Vas-y!
Pendant ma semaine, je m'entrainait avec Nalfay en méditation et en théorie et en pratique j'étais surveillé par maitre tarris. Le soir, le plus souvent Nalfay et moi, on se retrouve et on passe de petits moment juste tout les deux tranquilles.
L'élément feu est vraiment le plus violent, plus fatigant et plus dangereux que tout les autres. Au début, j'avais peur. Peur de ne pas réussir, peur d'échouer, peur de mourir, peur du feu, de sa violence, de son caractère. Et puis au fur et à mesure, grâce à maitre Tarris et Nalfay, j'avais reprit confiance en moi, en mes amis et en ma force.
Dès qu'Aessa était arrivée, j'avais passé la journée avec elle. Je lui ai expliqué qu'il fallait que je travaille beaucoup et que je ne serai pas libre souvent, elle m'a assuré qu'elle s'en doutait depuis longtemps mais que ça ne lui importait peu du moment qu'on passait du temps ensemble. Quand je retrouvais Nalfay, je lui raccontais mes journées avec Aessa, comment elle allait, qu'est ce qu'elle faisait et ça avait l'air de plaire à Nalfay. Je passais quelques journée de pause avec lui. Je n'aimait pas mentir à Aessa, mais elle ne pouvait pas savoir pour Nalfay, ça la rendrait trop triste et je ne veux pas qu'elle souffre. De toute manière, il y a toujours un espoir qu'à la fin on se retrouve tout les trois et que tout reprenne comme avant. Je sais que ce n'est qu'un souhait, mais comme on dit: "Le monde aspire à réaliser vos souhait". J'aimais me raccroché à l'idée que je notre trio n'était pas mort et que c'était juste une longue pause, une très très longue pause.
Ca faisait un mois que je m'entrainais avec maitre Tarris et Nalfay. J'avais enfin fini mon, entrainement et c'est à partir de maintenant que tout commence, j'en ai conscience. Je suis toujours dans la demeure de Nalfay, maitre Tarris vient d'arriver pour commencer les excercices. J'ai déjà médité, fait mes exercices physique et travaillé mon mental. Reste plus qu'à travaillé mes sentiments et mon contrôle émotionnel.
-Yica, t'es prête?
-Oui maitre Tarris.
-Allons, je vous ai dit à tout les deux de me tutoyer.
-Mais c'est dur...
-Vous avez étét notre maitre, vous serai toujours superieur à nous.
-Exacement. Vous avez tutoyé votre maitre après votre appretissage?
-Elle est morte peut de temps après.
-Vous...
-Désolé, nous ne savions pas.
-Je ne vous en veux pas. Vous n'étiez pas courant.
Le silence se fit. Maitre Tarris brisa le silence qui s'était installé.
-Bon, c'est ton dernier jour avec nous alors nous ne travailllerons pas beaucoup.
-hum.
-T'as fini ton apprentissage.
-Ouais, mais après on ne se vera plus aussi souvent.
-Je vous laisse entre vous.
-Merci maitre Tarris.
Maitre Tarris sort de la cabane. Il ne reste que Nalfay et moi. Nous sommes l'un en face de l'autre. le silence s'éternise. Puis Nalfay brise le silence.
-C'est le dernier jour, que veux-tu faire?
-N'importe du moment qu'on passe aujourd'hui tout les deux.
-ok. On va se promener?
-ok.
On sort de la maison. Nalfay m'entraine sur un chemin dans la forêt. On s'enfonce encore plus loin que la dense forêt. En continuant d'avancer, le paysage change. Les arbres s'espacent, des fleurs poussent en petits groupes qui grossissent en s'éloignant toujours plus. En le regardant avancé sans jamais douter, j'ai l'impression que Nalfay sait ou on va. J'entends le bruit d'une cascade. On s'approche du bruit. Puis Nalfay pose ses mains sur mes yeux et me chuchote:
-Lila, fais moi confiance.
