Je la suis jusqu'à une petite grotte naturelle avec une douce nape d'eau translucide. Aqua se met dns l'eau. Je la suis.  

-Laisse toi glisser dans l'eau, cherche la et coprends le mindre de ses gestes et pensées.

-Elle... pense?

-hahaha, bien sur, elle comme toi ou moi. Apā aussi est vivante. Elle est douce, pacifique, très intelligente, c'est une bonne compagnie pleine de bons conseils.

-Merci.

-Bien, je te laisse. Rejoinds moi dans un moment.

-Bien aqua.

Une fois seule, je me détend tranquillement. Je me lave tranquillement. Je respire doucement, laissant l'atmosthère apaisante et le doux clapoti de l'eau m'appaiser. Je ne ressent rien alors, une fois le came revenue en moi, je sors de l'eau et je remet ma tenue trempé. Aqua m'attend assise sur le sol de la grotte. 

-Assit toi a mes cotés.

Je  m'execute. Aqua a les yeux fermés, elle respire tranquillement.

-regarde autour de toi, que vois-tu?

Je regarde tout autour de moi. Je vois une grotte en pierre ou les reflets de l'eau se répercutent sur les parois, rendant l'endroit légèrement bleuté. Je vois la lumière doré du soleil qui nimbe l'entrée, la noyant sous un torrent d'or. L'eau, une douce nappe saphir, est faiblement agité par les mouvements de minuscules poissons. J'admire le lieu avec des yeux nouveaux. Je retranscrit le plus fidèlement possible le  lieu. 

-Oui. Tu as raison, ce lieux est unique. C'est ici que je viens me reposer, me détendre, me changer les idées.

-... 

-Tu ne dois essayer d'apprendre l'eau comme une leçon, il faut que tu la discernes, que tu l'écoute que tu la comprenne, elle est à l'écoute et les coeurs qu'elle guéri, les pleurs qu'elle sèche sont nombreux. 

-Qu'est ce que je dois faire alors?

-Laisse ton coeur te parler. Je vais t'expliquer quelque chose. Tu dois impérativement retenir ce que je vais te dire au cas oiu tu n'aurais pas  le temps de finir ton apprentissage...

-je vais finir mon apprentissage. 

Aqua me fit un sourire forcé.

-Ecoute et retient: l'air demande de raisonner, pour le comprendre il faut possèder une brillante intelligence. L'eau fait parler le coeur, regarde le et écoute avec ton coeur et ton ame. La terre parle à travers les sentiments.  Et le feu, il parle avec les sentients aussi mais il s'exprime ave la haine, la passion, la haine, le désir. Pour être avec les elements il faut possèder une force mentale dévelloper, du courage, de la force et être pret à prendre des coup a risquer sa vie en permanance.

-pourtant l'eau est tellement inofensif.

-Non, l'eau est aussi fort que les autres. Sauf le feu, il est plus violent que n'importe quel autre élément.

-Alors pour maitriser le feu, il faut maitriser les autres?

-Oui; malheureusement, la seule qui puisse t'apprendre le feu c'est la bête.

-j'apprendrai.

Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme.

-tu es têtue tout comme ta mère;

-Ma mère?

-je l'ai bien connue.

-mais... raconte!

-Ta mère et moi venons toute les deux du royaume de l'eau. Ma mère était la gouvernante des deux princesses ce qui fat que je passais tout mon temps avec elles. Et puis ta mère a épousé le prince Valaën, elle est parti à Orbevent pour règner en reine tandis que Finyë est devenue reine du territoire des mers; Moi je suis venue ici étudier l'eau.

-Pourquoi n'as-tu pas d'aile comme au royaume des cieux?

-Parce que je viens de l'eau; les ailes sont tyique tu royaume des  cieux. 

-Et moi j'aurais quoi?

-Je ne sais pas. il faudra attendre tes 18ans pour savoir.

-...

-Bien on reprend l'entrainement.

-ok. 

On passe plusieurs heure sassises sur le sol de la grotte; je laisse le lieux m'envahir, je suis juste là, à des dizaines de kilomètre de tout soucis. je laisse toute la pression que j'ai accumulé depuis toute petite, je laisse tout disparaitre. J'arrive à distinguer quelques mots échangé. C'est une presence douce, agréable, accueillante qui me parle:

-Tu viens de loin n'est ce pas?

-Oui.

-Je suis l'élément sage, celui qui guide, celui qui conseil. je t'écoute Yica.

-Coment connais-tu mon nom?

-Je sais tout ce qui se passe dans l'espace, tout comme l'air le sais en écoutant les paroles échangé, la terre en s'ouvrant aux sons qu'elle perçoit, je l'entend à travers les éléments.

-Tu es sage n'est ce pas? 

-Oui, je sens ton coeur dans un état de détresse profond, tu es pertubé.

-Je le suis... sais-tu ce que me réserve l'avenir?

-Non, je peux prévoir plusieurs futur mais je ne suis à m^me de prévoir avec exactitude.

-Qu'est ce qui se passe dans la plus part des cas?

-Tu meures.

-J'en était sure. 

-Que vas-tu faire maintenant que tu le sais?

-Je...

