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Chapitre 25

J'étais posé dans mon lit avec la phrase de Flor qui tournait et retournait dans ma tête quand je lui avais demandé l'identité de celui qui avait fait autant de mal à son amie "UN MONSTRE QUI DOIT MOURIR" m'avait elle répondu. Du coup je me sens concerné en me rappelant des marques que j'ai faites à Larissa,bien qu'elles n'étaient pas pires que celles que je venais de voir tout à l'heure,mais je ne me sentais pas échappé à la règle et que moi aussi je suis un monstre.
Je sentis que je devrais réparer certaines choses pour me sentir bien et indirectement ne plus être ce monstre devant ma petite femme.

Larissa avait fini de prendre sa douche et s'était enveloppée dans une serviette. Elle avait un corps parfait,mince avec des jambes longues comme celui des femmes sur les magazines. Je crois que c'était ça son rêve,être mannequin,mais sa réalité avait changé surtout avec ses parents qui ne souhaitaient pas voir leur fille dans ce milieu alors que ce ne sont pas les moyens qui les avaient manqués. Et je me demande si elle n'aurait pas été différente aujourd'hui. Peut être que son clito serait sur feu vert et sa timidité feu rouge. Le pire c'est que je n'ai même pas eu une alerte du feu jaune qui m'aurait au moins dit à quoi m'attendre.

- Pourquoi tu me fixes comme ça?

Elle me demanda tout en rougissant. N'a-t-elle pas été victime de ce mariage arrangé aussi du côté de ses parents? Pourtant elle m'avait bien fait comprendre le jour de notre mariage qu'elle était bel et bien d'accord pour cette union.

- Je n'ai plus le droit de contempler ma femme?

Je me levai et m'approcher d'elle. Pour être sûr que je serai bien pour Flor,je dois l'être aussi pour elle. À partir d'aujourd'hui,elle sera comme mon centre d'entraînements. Même si je sais déjà comment me conduire face à ma Flor,mais je ne veux prendre aucun risque que mes mauvaises humeurs avec Larissa,un jour ou l'autre finissent par me jouer des tours et s'installent petit à petit entre Flor et moi.

- Ça te dirait qu'on aille passer le reste de la semaine loin de la ville,rien que nous deux? Juste toi et moi!

- Je...je sais pas,je travaille à partir de mercredi,et...

- J'appelle ton patron,je lui dis que tu as besoin de repos. D'accord ma chérie,prépare ton sac,on revient samedi.

- Voltaire,je ne peux pas y aller comme ça,c'est à moi de dire à mon patron que j'ai besoin de repos,pas à toi.

- Bien!! Dans ce cas, fais le. Je vais appeler pour avertir mon arrivée,on part à 13h ma femme.

- Et on va où?

- Surprise mon amour!

Je lui volai un bisou sur la bouche. Elle n'avait pas envie de partir avec moi,mais je m'en fichais complètement. Je devrais maintenant appeler ma petite femme,pour lui dire que je serai en déplacement. Cette semaine,je dois tout mettre sur contrôle.

- Allô!

- Flor,comment tu vas?

- Ça peut aller,et toi?

- Ça va! Ma chérie,je sais que durant ce moment,je devrais être là pour toi,et t'aider à aller mieux,mais malheureusement,je serai en déplacement pour le travail.

- C'est carnaval,y a congé t'es pas obligé!

- Je sais,mais j'avais confié une tâche importante à certains employés pour l'ouverture d'une grande boutique d'eau dans le Sud,et il me semble,qu'ils ont un peu foiré,de ce fait je dois y aller immédiatement pour y remédier. C'est à moi de mettre au point ce détail.

- Ok je vois. Fais attention à toi!!! Je...je pourrais t'appeler?

- Oui ma chérie comme tu voudras. Je dois aller faire ma valise. On se parle plus tard,ok! Je t'aime et embrasse ton amie de ma part.

- Ok je ferai ça! Bye.

Quelques heures plus tard,nous étions déjà en route,j'empruntais déjà la route de Miragoâne. Il me restait environ deux heures de route pour me trouver dans la Ville des Cayes,je comptais nous reposer dans un hôtel cet après - midi et demain matin reprendre le voyage. Elle ne parlait presque pas dans la voiture,c'est sa nature quoi! Elle avait mit ses kas (écouteurs) et gardait ses yeux sur la route,je la regardais par moment,dans cette tenue qu'elle portait,Larissa était belle à ravir. Pourquoi finalement on n'arrive pas à s'aimer? Enfin je n'arrive pas à l'aimer,parce que je sais que de son côté,elle meurt d'amour pour moi,et qu'elle souffre chaque jour qui passe. Il était temps d'y remédier,même si je la supportais de moins en moins,mais temps qu'on sera toujours ensemble pour je ne sais quelle raison,je devais jouer mon rôle de mari. Je posai une main sur sa cuisse et je la sentis se raidir,je lui fis un beau sourire. Elle enleva l'une de ses oreillettes et me regarda.

