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Un lieu de désespoir pour la fin

-Tu as quoi?

-J'ai commencé ton évolution. Toute ces heures pendant lequels tu souffrais était aussi un calvaire pour moi.

-Qui vous a dis que je voulais évoluer? Je suis très bien comme je suis.

-Tu deviendras vite résonnable.

-Il faudra me tuer d'abord.

-Je t'ai dis que je ne pouvais pas te tuer, mais si tu veux, je t'y forcerai.

On lance un même temps un éclair d'énergie sur l'autre. La Bête se lève et s'approche de moi. Je tire sur une branche d'arbre jusqu'à la faire céder et je riposte face à ses attaques. Il tient un grand sabre avec une lame noir comme possédé. Avec ma branche, je m'éfforce de le tenir à distance. Nos attaques mentaux tant physiques ravivent ma blessure à la jambe. On est partit sur un pied d'inégalité et ça ne changera pas. Il faut que je renverse la balance en ma faveur. J'incendie toute la forêt qui se trouve autour de nous. La Bête calme le feu immédiatement. S'en suis un double combat mental. D'un côté, nous nous lançons des pointes d'énergie chargé d'élément, d'un autre côté, on joue au jeu de celui qui s'épuisera le premier à calmer les ravages de l'autres. Il fait s'incendier ma banche, je l'éteinds un instant après. Je fais déborder le bassin, il remet l'eau dedans. L'air est chargé de tension électrique. Il a à l'intérieur de lui, des éléments. Il les retient prisonniers. J'appelle à l'aide tout ceux qui sont libre. Beaucoup répondent à mon appelle. Je sens une présence douce, rassurante. Je vois à mes côtés l'Apa de la grotte près de la tour des sages. Je revoit un instant le visage de maitre Aqua. Ce sentiment ravive ma douleur. Diablotin arrive vol d'oiseau, il charge sur l'ennemi. Grâce à lui je sens une faible présence d'Aer. La terre est de mon côté aussi, le sol sous les pieds de la Bête tangue sous la lutte qu'il mène. Les flammes naissent tout autour de moi. Un bouclier vivant de flamme remplit l'espace qui me sépare de la Bête, la forçant à reculer. Je lâche la branche d'arbre à bout de force. Je vois encore les éléments lutter avec moi. L'énergie qu'il me faut est immense. Je puise toute les forces qu'il me reste, les éléments me prête de leur force. Mais ils sentent que je faiblisse. Ils se retirent doucement d'autour de moi. Je les comprends, ils n'ont pas envie de se retrouver prisonnier encore une fois. Je les remercie silencieusement de ce qu'ils ont fait pour moi et je m'évanouie.

J'ouvre les yeux. Une lumière violette-rouge m'agresse. Je les refermes pour les rouvrir de nouveau. Mes poignets et mes chevilles sont attachés par des menottes de fer. Je suis sur l'autel de sacrifice. Le rale de la Bête m'indique je ne suis pas seule et qu'il est content que je sois réveillé.

-Ma jolie fée, c'est bientôt fini. Notre lutte n'aura servie à rien.

-Depuis quand suis-je là?

-Hum... je dirai deux tois jours. As-tu soiffe?

-Non.

Je tire sur mes liens. Impossible de les défaire. Un rire rauque s'échappe des lèvres de la Bête.

-Ne t'inquiète pas jolie fée, tu seras bientôt ma reine.

-Je ne serais jamais ta reine.

-Ho... encore une preue de résistance, j'aime les femmes qui me résiste.

-Je m'en fiche, je ne serais jamais ta reine. Malgré tout, tu ne pourras pas faire de moi ta reine.

-Tu as donc peur...

-Oui j'ai peur et alors? Je n'ai pas seulement peur pour moi, mais aussi pour tout ceux que j'aime... pour tout le monde qui attend terré chez eux que ta menace soit passé. J'ai peur que ce monde meure.

-Ne t'en fais pas, il ne t'arrivera rien.

-Je peux mourir ça m'est égale.

-Pfffffff... de toute façon lorsque ton évolution sera terminé, tu deviendras ma reine.

-Je suis déjà la reine d'un autre.

Ses sourcils se fronce.

-Qui est-il?

-Pourquoi te le dirais-je?

-QUI?

J'avoue qu'en ce moment, je suis terrorisée. Il brise je ne sais trop quoi derrière moi avant de crier un ordre et de partir. Deux hommes installement des éléments tout autour de moi. Je retient qu'à ma droite un baguette en bois, en face un encen, à mes pieds une bougie et je devine clairement un récipient avec de l'eau au dessus de ma tête. Les quatres éléments. L'eau, l'air, le feu et la terre. Il va invoquer les éléments et je servirais de receptacle vivant. Un couteau noir est déposé pas loinn, ainsi que du sang liquide, encore frais. Je frisonne à la vue de deux enfants inconscient qu'on emmène devant l'autel. Je tire un peu plus fort sur mes liens. C'est mort, je n'y arrive pas. J'essaye de brûler liens grace à des éléments, mais c'est une peine perdu, l'autel annule les pouvoirs. Je gigote mes pieds jusqu'à renverser la bougie dessus. La cire me brule la peau, mais, elle fait fondre une couche de métal. Dès que la couche est partie, j'essaye d'utiliser mes pouvoirs, et j'y arrive. Je fais donc glisser la bougie tout autour de moi avec mes pieds. Elle s'étind alors que mes pieds et ma main droite sont libre. J'entends la Bête revenir. Elle me regarde avant de remettre une bougie à l'endroit précis.

-Tu as un peu abimé l'autel, mais on va faire avec.

