Ce passage contient des scènes à caractère sexuel,mais pas trop détaillées,ne vous inquiétez pas. Mais je vous avertis au cas où. Bonne lecture
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- Chris mange tes spaghettis.

- Je les aime avec du jambon,des fromages,beaucoup de ketchup,comme ça là c'est pas bon.

- Écoute ptit Junior,je ne suis pas un pro de la cuisine,t'as vu,on est que deux gars dans cette maison.

- Pourquoi Tata Larissa est partie,appelle la,elle cuisine mieux que toi!

- Ça je sais petit bonhomme,mais Tata Larissa ne va plus revenir,elle est partie à jamais,tu peux pas comprendre,mais c'est comme ça quand on fait les mauvais choix. Maintenant mange tes spaghettis et arrête de me bouder,après on va jouer au PS4. Mais avant faut finir ton assiette,et nettoyer ta chambre.

- Coooool,je vais te mettre une raclé.

- On va voir ça!!

Parfois j'ai l'impression que ce gosse n'a pas 4 ans,tellement il est éveillé!! J'entendis frapper à la barrière de devant.

- Tonton j'ai fini.

- C'est bien,maintenant file arranger ta chambre je vais ouvrir.

Je me dirigeai vers la barrière et l'ouvris. J'étais content de la voir,mais j'aurais aimé qu'elle ne vienne pas pour me faire une crise.

- Flor... Ça va?

- Bonjour Voltaire,je ne sais pas pourquoi tu as fermé ton portable durant toute la semaine,ni pourquoi je ne t'ai pas vu,pas même une seule fois. Je ne sais pas si je te dérange de me ramener de si tôt chez toi,mais je ne pouvais plus supporter cette distance,ce silence et ces mépris.

Sa voix était hésitante et à la fois triste.

- Flor...

- Tiens...

En me tendant une boîte emballée dans un papier cadeau.

- C'est quoi?

- Ouvre la

J'enlevai les emballages et c'était une boîte de chocolat avec différentes saveurs.

- Merci Flor... Tu veux rentrer?

Depuis que Larissa m'avait tout dit,quelque chose en moi avait changé,j'étais brisé,suffisamment pour avoir évité celle à qui je m'étais attaché ces derniers mois. La semaine était passée ainsi,j'avais fermé mon portable,voulant être seul qu'avec Chris,je me suis levé tôt pour emmener le petit à la garderie,et ensuite partir au travail,et le soir je rentrais plus tard,après mon travail,je passe le récupérer pour ensuite manger un bout dans un fast food et rentrer. C'était comme ça. Toute cette histoire avait pris ma tête et finalement,j'avais négligé Flor. Je m'attendais à ce qu'elle me fasse une crise,voilà comment j'avais imaginé notre prochaine rencontre,je n'imaginais même pas qu'elle allait se ramener chez moi,venir me voir,avec une boîte de chocolat toute gentille.

J'ai l'impression qu'elle a grandi,physiquement,comme elle est gentille aujourd'hui peut être mentalement aussi. Elle a pris du poids,on dirait que ses fesses ont grossi,surtout avec cet ensemble qu'elle portait,qui lui arrivait à mi cuisse et laissait trop voir ses formes.

- Assieds toi. Tu veux boire quelque chose?

- Offre moi quelque chose de sucrée avec un peu d'alcool

- Du crémas? Ça te va?

- Oui merci!

J'avais mis cette bouteille magique sur la petite table au milieu du salon et lui avait offert son verre de crémas. J'étais assis à ses côtés,et un dessin animé diffusait à la télé,après tout il était tôt à peine 10h du matin.

- Ça a été ta semaine de classe?

- Peut être mieux si je savais pourquoi tu m'évites.

- Je ne t'évite pas Flor. Je suis désolé ma chérie,en ce moment tout se passe un peu de travers dans ma vie. J'aurais aimé te dire ce qui se passe vraiment,mais je ne me sens pas encore prêt à te parler de tout ça.

- Prends ton temps,mais j'ai eu mal durant toute la semaine,je voulais te voir après le renvoi,mais je ne souhaitais pas qu'un autre élève me voir sortir ou rentrer de chez toi.

- Je comprends ma chérie.

- Tu m'as vraiment manquée,et crois moi je me suis faite plein d'idées stupides.

