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Chapitre 17 - Œil pour œil, dent pour dent

WARNING: VIOLENCE GORE, VENGEANCE

19h

Guillaume était arrivé à l'entrepôt. Ses hommes étaient déjà là et Simon aussi. Il vit qu'ils étaient en train de tabasser un homme avec un sac sur le visage et les mains attachés dans son dos.

« ARRÊTEZ PUTAIN ! VOUS ÊTES QUI ?! »

Guillaume ressenti une profonde satisfaction en entendant ses cris.

« Ok, les gars. Je suis là. Laissez-le-moi maintenant. » - lâcha-t-il d'un ton méprisant.

Simon se retourna vers Guillaume et lui jeta un regard interrogateur. Il ne savait toujours pas pourquoi il leur avait demandé de capturer cet individu. Cependant, Guillaume ne préta pas attention à Simon. Ses yeux restaient fixés sur l'homme.

« Vincent Moreau. C'est bien ça, hein ? » - demanda Guillaume en se rapprochant de lui.

L'homme ne répondit pas.

« OH ! J'TE PARLE ! » - il lui donna un coup de pied dans le ventre.

« AAAH ! OUI ! OUI ! C'EST MOI VINCENT...C'EST MOI...PUTAIN QU'EST-CE QUE VOUS ME VOULEZ ?! »

« Ce n'est pas ce qu'on veut, c'est ce que MOI je veux. Je vais juste venger quelqu'un de très précieux à mes yeux... »

Les yeux de Simon s'écarquillèrent. Il commençait à comprendre à qui cette affaire était liée.

« Putain de merde... » - commença-t-il – « ...tu fais ça pour... »

« Laissez-moi seul avec lui. Cette fois-ci c'est une affaire personnelle. »

« Oui, patron ! » - ses hommes sortirent à l'exception de Simon.

« Toi aussi, Simon. Sors d'ici. »

« Pas avant que tu me dises ce qu'il a fait ! »

« C'EST UN VIOLEUR, PUTAIN ! » - brailla-t-il en foutant un autre coup de pied dans son visage.

« ...bordel...Guillaume...tu...depuis quand tu t'occupes de ces gens...? »

« Je t'ai déjà dit ce que tu voulais savoir. Maintenant sors. J'ai du pain sur la planche comme tu peux voir. »

Simon secoua la tête mais il obéit.

Guillaume était maintenant seul avec Vincent. Il avait emmené avec lui une mallette contenant des objets tranchants, perçants, corrosifs, entre autres. Des objets de torture.

L'homme ligoté haleta au sol, derrière Guillaume. Il essaya de ramper dans n'importe quelle direction. Il s'en foutait si il ne voyait rien, il voulait se barrer d'ici.

« Tu t'en vas déjà, Vincent ? On n'a même pas commencé...Aller, reste encore un peu. »

Guillaume avait choisi son premier outil pour initier la séance qu'il avait réserver a celui qui avait fait souffrir le martyr à son amant. Il s'approcha de lui avec des pas bruyants qui faisaient résonnance dans l'entrepôt et qui démontraient la rage qui sommeillait en lui.

« Dis-moi, Vincent. Est-ce que tu crois au karma ? » - demanda-t-il d'un ton menaçant en l'attrapant par les cheveux sous la cagoule.

« Qu...quoi ? » - bégaya-t-il

« Parce que moi, oui. Et je compte te prouver que j'ai raison... »

Toujours en empoignant ses cheveux, il le traîna jusqu'au centre de la pièce et le balança au sol, laissant échapper un gémissement de sa bouche. Il retira le sac qui recouvrait son visage. C'était bien lui. C'était cette face qu'il avait vu sur la photo du dossier. Ses yeux fronçaient plus que jamais et il grinça des dents avant de le cogner.

« AH ! PUTAIN ! Tu...tu m'as cassé le nez... »

« Oh...je m'excuse...ça te rappelle des souvenirs ? » - demanda-t-il faussement inquiet.

« Mais de quoi tu me parles, putain ! T'es qui ?! »

« Oh ! Ça ne te rappelle rien ? » - il le cogna encore au visage – « Cette gratuité ? » - et encore – « Cette violence ? » - et encore – « CETTE HAINE ?! » - coup de pied – « ÇA NE TE FAIT PAS PENSER A QUELQU'UN ?! HEIN ?! »

Vincent cracha du sang et des larmes semblaient s'échapper de ses yeux.

