Je ne serais pas longue, juste pour dire que ce sera sans doute le seul, ou près que seul, chapitre ou il y aura différent points de vue; Merci et bonne lecture. 

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Les chevaux galopent pendant toute la nuit. A l'aube on a birfurqué vers l'ouest. On est progressivement entré dans une partie que je ne connaissait pas. Les forêts de grands arbres se firent remplacé par des entendues de verdue. les collines et les montagnes devinrent des plaines et des lacs. je m'émerveillais devant les paysages magnifiques qui surgissent. 

On arrive devant une étendue de verdure, une grande plaine émeraude. Au loin, à l'horizon, une nappe turquoise mirlifique. Une douce odeure de sel plane dans l'air. Je laisse Mirage galoper sur l'imense plaine. À mes côtés, Astario me suis de près tandis que Finyë et Sibton nous regarde d'un air amusé. Après tout, je suis contente d'être ici. Je n'arrive toujours pas à regarder Astario mais lui parler, même si c'est difficile, reste faisable.

Mirage arrive en vue de la mer. De belles embarquations en bois, finement sculptés de sirène, coquilage, animaux, patientent sagement sur le bord de l'océan. Six groupes de matelots de différents âges jouaient aux cartes et bavardaient joyeusement. File, l'étalon baie d'Astaro, s'arrête à mes côtés. 

-C'est beau n'est-ce pas?

-ouais... sur Terre, je suis allée plusieurs fois à la mer, mais je n'ai jamais vu une eau si belle. 

-c'est le royaume des Mers. Ou du moins sa frontière.

-Raconte moi?

-Quoi?

-Une légende. As-tu déjà voyagé dans un de ses bateaux?

-Doucement. je vais répondre mais ne me harcèle pas. 

-Ok. 

-J'ai déjà voyagé à bord du Cygne, de la Sirène et du Marin. 

-ce sont lesquels?

-Le Cygne et le Marin ne sont pas ici. la Sirène c'est celle avec la sirène sculpté à la proue. 

Je regarde le bateau qu'il me montre; c'est une magnifique embarquation, grande de plusieurs mètres, un monstre colossale parmi les autres navires; Son mat se dresse haut et fière. A la proue, une sirène chantant est sculpté. 

-Il fait la fierté des marins; c'est un honneur et un plaisir de pouvoir le voir et y monter; j'ai été matelot dessus.

-Matelots?

-oui, c'est une tradition dans mon peuple. les garçons doivent passé un mois en mer pour devenir des hommes. 

-Hum. C'est... on dirais une ancienne tradition de mon pays sur Terre.

-Ha ouais?

-Ouais; les garçons, une fois qu'ils passent leurs dix-huitième anniversaires, doivent passé plusieurs épreuves pour prouver leur courage, leur force, leur bravoure; Et il y a une épreuve où les jeunes garçons doivent passer un mois sur une barque. A la fin, ceux qui reviennt sont alors acceptés parmi les hommas; 

-Ça ressemble un peu. concède Finyë

Ça présence me surprend.

-Bon, allons y; les marins nous attendent. 

-En avant.

Nous descendons la petite butte; Finyë en tête, Astario ensuite, moi et Sibton. Les marions se levèrent et vinrent nous accueillir. Finyë prit la parole, une fois tout les quatre a terre.

-Vous allez bien?

-Oui!

-ma nièce rentre avec nous;

Les regards convergèrent vers moi. nulement impressionné, je soutient les regards des matelots.

-Et bien, elle a du caractère la petite.

-On embarque avant qu'il fasse nuit!

Les matelots s'activent. Pour ma part, je m'approche de l'eau. Je laisse mon esprit s'envoler à la recherche d'un ou plusieurs apā. Dès que mon esprit touche celui d'un apā, je lance un appel:

-Je suis une amie.

Une voix douce me réponds, suivi de trois autres.

-ca fait bien longtemps que plus personne ne nous parle. 

-Yica, ravi de te rencontré.

-ton maitre nous a beaucoup parlé de toi. 

-bonjours à vous. je suis tellement contente que vous soyez en vie. j'ai cru que vous étiez morte.

-Beaucoup d'entre nous oui...

-Nous étions des milliers avant, nous ne sommes plus qu'une centaine dans l'océan des Mers. 

-Vous... Je vais passer un moment avec vous, je vous promet de vous parloer souvent.