-Tu ne comprends pas vraiment, tu es notre dernière chance. je sens djà plus de la moitié de ma force drainé et peut être plus que deux ou trois apā encore libre. Ce n'est plus qu'une question de jour avant que l'eau ne disparaisse à jamais et à ce moment là Aqua partira avec moi. Pourtant toi tu as le choix, rester ou partir. Si tu reste tu es sure de souffrir et peut être même de mourir alors que si tu pars et que tu retourne sur terre, tu seras loin de tout problèmes qui menace nore monde.

-Je vais me battre avec encore plus d'ardeur. Je ne veux pas mourir  mais je veux vous délivrer, je sais que la bête n'est pas immortel. 

-mais tu n'as pas que la Bête. Tu as tout les serviteurs qui lui sont fidèle ainsi que son maitre.

-Son maitre?

-Juntid, un démon assoiffé de sang et de malheur. Il a déjà règner pendant 100 milles ans avant d'être détroné et emprissonné mais depuis 350 ans il est de retour et depuis les guerres ravages les territoires. 

-Alors si je bats Juntid je gagne?

-oui. Alors que 5 futur te laisse la vie contre la bête, aucun des futur ne te laisse en vie contre Juntid.

-est-ce que je peux le battre dans un des futur?

-Oui, mais tu meures.

-Peux m'importe, je ne suis pas là depuis longtemps pourtant les deux jours que j'ai passé avec ma famille ont été magique et j'ai envie de les voir en vie et heureux.

-Tu es digne des légendes et ton courage ne connait nul frontière. 

-je me fiche d'être ou pas une légende, tout ce que je veux c'est la liberté de ma famille et des gens que j'aime.

-Alors soit, Aqua te formeras. je dois te laisser mais n'hésite à venir ici si tu as besoin de calme ou de réponse.

-Je te remercie.

-Le plaisir est partagé.

Quand j'ouvre les yeux, je vois Aqua qui me regarde tranquillement, ses beaux yeux bleux me fixe.

-Tu as rencontré Apā n'est ce pas?

-oui.

-Tu lui as demandé quelque chose qui te pertube. tu veux en parler?

-Je lui ai demand mon futur.

Aqua se fige.

-Elle m'a dit que je meures dans la plus part des cas contre la Bête et que je meures obligatoirement contre Juntid.

-tu es au courant. Qu'as-tu décidé?

-Nous ne te retiendront pas.

-Tu seras libre.

Je me retourne et je vois les deux autres sages.

-j'ai décider de me battre.

Un sourire parcours toute les lèvres.

-Je ne le ferais que pour ma famille et tout ceux que j'aime.

-Au moment ou ta mère est venue au monde, son destin était de mourir. elle était promise à te donner naissance et toi, tu étais promise à un destin encore plus grand. Au moment ou tu te trouveras devant la Bête, peux importe l'issu du combat, tu seras dans les légendes.

-Je me fiche éperdument de finir dans les légendes, je veux juste vivre libre ou du moins que ma famille soit libre.

-C'est ce que je voulais entendre, nous ne vous dérangeons pas plus.

Aqua se tourne vers moi, elle saisit mes mains et me regarde droit dans les yeux.

-Prête?

-Prête!

On commence les entrainements. Personnellement, je préfère l'eau parce que c'est plus spirituelle et moins intellectuel mais tout aussi fatiguant. Le soir, je devais lire certains livres que m'apportaient les sages. La plus part des livres relataient de la création du monde, des guerres qui l'ont opposé, des peuples qui se sont succèdé, de tout ce qui c'est passé. Parfois il m'arrivait de m'échapper quelques heures avec diablotin, il me montrait plein d'endroit formidable. Le temps filait lentement, tous les jours j'allais m'immergé dans l'apā de la grotte. Chaque jour, avec Aqua, je m'entrainais à fond. 

Puis tout a fini mon entrainement de l'air, j'entre prit d'apprendre la terre. La terre fut l'élément loe plus violent que je rencontrais. Constament il me demandait d'user de force brute, la fatigue se fit ressentir dès le début. Terriam me fit dévellopper ma force physique, si bien que je ne pouvais plus bouger une fois allongé sur mon lit. 

Un matin, après avoir fini tout mes excercices et m'etre immergé dans l'apā, je fu appellé dans le salon des sages. J'entre dans la pièce.  

-Et bien Yica, tu as fini ton entrainement, ton séjour parmis nous est terminé. Bien sur tu peux rester autant de temps que tu veux.

-Je vous remercie de m'avoir enseigner vos éléments.

-Et bien ce fut un sacré plaisir pour nous aussi.

-On s'est bien amusé et je sus sur que tu manqueras a plusieurs personnes.

-Diablotin te suivra à coup sur et apā resteras dans ton coeur.

-Vous aussi vous resterez dans mon coeurs.

-Allez, vas vite retrouver ta famille.

-Merci.

Je sors et je fonce dans ma chambre, j'entasse mes vêtements dans un sac et je me laisse glisser dans l'air jusqu'à la grotte.

-Apā..

-je sais, y tu es venue me dire au revoir.

-Comment... non, tu as raison, j'ai fini mon entrainement ici et je veux revoir ma famille avant de me lancer dans ma quête.