Ça fait longtamps qu'il ne m'a pas appelé comme ça et ça me remérore de vieux souvenirs. J'oche a tête et on avance. Le ronronement de la cascade emplie l'air, et des gouttes d'eau s'écrasent sur moi. malgré tout, Nlafay me fait avancer encore. Je sens qu'on monte sur une petite butte et pui Nalfay me tourne et il enlève ses mains. A mes pieds s'étend une clairière nimbé de rayons d'or du soleil, une rivière de saphir coule à nos pieds. Les arbres forment comme une bulle autour de nous. Je sens le regard de Nalfay posé sur moi; Je me retourne et je le serre dans mes bras.
-Merci Nlafay;
-Lila, tu n'as pas besoin de me remercier.
-Nalfay...
-Lila.
-J'ai peur Nalf. Je suis terrifiée.
-Moi aussi j'ai peur, moi aussi je suis terrifié, pourtant je sais que tu es là et que je pourrais toujours compter sur toi.
-Je sais que je pourrais toujours compter sur toi ou Aessa, mais je ne peux m'empêcher de penser à ce que tu m'as dit. je n'ai pas envie de te perdre une deuxième fois, j'ai peur de ne pas réussir et que tu meures pour rien parce que je ne serais pas assez forte.
-ne t'en fais pas. même si je meure, je serai toujours là, dans ton coeur.
-Nalfay... je ne veux pas te perdre. Je ne veux que tu meures à cause de moi.
-Ce n'est pas à cause de toi, mais a cause du démon que je mourrai.
-Si tu survit jusqu''après, promet de prendre soin d'Aessa. Elle se sentira seule sinon.
-Je te le promet.
On arrête de parler de sujet facheux ou triste et on passe toute la journé à s'amuser comme des enfants. Puis, lorsque le soleil se mit à décliner, on s'assit et on regarde la rivière se teinté d'or et de feu. Devant ce spectacle, nous restons béats. Lorsque la nuit enveloppa le ciel, nous rentrons à la maison. Nous reparcourons le chemin inverse pour revenir à la cabane. arrivé là-bas, maitre tarris nous attend.
-Yica, il est temps pour vous de partir.
-Merci pour votre apprentissage maitre Tarris. Nalfay, je ne t'oublierai jamais.
-Je sais.
-Bon voyage princesse.
Maitre Tarris nous laissa seul tout les deux. Il me prit dans ses bras et je nichai ma tête dans son cou. Quelques larmes coulèrent de mes yeux. Nalfay me serrait fort contre lui, dans une étreinte rassurante.
-Allez va Lila, tu pourra toujours compter sur moi.
-Je sais. Tu pourra toujours sur moi aussi.
-Je sais.
On s'écarte et je pars vers la ville à regret. Derrière moi Nalfay me regarde partir. Dès que je ne suis plus dans son champs de vision, je mets à courir le ceur lourd mais en même temps soulagé. Je vais pouvoir consacrer plusieurs jours à ma famille avant de partir en quête du démon et de la Bête.
En arrivant devant les portes du palais je m'anonçait aux gardes. Ils me firent entrer. Je vis Aessa et Sara avant même qu'elles ne me remarquent. je courais vers elles et je me jettais dans leurs bras. Elles furent surprises mais elles m'étreignirent tout de même. Puis on s'écarta.
-On croyais que tu finirai ta vie là-bas! s'exclame sara.
-Je ne vous aurez pas laissé les filles.
-Mouais. T'as l'air triste pourquoi?
-J'ai du quitter les mages et ça me rend un peu triste.
-Je vois.
-Vient les garçons et Finyë seront content de te revoir.
-J'arrive.
Ma famille, avec ses hauts et ses bas reste ma famille. J'entre dans la salle à manger. Ils sont tous en train de manger en riant. en nous entendant rentrer, ils lèvent leurs regards vers moi; Quand Finyë me reconnas, elle me serre dans ses bras.
-Yica ma belle, ça fait longtemps... tu as bien grandie.
-Merci. Tu m'as manqué;
-toi aussi;
-Vous m'avez tous manqué.
On fait un calin groupé. Ils m'ont trop manqués. je ne veux plus jamais me séparer d'eux. Je sens Sibton me regarder.
-Quoi?