-Merci jeune fille;

-fait attention a toi...

-une tempete arrive du large. tu devrais le dire a tes amis. 

-Je vous remercie;

Les présences disparaissent, mais pas completement. Je m'approche de Finyë.

-Finyë, je peux te parler?

-Oui. je vous laisse deux minutes. cris-t-elle a un groupe de matelots.

On va toute les deux à l'écart. 

-Il va y avoir une tempête.

-Comment... Non! Ce n'est pas possible. 

-Je t'assure. 

Personne ne devais connaitre les éléments, je ne peux pas lui dire que je parlais a des apā. 

-Tu verras, c'est simplement un mauvais présentiment. 

-Je... je t'assure.

Un homme se rapproche de nous.

-Tout va bien?

-ma nièce croit qu'il va y avor une tempête. 

l'homme rit. les matelots se regroupèrent autour de nous.

-Qu'est ce qui se passe?

-La petite... hahaha... crois... hahaha... qu'il va... hahaha... avoir une tempête.

Les autres matelots rirent. Je les regardent . Puis d'un ton calme et posé je répond.

-Ne me croyés pas, on verra bien.

-Une fois sur le bateau, tu verras qu'il n'y a aucun mauvais sort.

-je n'ai pas peur de monter sur le bateau... il va y avoir une tempête. 

-Tout le monde a peur de monter sur un bateau la première fois, c'est normal.

Ce qu'ils ne savent pas, c'est que je suis déjà monté sur un bateau, je suis même déjà monté jusqu'en haut du mat. Mais cette fois encore c'était avec Nalfay. Mes yeux s'embuèrent de larmes. Je ne veux pas pleurer. Je m'esquive donc et je me mets à l'écart pendant que les marins montent des caisses; j'en est marre de ne rien faire; je m'approche d'un matelot.

-je peux t'aider?

-heu... reste assise; Tu ne fera que nous gené.

-Est-ce que je peux faire quelque chose?

-Bon ok... prends ses casses et portent les jusqu'à la nacelle. 

-ok. 

Le matelot pense vraiment que je ne sais rien faire et que je suis fragile; Il est temps de voir ce que l'entrainement de Terram m'a apporté. je me dirige vers les caisse et j'en prends une; Je la soulève sans trop de mal et je commence à avancé. je la porte jusqu'à la nacelle et je recommence avec une autre. Plusieurs maroins me regardeent et des commentaires fusent. 

Une fois que tout est chargé à bord, les matelots font monter les chevaux.

-Mademoiselle, montrez.

-Non!

Je m'assoie. les hommes me regardent.

-Allons faites pas l'enfant.

-Si. je tire la langue.

quelqu'un rigole ou sourit devant ce comportement enfantin. Alors que je ne m'y attends pas, des mains me soulève. Je me débats. Puis j'entends la vois de celui qui me parle; c'est astario. Pendant une seconde, je revois la scène avec Nalfay et un petit sourire flotte sur mes lèvres et puis je me souvient que c'est Astario et je fais disparaitre mon sourire et je me débat.

-Astario, lache moi.

-Non.

-Tout de suite.

-Non.

-T'as interet a me lacher ou je saute du bateau.

des rires; 

-On verra bien si tu le fais; 

Il monte sur le bateau et me pose sur le pont, près du bord. 

-Alors tu sautes?

-Hum...

 je me lève et je regarde par dessus. ca devrait le faire, c'est un peu comme au lycée a passé par dessus la barrière. je recule; je pose mon sac, un sourire victorieux se dessine sur le visage d'Astario; j'enlève ma veste. La plus part des garçons sont gênés. Sous ma veste, je porte un tee-shirt moulant noir; j'enlève mes bottes et mes chaussettes, de sorte de me retrouver pieds nus. les visages sont incrédules; Puis je souris rapidement et je m'élance vers la rambarde; garce a l'élan, je me propulse et hop, me voici par dessus bord. Je sors ma tête hors de l'eau; 

-ALORS TU DISAIS? 

-T'es folle. Ne bouge pas, je viens te chercher; 

je le regarde avant de rire. Personne ne me comprends; Je me mets à nager vers la berge; je sors trempés, le tee-shirt un peu transparent, mais on s'en fiche non? Bon, j'ai oublié une chose, j'ai froid maintenant. et je n'ai pas de vêtement de rechange; je suis douée, il faut toujours que j'oublie quelque chose. 