Il saisit la coupe en haut de ma tête et y verse le sang. Il s'approche d'un des enfants et lui entaille profondément le coude et laisse son sang couler dedans avant de faire pareille avec l'autre enfant. Il finit par mettre lui même de son sang dans la coupe. Il s'approche de nouveau de moi et je mets à spalmoder dans une langue inconnue. Mon corps semble aspiré par une force surnaturel. Je me retient le plus possible avant d'hurler de douleur. La Bête n'en n'est nulement affecté. Il continu de dibité ses paroles incongrus de plus en plus vite et de plus en plus fort. Plus il parle, plus la douleur se fait forte. J'halète lorsqu'il se tait enfin. La douleur vrille encore mon corps. Il prend la coupe et s'approche de ma bouche avec . Il fait couler un peu du liquide près de moi avant d'essayer d'en même dans ma bouche. Je recrache le sang avec violence. Il en boit un peu, comme pour me montrer que ça ne peut pas me faire de mal avant de l'approcher de nouveaux de ma bouche. IL me force à en avaler une mini gorgé. Je tousse et crache violement alors que le sang coule dans le long de ma gorge, dans mes veines, laissant un goût acre dans ma bouche. Il sourit à pleine dent comme si ça lui faisait plaisir.

Il remet la coupe à sa place et recommence à spalmodier. La douleur reprend, plus violente qu'avant, alors que je sens mon sang bouillir dans mes veines. Ma tête devient lourde, mes pensées s'entre choc sans rien comprendre, ma vision se brouille. Ma douleur persiste, mais ça me fait moins mal. La Bête a arrêté de déblaterré ses paroles et il passe l'encen au dessus de moi. Puis il recommence à spalmodié. La douleur revient immédiatement. Il s'arrête une troisième fois et verse de la cire sur mon front. Puis il reprend sa litanie une dernière fois. Il s'arrête. La douleur me martèle, mais quelque chose me dit que le rituel est près que finit. Je brise mes liens et je saute sur mes pieds, pantelante. Je frappe la Bête au ventre, ou ce qui s'en rapproche, et je brise la baguette en bois. Il semble surprit mais ce remet vite. Il me lance un fouet d'eau. Le fouet s'enroule autour de ma jambe. Il tire dessus. Je tombe. Je lui lance du feu, il réplique par un bouclier de terre. Je lui lance une tornade, il la dévie grâce à l'eau. Je lui lance de l'eau, il la fait s'évapporer, je lui lance de la terre, il la renvoit avec l'air. J'esquive le morceau de rock qui s'approche de moi. On s'attaque mutuellement. Son poing de terre rencontre ma lancer d'eau. Les deux se coupent.

On continue de s'attaquer. Je le blesse deux fois avant qu'il m'envoye rouler sur le sol pour la dixième fois. Je me relève difficilement. Avant même d'être debout, je m'écroule sur le sol. J'essaye de me relever trois fois avant que je me rende compte que je n'ai plus force. Je serre les poings. Je suis incapable de protéger les gens que j'aime. Je suis pitoyable. Et encore, pitoyable est un bien faible mot... je suis pathétique. J'ai promis à Aessa de ne plus jamais abandonner, mais n'est ce pas ce que je suis en train de faire? Il faut que je me relève. Je pose mes coudes sur le sol et avec, j'essaye de me mettre à genoux. Une fois cela fait, je me relève doucement. Je titube légèrement avant de me rattraper à un mur. Je relève la tête et je regarde mon ennemi dans les yeux. Ses yeux rouges couleur braises me fixe. Je le fixe en échange.

Aidez moi.suppliais-je aux éléments.

Aucune réponse ne me parvient. La Bête m'attaque avec de l'air. Je sens un élément s'emboiter avec l'air et le faire disparaitre.

Vas y. me dit Diablotin.

Je sens aussi la présence d'Apa. Ils sont tous les deux venus pour moi, au risque de ce faire capturer. Apa me remet sur pied et combine son eau à la mienne. Ce n'est plus un jet d'eau qui déferle, mais un tourbillon qui englobe la Bête. Diablotin vient nous prêter main forte en entrainant un mouvement de toute la masse d'eau. Je ne sens plus mon corps, et ma tête tournoye quand on s'écarte. La Bête est étendu sur le sol, les yeux grands ouvert, il ne respire plus. Grâce à l'eau et à l'air, il a été privé d'oxygène et donc il ne pouvait plus respirer. Je m'évanouie alors que Apa retourne chez elle et Diablotin l'accompagne.

Je me réveille avec un affreux mal de crâne. Mes yeux se porte sur la Bête. Je l'ai tué... non, nous l'avons vaincu. Je vais vers lui et je ferme ses yeux. Ce fut un homme autre fois. Je suis sur qu'il restait un peu d'humanité en lui.

-Retrouve ta fiancé... repose en paix.

Puis je vais voir les deux enfants. Ils sont toujours inconscient, mais en vie. Je les prends dans mes bras et je sors. Je ne veux plus voir cet endroit, il me donne la nausée.

Je sors de cette tour. Une fois dehors, avec l'aide de tout les éléments feu, je brûle l'endroit. Je ne sais pas comment, mais je suis rentrer au royaume du ciel en moins d'une jourrnée, je crois que les éléments air nous ont transporté. J'ai un vague souvenir d'avoir confié les enfants à Aessa avant de m'évanouir de nouveau.

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Voilà voilà, je sus impatiente d'écrire la suite, mais je veux juste vous faire patienter un peu... nan c'est pas vrai, quoi qu'un peu, nan, en vrai c'est juste que j'ai pas envie que les chapitres soit trop long. Donc voilà, je les raccourcit un peu.

Bisous mes licornes roses.

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