- Tu es ravissante ma chérie.

- Merci! Me dit - elle tout sourire. Ça m'avait manqué de te l'entendre dire. Je pensais que je ne l'étais plus à tes yeux.

- Tu l'es et le resteras!

On était enfin arrivé. J'avais réservé à l'hôtel le Manguier! Ce n'était pas comme l'hôtel Oasis ou Ritz Kinam,mais c'était bien pour passer la nuit. Je garai la voiture et on entra à l'intérieur. On se rendit à la réception où une jolie demoiselle se trouvait à la réception.

- Bonsoir Monsieur,je peux vous aider?

- Bien sûr,nul ne serait mieux placer en ce moment pour le faire à part vous cette merveille qui se trouve en face de moi.

Elle sourit genre timide! Pfff

- Merci... Alors?

- Alors,j'ai réservé ce matin pour une chambre au nom de Voltaire Brun.

Elle pianota sur l'ordinateur qui se trouvait devant elle et je profitai de regarder les lieux. Larissa était en retrait et admirait aussi l'endroit,avec tout ces céramiques blancs dont les lumières oranges et blanches donnaient une couleur crème,des tableaux étaient accrochés au mur,une grande salle se trouvait au fond sur la gauche et un escalier en bois poli menait à l'étage. Ce n'était pas mal,c'était propre et donnait confiance.

- Bien... Chambre #22 Mr Brun.

Elle me donna les clés en me filant un morceau de papier dans les mains.

- On fera monter vos bagages sous peu.

- Non ce ne sera pas nécessaire. La valise de ma femme est la plus lourde et je la fais monter. Elle n'est pas du genre à faire confiance aux étrangers,vous comprenez? Merci très chère et ravissante demoiselle,bonne soirée.

Elle perdit son sourire gênée et je passai mes mains autour de la taille de Larissa et montai. Dans d'autres circonstances,j'aurais certainement pris une partie de plaisir avec elle,mais là je suis en entraînement avec ma femme pour ma copine. Cette pensée me fit sourire et je me demandai si je n'étais pas entrain de perdre la raison. La chambre n'était pas si grande que ça,mais heureusement qu'elle avait un climatiseur sinon j'imagine déjà la chaleur qu'il ferait,de toute façon c'était juste une nuit. Je comptais partir de très tôt demain matin.

- Tu n'as pas faim mon amour?

- Oui beaucoup,et je suis fatiguée. Je vais prendre une douche.

- Vas y,après on descend manger un truc.

- Non,j'ai pas envie de descendre après,fais juste monter quelque chose pour nous. Demain matin peut être. Je ne vois pas pourquoi c'est cet hôtel que tu as choisi.

- T'inquiète pas ma chérie,on passe juste la nuit ici,on part de très tôt demain matin.

- Ok.

Elle fila prendre sa douche et je profitai pour appeler ma petite femme. Elle me manque déjà,si j'étais à Port-au-Prince,je suis sûr que je l'aurais proposé de sortir cet après midi. Je sortis sur le petit balcon que la chambre possédait et qui donnait sur une cour arrière avec une piscine et un grand jardin. Il était déjà 19h,et ça m'a pris plus de 4h de route pour y être et demain la journée s'annonçait longue. J'appelai Flor et son portable sonna deux fois avant qu'elle décrocha.

- Ma femme!

- Mon homme!

- Tu vas bien?

- Oui et toi? Bien arrivé?

- Oui ça va ma chérie,juste fatigué. Tu t'amuses,y a du bruit là où tu es. Tu n'es pas chez toi?

- Si je suis chez moi. Je l'entendis rire.
Je fais de la musique,le fiancé de ma tante est là et je ne le supporte pas alors je fais du bruit pour essayer de le faire partir. Elle éclata de rire.

- Petite peste! Te voir de bonne humeur n'est pas facile et voilà que tu l'es,je ne suis pas là.

- C'est pas moi qui t'ai envoyé travailler je te rappelle,et puis je suis à fond dans mon plan,ça me fait trop plaisir!!

- Tu ne changeras jamais toi?

- Tu m'aimes comme ça non?

Sa question me fit rire.

- Je t'adore même.

On resta un moment au tel,je lui demandai des nouvelles d'Alpha,ensuite j'étais obligé de lui parler de ce travail qui n'aura jamais lieu,et je me sentais pas bien de lui mentir comme ça,mais j'avais pas le choix,je lui fis rire un moment et après on raccrocha,j'étais fatigué et je ne voulais pas que Larissa vienne nous surprendre.