-Allé monte.

-Nop.

Le cri d'un matelot se fait entendre:

-TEMPÊTE EN VUE!

Tout le monde scrute l'horizon pour diserné la tempête qui s'approche. Tout le monde me regarde avant de défaire les voiles et autres. Puis les marins descendirent des navires et se mirent à l'abrit dans l'espèce de grotte. 

-Comment t'as su...

-Je l'ai su... je n'ai pas le droit de dévoilé certaines choses. 

Finyë me regarde

-Ça a un rapport avec  les sages?

-oui. 

-Aucune question; Nous repartons dès que la tempête se calme. Yica, tu sais quand elle se calmera?

-Heu... je vais essayé de savoir; 

La pluie a commencé a s'abattre avec violence; je me mets devant la sortie. je ferme les yeux. Je respire, je pense à Nalfay. Puis j'ouvre les yeux et je me glisse dehors. J'entends vaguement Finyë dire:

-Qu'on la laisse. j'espère qu'elle sait ce qu'elle fait.

Un fois dehors, la pluie me transperce. j'ai l'habitude de ce type de pluie donc ça ne me fait pas peur; je rentre dans l'eau jusqu'au bassin; je ferrme les yeux. 

-Apa???!!!

la présence d'une des apa me parvient; 

-yica? que fais-tu ici?

-je vais vous aider; 

-tu vas te vider de tes forces; 

-Ce n'est pa grave; j'ai compris en voyant les embarquation, cette tempete est l'oeuvre de la Bête. 

-oui; Nous essayons de la netraliser, mais sa force est trop puissante; 

-je vais vous aider, laisse moi vous aider;

-Bien, unie ton pouvoir au notre. 

je fais ce qu'elle me dit; je laisse le pouvoir des autres apa m'encerclé. Parmi les forces, je sens l'apa d'Aqua, ainsi que d'autre venir en masse. Je libère ma force. Corps et ame, je me plonge dans la tempête, j'essaie de pénétré sa défense. Je ne sais pas combient de temps dure l'offensive, mais je suis fatigué, la tempête s'est éteinte, je réintègre mon corps. Je le sens flotter, balloté par les vagues. 

Vue extérieur:

Dans la grotte pendant ce temps, les matelots sont silencieux. Tout le monde pense la même chose, cette fille est folle. Puis, au bout de deux ou trois heures, la tempête disparait. Plus rien. Aucun vestige de son passage. Astario cours sur la plage, il cherche la jeune fille. il sait que ce n'est pas bien, mais il aime cette jeune fille, malgré qu'elle soit sa cousine, qu'elle vienne d'un autre royaume, qu'elle lui tient tête, il l'aime. Il la cherche désespérément. il repère son corps, tranquillement posé sur le sable, les pieds léché par les vaguellettes. il s'approche. Il tombe à genoux. il tire la jeune fille hors de l'eau; Elle est glacé. Astario voit son frère arriver; Sibton lui propose de l'aider. il garde la jeune fille jalousement mais répond calmement a son frère:

-ca ira, va plutôt voir si les embarquations n'ont pas souffert, elle est légère.

-Ok. tu devrais la ramener a maman pour qu'elle la change sinon elle risque d'attraper froid;

-tu as raison.

C'est vrai, elle frissonne mais ne bouge toujours pas. Le jeune homme se dépêche de trouver sa mère;

-Maman, tu... qu'est ce que je fas pour elle?

-Mets la dans ma cabine. 

-Ok.

-t'en fait pas, j'arrive. on peut parrtir tout de suite alors autant le faire; Surtout qu'il nous faudra bien deux ou trois jours pour arrivé à la pêtite ile. 

-Ouais. 

Le jeune homme monte sur la Sirène et va dans la cabine de sa mère. il dépose la jeune fille sur une serviette. Il la regarde; Elle est magnifique avec ses long cils, ses lèvres pleines, ses cheveux chatains-blond... Sa respiration est lente, plutôt bon signe; le jeune homme pose ses doigts sur le poignet glaciale de la jeune fille. Il prend son poue. Il est régulier. Sa mère arrive.

-Sa respiration est lente et son poue normal. par contre elle est glaciale.

-Merci. Va m'attendre dehors le temps que je la change. 

-oui. 