-Tu as raison, mais tu oublie une chose. Tu dois dompter le feu.

-Comment puis-je y arriver?

-Tu y arriveras, j'en suis convaincue.

-Merci pour tout tes conseils.

-Si un jour tu as besoin de conseil, reviens ici ou pense juste très fort à cette endroit et je te répondrai.

-Merci. Tu vas me manquer.

-Toi aussi petite. Au revoir.

-Au revoir Apā.

je sors de la grotte et je retourne voir Diablotin.

-Diablotin, je dois te parler!

Je sens sa présence.

-Tu es venue me dire au revoir?

-Oui, tu sais tu vas me manquer mais....

-tu ne m'oublieras pas? 

-Je ne t'oublierais jamais.

-Promis?

-Promis!

-Au revoir prieten al aerului*. (amie de l'air)

-Au revoir Diablotin.

Une fois les adieux fait, je remonte dans le bureau.

-je savais que tu reviendrai.

-je ne pouvais pas partir sans vous avoir dit au revoir.

-je sais, c'est dur mais le plus dur reste a venir.

-Oui grace à vous j'ai été préparé pour 3 des 4 éléments.

-tu ne comptes pas apprendre le feu seule?

-C'est notre seul chance; Vous me l'avez dit; 

-Ton futur est incertain, pourtant tu es forte et tu continue. 

-C'est sans doute la dernière fois que tu nous vois.

-Pourquoi?

-Ton destin et funeste, le notre s'arrete bientôt. 

-Comment puis-je vous sauver?

-Personne ne peux rien faire.

-Promet nous de faire bonne usage de la magie...

-Le monde redeviendra sain lorsque la magie disparaitra. 

-Tu dois etre la seule a connaitre la magie, il faut que tu reste à l'écoute de tous  les éléments

-c'est pourquoi nous devons mourir. 

-Je vous dis donc adieux.

-Adieux.

-Bonne chance.

-File.

Je monte sur mon étalon qui m'a attendu et je file au vent. Je mets 5 jours pour retourner à Orbevent.  Arrivé là-bas, Taryë me saute dans les bras.

-Yica! Yica! Tu es revenue! 

-Yica. 

Je prends mon père dans mes bras, puis ma belle-mère et enfin mon frère. 

-Allons vas te changer et après viens manger.

-oui. 

Je mets une robe bleu pale qui m'arrive aux chevilles, je laisse mes cheveux mi blond-mi brun, laché dans mon dos jusqu'à mes hanches. je descends et entre dans la salle à manger. Je vois, en plus de ma famille, une fille avec de beaux cheveux brun qui me rapelle ceux d'Aessa. Je m'approche. la jeune fille se retourne. C'est Aessa, elle n'a pas changé, si elle a coupé ses cheveux a la moitié du dos et de belles ailes translucides sortent de son dos. ses yeux sont devenus violet claire.  Les deux filles se regardèrent longuement avant de tomber l'une dans les bras de l'autre.

-Ae tu m'as manqué.

-lili. 

Nous pleurions toute les deux de joie. J'entends mon père dire derrière:

-Aessa vient aussi de ce monde. ses parents sont de bons amis à moi. Aessa a eu la permission de rester un peu dans ce monde pour les vacances.

-C'est géniale, merci.

après les fructueuses retrouvailles, on s'assoit a table et on commence a manger. Mon père me regarde. Le silence se fait

-Tu as trouve ce que tu cherchais?

-Pour l'instant oui. Il faudra tout de même que je continue.

-Bien... quand vas-tu repartir?

-Quand l'heure me rappellera sur les routes.

-Depuis petite tu rêves d'aventure, je ne te retiendrais pas.

-Je sais, mais il me faut du temps pour finir de me préparer, je vais rester ici un moment.

-J'espère bien, je te retrouve depuis peu et tu t'en vas.

-Et puis Finyë arrivera dans la journée de demain.

-Finyë? Ma tante?

-Oui.

Taryë me regarde.

-Qu'est ce que tu as fait pendant trois mois?

-J'ai travaillé, beaucoup travaillé.

- Tu as rencontre les grands sages? DemandeAthaën
-Oui.

-Comment ils sont?

-Hum... différents.

-Tu reponds pas vraiment a ma question.

-Gentil, sérieux, fort...

-OK on s'en fiche.

-Taryë, laisse un peu les adultes parler, ton frère aussi a le droit d'avoir des réponses a ses questions.

-Mais maman...

-Cesse de répondre.

-Aessa, tu n'as toujours pas parle depuis le début, t'es malade, t'es souffrante...

-Je vais bien, rigole Aessa, c'est juste que tu es avec ta famille et que tu as l'ait bien, je veux pas déranger.

-Tu dérangé jamais.

-Merci.

-Les filles, ça vous dérangent de dormir dans la même pièce?

-Non! Répondons nous ensemble.

Après le repas nous nous retrouvons tous ensemble dans le salon royale. C'est une grande pièce aux murs crème, quelques étagères remplient de livre au mur, de jolies canapés soyeux et une table sur un côté.

D'un commun accord, Taryë vient se mettre sur mes genoux.

-Dis Yica, tu ne repars plus?

-Dans longtemps.

-Longtemps combien?