J'avais terminé de prendre ma douche et on était assis dans le lit à manger de la banane avec de la sauce du foie. Après avoir fini,et qu'on vienne nous débarrasser. On éteignit la lumière et on se coucha en regardant la télé. Je la fis coucher sur mon torse et je lui caressai les cheveux jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pris autant soin d'elle,même si rien n'allait changer pour la situation,elle est et restera la même Larissa,timide,froide,glaciale. J'attends juste le moment pour avoir Flor ainsi dans mes bras,je ne sais pas comment ça arrivera,mais j'attendrai.

À la télé deux jeunes s'embrassaient. La fille avait fait le mur pour aller trouver le garçon et je souris devant cette scène en me rappelant le soir où Flor était venue me trouver à 1h du matin,la seule différence,on était pas en couple,et Dieu seul sait ce qui serait arrivé si on l'était. Je sentis mon portable vibrer annonçant un message,je le déverrouillai et c'était un message de Flor.

- I want to be yours for ever.

J'étais étonné et content en même temps. Un message pareil,je ne m'y attendais pas du tout,surtout venant de Flor.

- You are!

Je sais qu'elle m'aime,même si le mot "Je t'aime " n'est pas encore sorti de sa bouche,mais nul besoin,vu que je le sais déjà. J'attendis un sms de plus,mais rien alors je décidai de me coucher et de m'endormir.

Il était 7h quand je me levai,je réveillai Larissa avec pleins de bisous au cou et lui demandai de se préparer. On descendit prendre notre petit déjeuner après on remonta pour redescendre avec nos valises. Il était temps de se remettre en route. On passa à l'entrée pour remettre les clés et malheureusement-heureusement la demoiselle d'hier qui m'avait gentiment filé son numéro n'était pas là. Après on monta la voiture et on partit.

- C'est une belle ville ici,malheureusement de toute ma vie,je n'ai jamais eu le temps de faire du tourisme local.

- Parce que tu préfères rester dans ton coin.

- Pas faux... Tant de choses se sont brisées en moi.

- Et aussi j'ai pas toujours été là. Je suis mille fois désolé ma chérie.

- Moi aussi Voltaire... Moi aussi!

La route était longue et semblait interminable,malgré que je suis sorti de très tôt,on n'allait pas arrivé avant la nuit. Peut être plus tard que hier. J'entrai dans une petite rue cahoteuse,avec Larissa qui dormait à poing fermé sur le siège passager. Après tout,on n'avait pas fait trop d'arrêt,parfois juste pour faire des besoins et acheter quelques choses à manger,bien que le côté complexé de Larissa l'avait empêchée d'être à son aise,mais j'en ai profité sur la route de m'acheter un plat qui,je crois si je ne pensais pas à Flor,je n'aurais jamais eu l'idée d'acheter,un plat de chat wouj ( pieuvres) avec des bananes pesées et bien pimenté. Flor aurait sûrement profité de tout ces instants,contrairement à Larissa qui a vomi tout son fiel en sachant que c'était du pieuvre. Et pourtant j'ai adoré la saveur.

Finalement on était arrivé. J'éteignis le moteur et restai assis un moment à profiter de cette maison de campagne que j'avais réservé sur un coup de tête et qui par chance se trouvait être libre pour le moment. Elle brillait faible dans la nuit et était entourée d'arbres qui lui donnait un air méfiant mais attirant. Je décidai de rentrer la voiture et de réveiller Larissa.

- On est enfin arrivé? Me dit-elle la voix endormie.

- Oui ma chérie,regarde!

Elle se redressa sur la chaise et fixa l'endroit qui était isolé et rempli d'arbres avec en premier plan la petite maison en toit de paille. Après deux minutes quand elle comprit enfin où je l'avais emmenée,elle ouvrit la portière et s'approcha de mieux toute étonnée. Elle a eu le même comportement,comme la première fois,à la seule différence,aujourd'hui,elle n'était pas au lendemain du jour de notre mariage. Elle se retourna tout sourire et me sauta au cou.

- Ce Voltaire là m'avait manqué!

- Je suis désolé ma chérie. Je veux me rattraper.

- Ça me fait trop plaisir.

- On rentre?

Elle glissa précieusement sa main dans la mienne en comblant soigneusement les espaces d'entre mes doigts avec les siens. Et tout ça n'était que le début de mon entraînement.

Bonjour mes chers amis,alors comment allez vous? Moi ça va un peu!! Sinon cette partie vous a plu? J'ai pas pu trouver une maison comme mon imagination,mais je me contente de celle là(média). Bonne journée 😚😚😚😚😚😚😚😚

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