Il jette un dernier regard à la jeune fille avant de sortir. il sort et aide les autres. Sibton arrive en courant.

-Alors?

-maman est avec elle. Son état est à peu près stable. 

-ok. 

-les garçons, détachez la grande voile. 

Le jeune homme l'a déjà fait des dizaine de fois; machinalement il monte sur le fillet et se hisse sur la poutre. Il S'assoie sur la poutre et détache la voile. Il est perdu dans ses pensés, il s'inquiète pour sa cousine. Le seul fait de penser a elle comme ça le fait souffrir. 

-Qu'est ce que tu as?

-je me demande d'où vient cette tempête. mentit-il a son frère. 

-Ouais, moi aussi.

Sa mère arrive sur le pont. Il se rapproche.

-NOUS PARTONS!

Les embarquations s'élencent doucement sur l'eau. Astario interroge sa mère du regard.

-elle...?

-Ca va. Elle est toujours inconcsiente et je vais devoir parler avec elle de ses tenues.

-Pourquoi? demandent les deux frères en même temps

-je ne sais pas d'ou elle vient, mais ses tenues sont... intollérable.

-Tant que ça?

-Oui. Laan est a son chevet.

A ses mots, Astario sent naitre un sentiment de colère. Laan est le meeilleur ami des jumeux; c'est un jeune homme de 21 ans, trois ans plus âgé que les frères, des cheveux brun et des yeux bleu-gris. Il est apprécié des filles, même beaucoup. 

-Je vais le voir.

-ok. Juste parlez pas trop fort pour ne pas la dérangé. 

-ok.

Astario descend dans la cabine de sa mère, elle est vide; Il continu jusqu'à l'infirmerie, pareil; il se rend alors dans la cabine de la jeune fille. Il la trouve endormi et Laan adossé au mur. Il est concentré sur une photo. Astario s'approche.

-hey mec. salut Laan. 

-Salut Laan. c'est quoi?

-Toi et elle.

-Moi??? T'es sur???

-ouais. regarde. 

Laan tend la photo a Astario. Sur la photo, il voit Yica dans une robe blanche moulante et son sosi. Yica lui fait un bisous sur la joue. derrière eux, un feux d'artifice illumine le ciel. Il y a une légende inscrite au dos il lit: "Mon <3 et moi". En dessous il voit une date: "01-01, minuit".

-ou tu l'as trouvé?

-dans son sac; 

-C'est pas moi en tout cas.

-T'es sur?

-Ouais, je me souvient quand même de ce que j'ai fait.

-Ouais. 

Astario est triste, ce garçon... elle... elle est heureuse avec lui et quand c'est lui, elle est fachée. Il est jaloux, oui; il le sais a présent, il ne pourra pas se passer de cette fille. Qu'elle qu'elle soit. 

Les deux amis discutent. La voix de la jeune fille les surprend. Ils s'approche du lit pour écouter la jeune fille. Elle est toujours inconsciente. par moment, le nom de "Nalf" se fait entendre et puis c'est le silence.

Elle a déjà prononcé ce nom.

Flash back

C'étais l'autre jour. Chaque fois qu'il fermait les yeux, il revoyait la jeune fille dans son pyjama. il est sortit sur le balcon. Elle était là. Il la contemple. Elle regarde le ciel, vers l'horizon. Ses cheveux chatain-or flottent derrière elle. Sa silhouette est féminine, empreinte de grace, essance même de la beauté. Il s'approche par derrière et lui pose les mains sur les yeux. Elle sursaute.

-C'est qui?

-Nalf...

Elle enlève ses mains et le regarde un air en colère. 

Fin du Flash Back

Les deux amis furent remplacé par un matelot. Astario s'occupa pour éviter de pensé à la jeune fille.

Ils avaient fait une escale à la petite ile. Un médecin avait osculté la jeune fille mais avait déclaré que c'était un mal étrange et qu'il ne connaissait pas de meilleur remèdee que le calme. 

Ca faisait deux heures qu'ils avaient quitté la petite ile et Finyë était au chevet de Yica. la jeune fille se réveil en sursaut et cherche du regard quelque chose familié. Finyë lui dit:

-Du calme Yica.

-Je... qu'est ce qui se passe?

-Tu es évanouie depuis trois jours. 

-Trois jours.

-Tu as mal quelque part?

-A la tête mais ça va; 

-Que c'est-il passé?

