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La tour de mes tourments

Je me suis réveillé, l'aube n'étais même pas encore levé. Je me suis extripé délicatement de ses bras et je suis allée dans la salle de bain. Là, j'ai récupéré le sac que j'ai préparé hier. J'ai mis un pantalon chocolat et ne chemise brune. Je suis descendu et j'ai trouvé Aessa. Elle buvait café sur café pour resté éveillé. Je l'ai prise dans mes bras et elle a enfouie sa tête dans mon cou. J'allais partir, et Aessa le savait. Elle m'avait attendu. Aucune de nous ne parla. On resta silencieue un long moment. J'avais écris des lettres pour tout le monde. Aessa le savait aussi puisque'elle tandis sa main. Je lui remis les lettres et elle me fit un petit sourire.

-Ne soit pas triste ma Ae.

-Ne soit pas triste toi non plus.

-Pfffff... j'ai hâte que tout soit fini et qu'on vive tranquillement.

-Moi aussi.

On se retrouva dans un silence.

-Tu devrais y aller avant que les autres se lèvent. Tu auras du mal après et tu ne pourras tout simplement pas.

-Ouais. Alors je te dis au revoir.

-Au revoir.

-Prends soin de toi Aessa.

Elle hoche la tête. Je pars avant que tout le monde ne se réveille. Lorsque l'aube se pointe, je passe les portes de la ville en courant, une capuche sur la tête pour éviter de me faire remarquer.

Je cours toute la journée et je m'arrête dans une petite ferme à la nuit tombée. Je grinotte un peu de pain et du fromage que j'ai pioché dans le garde manger. Je me repose à peine deux heures et je me remets en marche.

Une fois arrivé au royaume du feu, je m'octroie un jour de repos pour reprendre des forces avant d'entrer dans le marrais et de m'approcher de l'habitat de la Bête.

Je me trouve actuellement devans la grande porte pour entrer dans la cachette de la Bête. Les lieux sont désert, contrairement à la dernière fois. Je pousse la porte. Tout mon être me dit de partir. Je combat ma peur en pensant à Aessa, Taryë, toute ma famille et puis Nalfay. Malgré qu'il soit mort, je pense encore lui. Je passe dans l'ouverture. Un escalier se dessine sur la droite, un autre sur la gauche. Celui de droite monte, c'est là où j'ai été retenue prisonnière. La dernière fois, plein de personnes déambulait dans les couloirs, maintenant c'est le néant. A-t-il déménagé? Non, ce n'est pas possible. Je sens une grande consentration d'éléments en dessous de moi. Je m'approche de l'escalier de gauche. Il est très sombre, je ne vois même pas le sol. Je pose un pied. Le sol est dure c'est bon. Je pose un deuxième pied et j'avance tout doucement. Je crée une petite flamme avec un élément. Le sol devient glissant d'un coup et je tombe.

Je me réveil, ma tête me fait mal. Ma flamme s'est éteinte, je ne vois rien. Je bouge doucement ma jambe. Un mal s'emparre de moi. J'étouffe mon cri en me mordant la lèvre jusqu'au sang. Je crois que je me suis cassé la jambe, ou du moins fracturé. Je réessaie de bouger ma jambe, et ça me fait trop mal. Je cherche autour de moi. Tout ce que je rencontre ce sont des pierres et un morceau de bois. Je casse le bois de sorte qu'il fasse la taille de ma jambe, un peu plus même. Je l'attache solidement avec des bandes de vêtements et je me lève en m'aidant du mur. Tout est glissant, il faut que je fasse attention à ne pas retomber.

Je fais quelques pas pour m'entrainer et je continue ma progression avec une nouvelle petite flamme. Je longe un long couloir avant de débouché sur une grande salle circulaire. La pièce est en pierre, le sol en mosaïque, au milieu de la pièce se trouve un autel circulaire. Une lumière violette-rouge ilumine l'autel. J'efface ma flamme. Je m'avance dans la pièce pour voir l'autel. Un corps d'à peu près 2m30 peut tenir tant en longueur qu'en largeur. Quatres trous sont ouverts aux extrémités de l'autel. Je le contourne et je continue d'avancer. Le deuxième couloir se divise très rapidement en trois branches. Je prends celle de droite. Des dizaines d'alcoves, comme des chambres, s'ouvrent de chaque côtés. Je retourne en arrière et je prends celle du centre. Elle fini en cul de sac. Je retourne dans celle de gauche. Au bout se trouve un escalier qui descend. Très prudente, je l'emprunte en m'arrêtant de temps à autres pour souffler un peu.