-Je ne sais pas ma puce.

J'éprouvait de l'affection pour ma demie-soeur. Aessa le remarqua tout de suite. On parla tous ensemble avant de rentrer dans nos chambres. Aessa et moi on reste assisent sur le lit. Le temps passe et puis on se serre l'une contre l'autre. Aessa est la première a parler.

-J'ai eu si peur quand j'ai appris que tu etais loin de la capitale.

-Tu étais au courant de tous?

-Pas tout mais je savais que mes parents devaient te surveiller.

-Alors depuis le debut tu devais juste... être amie... avec moi?

-Oui... mais...

-Je m'en fiche... les larmes commencèrent a couler. T'as qu'a dormir.

Je me lève et enfile un pantalon et une chemise au hazar. Je cours dans les couloirs et je sors du château. Plusieurs gardes essayèrent de me raisonner mais je fonçait dehors.

J'allais jusqu'au jardin exterieur, la ou ma mère faisait pousser des fleurs. Je m'asseois, le dos contre un arbre. La lune eclair le lieu d'une douce lueure argentée. La maison abandonnée sert d'abris a quelques animaux, le jardin magique a toujours ses allées de fleurs. Je ferme les yeux.

-Apā ?
- JeuneYica, tu m'appelles déjà, ça fait plaisir. Que ce passe-t-il?
-Je...
-Que se passe-t-il. Je sens ton coeur troublé et blessé.
-Je... me... sens... trahi.
-C'est dur. Une douleur immense qui emmène des doutes. N'est-ce pas?
-Oui. M'a-t-elle jamais aime comme une amie? Ou étais-je juste une mission?
-Tu veux bien m'expliquer?
-Hum... Aessa est une amie a moi et...
-Et elle t'a annoncé qu'elle devait te surveiller.
-oui.
-Mais tu ne l'as pas laissé t'expliquer.
-M'expliquer quoi? Qu'elle est désolé, que au début c'etais une mission et qu'elle a voulu devenir mon amie après? Je sais très bien que... non je veux que tout soit vrai mais je ne peux pas, je ne pourrais plus avoir confiance en elle et ce ne sera plus jamais comme avant.
-Tu préférés qu'elle te dise que d'était juste une mission et que cele reste?
-Oui. J'aurai moins mal comme ça.
-C'est faux et tu le sais.
-Oui c'est faux! Je veux être entrain de rêver les trois derniers mois et puis me réveiller tranquillement dans ma chambre chez Mathilde. Elle aussi elle était au courant ou elle sais juste que j'ai été adopte?
-Mathilde Adranir... je la connais bien. J'ai observe le moindre de ses mouvements depuis sa naissance et c'est pour ça qu'elle t'a adopté. J'ai tout fait pour.
-Nous avons toujours voulu te laisser loin des problèmes, mais ils te rattrapent.
-Elle n'est au courantde rien?
-Rien.
-Pour elle tu es sa fille.
-Adoptive ou pas elle t'aime comme son fils.
-Mais je ne suis pas de la famille.
-Si tu le crois  tu l'es.
-Je ne comprends pas.
-Mathilde t'a toujours considéré comme sa fille. Elle esperait secrètement que tes parents ne se manifeste jamais.
-Maman. J'ai perdue ma mère, puis ma mere adoptive et maintenant celle que je considérait comme ma soeur. Que me reste-t-il a affronter?
-Beaucoup d'épreuves.
-Écoute ton amie. Si tu as vraiment confiance en elle tu sauras discerner le mensonge de la verite.
-Merci Aqua , Apā. Vous me manquez beaucoup.
-Tu nous manque aussi.
-Soit tranquille cette nuit et laisse les problemes pourdemain.
-Hum...
Je m'abandonne dans les bras de Morphé cessant toute resistance. Au réveil, la première chose que je vis c'est Aessa au dessus de moi entrain de dormir. Au coin de ses yeux perlaieent des larmes. Aessa était trempés, sa veste reposait sur moi. Je la secoua. Elle ouvrit les yeux et me regarda avec un air de chien battue. 

-Laisse..

-Rentons d'abord pour éviter d'alarmer tout le monde et puis tu vas attraper froid.

-Hum...

On rentre jusqu'a ma chambre. 

-Je t'écoute.

-Voilà, on était amies ici et quand tu es partie nous  t'avons suivi. Là-bas on m'as dit de te surveiller. Mais malgré tout je voulais être avec toi comme à Orbevent.

Je la serre dans mes bras.

-Je t'adore. 

J'envoie par pensée à Apā: Merci.

Une fois douché et habillé, nous descendimes à  la salle à manger. Tout le monde nous regarde.

-Bien dormi les filles?

On se regarde.

-Oui.

-Alors c'est bien. Que comptez-vous faire?

-Je ne sais pas encore.

-On pourrais se faire une rendonné en cheval.

-JE VEUX VENIR! JE VEUX VENIR!

-Bien sur que tu viendras avec nous si papa et maman sont d'accord.

-Papa? maman? demande Taryë d'une toute petite voix?

-C'est d'accord.

--je n'y vois pas d'objection.

-Je vous accompagne les filles.

-Ok Athaën.

-Ce n'étais pas une question.

