nerveusement.

Il m'avait tutoyé. Il avait le droit d'être nerveux, je n'aimais pas qu'on brave mon intimité.

Je finis mon deuxième verre en une gorgée et me tournais vers Paul qui ne m'avait pas lâché du regard.

- Je me suis perdue. C'est une longue histoire. Résumais-je avant de demander au Barman un autre verre. Il fit mieux que ça, il posa une bouteille entière d'alcool ainsi qu'un petit verre et me lança un clin d'œil avant de servir un autre client.

Le club n'était pas plein à craquer. Mais il était loin d'être vide non-plus. Une douzaine de personnes étaient en train de danser et une cinquantaines, des hommes généralement, étaient assis sur les fauteuils en forme de U qui semblaient être l'emblème de ce club. A l'étage, je pouvais apercevoir une poignée d'hommes qui discutaient dynamiquement entre eux. Ce club n'était pas comme ceux que je connaissais. Définitivement pas.

Je haussai les épaules.

- Tu veux danser ? M'interrogea Paul. Bordel, ce qu'il était insistant ce gars !

Je lui jetais un coup d'œil. Et pointait discrètement une brune à l'autre bout du bar.

- Je ne suis pas intéressée, Paul. Mais elle, si. Fis-je en le regardant. Il se tourna lentement en direction de la brune et il lança un petit sifflement qui voulait dire « Bordel, le canon ». Je comprenais ce qu'il voulait dire. La femme avait tout pour plaire, les cheveux longs, une poitrine carrément généreuse et des lèvres pulpeuses. Que veut le peuple ?

Elle le couvait du regard et finit par lui adresser un petit signe de la main. Paul n'attendit pas d'autre invitation, il se leva et se dirigea vers elle d'un pas déterminé.

Il m'avait totalement oubliée. Dieu merci, je ne savais pas si je pouvais supporter ses avances et sa curiosité déplacée plus longtemps.

Je finis mon verre et m'en servis un autre. Je n'étais pas encore saoul, mais j'étais en bon chemin, La musique changea, je posais bruyamment mon verre sur le comptoir. Cette chanson...

C'était l'une de mes préférées, celle sur laquelle je ne pouvais m'empêcher de danser.

Je pris quelques secondes pour prendre le tempo et marchait tranquillement vers la piste de dance, lorsque mes yeux rencontrèrent les siens.

Je n'oublierais jamais ce moment, comme si le temps était suspendu.

Mon regard croisa celui de l'homme le plus beau qu'il m'eut été de voir.

 Dans la pénombre qui régnait dans la pièce, je ne pouvais distinguer ses traits, mais son regard me disait tout. Il me fixait, affamé, curieux, dangereux.

Mes jambes, mues par une vie propre, se dirigèrent vers lui. Il observa mes mouvements, tel un faucon, son regard embrassait mon être, me donnait chaud, me donnait envie d'être impulsive.

Lorsque je fus à deux pas de lui, mon souffle se bloqua dans ma gorge, mon cœur cessa presque de battre dans ma poitrine et mes pupilles, sans doute dilatées, fixaient cet homme avec émerveillement.


Son visage à la mâchoire puissante était source de fascination à mes yeux. Ses iris verts parcouraient mon corps et le fantôme d'un sourire naquit sur son visage. Une cicatrice traversait son visage, et je ne pouvais m'empêcher de trouver cela beau. Rien ne pouvait le ruiner à mes yeux.


Son large cou laissait place à un torse puissant, à des bras dont la flexion me fit presque rougir. Il portait une chemise noire à col V, et plus de bouton ouverts que ne l'autoriserait la loi.

Je lui tendis ma main.

Je l'invitai à danser.

Durant quelques instants, j'eu la distincte impression que toutes les discussions s'étaient arrêtées et que tous les membres nous regardaient. Je vis son regard s'attarder sur mon corps avant qu'il ne se lève. Je jetai un coup d'œil autour de moi, et tous ceux qui nous observaient firent comme s'ils étaient occupés à autre choses.

L'étranger pris ma main dans la sienne et m'entraina à l'endroit où je voulais être.

La voix d'Avril Lavigne résonnait dans mes oreilles.

Je pris mon temps, laissant le rythme lent prendre possession de mon corps. Mes hanches bougeaient lentement, mes jambes légèrement écartées, mes mains dans mes cheveux où sur mon cou.

J'étais en feu.

J'étais le feu.

Dans un mouvement d'une audace qui n'étais pas mienne, je posais les mains de l'étranger sur mes hanches et dansait. Je ne savais pas ce qui m'avait pris. Je savais seulement que cet homme n'était pas le genre à avoir besoin d'encouragements. Nos corps n'étaient plus deux entités distinctes, son corps emprisonnait le miens d'une manière scandaleusement excitante. Ma poitrine s'était écrasée contre lui et je ressentais pleinement l'effet qu'il avait sur moi :

J'étais en nage. Fiévreuse, je n'arrivais même plus à penser correctement.

Ses mains remontèrent l'ourlet de ma robe, vers mes cuisses qu'il caressa avec une lenteur douloureuse. Jamais je n'avais ressenti pareille attirance pour un homme, jamais la présence de quiconque ne m'a fait pareil effet. J'en voulais plus, je sentais son excitation en bonne et due forme contre moi. Son regard assombri ne me quittait pas. Je voulais m'y plonger, y rester, ne plus en sortir.

La chanson se termina. Trop vite à mon goût. Nous restâmes quelques secondes de plus sur place. Comme si aucun de nous n'avait envie de se retirer. Ni lui ni moi ne pouvions nier l'attraction qui nous liait.

- Comment t'appelles-tu ? Me demanda-t-il dans l'oreille d'une voix rauque. Il prit soin de la mordiller doucement et je ne pus retenir un gémissement :

-Qualidad, soufflais-je incontrôlablement.

Il fit un 'Hmmm' vague avant de me relâcher.

- Nous nous reverrons bientôt, Qualidad. Déclara-t-il de sa voix de baryton teintée d'un accent italien élégant. Sa langue caressa toutes les lettres de mon prénom d'une manière presque provocante.

Il me laissa à ma place et s'en alla vers les sièges où il était assis plutôt. Il adressa quelques mots à un homme à côté de lui qui hocha la tête. L'homme se dirigea vers moi :

- Monsieur Giovanni m'a demandé de vous conduire chez vous, si vous le souhaitez. Dit l'homme avec un sourire. Il devait avoir la cinquantaine.

Je hochai la tête et lui rendit un sourire de gratitude.

Lorsque j'arrivais chez moi. L'appartement était vide. Mon ex-petit ami avait pris soin de ranger ses affaires et de déguerpir comme je l'avais souhaité. J'enlevais mes talons, me dirigeait vers le salon. Je me laissais tomber sur le fauteuil. Je ne pouvais pas dormir dans la chambre, pas quand j'avais vu ce qui s'y était passé. Je fermais les yeux et le laissais emporter dans un monde de rêve, hanté par un regard vert emeraude brûlant.

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Deuxième chapitre pour vous ! L'histoire est amorcée ;)

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XOXO

Drina

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