- Je suis vraiment désolé ma petite femme.

Je m'approchai d'elle,et je me rendis compte combien elle m'avait manqué aussi. Son odeur,sa peau,ses yeux que j'adorais tant. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassai. Le goût de ses lèvres m'avaient manqué. Je la soulevai et la fit asseoir sur moi,de façon à ce qu'on soit face à face,en passant ses deux pieds de part et d'autre des miens. Je posai une main sur ses fesses et je lui caressai le dos avec l'autre. L'une de ses mains était autour de ma nuque et l'autre me caressait la tête. Ce baiser était bourré de sentiments. Certes,Larissa était maintenant sortie de ma vie il ne me restait plus qu'à divorcer pour être totalement libéré,mais aussi j'avais peur qu'un jour,cette vérité vient tout briser entre Flor et moi,ou qu'elle me trouve finalement trop vieux et décide de partir avec un gars de sa génération. J'avais peur de mes sentiments pour elle,peur de tout. Mais aussi j'étais content,content qu'elle soit dans ma vie,content qu'elle soit là à cet instant,mettant en pause certaines idées. Je l'avais dans mes bras et je pouvais profiter de cet instant de caresse.

Elle se détacha de moi,le souffle un peu court. Ses yeux dans les miens. Elle était nue,pas parce qu'elle était sans habits,mais parce que dans son regard je pouvais voir ses envies,ses déboires et sa vie. Je la voyais nue. Nue contre moi. Nue contre ma peau.
Je détachai son ensemble qui était boutonné dans son son dos,et lui enlevai la manche de celui ci,qui tomba sur ses bras. Elle portait un soutien gorge noir à dentelle et à travers ce dernier je pouvais voir ses tétons. Je regardai le couloir entre ses seins que j'avais envie d'emprunter pour parcourir ses nouveaux horizons. Je l'embrassai au cou,je la soulevai et elle passa ses jambes autour de ma taille,elle me prit le visage et m'embrassa.

Je voulais avoir plus d'intimité,sachant que Chris est dans les parages,je l'emmenai dans la chambre qui se trouvait au fond. Je la posai sur le lit et caressai son visage avec mon pouce.

- Toi aussi tu m'as beaucoup manqué ma chérie. Ton odeur m'avait manqué.

Je la reniflais sous ses aisselles,ce qui la chatouilla et la fit éclater dans un rire dément. Elle reprit son sérieux et me regarda.

- Voltaire...

- Oui ma femme

☆☆☆

- Je t'aime

Mon coeur battait la chamade de lui avoir enfin dit. De lui avoir dit que je l'aimais,la dernière fois que ce mot était sorti de ma bouche,deux jours plus tard,j'étais abandonnée,rejetée pour une autre,comme l'a fait Bryan. À cette époque je n'avais pas encore compris beaucoup de choses,je n'avais pas non plus vécu beaucoup de choses,mais aujourd'hui je le lui avais dit,après avoir mûrement réfléchi,après avoir vraiment cru que c'est ce que je voulais,que c'est lui que je voulais,que je voulais vivre quelque chose de nouveau,de neuf,de hard avec cet homme. Si seulement,il pouvait être en moi et savoir comment je l'ai guetté toute la semaine,et il m'a fallu que ça pour voir comment je m'étais attachée à lui,comment ne pas le voir avant de commencer ma journée pouvait gâcher celle ci,comment ne pas l'avoir au tel ou par sms,pouvait me "décontrôler",me mettre hors de moi et ne penser qu'à lui constamment.

Ses yeux étaient accrochés aux miens,sa bouche près de la mienne,il me regarda et n'avait rien répondu. Je sentis sa main remontée sur ma jambe et venir se finir sur ma cuisse près de ma culotte. Depuis quand j'ai attendu ce moment? Celui où je deviendrai une vraie femme dans les bras d'un vrai homme,celui où je vais aimer,et serais aimée en retour,celui où ma vie va prendre une toute autre tournure. Il fouilla sa main sous le tissu et ses doigts froids vinrent se poser sur mon mont de vénus. Mon Dieu je parlais français là! Je sentis la vitesse de mon souffle augmenter et il mit un doigt en moi. Une petite douleur se fit ressentir. Restant passif un moment,il entreprit de faire de petits va et vient,c'était doux,c'était bon et ça m'excitait,je voulais qu'il ne s'arrête pas,qu'il continue ses petits mouvements lents remplis de bien être,alors c'était ça? Je comprenais mieux pourquoi les gens fermaient leurs yeux en ces instants,parce que les miens aussi voulaient se fermer,savourant ce moment délicieux.