Je lui tire la langue, il me prends dans ses bras et me fait des chatouilles. A ce moment on ressemblait à une vrai famille, un frère et une soeur, tout ce qu'il y a de plus naturel. après un petit déjeuné agréable, on monte se changer. J'enfile un pantalon de toile et une chemise trop grande. Je mets mes botte et je descends. Je tire Aessa et Athaën et je porte Taryë jusqu'à l'écurie. on selle nos chevaux et on s'élance dans la campagne. Les cheveaux s'élancent, galopent le long d'un ruisseau. Ensemble on rient, on galopent, on vit. C'est magique! Une larme perle à mon oeil. Je la chasse. Je lance mon cheval au triple galop et je passee en tête. Aussitôt les autres s'élancent derrière moi. Une mini course s'improvisent entre nous. Une complicité inimaginable colent parmis nous. 

On calme les cheveaux et on entre dans la forêt. Athaën nous dit:

-Venez, je connais un coin magnifique. 

Il passe en tête et on lui emboite le pas.  Athaën nous conduit à travers la forêt jusqu'à une petite clairière. Les grands arbres laissèrent la place à de petits arbustes émeraudes parsemé de multitudes de fleurs aux couleurs chatoyantes. La clairière est traversé par un ruisseau. L'eau qui y coule est limpide, pure, fraiche. On met pieds à terre.

-C'est magnifique.

-Athaën, pourquoi tu ne l'as pas montré plus tôt?

-Wow.

-Les filles, c'est un secret Ok?

-Ok.

Pendant qu'Aessa et Taryë jouaient dans l'eau, Athaën se rapproche de moi et pose son bras autour de mes épaules.

-Tu sais... j'ai toujours attendu le moment ou je pourais te serrer dans mes bras.

-J'ai toujours espéré que ma vrai famille soit en vie et de pouvoir vivre avec elle...

-A présent tu peux, on sera toujours là pour toi.

-Ouais, maintenant que je vous ai retrouvé...

-Tu dois partir je sais... mais on est et on sera toujours là pour toi. 

-C'est la différence. avant je ne savais même pas que j'avais une famille et maintenant je sais qu'elle me soutient.

-MOI AUSSI JE TE SOUTIENT!

-Je sais Taryë. Viens!

Je lui ouvre mes bras et ma petite soeur saute dans mes bras. On passe toute la journée au bord de la rivière. On rentre à la tombée de la nuit. Papa nous accueil, le sourire gravé sur le visage.

-Vite les enfants, j'ai une grande nouvelle.

-Quoi?

-Tante Finyë est arrivée.

-OUAIS OUAIS OUAIS!

-Les deux sont là?

-Oui. 

-Viens vite Yica, je vais te présenter.

-Non c'est moi. 

-les enfants, allez vous lavez et rejoignez nous.

-Eu... Je vais voir mes cousins.

-tu reste pas Ae?

-Non. Je reviens demain dans la soirée.

-Ok. 

je lui dit au revoir et je monte dans ma chambre prendre une bonne douche. En sortant de ma salle de bain, une serviette entouré autour de mon corps, je rentre dans ma chambre et je vois un garçon de mon âge avec des cheveux noir ébène et de magnifique yeux bleu. J'avoue il est magnifique mais qu'est ce qu'il fous dans ma chambre??? Il lève la tête et plonge ses magnifique yeux dans les miens tout en me faisant un sourire ravageur. Je le regade et durcit mon regard. Chose qui n'est pas facile quand tu es en serviette et qu'un magnifique garçon est assit sur ton lit et qu'il te fixe en te souriant.

-Tu fais quoi ici?

-Mademoiselle est génée?

-... Réponds à ma question.

-Je suis curieux et j'ai voulu voir la princesse.

-Maintenant que tu m'as vu tu peux partir c'est pas que mais j'ai besoin de me changer. Et je suis pas une princesse.

-Ouais.

Il sort de ma chambre. Hé bien c'est pas trop tôt. Je me prépare rapidement, une robe rouge qui m'arrive aux chevilles. Je lache mes cheveux dans mon dos et je descends. Arrivé en bas, Athaën est un grande discutions avec deux garçons ( que je ne vois pas), Taryë est dans les bras d'une femme, une très belle femme même. La femme est assez grande, des cheveux noire, des yeux bleu foncé. Je m'avance, Athaën me sourit et viens vers moi. 

-T'es magnifique. Viens je vais te présenter.

-J'arrive et merci. 

On va vers les deux garçons. Ceux-ci se retournent. Je vois le garçon de tout à l'heure. 

-Les gars voici ma soeur Yica, Yica voici Astario et Sibton. 

Je regarde Les deux garçons, Astario est le garçon que j'ai vu plus tôt et Sibton a des cheveux bruns foncé et des yeux bleu-vert. Je salue les deux garçons. 

-Alors on a enfin été présnté. dis-je ironiquement à l'intension d'Astario

-J'ai été impoli. Je vous prie de m'excuser demoiselle. 

