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Segment 8 : La sécurité absurde ?


Après avoir suivit mes nouveaux camarades, qui suivait notre professeur principal, nous arrivions donc dans notre fameuse salle de classe, qui se trouvait au fond du couloir du 3ème étage, à coté de la salle "3-2". Je trouvais ces panneaux qui indiquaient les salles rassurant...

En y posant le pied, je le regardais curieusement. C'était une classe simple, avec un tableau noir à droite de l'entrée, face aux pupitres individuel fait de bois et de pieds en fer à gauche. Je fus étonnée de voir deux grande portes glissantes. Une près du tableau, et l'autre au fond de la classe, près d'un pupitre.

D'ailleurs, notre professeur indiqua sur le coup en restant à l'entrée de la pièce :

"Je vous laisse choisir vos place. Mais attention, elles seront définitives jusqu'à que je décide de vous faire changer de place."

Je remarquais des élèves qui prenaient place. Ils étaient en groupe, et d'autre discutaient juste. Je ne savais vraiment pas où aller, et plus les secondes passaient, moins il y avait de place disponible.

J'avais tellement peur d'être celle qui n'avait pas de pupitre, que je pris une rapide décision. J'étais tenté par un pupitre à coté des fenêtres qui montraient le terrain de sport, mais je me disais que comme le soleil n'était pas bon pour ma peau, même si les fenêtres étaient fermés, ce n'était pas une bonne idée.

Je me précipitais alors vers une place du dernier rang, juste devant les portes arrière de la classe. J'étais au fond, au bord et le plus loin des fenêtres.

Je posais mon sac au pied de mon pupitre, m'installant en voyant les autres faire. Notre professeur fit glisser la porte pour la fermer avant de s'approcher au centre du tableau, ce qui fit miraculeusement taire les élèves qui chuchotaient. Certains regardaient autours d'eux, alors que le reste avaient les yeux sur l'homme à l'allure très mature.

"Bien. Bonjour à tous. Je suis votre professeur principal, Mr Dai Kagome. Certains d'entre vous me connaissent déjà, et Osuge-sama m'a déjà présenté à la réunion de ce matin. J'espère que nous allons passer une agréable année ensemble..."

Alors qu'il parlait, je regardais mon nouvel enseignant de haut en bas. Je lui donnais à peine 40 ans. Il avait les cheveux noir, les yeux marrons, une légère barbe et une tenue plutôt décontracté contrairement aux autres adultes que j'avais vue. Il parlait d'une voix ferme, mais sa posture ne correspondait pas à sa voix.

A mon avis, c'était le type de professeur sympathique mais autoritaire.

Celui-ci ajouta donc, de manière plus calme :

"Alors... Nous allons commencer le cours. Quand ce sera l'heure de la Pause déjeuner, je vous parlerais des tâches de nettoyage quotidienne."

En l'entendant parler de "nettoyage", je me rappelais de l'alerte que m'avait donné Kinshige et Diana, ainsi que les mots dessus sur le règlement intérieur de l'école. J'étais donc au courant que le soir, quand nous terminions les cours à 15h30, nous avions environ 30 minutes de nettoyage de classe, des couloirs ou encore des toilettes. Je trouvais ça intéressant que ce soit les élèves qui nettoient...

J'espérais juste ne pas avoir les corvées de chiottes pour le premier jour.

Après cet explication précoce et l'appel pour vérifier si nous sommes tous là, mon tout premier cours dans cette école commença. C'était un cours de mathématique, j'en grimaçais... D'habitude, j'avais de bonne note avec mes cours par correspondance... Mais les mathématiques n'étaient pas mon point fort.

Mais... La leçon de Mr Kagome était prenante, je le reconnais. Il essaya de faire participer les élèves, même ceux qui ne levaient pas la main. Mais heureusement, je n'étais pas dans le lot.

Quand il eu la sonnerie qui mettait fin au cours, j'en sursautais silencieusement. Mr Kagome, qui était tourné vers le tableau avec une craie blanche dans sa main droite, leva la tête et se retourna, posant au passage la craie sur son bureau qui était à gauche du tableau.

"Avant de vous libérer, je voulais vous parler des tâches. Car il y a quelques changements depuis l'année dernière."

A ses mots, je remarquais les regards perplexe de mes camarades qui se regardaient entre eux. Un garçon du premier rang leva sa main, et demanda de sa voix clair :

"Sensei, est-ce que ça un rapport avec les caméras de surveillance qu'il y a dans les couloirs ?"

L'homme croisa des bras en calant son derrière contre le bord de son bureau en hochant de la tête et répondant :

"C'est exact. Etant donné qu'il y a eu des problèmes, les caméras ont été ajoutés. Aussi, concernant les nettoyages, tout le matériel a été déplacé dans une nouvelle salle qui ce trouve au rez-de-chaussée. Et non seulement il y a une caméra dedans, mais il y a un nouveau système d'emprunt..."

-Comment ça, Sensei ? demanda une fille qui était près de la fenêtre.

-Hé bien, à chaque fois que vous prenez un balais, un sceau ou encore des produits, vous devez le signaler dans un ordinateur présent dans la pièce. Cet ordinateur enregistrera votre nom avec une puce implanté dans votre carte d'étudiant, afin de voir ce que vous prenez. Vous avez par contre maximum une heure pour remettre le matériel que vous avez prit en place. Sinon, vous comprendrez qu'une sanction sévère sera admis.

Je me grattais la joue, étonnée. Je savais que les caméras étaient du fait que Billy avait... Enfin, vous savez...

Mais de là à prendre une sanction si on ne ramenait pas à temps un balais ou un sceau... Je trouvais ça ridicule. Ce n'était pas comme si on allait le voler pour le ramener chez soi.

A moins qu'ils ont peur qu'on vole un produit pour brûler les yeux d'un camarade avec...

Bref, d'un signe de main Mr Kagome nous autorisa à sortir. Je me levais de ma chaise avant de m'accroupir juste après pour sortir mon déjeuner de mon sac, entendant la foule sortir non-silencieusement. Je pris également de l'argent, pour m'acheter une bouteille d'eau dans un des distributeurs que j'ai vue plus tôt, et mon portable. Je fermais bien mon sac à la suite...

Mais la présence soudaine que je ressentais près de moi, au point de voir des pieds s'arrêter à un petit mètre de ma position, me fit lever la tête en entendant la voix qui accompagnait cette présence parler :

"C'est toi, Olivia Jones ?"

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