-je... un truc avec les sages.

-je vois. je suis contente que tu sois de retour parmi nous.

-Hum...

-Change toi et rejoinds moi sur le pont. Du moins, si tu y arrive.

-J'arrive, laisse moi cinq minutes.

-Tu sais ou me trouver. 

Une fois Finyë parti, la jeune fille se lève; Elle a mal a la tête. Ses membres la fait souffir. Elle marche jusqu'à son sac et mets un pantalon et une chemise au hasard. Elle se coiffe rapidement et sors. Elle atteind rapidement le pont. Une fois à l'air frais; elle respire tranquillement. Elle va trouvé Finyë. 

-Alors comme ça tu résiste plutôt bien. 

-Ouais. ca va. 

Astario voit la jeune fille. Il est soulagé mais toujours terriblement triste. il va voir la jeune fille.

-Alors comme ça mademoiselle suporte les roulis. 

-Ouaip. 

Elle se tourne vers l'océan. D'un coup, son regard change. Une étincelle s'allume. Elle court jusqu'à une barière.

-on est où? c'est quoi? L'eau est toujours comme ça? Qu'est ce que j'ai raté? Ou on va? Quels sont ces oiseaux? Quels sortent de crétures marines trouve-t-on?

Elle enchaine les questions sous les rires de l'équipage.

-Et bien, voici quelqu'un qui est intéréssé par ce qui l'entoure. 

Le capitaine s'est approché et tente de répondre à toute les questions de la jeune fille; chaque réponse entraine un autre question. la jeune fille est avide de connaissance. 

-Jeune fille, tu devais être savante là d'ou te vient.

-Moi? Non. 

Elle rie toute seule, sans doute se remémorant un moment drôle. 

-J'ai toujours été une plaie pour mes profs et puis, j'étais  pas la meilleur, de loin. 

-Pourquoi donc?

-Hum... je parlais trop avec mes amis. 

-Tu ... parler??

-Ouais. d'ou je viens, tout les enfants vont à l'école jusqu'à... minimum 16 ans. On est tous réparti dans différentes classes et puis on a des profs pour chaque matières. 

-16  ans?

-Ouaip. Parfois plus longtemps. jusqu'à 25 ans en général. 

-C'est... exagéré. 

-Toi? Tu comptais finir quand?

-Hum... 16 ans sauf que mathilde m'a interdit et me forçait a y allée. je dirais donc que j'y serais allé jusqu'à mes 19/20 ans. Après ça je serais partie. J'avais d'autre rêve et je compte bien les réaliser.

-Quels sont tes rêves?

-Hum... voyagé, beaucoup. J'aimerai aussi aider des gens, partout ou j'irai, et puis je veux retrouver quelqu'un. 

-Qui?

-Un ami. 

-hum...

-Tu penses réaliser tes rêves ici?

-Oui. C'est un nouvel univers, autant le découvir, exploré les moindre recoins.

-Qu'est ce qui te parait le plus facile a faire?

-Rire et m'amuser tout les jours. 

-tu es bien une fille;

Je tire la langue. 

-Et un vrai bébé.

-Et fière de l'être.

Toute l'après-midi fut remplit de rire et de jeu. Au soir, le calme revient. Après le repas, la jeune fille partie dormir. Avant de s'endormir, elle essaya de parler a Apa, mais un mal de crâne la forca a arreter. elle essayerai plus tard. Elle s'endormit rapidement. A son réveil, elle monta sur le pont. Après un déjeune consistant, elle accepta l'offre d'un matelot de monter jusqu'en haut du mat. Le jeu était de monter le plus rapidement possible en haut du mat et de décrocher un foulard avant de descendre. La jeune fille saisi le cordage et commença l'ascention. 

-Alors petite.

-Continue.

-T'y est près que. 

La jeune fille se souleva encore une fois. Les autres matelots étaient un peu plus haiut. Elle recommença plus vite. Elle décrocha son foulard la dernière. Elle vit  les matelots a mi hauteur. Elle ne perdrai pas. Elle commença a descendre. Puis d'un coup, elle regarda en bas. ils étaient assez loin pour se le permettre. Elle lacha le cordage et se poussa un peu. Elle tomba un petit bout de cordage, rattrapant près que les derniers. elle le refit encore une fois. Une fois descendue, elle cout jusquau capitaine et lui tend son foulard.