Je le regarde rapidement. Ses beaux cheveux noirs; ses magnifiques  yeux océans captivant, hypnotique; son sourire charmeur; sa voie... Tout dans sa présence me rappelle quelqu'un d'autre. Je ne me souviens plus bien de lui pourtant je sais que je l'ai rencontré sur Terre, au collège, on était inséparable tout les deux. Pourtant le jour et la nuit, des contraires, on se complétait si bien, se comprenait sans avoir besoin de parler. Il est parti quand nous étions en troisième. Nous n'étions resté ensemble que trsoi ans, mais j'avais été détruite à sa disparition. 

-Yica!? Yica!? YICA!?

Je sens quelqu'un me secouer. Je sors de ma torpeur. Je vois les trois garçons me regarder d'un air inquiet. je leur fait un petit sourire pour les rassurer. 

-Je vous avez dit qu'elle était éblouie par mon charme. dis Astario

-Ouais.

-Yica, je peux te parler?

J'oche la tête suite à la demande de mon frère. On se décale un peu. Il me regarde.

-Que c'est-il passé?

-Hé bien...

J'éclate en sanglots et je fuie vers le jardin. Une fois arrivé au jardin, je m'assoie contre un arbre, près du petit lac. 

-Apa? J'ai besoin de toi. 

-Que ce passe-t-il petite?

-Je...

mes sanglots affluent de nouveaux. Mes joues sont trempés de larmes. 

-Calme toi.

-Là, nous sommes là avec toi. 

-Mer...ci.

-Pleure si tu as besoin. 

-Merci d'être là pour moi. 

-C'est normal, nous serons toujours là pour toi. 

-a près tout, tu es notre petite perle. 

-Tu nous a redonné envie de nous battre.

-C'est grace à toi qu'au lieu de te garder avec nous a la tour nous t'avons laissé partir. 

-Vous... me manquez.

-Alors sèche tes larmes. 

-On va te laisser avec Apa...

-mais sache qu'on est toute la pour toi...

-alors n'hésite pas.

-Merci a vous. 

Je me retrouve seule avec Apa. 

-Allons tu as besoin de parler?

-Oui...

-Je t'écoute. 

-quand j'étais toujours sur Terre, j'ai rencontré un garçon fantastique. On se comprenait a merveille. Tout les deux... Je n'avais plus peur, ni de me battre, ni de me retrouver seule. Et puis... alors qu'on est passé en troisième... Il est... on était sensé se retrouvé dans la foret près de la ville. Ma mère m'y avait emmené et il m'avait envoyé un message comme quoi il arrivait...

Flash back:

je suis en troisième, on est le 25 juillet. Avec Nalfay, on doit passer la semaine dans une cabane dans la forêt. Ça va être géniale. Je reçoit un message. Je regarde mon téléphone.

De: Mon <3

A: Moi

Salut p'ti monstreeeee

J'arrive. bis

De: Moi

A: Mon <3

Oki.

Je range mon tel. J'attends encore dix minutes et je ne le voit toujours pas. je l'appel. 

-Tut tut tut...

-Allo?

-Allo. Qui êtes vous?

-Qui êtes-vous mademoiselle? Connaissez-vous... Nalfay Xervi?

-Oui... mais qui êtes vous?

-Je suis un infirmier... Mr Xervi a eu un accident et a été transferé à l'hopital xxx.

-Merci.

Je raccroche et je me mets a courir vers l'hopital. Quand j'y arrive, je le trouve dans le coma. 

Pendant six semaines je venais tous les jours du moment ou je me levais au moment ou je me rentrais chez moi. Et puis un jur en arrivant, j'ai trouvé la confusion totale dans l'hopital. Je me suis approché de l'accueil et l'infirmière m'a dit:

-Mademoiselle... Mr Xervi a disparu. 

J'ai couru jusqu'à ça chambre et elle était vide. J'ai fait toute les salles de l'hopital, j'ai appellé son portable des millions de fois... Rien. Un mois après il a été déclaré mort.

Fin du flash back.

Apa m'avait écouté sans rien dire.

-Que pense tu?

-Il est toujours en vie... c'est... un sentiment que j'ai au plus profond de moi... je sens qu'il est encore en vie.

-Si tu coeur crois encore en lui alors garde ce sentiment.

-Commen arrives-tu a me réconforter à chaque fois?

-C'est parce que j'ai su écouter.

-Merci.

-Aller, retourne avec les autres.

-Tu as raison.

Une fois calmée, je retourne au château. Je vois les regards soulagés des garçons en me voyant. Je me dirige la femme que j'ai apperçu plus tôt. Mon père me fait un sourire rassurant et je la rejoind.

-Finyë, j'ai le plaisir de te présenter ma fille, Yica. Yica, voici ta tante Finyë.

La femme m'enlace et m'emmène un peu à l'écart.

-Dis moi tout jeune fille, mes garçons t'ont embêté?

-Non.

-Alors quoi? Je te sens très pertubée.

-C'est à cause d'Astario...

-Qu'a-t-il fait?

-Il... il me rappelle quelqu'un...

-Je suis désolé... Mais tu sais, tu ne dois pas voir la personne que tu as perdu à travers lui... c'est mauvais pour toi et pour lui.

-Merci.

-Aller vas. Laisse tes tourments du passé au passé.

Finyë part retrouver les adultes pendant que je retroune avec les garçons. Athaën me saute dessus.