-tu vas repartir?
-Ouaip. D'abord un bon dodo et un moment avec ma famille et puis ouais je repartirai pour longtemps.
-Tu vas le traquer?
-Qui?
-Ne fais pas celle qui ne sait pas. tout le monde est au courant pour la prophetie. rejoute Laan
-Tu n'as pas à cacher ça. me dit Finyë.
-Ouais. je vais le traquer, le trouver et le tuer avant qu'il ne me trouve.
-Tu vas mourir? demande Aessa
-il se peut... mais je peux aussi survivre.
-Mais tu mourras après? Ne mens pas;
-Oui. Le démon me tura mais je dois le tuer aussi;
-Non. Je veux pas. tu m'abandonne.
-Non ae... ne dit pas ça, tu sais bien que je serai incapable de t'en vouloir plus de cinq minutes.
-Mais en partant tu vas m'abandonner derrière toi et mourir en me laissant en vie seule.
-Ae...
-Emmène moi avec toi.
-Non. Ae... ne me demande pas ça... comprend moi...
-je comprends surtout que tu ne veux plus de moi.
-C'est pas vrai, t'as pas le droit de dire ça. Tu penses que j'ai envie de mourir à 16 ans? Même si c'est l'année prochaine ou dans deux ans, tu penses que je vais allée le voir toute souriante et que je vais lui demander de me tuer? Non. Je ne veux pas mourir. je ne veux pas te perdre et je ne veux y aller mais je vais y aller et une fois que cette pourriture sera 6 pieds sous terre, je te promet que je ne te laisserai jamais seul et que je veillerai sur toi. Et puis, je vais essayé de revenir, maintenant je trop faibl pour le battree et m'en sortirr vivante, mais si je continue de m'entrainer et de développer... je vais peut être pouvoir le tuer et reevenir et à ce moment, on restera ensemble toute les deux. Je te le promet.
-Quand tu mourras, tu sera avec nalfay et tu ne te préocupera plus de moi;
-Je te jure que je ne te laisserai jamais, même si nalfay revenait. Même si on redevenait un trio, je ne te laisserai jamais. Tu te souvient, à ça mort on s'est promise d'être toujours là l'une pour l'autre.
-Je... veux pas que tu m'abandonne... je veux pas... me retrouver seule.
tu ne sera jamais seule, je t'en fais la promesse. Aessa, je resterai toujours dans ton coeur et je te protègerai d'où que je sois, même si je devenais la prisonnière du monstre, je ne tee laisserai jamais et je ne le laisserai jamais te toucher.
-Lila...
-Ae...
On se serree l'une dans les bras de l'autre eet on pleure toute les deux. Les autres nous ont regardé nous chamailler. Pourtant aucun d'eux n'est intervenue. Quand on se sépare, je regarde chacun des membres de ma famille et je tient la main d'Aessa.
-jamais.
-hum.. je sais.
On sourit toute les deux.
-Bien, maintenant que tout le monde est là, passons à table.
Tout le monde acquissa. On passa à table. Le repas se passa dans la bonne humeur générale. Pis on partis tous se coucher.
Dans la nuit, vers 2 ou 3H du matin, ma poitrine me fit mal. Un mal insupportable, insoutenable, horrible, paralysant. Je criai. Tout le monde se précipita dans ma chambre. J'étais par terre, tenant ma poitrine dans l'espoir d'apaiser la duleur, je criai et des larmes de douleurs coulaient sur mes joues. Personne ne comprennait ce qui se passait, et je n'en avait pas la moindre idée moi même. La douleur ne partait pas, bien au contraire, elle s'intensifiait. Aessa s'assit à côté de moi et me frictionna le dos avec sa main.
-Yica, qu'est ce qui se passe?
Je n'arrivai pas à parler. Je saignait de l'intérieur des joues car j'essayait de retenir mes cris, certains étaient étouffé, d'autres non. Tout le monde reste là, à me regarder agoniser. On aurait dit une pointe d'éguille de la taille de mon doigt qui s'enfoncait dans ma poitrine et un sorte de force qui me comprimait, m'étouffait, me broyait. À l'aube, je me calmait. Mes larmes arrêtèrent de couler et je ne criais plus. Finyë s'approcha de moi.