-Et bien on peut dire qu'elle est courageuse la miss; 

-T'as déjà étais marin de la d'ou tu viens?

-Nop. Je suis souvent monté sur des bateaux. le père d'une de mes amie avaient un bateau.

-Bravo en tout cas. C'est pas  tout le monde qui se serait laché.

-Ca demande du courage. 

Puis a la demande général, elle racconta une histoire de son ancien chez elle. Puis elle réclama une anecdote que les matelots fournirent avec joie. 

Vue Yica:

Je m'isole pour l'après-midi. Je m'assoie les jambes dans le vide; Je ferme les yeux. Mon dos repose sur le pont, le soleil chatouille ma peau. 

-Apa?

-Yica.

-Tu voici saine et sauf. 

-Nous avons crues que c'en était fini de toi.

-Allons, je vais bien. Vous n'avez pas subit trop de perte?

-Dix des  autres ont partis.

-Dix. C'est affreux.

-Oui; grace a toi, il n'y a pas plus de mort. 

-Je suis contente de vous retrouver en vie. 

-Nous devons te laisser. 

-Pense a nous parler de temps à autre. 

-Promis.

J'ouvre les yeux. Le visage de Laan est au dessus de moi. En ouvrant les yeux, je l'ai fait sursauté. 

-Ca va?

-ouais et toi?

-Oui. Tu faisais quoi?

-Je méditais.

-Hum... tu viens on arrive en vue des terres.

-C'est vrai?

-Ouais.

Je me lève ayant hâte de voir le royaume des Mers. Laan me tire jusqu'au mat.

-On monte ma belle.

-Je te suis mignon. 

Il rougit jusqu'aux oreilles. Je lache un petit rire et puis on entamme la progression.  Arrivé en haut du mat, on voit la terre apparaitre. Des terres s'étendent en face de nous. Le port est remplit de monde. Le vert domine dans ce paysage. 

-Wouaw.

-Comme tu dis; je te présente le royaume des Mers. 

Je regarde la ville se rapprocher jusqu'à ce que le capitaine nous ordonne de descendre. Je retourne dans ma chambre prendre mon sac et je retrouve Finyë, Sibton, Astario et Laan sur le pont; Finyë me passe un bras autour des épaules.

-C'est chez toi ici aussi.

Je sens le regard heureux de Sibton, les yeux pressants de Laan et astario qui baisse le regard. 

-Il y aura Sara au port. lance Finyë.

Sibton et Laan lancent des regards a Astario tandis que ce dernier serre les poings. Il tourne les talons et s'éloigne un peu. 

Nous arrivons très rapidement au port. Des milliers de personnes sont rassemblé. Je salue l'équipage en les remercient et puis je descends, la bride de Mirage a la main, mon sac sur une épaule. Laan nous accompagne. J'ai compris que les garçons s'aiment beaucoup et que Laan ayant perdu sa famille jeune reste chez la famille royale. Nous sommes sur le quais, tout les citoyens acclament leurs souverains. Une jolie fille de 20 ans arrive et se jette dans les bras d'Astario. Elle a des cheuveux brun et des yeux bleux.

-Tu m'as manqué As chéri.

Sibton me chuchote:

-une amie d'enfance d'As.

-hum...

La jeune fille serre succèsivement Finyë, Sibton et Laan dans ses bras avant de me regarder.

-C'est qui?

-Ma nièce Yica.

-T'es de la famille d'As alors t'es de la mienne.

-Merci.

-Je suis désolé je m'appelle Sara.

-Enchanté.

-Moi de même Yica.

Sara est super gentille enfaite. Elle déborde de  joie de vivre. Tous ensemble, on se dirige vers le centre ville. Le chateau, voilà notre destination. c'est une immense structure faite de lapis-lazulis. C'est une pierre bleu magnifique. Sara accapare Astario, Sibton et Laan discutent ensemblee dans l'une chambre, Finyë est allée rejoidre son époux  et moi, j'here dans le palais. je m'arrête dans la  bibliothèque. Je parcours les rayons de livres d'un air avide. Oui, j'adore lire, et alors ça vous pose un problème? Si c'est le cas c'est pas mes affaires:).  Je saisi un livre au hasard et je commence la lecture. Je m'immerge totalement dans ma lecture, que je ne vois plus les heures défiler ni n'entends les  voix  des gens qui me cherchent pour le repas. C'est Laan qui me trouve. En entrant dans la bibliothèque, il me voit de dos, plongé dans un livre.