-Je suis désolé...

-C'est bon Athaën.

-Qu'est ce qui s'est passé?

-Rien. Je leur fit mon sourire le plus sincère. Ne vous en faite pas.

Le reste de la soirée fut agréable, bien que je ne regardais pas et ne parlais pas à Astario. Celui-ci semblait un peu vexé et triste, mais il ne fit aucun commentaire.

J'appris plusieurs chose sur le royaume des Mers. Le train de vie, là-bas...

Puis, lorsque Taryë parti dormir, je me retrouve seule avec Finyë.

-Tu ressembles beaucoup à ta mère.

-Je ne me souvient pas beaucoup d'elle. Mes dernier souvenirs remontent à l'accident.

-Tu peux me racconter comment elle...?

-Je ne me souviens pas de tout. Je... on était dans un flotteur. On s'est fait attaquer. Maman a enregistré des coordonnés avant d'activer le téléporteur. On s'est retrouvé sur une route. La voiture s'est retrouvé dans un arbre. Je... il y avait du feu et du bruid et des voix. Des gens se sont arrêtés, il regardait... J'ai réussi a me sortir de la voiture. Du sang coulait... Maman est morte dans l'accident. J'ai perdu la mémoire.

-Je vois. Merci beaucoup.

-Je... suis... désolé.

-Tu n'as pas a t'excuser.

Après un petit silence,  je regarde Finyë.

-Tu peux me parler de ma mère?

-Si tu veux. Que veux-tu savoir.

-comment était-elle?

-Enfant elle était mon modèle. C'était ma petite soeur. Quand elle est née, je l'adorais déjà. Dès qu'elle a su marcher, elle partait des journées entières pour s'amuser. A six ans, elle vivait plus dehors que à la maison. Elle était indépendante, courageuse, sociale, souriante, joyeuse, combattive. Quand a moi, je n'osais pas contredire mes parents et je leur obéissais. C'est grâce à elle que j'ai pu me soulever contre la volonté de mes parents.

- Que c'est -il passé?

-Mes parents voulaient que j'épouse ton père. J'aimais quelqu'un d'autre et puis ma soeur a décidé de t'épouser à ma place.

-Hum.

-Tu lui ressemble beaucoup physiquement. Elle était brune or et des yeux bleus. Elle m'aimait l'aventure. Plusieurs fois, même une fois mariée, elle partait plusieurs jours dans les montagnes ou la forêt. A chaque fois qu'elle passait quelque part, elle laissait une trace rouge vif.

-je vois.

-Bon, ne pensons pas aux choses tristes, je t'ai retrouvé et j'espère passer un moment avec toi.

-Moi aussi.

-Dis moi, j'ai appris que tu as suivi un entrainement avec les sages.

-Oui.

-Tu cherche toujourq un maitre?

-De quel...?

-Feu.

-Oui.

-Parfait.

-Qu'est ce qui est parfait?

-Tu le sauras bientôt.

-Super, j'adore les surprises. dis-je ironiquement

-Tu es comme ta mère.. Impatiente.

-Mais...

-Allons, bonne nuit.

-Bonne nuit.

Finyë tourne les talons et part. Pour ma part, je me mets en pyjama et je dors, enfin j'essaie. Je n'arrive pas à dormir.  Je sors de mon lit pour aller sur le balcon. Je me pose à la balustrade et je regarde le ciel.

La lune est à son zénit, les étoiles brillent particulièrement d'une lueure orangé-argenté. Je ferme les yeux. Mes pensées me ramène à  une autre époque, à un autre, avec quelqu'un de cher à mon coeur.

Flash back:

Je me rappelle d'une soirée chez Mathilde. Nalfay, Aessa et moi on était tous fatigué. Ca faisait 24H qu'on avait pas dormi, voir plus. Depuis 2 jours ils étaiebnt chez moi. Pour le jour de l'an, on s'est amusé toute la journée. Le soir, le 31 décembre, on a fait un karaoké à moitier soul et puis, à minuit, on a regardé les feux d'artifices. On est parti se coucher vers 1 ou 2H du matin.  Je n'ai pas réussi à dormir alors je suis allée sur le balcon et puis j'ai regardé le ciel. La lune était énome, rousse, bienveillante. Les étoiles étincellaient dans le ciel, tels des diamants. Une étoile filante passe. Deux mains chaudes se posent sur mes yeux:

-Qui est-ce?

-Hum... Nalfray!

-Hum... ouais c'est bon.

Il enlève ses mains de sur mes yeux et laisse apparaitre ses magnifiques yeux bleus océan.

-Tu fais quoi?

-Je réfléchis, je n'arrive pas à dormir.

-Moi non plus.

-Parlons un peu.

-Ouais. J'ai toujours eu l'impression de me sentir moi même parmis les étoiles.

-Tu... je te comprends. Moi aussi j'ai cette impression. Comme si je n'appartenais pas à ce monde.

-Je te comprends. Sache que tu fais parti de mon monde, quel qu'il soit.

-Nalfay.

Fin du Flash back

Je sens des mains se poser sur mes yeux.

-C'est qui.

-Nalf...

Je retire les mains de la personne et je lui fait face. Je vois Astario en face de moi. Il me regarde d'un air surprit.