-Que ce passe-t-il? Tu as encore mal? Que c'est-il passé?
-Je ne sais pas. Ça va mieux.
La douleur était toujours présente, mais elle ne m'oppressait plus, juste comme un lèger souffle. Je me lèvee en tremblant et on sort tous. On descend à la cuisine. Une cuisinière m'apporte un chocolat chaud. Je bois doucement. Tous es regards sont fixé sur moi comme si la crise allait recommencer.
-Excusez moi de vous avoir rréveillé et tenu éveillé.
-Ce n'est pas grave.
-Tu n'as plus rien?
-Le plus important est que tu ailles mieux.
-Qu'est ce que c'était?
-Je nee sais pas ce que c'était. J'ai eu subitement mal et c'était affreux... mais ça va mieux. Merci.
De faibles sourires apparurent. Un homme entra dans la demeure.
-Majestés, la demeure du mage... est en feu.
Je me lève et je me mets à courir. Les autres me suivent, enfin je crois. J'avance dans la forêt, je connais le chemin par coeur. Arrivé devant la maison, je la trouve en feu. Je n'hésitre pas, je m'élance dans les flammes. Il me brule, il me fait peur à ce moment là, pourtant avec Nalfay, il était docile, chaleureux. Je cherche partout maitre Tarris et Nalfay. Je trouve maitre Tarris en premier. Il est mort, les flammes le dévore déjà. Je continue ma route eet je trouve Nalfay. Du sang coule de son front, il est allongé sur la dos, les yeux fermés, un sourire gravé sur le visagee. Le feu a déjà entreprit de le dévorer. Dans ses mains, il tient une lettre. Une lettre pour moi. Je tombe a genoux et je le serre dans mes bras. Je pleurre. Je n'arrive pas a y croire, ça fait un mois que je l'ai retrouvé et il est mort, cette fois pour de bon. il ne reviendra plus jamais. Les poutres craquent. Le feu se répend tout autour. Je vois une poutre tomber, mais je ne bouge pas. Des bras me soulèvent et m'entrainent dehors. C'est Astrario qui m'a emmené dehors. Je tient la lettree de Nalfay dans ma main. Je pleure encore et encore. Aessa me prend dans ses bras, exactement comme à la mort de Nalfay. ce jour là, devant sa tombe, mes sanglotrs avaient refusé de s'arrêter, aujourd'hui non plus mes larmes coulent sans interférence.
Je regarde le feu dévorer toute la maison. Tou redevient cendre. Quand mes larmes arrêtent de couler, je vois qu'il n'y a qu'Aessa et moi. Les autres ont dû rentrer.
-Ca va mieux?
-non.
-Qu'est ce qui s'est passé?
-Ils sont mort.
-Qui?
-Maitre Tarris et... l'autre maitre.
-Tu étais proche d'eux?
-Oui.
-Tu sais comment c'est arrivé?
-C'est la Bête. mees yeux s'éclairairent de colère et la fureur est présente dans ma voix. Je vais le tuer.
-Yica, rentrons.
-hum.
mon regard se voilla de tristesse. On renra au chateau. A peine arrivé, Sara vient me serrer dans ses bras.
-Ca va,
-oui. dis-je d'une voix peu convaiquante.
-Elle a perdu des personnes chères à son coeur.
-Je vois.
-qui a fait ça?
-Yica tu es au courant de quelque chose?
-Oui.
-C'est qui?
-La Bête ou Juntid.
Les regards se firent bas.
-Tu vas bientôt partir?
-Oui. Après les obsecs.
-Je vois.
-Seul maitre tarris pourra être enterré dans le cimetière, l'autre mage vient d'ailleur.
-Je vois. Je lui ferai une tombe.
-Tu veux manger quelque chose?
-non merci. J'ai des choses a faire et c'est assez urgent.
-ok.