-Mademoiselle.

Il pose sa main sur mon épaule. Je sursaute avant de me retourner.

-Laan?

-Ouaip, c'est bientôt l'heure du dinet et Finyë demande que tu la retrouve dans ta chambre.

-Ma chambre?

-Personne ne t'as fait visiter?

-Non. 

-Vient. Ici c'est la bibliothèque...

-Je m'en doutait.

-Ok. 

Il me montre toutes les pièces. Puis il arrive devant une porte blanche.

-Voici ta chambre.

-merci. 

J'entre dans la pièce et dépose mon sac par terre près de  mon lit. Finyë est assise sur le lit.

-Viens, je vais te donner ta tenue.

-Heu... merci.

Elle sort une robe bleu nuit qui m'arrive jusqu'aux chevilles. Je vais me doucher et je l'enfile puis je revient. Elle m'installe sur une chaise et me coiffe mes cheveux. Elle lache mes cheveux dans mon dos.

-Aller vient ma belle.

-Je te suis. 

On descend.  A table, je vois Sara et Astariot de dos, Sara sert le bras d'Astario, Laan et Sibton en face. Un homme souriant, les cheveux bruns et les yeux turquoise, regarde dans notre direction. Son sourire s'agrandit quand il nous voit. Tout le monde se retourne vers nous. Arrivé devant le roi, il complimente la reine et me regarde.

-Yica c'est ça?

-Oui...

-Pamius.

-Enchanté.

-Moi de même et honoré de manger en si bonne compagnie.

-Je vous remercie Pamius.

-Nul besoin, c'est sincère.

Je sourit au roi. Il n'a pas l'air méchant, plutôt gentil même. Sibton et Laan me font des signes de mains, je les rejoinds.

-T'es trop mignoneeeeeeeee! 

sara vient de se jetter dans mes bras et me caresse les cheveux. Elle s'accroche à moi. Je rigole de bon coeur. Elle me rapelle Aessa. C'est fous comme ces filles sont à la fois magnifique et pleine d'énergie.

-Devient ma poupée. je pourrais te coiffer? Te faire des coupes? Tu comptes te couper les cheveux? Toutes les filles ont les même cheveux que toi d'ou tu viens? Tu as mis un produit? Si oui lequel?

-Tu vas la tuer sous toutes tes questions.

-Laisse là respirer. 

-Je peux te répondre si tu me laisse parler.

-vas y. 

-Je ne suis la poupée de personne, tu pourras me coiffer si tu veux. Faire ders coupes aussi si tu veux et du moment que je peux lire. Je ne compte pas me couper les cheveux. Non ce n'est pas toute les filles en faite on a toutes les cheveux différents et c'est... splendides. Je ne mets pas de produit, juste du naturel. 

-Houa... ok je suis super contente. t t'es déjà fais couper les cheveux?

-Oui. En 5ème je me suis fais une coupe au carré. 

-5ème? 

-T'ES FOLLE!!!!! AVEC TES CHEVEUX T'AURAIS JAMAIS DU LES COUPER!

-On me l'as déjà reproché. 

-Qui?

-Aessa, une amie a moi, elle va venir vous pourez parler ensemble si vous voulez.

-Ouais. 

-Aessa, ta servante?

-(souffle de ma part) surtout mon amie

-Comment est-ce possible?

-Vous ne savez pas ce qui s'est passé là-bas...

-Ils... t'ont mal traité?

-Ce n'est pas ça... je lui doit la vie.

-Comment ça? 

-Elle m'a sauvé plusieurs fois la vie. 
-Raconte.

-Une fois J'ai glissé d'une falaise, Ae m'a rattrapé. On est resté deux heures, moi dans le vide et Ae a mpoitier dans le vide. Elle a refusé de me lacher. Une autre fois, j'ai eu un malaise et je suis tombée à l'eau, elle a sauté et elle m'a ramené au bord... Bref, je lui doit la vie un bon nombre de fois. 

-Elle sera récompensé.

-Je lui ai donné ma confiance, et je compte la garder comme amie.

-Tu ne te doutais de rien? Qu'elle était là pour veiller sur toi.

-Non, je ne me doutais de rien. (je souffle encore)

-Et quand tu l'as appris? Comment?