La pièce du bas est rectangulaire, cinq ou six couloirs débouchent ici. La pièce est iluminé par une lueur violacée, prèsque agréssante et sanguinaire. Je me déplace furtivement, en ne laissant que très rarement mon pied blessé plus d'une seconde. De l'un des couloirs, j'entends des voix. Je m'en éloigne préstement. Un reland de moisissure vient d'un autre couloir et de la lumière d'un quatrième. En m'approchant du dernier, je sens l'énergie des éléments. Bon, je vais allé les délivrer. Je progresse lentement dans le couloirs. Comme la première fois, je vois une espèce de cage électrique et à l'intérieur, des éléments prisonniers. Cette foios ci je n'ai pas mon arme. Je regarde un peu tout ce qui se trouve autour de moi. Rien a part la prison à élément. Je retire un morceau de bois qui retient mon pied et je frappe le boitier avec de toutes mes forces. Quelques étincelles jaillissent, mais rien au niveau du boitier. Je charge le baton en énergie destructrices avant de recommencer. Les mailles de la prison faiblissent et les éléments en profitent pour attaquer à leur tour. Il fallu encore trois coup avant que les mailles se rendent. Je récupère mon baton que je refixe à mon pied pour pouvoir marcher. Les éléments s'enfuient rapidement.

Après avoir récupéré, je retourne dans la salle aux cinq couloirs. Je prends le couloir ou il y a de la lumière. Je débouche sur une cantine. Celui qui sent la moisissure contient de cages et des restes de carcasses. Je me risque dans l'une des deux ou j'ai entendue du bruit. Il n'y a plus rien. Plus personne. Quelques dossier trône sur des petites tables. Je m'approche et les feuillettes rapidement. Il y a essentiellement des résultats de tests, quelques fiche sur des sujets, des expériences, des calculs et quelques nom. Un mot retient mon attention: "évolution". Il revient souvent. Trop souvent pour que ça soit anodin. La deuxième salle ou il y avait du bruit est en faite un lieux de test. Il y a un siège, des cages ou pourrissent des corps morts ainsi qu'une étagère ou il y a des produits.

Je remonte jusqu'à la salle de l'autel. Il faut que je trouve la Bête, que je le tue et que je partes. Ce lieux est terrifiant. Le dernier couloir est celui qui fini en cul de sac. Je le réempreinte et je tate le mur pendant ce qui me parait des heures. Je m'assoit sur le sol frais en pensant à ma famille. Que font-ils? Comment vont-ils? Ou sont-ils? Et puis je me mets à penser du passé, la Terre, la vie monotone et tellement banale. Et puis ma vie d'avant. Aessa, Nalfay et moi, le trio de choc. On était heureux, insoucient et gamin. Ca va faire un an que je suis arrivée. Depuis mon quotidien à totalement changé. D'une jeune lycéenne banale, je suis passsé à une princesse d'un royaume qui est la seule qui puisse sauver cette terre. Mes rêves d'enfants passent à des kilomètres au dessus de moi, tout ce que je dois faire, c'est me lever, affronter la Bête, Juntid et mourir. C'est le futur qu'on m'a prédit, c'est le futur qui se réalisera.

Je me lève et tate encore une fois le mur. J'entends des bruits de pas se rapprocher. La panique me submerge. Je frappe le mur comme je peux. Celui ci sède et dévoile une porte. Je m'y engouffre et la referme derrière moi. La salle dans laquelle j'ai attérie est spéciale. C'est une imense serre avec un basin d'eau pure au mileu. Un lumière orangé n'ilumine que le bassin comme si il était en or. Je me glisse derrière des plantes dans l'ombre pour essayer de me camouffler. La porte s'ouvre. Je me recroqueville encore plus sur moi même. Je m'applique à respirer lentement et doucement et à ne pas bouger. Des bruits de pas se rapprochent du bassin. Je ferme les yeux.

Les pas s'arrêtent d'un coup et la voix bestiale de la Bête perce l'air.

-Je ne pensais pas te revoir, et encore moins ici... je croyais que tu étais terrifié par cette endroit.

Je ne répondis pas et me fis encore plus petite.

-Je vois jolie fée, je ne te vois pas, mais je sais que tu es ici. Tu ne peux pas sortir et si nous pascientons, je suis sur de gagner. Sors de ta cachette jolie fée.

Je ne bouge toujours pas. Il souffle.

-Bien, je vais te parler alors. Je suis sur que tu ne m'interromperas pas... Tu es très maligne. Tu dois te poser un tas de questions n'est ce pas? Bien sur que oui. Je vais te révéler une chose. J'ai connu ta mère. Quelle douce et charmante petite humaine. Tu es une petite humaine toi aussi, mais tu as aussi du sang de fée en toi. Je suis sur que si ta mère avait eu des ailes, elle les aurait eu blanches ou or. Une vraie déesse. Une pure merveille. Une reine sublime... malheureusement, elle était déjà la reine de quelqu'un d'autre. Ta mère fut la première et la seule femme qui me fit me sentir libre.