Je monte dans ma chambre et j'appel Aqua, Aer et Terra. Si c'est ce que je pense elles aussi... sont... mortes. Non, je refuse de croire. Pourtant, malgré mon appel, personne ne répond. Le néant. Je sens quand même une faible présence;
-Diablotin!
-Yica. je suis soulagé, j'ai cru qu'il t'aivait eu toi aussi.
-Moi aussi, elles sont mortes?
-oui. Je n'ai rien pu faire, il est venu, elles se tordaient de douleurs mais on refiusé de dire quoi que ce soit à on sujet.
-merci. Tu vas bien toi?
-Un pêu faible, mais tout va s'arranger.
-Ok. Je suis contente;
-Les sages m'ont chargé de te transmètre un message.
-Vas-y.
-L'heure arrive plus tôt que prévu et bien que nous ne puissons pas voir le futur, le futur avec toi s'annonce paisible et heureux. A présent, tu es la seule à connaitre les éléments, personnes ne doit en savoir plus à son sujet. Tout ceux qui seront sur ta roàute ne serrons pas forcément des amis, mais souvient toi que tu peut toujours te reposer sur l'épaule de ta famille ou de tes amis chers. Nous devons te révéler une informations capital. La question que la Bête cherchait étais qu'est ce que la vie. Pour lui elle a toujours été son gagne pain, mais a partir du moment ou Lindra, la femme qu'il aimait, est morte, il n'a plus été le même. La réponse qu'il a trouvé est: une succésion de haut et de bas qui font reculer l'humain. La réponse que tu cherche n'est pas la même et tu la connais. Cherche au font fde toi ce qu'est la vie pour toi. une fois que tu connaitra la réponse, et pas avant, vas et tue la Bête, tue le Mal. Adieux.
-Merci Diablotin.
-Je serais toujours là pour toi. Appel moi t j'arriverai.
-Dis moi comment sont-elles mortes s'il te plait.
-Elles ont commencé à souffrir et puis Aqua a fini noyé, Terra ensevelie sous terre et Aer du manque d'oxigène.
-c'est bien ce que jee pensais; La Bête a utilisé les éléments des mages contre eux. les mages de fu ont été brûlé.
-Il s'est moqué ouvertement des mages.
-Non, il a montré qu'il contrôlait les éléments jusqu'à les faire se rebeller contre leurs gardiens.
-je vois... mais c'est terrible.
-En effet.
-Je vais te laisser, je garderai la tour jusqu'à ce qu'un mage y revienne.
-Ne tue personne.
-sauf le Mal.
-Sauf le Mal.
-Au revoir.
-A bientôt Diablotin.
-Bonne chance à toi.
-Merci.
Je ferme mon esprit. Aqua, Terra, Aer, Tarris et Nalfay sont mort et il ne reste que moi. Génial. La Bête et Juntid et toutt sera réglé. Je serais bientôt là Nalfay. Bientôt nous seront réuni. Je prend la lettre de Nalfay et je la li.
Lila,
Le temps est venu pour les mages de disaraitre, mais je n'ai pas la force ni le courage dde tee le dire en face. Tu ne voudras pas partir en sachant que je mourrais. J'espère que tu ne men veut pas trop de t'avoir caché la vérité. C'est pourquoi, depuis le début je ne veux pas qu'Ae soit au courant. Sache que te revoir m'a fait très plaisir, et si j'aurais pu, j'aurai reformé notre trio mais, je ne perd pas espoir qu'après notre mort à tout les trois, on puisse se retrouver ou bien dans une vie futur. A ce moment là, je ne vous laisserai jamais partir. Jamais!
Je suppose qu'il a essayé de s'en prendre à toi ausssi et que tu m'as vu mort. Je n'en fdoute pas. C'est pour ça que j'ai sourit. Pour que tu ne pleure pas et que la dernière image de moi soit un moi paisible et souriant. Le Mal est à ta poursuite eet il ne te lacheras jamais. Soit sur tes gardes.
N'entreprend pas une quête seule, reste avec tes amis et dès que tu iras mieux, alors trouve le et détuit le. Et n'oublie pas de sourire. Ce sourire je l'aime et je t'aime mon petit monstre. Savoir que je ne serai pas la pour te voir me brise et chaque jour je profite des moments qui nous reste.