Il s'arrêta et j'ouvris les yeux,il prit son doigt et le mit dans sa bouche,le suçant. Sa bouche vint se poser sur la mienne,et il enleva mon ensemble. Il ne bougea plus,seulement ses yeux accrochés à moi,parcourant mon corps,de haut en bas,de bas en haut,et je me sentis gênée. Je rêve,et s'il me trouvait pas belle? Et s'il détestait ma peau,mes jambes longues? Au moment que j'y pense,j'ai tout simplement envie de me rhabiller et de partir en courant.

- Je ne suis pas assez belle?

Il leva ses yeux vers moi et viens m'embrasser.

- Tu es parfaite,parfaite mon amour. Surtout tes beaux seins en orange ma chérie,que j'ai trop envie.

Il prit mon tété droit dans sa bouche tout en me regardant. J'avais peur de laisser libre cours à exprimer ce que je ressentais,je ne voulais pas avoir l'air débile,sachant que je ne saurais pas exactement ce qui lui passe par la tête. Oh mon Dieu! Voltaire est un homme,et je suis sûre qu'il l'a déjà fait avec une femme meilleure que moi. Il me mordilla le téton et un gémissement sortit de ma bouche.

- Arrête,arrête Voltaire...

- Il y a quoi chérie?

- Je... Je,j'ai honte!

- Ferme tes yeux,et laisse toi y aller.

- Je... Je me sens conne,débile,et...

- Shuuut Flor,tu n'as pas à regarder,tu n'as qu'à imaginer et sentir,puis te libérer.

Les yeux fermés,ma main caressant sa tête,je sentis son souffle me chatouiller la peau,ainsi que sa barbe qu'il n'avait pas enlevé. Il me suçait les seins en me les mordillant,je gémissais tout bas et je souriais doucement, j'aimais ça. Avec sa langue,il descendit tout bas et la mit dans mon ombril,il me caressait la hanche,et ça m'excitait,je pouvais ressentir des choses nouvelles que j'aimais. Je n'avais pas peur et voulais aller plus loin. Il descendit plus bas et je le sentis s'arrêter. J'ouvris les yeux et je le vis me regarder.

- Je peux? Me demanda s'il pouvait enlever ma culotte.

J'hochai la tête et je le regardai l'enlever avec sa bouche. Je me mis à stresser,j'avais hâte de savoir la suite... Étais je vraiment prête? Je sentis mon coeur sortir de ma poitrine et je lâchai un petit cri quand sa langue prit contact avec mon point de plaisir. Mon entre - jambe chauffait,il faisait des vas et viens avec sa langue de mon bouton rose à l'entrée du paradis,j'étais hors contrôle... Je ne contrôlais rien,je mouillais,j'étais en feu,toute excitée. C'était bon,trop bon. Je voulais plus,quelque chose en moi le réclamait,voulait plus,souhaitait aller plus loin. Je voulais sentir ce truc qu'Alpha n'arrêtait pas de m'expliquer,sentir ce plaisir comme je pouvais le regarder à la télé,non en faite je le sentais déjà,mais je le voulais en moi... J'étais entrain de m'étirer,je m'accrochais au drap de toutes mes forces,je sentais que j'allais exploser,tout mon corps tremblait. Quand il s'arrêta. Oh non pourquoi il a fait ça? Il s'approcha de moi et m'embrassa,je répondis,mais j'étais complètement frustrée,trop chaude,trop excitée pour avoir coupé court comme ça.

- Flor... J'ai peur d'aller plus loin.. Je... En effet,je ne sais pas si tu te sens,comment dire,si tu sens...

- Je suis prête Voltaire.

- Tu es sûre ma chérie? Parce que tu vois,on peut remettre à quand tu veux.

- Je suis sûre,je n'ai jamais été aussi sûre

- Ça va faire un peu mal mais détends toi ma chérie ok.