Il fit une pause, me laissant le temps d'assimiler cette nouvelle.

-Bien sur, il y avait déjà eu ma fiancée. Elle aussi c'était une petite fée. Elle aimait beaucoup que je lui chante jolie fée de mon coeur. Tu la connait?... Bref, ma petite fée m'a rendu amureux, c'était ma fiancée, mais avec ta mère ce n'était rien de comparable, une femme impossible à avoir, gorgé d'énergie et de beauté. Une perle rare. Tout comme toi d'ailleur. Tu vis d'éléments et tu en crée. C'est pour ça que tout le monde penses que tu peux me vaincre.

Une autre pause de sa part.

-Mais, je ne vais pas faire de toi ma reine... quoi que, si l'envie me plait... mais ce n'est pas mon but. Mon but, c'est de comprendre comment tu crée ces éléments. C'est fascinant. Avoir une telle ressources que tu es obligé de l'extériorisé en la détachant de toi. Je ne veux pas de toi comme créatrice, je veux de toi comme serviteur. Je vais te faire évoluer jusqu'à atteindre la phase d'évolution la plus élévé. Tu seras, non pas une reine, mais la reine, voir même la déesse suprême. Rejoind moi, ce futur est alléchant. Il te promet la vie. Il est ton meilleur futur.

Je tremble de tou mes membres. Pourquoi? Sans cesse, ma question a trotté dans ma tête depuis ce jour ou je suis arrivée et personne n'a pu me donner de réponse. Mais lui, il savait. Il savait tout. Il conanit mon passé, mon présent et même mon futur. Je suis incapable de lutter. Ma seule chance c'est la ruse. Et en l'occurence, le bleuf.

-Qui... Qui me dis que ce que tu dis est vrai?

Je parie qu'un sourire étire ses lèvres.

-Qui te dis que je mens? Je n'ai aucun intérêt de te révéler tout ceci. Je savais que tu étais dans cette pièce, il me fallait être pascient et je t'aurais capturé. Au lieu de ça, j'ai répondu à ta question principal. Vient un peu que je te vois mieux. J'ai envie de connaitre ma jolie fée.

Je m'approche doucement. Son regard m'examine longuement. Moi aussi je le détaille. C'est un monstre de deux ou trois mètre de haut avec des cornes. Une épaisse fourure noir parcourt son corps. De ses yeux, il ne reste que deux orbites de braises. Il ne possède pas de dent, mais des crocs. Il a le dos vouté et ressemble plus à un animal qu'à un homme.

-Je vois que mon apparence te surprends. C'est l'évolution ultime. La clef de tout les problèmes. La solution ultime.

-La solution de quoi? La fin de la guerre?

-La fin de la bêtise, de la cupidité, de l'égoïsme.

-Ce n'est pas un problème que l'on règle. Il a toujours existé l'égoïsme, la bêtise, la cupidité. Ca a toujours existé et ça exitera toujours.

-J'ai vraiment trouvé la solution. Il faut que ce monde meure pour en créer un autre des cendres du dernier. Ce monde est comme un phénix. Il nait, il meure, il brûle, et il renaît de ses cendres.

-Ce n'est pas comme un phénix. Il a mit des millions d'année à devenir vivable. Si il meure, il mettra de nouveau des millions d'année.

-C'est pour ça que nou attendrons.

-Pendant des millions d'année? A quoi bon? Pour éduqué un nouveau monde, une nouvelle civilation. Elle deviendra a son tour un monstre et elle sera une nouvelle balayé? Est-ce bien ça?

-Peut importe le temps que ça prendra, nous réussirons. Mais pour ce faire, j'ai besoin de toi. De ta force. Ho ma jolie fée. Regarde toi, tu tremble de rage, mais tu as peur. Au fond de toi tu es terrifié.

-Je le sais... oui j'ai peur de mourir, mais j'ai encore plus peur de ce que ce monde deviendras si je perds. J'ai enfin compris ce que voulais dire les sages par ma mort mentale. Je ne mourrais pas, je deviendrais prisonnière, ta prisonnière. Un corps sans volonté. Sans volonté propre. Je serais un pantin, un jouet qui t'obéira.

-Tu comprends vite et bien. J'aime ça ma jolie fée. Laisse toi faire, ce ne sera pas douloureux, la dernière fois que tu es venue, j'ai commencé ton évolution...

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Voilà mes petites licornes roses, nous voilà dans un chapitre bien decisif. Que j'aime ça, ho oui. J'espère que vous aimé et n'hésitez pas à commenter.

Bye mes petites licornes roses.

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