-(Je souffle) Ae me l'a appris le premier soir ou je l'ai revu. Je me suis sentie trahit et puis je l'ai rembalé et je suis partie. (je rigole) je me suis réveillé dehors. Ae m'avait rejoind et on dormais dans les racines d'un arbre. Ca m'a rappellé des souvenirs. Quand elle s'est réveillé je lui ai pardonné. 

-Tu la connais depuis longtemps?

-Hum... ouais... 

-Et...

-C'est bon, y a des choses qui me regarde. 

-Tu as raison. 

-Une fille avec un fort caratère... J'espère que tu seras amis avec mes garçons. 

Mes garçons, il considère Laan comme son fils.

-Je n'ai aucun problème avec les gars.

-Bien.

Le reste du repas se passe dansune bonne humeur contagieuse. Puis, après mangé, je retourne dans la bibliothèque pour lire un peu. Je contine de lire jusqu'à ce que Sara se jette sur moi. 

-Viens, on va dormir.

-ok j'arrive. 

-demain c'est une grosse journée. 

Je me couche directement. Mes rêves me ramènent loins dans le passé. De beaux rêves qui me font sourire. 

Au petit matin, sara vient me réveiller, elle est toute existé. 

-Allez viens. 

Elle me traine dans la salle de bain des filles. On se douche et puis, une fois en serviette, Sara me rejoind.

-Tu as un vêtement de bain?

-Ouais.

-Mets le.

-Ok, je reviens.

Je parcours en serviette la faible distance qui me sépare de ma chambre lorsque j'entends la voix des garçons venir. Je devient invisible et je continue de marcher. une fois ma porte fermé, je pousse un soupire de soulagement (J'aime soupirer, c'est un droit). Je mets un mayot et un mini short chocolat avec un débardeur bordeaux et mes tongs (sandales ou crocs ou je ne sais quel autre nom). je prends un petit sac avec une serviette de bain et je sors. Je rejoinds Sara dans sa chambre. A peine entré, je vois les garçons de dos.

-Ou allons nous?

Je les fais sursauté. Ils me regardent tous avec de grands yeux... ma tenue pu*ain de me*de je suis con*e. 

-Ho allé on y va?

-Comme ça? 

-dans cette tenue?

-T'es malade.

-TU...

-C'est bon, c'est peut être différent de chez moi mais je reste comme ça. Abat la dictature.

je tire la langue comme une gamine avant de me jeter sur sara et de la chatouiller. Puis je vais vers Laan et je lui fais subir le même sort. Après un temps de réserve, Sara, Sibton et Astario se joignent à la partie de chatouille. Une fois le calme revenu, on sort jusqu'au lac. c'est une magnifique nappe d'eau entouré de forêt. Je pose mon sac par terre et je commence à enlever ma tenue pour rester en mayot. 

-ARRÊTE!!!!! crient-ils en même temps.

-Je ne vois pas en quoi ça pourrais vous gêner. La seule qui pourrait l'êre c'est moi. 

J'enlève mon haut et mon mini-short, dévoilant un mayot jaune et rouge. Je  cours jusqu'à l'eau et je me jette dedans tête la première. Je resort un peu plus loin.

-Allez, elle est génial. 

-On arrive. 

Il n'arriveront pas de suite a s'y faire. plus j'apprends de choses sur cet endroit, plus je me sens chez moi, a l'aise, et moins j'ai envie de  partir ou même de mourir. Trop pudique ses gosses. On s'amuse toute la journée et on rentre vers 16H au palais. Après une bonne douche, je mets une tenue décontracté et je vais trouver Finyë.

-Finyë, tu m'as dit qu'il y avait un maitre du feu... je peux le rencontrer?

-Je ne sais pas si il acceptera de t'enseigner sa magie, mais je vais le faire appeler. 

-Merci Finyë. 

Je vais dans la bibliothèque pour lire un peu. J'entends des bruids de pas qui me tirent de mon livre. 

-Majesté, vous m'avez fait appeler, que puis-je pour vous?

Je me retourne. Devant se trouve....

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Je sais, j'ai mis un peu de temps pour écrire ce chapitre et il n'est pas particulièrement interressant mais j'espère que ça vous a plu. Je vais essayer de poster le prochain chapitre le plus vite possible.

Voilà à bientôt :)