À l'aide !
(Irononiji : ⚠️Ce chapitre est vraiment très hard !!!!! Âme sensible s'abstenir !⚠️)
PDV Moon
<< Très bien, alors on va prendre le hentaïs ! >> annonça Kazuo, avec un sourire pervers.
<< NONNNNNNNNN !!!!! >> hurlai-je.
<< Attend... >>
Il me repris par le menton et regarda ma poitrine.
<< Eh bien, tu as pris des formes ! >>
Il allait la toucher mais je criai, tout en gesticulant.
<< Bas les pattes !!!!! >>
<< Bon... Reizo ! Donnes-moi l'Octillery ! >>
Je me figeai à l'entente de ce nom... Un Octillery est Pokémon ressemblant à un poulpe. Si on prend en compte qu'il est relativement lent, j'aurais une chance de m'échapper ! Mais comment ? Reizo arriva avec une Pokéball. Celle-ci s'ouvrit et le Pokémon Jet se dressa devant moi. Kazuo prit la parole.
<< Tu vois se Pokémon ? Il a été entraîné pour faire des hentaïs si tu vois se que je veux dire ! Il est attiré par les jolies filles comme toi ! >>
Mon cœur battait de plus en plus vite. J'avais peur... Très peur... Je n'avais qu'une jupe et une chemise. En parlant de ça, Kazuo déboutonna les trois boutons du haut de ma chemise. L'Octillery qui regardait la pièce, tourna brusquement la tête vers moi. Il me sauta dessus et je ne sais pas comment mais il réussit à déchirer mon haut. J'étais maintenant en sous-vêtements devant de parfaits inconnus et un "poulpe" fan de hentaïs (Irononiji : Pas Koro, hein ! 😂) à 2h du matin. Où était Red ?
Mon sang se glaça quand je sentis les ventouses coller à ma peau. L'Octillery enroula ses tentacules autour de moi. Les larmes me montaient aux yeux. Une espèce de substances gluantes transparentes émanaient de ses pors. Le liquide collait sur ma peau ce qui me fis frémir.
Il passa lentement ses tentacules dans mon sous-vêtements. Je me mis à hurler. Tellement que je n'avais plus de voix. Mes larmes coulèrent à flots. Ce Pokémon de pacotille me peloter. Du jamais vu ! Comme-ci cet Octillery avait une conscience.
Quand il se décolla enfin de moi, il regagna le parquet mais avant que je ne dise "ouf", il s'agrippa à ma jambe. Toujours avec la substance bizarre, on aurait dis qu'il me massait. Il s'avançait de mon entre-jambe. J'étais vraiment tétanisée, horrifiée, terrorisée.
<< J'y pense ! Kazuo ne m'as pas attaché les jambes ! >> pensai-je.
Malgré ma peur, je réussi à me débarrasser du poulpe, me levai et cassais le scotch. Kazuo et Reizo essayèrent de me neutraliser mais ils avaient oubliés quelques choses ! Grâce à mes entraînements avec le ministère de La Défense pour mon réelle travail, je maîtrisais parfaitement la self-défense. En deux en trois mouvements, j'arrivais à maîtriser mes agresseurs. Je pris la Pokéball de l'Octillery et l'enfermai dedans.
Kazuo se leva malgré les blessures que je lui avais infligé et sortit un revolver.
Mon corps s'arrêta un instant. Il était près à appuyer sur la détente. Le Brun tira mais je déviai la balle ce qui le choqua. Je lui donnai un gros coups de poing dans le ventre. Tout en tombant, il recracha du sang.
J'étais face à un choix. Soit je les relâche dans la nature mais continuerons de faire du mal, soit je les livre à la police mais on risque de m'apercevoir ou soit j'en fini.
La dernière solution me parut la meilleure. Ce n'était pas la première fois que j'allais faire ce genre de chose. C'est vrai, avec un tel travail.
Je pris le revolver de Kazuo et tira dans la tête des deux agresseurs.
Maintenant qu'ils étaient morts, ils fallait en faire quelque chose. Je les poussai de la cabane : ceux-là tombèrent de l'arbre et s'écrasèrent sur le sol. Je descendis rejoindre leurs cadavres et demandai à mon Tritosor d'utiliser Tunnel pour creuser un trou. (J'avais récupéré mes Pokémons quand j'étais aller voir Gladio et Yūki.)
Je mis les morts dedans et rebouchai la fosse.
Je remontai dans la cabane et nettoyai tous le sang qui avaient collé de leurs blessures.
Pile au moment où j'avais fini, Red rentra.
<< Salut, Moon ! >>
Je ne répondis pas. J'avais perdu tout envi de parler. Il me regarda de haut en bas et devint rouge cramoisi. On pouvait dire que Red portait bien son prénom. Il commença à saigner du nez. Je sentis un léger courant d'air et j'eu froid. Mon sang ne fit qu'un tour. J'avais oublié de remettre un teeshirt...
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