« T'es fou ?! Je ne sais même pas qui tu es ! »

« Non. Moi, tu ne m'as jamais vu. Mais ce soir, je suis ton pire cauchemar...et la dernière chose que tu verras avant de tomber en enfer... »

La panique avait monté d'un cran et il tenta de s'éloigner de Guillaume en rampant a nouveau...futilement. Cela fît son rire l'assaillant.

« Tu es pathétique. Même pas une once d'honneur en toi...je comprends mieux pourquoi ça été si facile de t'en prendre a plus faible que toi... »

Cette dernière réflexion fît tilter quelque chose dans la tête de Vincent.

« ...Aurélien... ? »

« Ah ! Tu vois comme tu t'en souviens ! » - un autre coup de pied atterrit contre son ventre – « Lui aussi s'en souvient...crois-moi...il m'a tout dit... »

« ...Et tu crois à tout ce qu'il t'a dit ?! Cette salope cherche constamment de l'atten...AAAH ! » - Guillaume coupa sa parole en lui donnant un coup de pied de biche qu'il avait ramené.

« Je t'interdit de le traiter de ce nom ! Je t'interdis de mentionner son nom tout court ! »

« ...eh eh...laisse-moi deviner...c'est lui qui t'a payé pour me faire ça ? Qu'est-ce qu'il t'a promis si tu me trouvais, hein ?! Écoute ! Je t'offre le triple de ce qu'il t'as proposé si tu me laisses partir ! »

« Il ne m'a pas envoyé...personne ne m'a envoyé. C'est moi qui ai ordonné ta capture. Vois-tu, j'ai de très bons contacts quand il s'agit de trouver quelqu'un...Ça fait 5 ans que t'es recherché pas la police, et mes gars t'ont trouvé en moins de 24h. Alors ne nous sous-estime pas... »

« Putain mais...mais bordel ! Qu'est-ce que tu vas me faire ?! »

« Je vais faire ce qui aurait dû être faire depuis longtemps... » - il prit une perceuse sur la table où il avait posé sa mallette – « ...mais je vais commencer par m'assurer que tu ne t'enfuis pas... »

Guillaume l'attrapa par son pied et le tira vers lui. Il avait actionné la perceuse ce qui fît crier Vincent de peur.

« FERME TA PUTAIN DE GUEULE ! » - il enfonça le foret dans sa rotule. Les cris de Vincent s'intensifiaient, il pouvait sentir la friction de la pointe contre l'os, il força la perceuse dans son articulation jusqu'à ce qu'elle le transperce.

Vincent était en sanglots et l'agonie était pure.

« Attends...ne t'emballe pas déjà...il manque encore l'autre jambe... » - c'étaitla première fois que Guillaume prenait du plaisir a torturé quelqu'un.Normalement il n'en retirait rien du tout, a part des infos de temps en temps.Et s'il comptait tuer quelqu'un, il faisait en sorte que ce soit rapide. Mais ce soir non. Ce soir, c'était vraiment pour faire souffrir sa victime. La faire regretter d'exister. L'entendre implorer. La faire saigner. Il était dans un état qui ne le ressemblait pas. Il souriait à pleines dents en entendent ses gémissements d'agonie.

Il était complètement sadique.

Il avait percé son autre rotule, rendant ses jambes inutiles.

« Voilà. Maintenant, je n'aurais pas à te courir après. »

« MAIS T'ES UN MALADE PUTAIN ! »

« Et encore, t'as rien vu... »

Guillaume se releva et prit un couteau papillon dans sa mallette – « Je compte faire durer ce moment, tu vas bien déguster... »

*30 minutes plus tard*

Vincent était complètement défiguré : Guillaume lui avait mutilé le visage avec son couteau. Il l'avait redessiné avec des traits rouges qui s'ouvraient de plus en plus à chaque fois qu'il criait. Les tissus de son visage ne tenaient plus. Il lui avait charcuté la joue gauche et son front, le laissant presque méconnaissable. Il lui avait coupé la langue avec la même arme laissant le sang couler à flots de sa bouche.