Dès que tu seras devant le Mal, tu seras dans l'histoire, une légende. Et quand tu tueras Juntid, tu seras la plus grande légende, une légende parmis les légendes. Mais tu resteras toujours mon étoile. C'est ce que tu as toujours voulu, aidé les gens, les protéger, et devenir une légende. Prce qu'inconsciement, tu étais déjà préparé pour ton rôle.
Prends soin de toi mon petit monstre.
Ta saleté.
-Tu n'est pas une saleté, tu es mon frère.
Ps: Je suis ton petit ange pas vrai, tu y a pensé très fort. Toi tu es ma déesse, ma petite soeure que j'aime le plus au monde, ma complémentaire.
Les larmes me montèrent au yeux et pourtan aucune ne coula. Je sais ce qu'est la vie. C'est un passage qui sert à accomplir ce pour quoi on est. C'est une succéssion de bonheur ou de temps à autre des orages passent. La vie c'est la joie, le bonheur, l'amitié, l'amour. Mais c'est aussi la haine, la colère, la détresse, la tristesse, la mort. La vie est un cadeau. Un magnifique cadeau.
Je descends pour retrouver tout le monde.
-Je sors, je rentrerai tard.
-Quoi? tu vas où?
-tu ne comptre pas faire quelque chose de dangereux.
-non, je vais faire mes adieux à mes maitres et amis. Comme ça après, je me relèverai plus forte et prête à accomplir ma mission.
-Je vois, vas.
-Merci Finyë.
-Si tu as besoin d'une épaule, tu peux compter sur nous.
-je sais. merci.
Une fois dehors, je retourne a la maison. Je m'arrête pour contempler les dégats. Rien n'a été épargné. Je marche jusqu'à la cascade. Je m'assoie par terre et je regarde la clairière. Rien et tout on changé depuis hier. La cascade elle n'a pas bougé d'un poile, tandis que les sages sont morts. A la tombée de la nuit, je me lève et je m'approche de la cascade et crie:
-AU REVOIR NALFAY, JE NE T'OUBLIERAI JAMAIS!
Seul le ronflement de la cascade me répond. Je souris bêtement. La vie continue et je n'ai pas le temps de me lamenter sur mon sort. Si je survis contre la Bête et Juntid, je pleurerai Nalfay correctement. Je rentre au chateau pour ne pas inquiéter ma famille. En arrivant, Aessa me rejoind.
-J'avais peur que tu fasse une bêtise.
-Ne t'en fais pas, je t'ai promis que peeut importe la duleur, je nee me laisserai plus allée. Et puis je t'ai promis de ne pas faire de bêtise.
-C'est bien. Il ne fut pas inquièter les gns qui t'aime. D'accord?
-oui maman.
-Tu es désespérante.
-Ze sais. dis-je avec une voix de bébé
Trois jours après l'enterrement de mon maitre, je pars. L'aube n'est pas encore arrivé, mais je m'en vais. je n'aime pas les au revoir, alors je les évite. Mon sac sur le dos, mon épée à la ceinture, je pars de ma chambre. Je glisse un mot sous la porte d'Aessa et je descends les escaliers. Arrivé devant la porte, je mee retourne une dernière fois pour contempler l'endroit et j'ouvre la porte. Je sens les bras de quelqu'un autour de moi.
-Tu n'as pas changé. Les au revoir c'est pas ton truc. Alors va et revient vite en vie.
-Hum. J'espère qu'on aurra l'occasion de se revoir. Sinon, reste forte pour moi, pour Nalfay, et fais nous vivre à travers toi.
-Fais vite, ta famille va ce lever.
-au revoir Ae.
-A bientôt Yica.
Aessa me lache et je pars. Je quitte la ville le plus vite possible. Je reprends la route, laissant mon intuition mener mes pas.
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Voili voulà le chapitre. J'espère que ça vous a plus. Je vais mettre un autre chapitre pendant les vacances, et peut être un troisième si je le temps mais je ne vous promet rien.
bye mes licornes roses!
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