J'hochai la tête,contrairement à moi,il avait toujours ses habits,son short et un vieux t-shirt,il se mettait à les enlever et je me mis à l'aider pour ne pas avoir l'air trop nase,ensuite il se mit sur moi en prenant appui sur le lit pour ne pas m'écraser totalement,et puis j'écartai mes jambes.

-Je t'apprendrai la vie
Et ses joies et ses craintes...
Je me ferai douceur
Pour étouffer tes plaintes...
Et ton printemps si pur
Vois naître l'été...
Car aujourd'hui t'es devenue femme
Pour mon éternité.

Il était entrain de m'apprendre l'amour,la vie! La douleur était horrible,malgré ses mouvements lents où il faisait bien attention de ne pas me faire mal,c'était grave douloureux... Seul ses petits mots tendres qu'il n'arrêtait pas de me murmurer me faisait sentir qu'il ne prenait pas à la légère ce qu'on faisait. Il enfouit sa tête dans mon cou et me murmura des milliers de je t'aime,j'avais ouvert mes yeux à nouveau,je regardais les muscles de ses fesses qui se contractaient et se relâchaient,à chaque fois qu'il se perdait en moi,je commençais à me sentir à l'aise,je commençais à imaginer toutes les fois où j'attendais ce moment comment je souhaitais que ça soit,et le plaisir me gagna,mes seins se mirent à durcir,et je me mis à bouger,je voulais le sentir jusqu'au fond de moi. Je gémissais,je prenais tout mon pied,tellement que je le tenais par les fesses durement,yeux refermés,je ne savais plus où j'étais,si c'était sur Terre,Vénus ou Mars. Et puis merde,je couche avec mon dieu,je ne suis nulle part qu'au paradis. Ses mouvements se faisaient plus vite,et la douleur refit surface,j'ouvris mes yeux à nouveau et les refermai aussi vite quand ceux ci croisèrent les siens.

- Flor... Re...regarde moi je t'en prie.

Super excité,le souffle saccagé et moi in paradise. Je l'aimais cet homme,je posai mes yeux plus bas en regardant ses vas et viens,je criais,malgré la douleur,de plaisir,il suait. Dans un dernier coup de rein. Je vis Voltaire crier de plaisir,l'entendis gémir,et mon corps était secoué,je tremblais,et je sentis jaillir en moi un pur bonheur,je ne contrôlais plus rien. J'étais out of control.

- Je t'aime putain,je t'aime Flor. Me cria-t- il en me serrant contre lui.

Il m'embrassa plusieurs fois,j'étais sonnée,je crois toujours pas ce que je venais de faire,je viens de perdre ma virginité. J'étais une vraie femme maintenant? Non je ne crois pas. Il se laissa aller près de moi. Je n'ai pas osé le regarder, ni regarder son corps.

- Flor ça va?

Sans me rendre compte,j'étais entrain de pleurer.

- Ma chérie? Flor je t'ai fait mal? Qu'est ce qui ne va pas?

- Fffffff... Non,en fait si j'ai eu mal,mais c'est pas ça?

- Alors c'est quoi?

- Je,je ne sais pas,je crois que je suis contente,contente d'avoir passé le cap avec toi,je... je vois finalement comment je suis amoureuse de toi,et maintenant j'ai peur de ce qui pourrait arriver demain.

- Je te comprends ma chérie,mais ne pense pas à demain. Il n'arrivera jamais. On vivra l'instant présent de notre amour à chaque fois qu'une nuit se meurt pour donner naissance à un nouveau jour. Je t'aimerai toujours,aujourd'hui,demain,toujours.

- Je t'aime aussi

Il m'attira contre lui et me caressa les cheveux.

- Ou dous chérie!

Je souris,et il me donna plein de bisous au cou. On était posé là dans un silence réconfortant où il me caressait la peau quand je vis la porte s'ouvrir sur...

- Tonton Voltaire? C'est qui cette femme?

Coucou les gens,comment allez vous? Pour moi ça va! Bon disons que Flor a passé le cap maintenant,Larissa est partie,ils peuvent être tranquilles un moment ensemble.

J'espère juste que Chris ne va pas gâcher le moment hein??

Merci à tous pour vos votes,vos commentaires,vos suivis,ça me fait trop plaisir. Je vous fait un gros bisous les gens😚😚😚😚

Je vous love❤