« Aller, encore un petit effort, elle est presque décollée... » - il lui coupait l'oreille droite avec sa lame. Les cris faisaient éco dans tout l'entrepôt. C'était sûr que Simon et les autres l'entendaient depuis l'extérieur...

« Et voilà... » - déclara-t-il calmement en tenant l'oreille dans sa main – « ...si tu voyais la gueule que t'as...Tu sais quoi ? Je pense que c'est ma plus belle œuvre d'art... »

Vincent ne répondit pas. Il semblait perdre connaissance dû a la perte de sang.

« Bon, je mérite une petite pause, tu ne crois pas ? » - il prit une gorgée de sa bière – « EH ! Ne t'endors pas ! Je n'ai pas encore fini ! »

« ...j't'en p*ie...a*ête...pitié... »

« Oh de la pitié ?! TU AS EU DE LA PITIÉ POUR CELUI QUI ÉTAIT A TA PLACE IL Y A 5 ANS ?! NON ! ALORS NE PENSE PAS QUE JE VAIS AVOIR NE SERAIT-CE QU'UNE ONCE DE PITIÉ ENVERS TOI OU DES REMORDS ! »

Il prit une autre gorgée et s'assit pour admirer son « chef-œuvre » quelques minutes avant de repasser à l'acte. Il regarda la bouteille dans sa main et une idée lui monta à la tête.

« Tu sais...quand je t'ai dit qu'Aurélien m'a tout raconté, c'est vraiment TOUT. Tous les détails. J'avais l'impression de vivre la scène avec lui. Si tu savais la haine j'ai ressenti... J'avais envie de retourner 5 ans en arrière et être là pour lui. J'aurais donné tout ce que je possède contre une machine à remonter le temps rien que pour le sauver de tes envies immondes... » - il prit une autre gorgée avant de se lever et de revenir au prêt de Vincent – « ...mais je ne peux pas faire ça. Alors je pense que je vais me contenter de ce que je dispose pour faire justice. MA justice. » - il brisa la bouteille sur le sol gardant le tesson dans sa main – « Ça te rappelle quelque chose, ça ? »

Les yeux de Vincent s'écarquillèrent. Il savait où il voulait en venir.

« Œil pour œil, dent pour dent. Voilà ma justice. » - il saisit son épaule et le retourna contre le sol – « De l'épaule gauche...jusqu'à la hanche droite...c'est bien ça hein ? »

Un cri glaçant envahit la pièce au contact du verre brisé dans sa derme.

« Alors ?! » - le tesson glissa vers le bas de son dos en diagonal – « QUEL EFFET ÇA FAIT ?! QUEL EFFET ÇA FAIT D'ÊTRE TRAITÉ COMME UN MOINS DE RIEN ?! HEIN ?! » - il était maintenant au centre de son dos et maintint le tesson planté dans sa peau, contre sa colonne vertébrale – « ALORS ?! T'AIME ÇA ?! ÇA TE PLAIT ?! » - il continua de lui déchirer la peau avec l'objet jusqu'à sa hanche droite.

Vincent ne ressemblait plus qu'à un bout de viande. A un gros porc abattu de la pire façon possible. Des goutes de sang recouvraient le visage de Guillaume. Il avait l'expression d'un vrai meurtrier. Il n'avait pas perdu son sourire depuis le début de la torture...

« Bien...je crois que je n'ai plus rien à rajouter... »

D'un coup, il tira sa tête en arrière en le tirant par les cheveux et en plaçant le tesson contre sa gorge. Il arrivait à sentir la respiration saccadée du violeur.

« On se revoit en enfer. » - furent les derniers mots que Vincent entendit avant que le tesson ne lui tranche la gorge.

Guillaume le vit se vider de son sang jusqu'à ce que son corps de soit complètement inanimé.

Il admira une dernière fois le résultat final et se dirigea vers la sortie de l'entrepôt.

Simon et ses hommes le virent passer par la porte du bâtiment.

« Guillaume ! » - il courra vers lui et remarqua le sang qui recouvrait son visage – « Tu vas bien... ? »

« Oui. Ce n'est pas mon sang. »

« ...tu l'as tué ? »

« Oui. J'avais dit que c'était pour finir le travail, ce soir. LES GARS ! Je veux que vous déposiez sa dépouille dans un endroit suffisamment visible, mais pas trop fréquenté. » - ordonna-t-il en allumant une cigarette.