-Quoi?

-Nalf???

-Quelqu'un que je connais.

-Tu fais quoi?

-Je... n'arrive pas à dormir.

-Moi non plus.

-Hum.

-Parlons un peu. Tu veux?

-Hum.

-¨Pourquoi m'évites-tu?

-C'est... ça te regarde pas.

-Si. C'est un peu que Tu M'évite. Donc ça nous concerne tout les deux non?

-Non. Ca me regarde.

-Et moi?

-Non. J'ai pas envie de te parler.

-Ouais c'est en fonction des envies de mademoiselle.

-C'est... compliqué.

Je tourne la tête pour cacher mes larmes et je pars. Je vais dans mon lit et je m'endore.

Au matin, en me réveillant, je trouve Taryë. Elle me regarde.

-Vite, vite, vite.

-Qu'est ce qui se passe?

-Vite habille toi.

-Ok j'arrive.

Je prends une douche rapide et je mets les premiers v^tements qui me tombent sous la main: mini short et tee-shirt qui m'arrive au dessus du nombril. je mets mes vans et je dscends. J'arrive devans ma famille. Ils me regardent d'un air horifié. Je regarde et je vois la tenue que je porte. Ok il ne viennent pas du même endroit.

-Quoi?

-Tu te rends compte de ta tenue?

-Jeune fille, comment oses-tu te montrer devans nous aunsi vêtue.

-On vient pas du même endroit.

-Tu... habiller... ça?

-Oui je sortais comme ça et alors? Là-bas c'est courant.

-Tu... mon dieu.

-Je... nous... ce n'est pas de ta faute. 

-Bon, Taryë ma dit qu'il fallait faire vite, mais pourquoi?

-Hum... Tu vas partir avec Finyë ce soir.

-Pourquoi?

-Pour plusieurs raison. Tu vas connaitre un peu mieux ta tante et tes cousins; tu vas apprendre le feu et tu vas découvrir un peu le monde.

-Ok.

-Interdiction d'emmener des vêtements comme ça au royaume des mers.

-ouais c'est ça.

-Tu as des vetements de plage?

-Vetements de plage?

-Pour te baigner.

-Des mayots.

-Sans doute.

-ouais, c'est bon. bon je vais faire mon sac.

-ok.

-Change, mets une tenue d'équitation.

-hum.

Je vois Aessa m'attendre dans ma chambre.

-Tu... parents???

-Oui Ae je suis descendue comme ça.

-Tu... QUOI?

-Je suis descendue comme ça.

-Tu... je...

-Tu sais que je dois partir?

-Ouais. Tu sais que je te rejoindrai après?

-Hum... ouais.

-qui te l'a dit?

-Toi patate.

-C'est qui que tu traite de patate espèce de... de... de carotte.

-Toi patate.

-Bon on fait tes sacs?

-Mes... sacs???

-Oui que tu  vas emmener.

-Ho... j'ai déjà tout prévue.

Je me change devant Aessa (nous nous connaissons depuis... je ne sais pas et donc voilà). Je mets une tenue d'équitation. Je bourre mes vêtements dans mon sac et hop, je suis prête.

Je descends avec Aessa. On rigole toute les deux se qui surprends pas mal de gens pyuis qu'on est de classe sociale différente. Et puis mer*e si ils sont pas content. Ae reste Ae et moi je reste moi. Mon sac sur l'épaule, je me présente devant ma tante et mes cousins.

-Prête.

-Déjà?

-Ouaip.

-Vous avez quoi pour être morte de rire?

(Notre fou rire n'est toujours pas passé). On se regarde et on baisse les yeux un peu gêné.

-On a rien fait!

On se regarde toute les deux et on retient durement notre fou rire qui menace de nouveau.

-Quoi allez on veux rire nous aussi.

Aessa baisse la tête. Elle me murmure un faible: "Désolé". Elle reste silencieuse et attends. Je prends alors la parole.

-C'est un truc entre nous.

Ils sont très surprit mais ne disent rien. Aessa me remercie du regard avant de me faire un signe discret de la main. Elle veut s'enfuir, c'est donc ça. Je lui ttrape le bras.

-A non ma patate tu reste avec moi.

-Mais... et puis patate quoi.

-ouais t'a bien entendu ma patate. Je te kidnappe.

-Tu me kidnappe?

-Tu veux bien que je te kidnappe?

-ouais.

-Alors ça y est je t'ai kidnappé.

Son bras toujours dans ma main, je l'entraine avec moi dans le jardin. On traine toute la journée en ville. Je m'achète de nouveau vêtement, Aessa aussi. On mange une glace assise surun banc publique et on parle de tout et de rien. Un peu comme on faisait après les cours. Le soir, on rentre. Je serre Aessa dans mes bras et je lui dit au revoir avant de serrer dans mes bras ma famille.

Je monte sur Mirage, un étalon noir avec une tache de lait sur le menton. Il est magnifique. Finyë, Sibton et Astario montent sur des étalons baies. On part, mettant les chevaux au galop.

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Désolé. J'ai mis beaucoup de temps pour écrire ce chapitre parce que je n'avais pas beaucoup d'inspiration.

Bonne lecture!