« Mais patron, vous ne voulez pas qu'on brule le corps, plutôt ? »

« Non. Je veux que son corps soit trouvé. Je veux qu'on parle de lui aux infos. Je veux qu'on apprenne que ce fumier est mort. »

« ...patron, sans vouloir vous contredire... »

« ÉXÉCUTION ! »

« ...bien, monsieur. »

Les hommes s'occupèrent du corps en l'enfermant dans un sac mortuaire.

Simon se rapprocha de l'homme qu'il considérait comme son frère – « Guillaume ? »

« Quoi ? »

« A ce rythme-là, tu vas finir par tous nous condamner. Ils n'arrêteront jamais les recherches ! Sérieusement ! Mieux vaut bruler le corps ! Sinon on va avoir des emmerdes ! »

« Simon...je ne te remercierais jamais assez pour ta préoccupation. Mais malheureusement, pour l'instant, je ne ferais qu'à ma tête. Même si c'est risqué, je suis prêt à tout perdre si ce n'est que pour le voir en paix. »

« ...c'est encore à cause d'Aurélien, c'est ça ? »

« ...à ton avis ? »

« Putain, Guillaume... »

« Commence pas, Simon. Tu sais très bien ce que je ressens pour lui. Je te l'ai dit l'autre fois. »

« OUI JE SAIS GUILLAUME ! MAIS LÀ JE TE DEMANDE SEULEMENT DE M'ÉCOUTER POUR UNE FOIS ! »

Guillaume tira une latte sans le regarder.

« Guillaume...pitié, ce n'est pas que pour ton bien que je te dis ça. C'est aussi pour celui d'Aurélien, merde »

En l'entendant prononcer le nom de son protégé, il tourna son attention vers Simon.

« Comment ça ? »

« Tu sais que je veux aussi que tu sois heureux, Guillaume. Et si le bonheur d'Aurélien est le tien, je veux faire en sorte que vous allez bien tous les deux et que rien ne vous arrive...mais pour ça, il faut que tu te calme, putain ! S'ils trouvent le corps, ils lanceront des recherches, d'autres organisations seront au courant et suspecteront qu'il s'agisse un acte causé par autre Mafia et ils nous traqueront jusqu'à la mort et quand ils nous trouveront, ils te trouveront ! Ils vont connaitre tes faiblesses et les utiliseront contre toi ! Ils...ils utiliseront Aurélien contre toi...et tu sais que c'est possible...tu sais que j'ai raison...alors s'il te plait...arrête ton délire de justicier au nom de l'amour ou je ne sais quoi pour ne pas risquer tout ça ! Si tu ne le fais pas pour moi, fait le pour Aurélien ! »

Guillaume resta figé. Simon avait raison. Il fallait faire en sorte que le corps ne soit pas trouvé. Même si ça éliminerait la preuve qu'Aurélien n'aurait plus rien à craindre de Vincent, il préférait lui garantir une vraie sécurité que de le condamné à un destin plus tragique.

Il balança sa cigarette et déclara simplement – « D'accord. Tu as raison, Simon. Excuse-moi. Je...je me suis emporté. J'avais cette rage au fond de moi et j'avais besoin de l'extérioriser... »

« Eh ! Je ne dis pas que tu n'aurais pas dû torturer ce gars. Il le méritait. Mais, je veux juste que les preuves soient effacées. Les gens comme nous doivent rester dans l'ombre... »

« Oui...LES GARS ! Changement de plan, brulez-moi ce tas de merde. Emmenez-le loin d'ici et cramez-le. »

« OUI, PATRON ! » - ils balancèrent le corps dans le coffre et s'en allèrent avec la voiture.

« Guillaume ? »

« Oui ? »

« Merci de m'avoir écouté. »

« Pas de problème. Heureusement que t'es là, frangin. »

Simon lui présenta un sourire rempli d'empathie et lui tapota l'épaule.

« Bon...je m'en vais, moi. Je pense que je n'ai pas besoin de te demander où tu vas demain... »

Guillaume ricana – « Non, eh eh...t'es toujours aussi perspicace. »

« Eh eh...amuses-toi bien avec ton copain. »

« Merci pour tout, Simon. »

« C'est à ça que servent les frères. »

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