Ageratum mauve
J'étais dans la voiture direction l'inconnu depuis deux heures. La chauffeur n'avait toujours pas engagé de conversation alors je décidais de commencer:
-Excusez moi, où allons nous?
-Nous allons à Orbevent.
-Orbevent?
-La cité dirigé par vos parents.
-Dirigé par qui?
-Vos parents. Ils n'ont pas pu venir vous chercher pour la simple raison qu'ils ont beaucoup à
faire.
Je les déteste. Ils ne sont même pas fichu de trouver un moment pour venir me chercher. On monte dans un avion privé. On décolle. Bien vite on se retrouve hors de porté du radar. Tout disparu. L'univers changea d'un coup. Tout deviens nuage.
-Les gros nuages sont appelé terre et les petits sont des flotteurs.
-Hum.
Le flotteur se dirige vers l'un des plus gros nuage. Arrivé là-bas, je mets pied à terre. Trois femmes et deux hommes m'attende. Ils s'incline devant moi. Je me tourne vers l'homme qui m'a accompagne.
- Lady vous voici chez vous à Orbevent.
-Je... Orbevent... bonjour.
-Ils vous attendent.
-Je... qu'est ce que je dois faire?
-Vous devez salit vos serviteurs.
Je m'incline alors devant eux. Ils ont un mouvement de surprise. Le major-d'homme me relève.
-Vous n'avez pas été élevé parois nous mais vous n'avez pas à vous incliner.
-Alors... je dois faire quoi?
-Venez.
Je le suis. Les deux hommes me suivent de près et les femmes sont plus loin. J'entre dans une salle.
-Voici vos appartement.
-Heu... merci.
Les femmes entre a ma suite et les deux hommes reste devant. Le major-d'homme s'en va. Les femmes s'activent près de moi.
-Mademoiselle, il est l'heure de prendre votre bain.
-Hum, je visite d'abord.
-Oui lady.
L'endroit est grand, un salon avec les murs rouge et un tapis vert, une salle de bain aux carreaux crème et une chambre bleu nuit, rouge et or. Dans ma chambre il y a une vieille armoire en cerisier, un lit baldaquin deux places, un bureau en cerisier et une chaise en cerisier. Je pose mes photos sur le bureau, je range mes vêtement dans l'armoire et je pose mon ordinateur en mettre des lieux sur mon bureau. Ensuite je retourne dans la salle de bain et je prends ma douche. En sortant, je met un mini short vert pomme et un chandail gris perle. Je retourne dans le salon. Les trois femmes n'ont pas bougés.
- Vous ne pouvez pas vous présenter comme ça devant vos parent.
-A bon pourquoi?
-Ce n'est pas une tenue descente.
-C'en est une. Et puis si ils sont pas content ils ont cas aller dormir.
-Mademoiselle!
-Vous... laissez nous vous préparer.
-Ho non, c'est pire qu'avec Ae.
-Ae?
-Une amie a moi. Je suis dans ma chambre... on mange à quel heure?
-18H30.
-Merci. 30min c'est partie.
Je me mets sur mon ordinateur. J'allume skype et j'appelle Aessa. Au bout de la deuxième sonnerie, elle me répond:
-LILA!
-Ae, je suis partie ce midi c'est pas la mort.
-Mais... tu ma manques vraiment par pitié... reviens.
-Je peux pas.
-Mais...
-Je ne sais même pas comment je suis arrivé ici.
-T'es où je viens te chercher?
-À... à...
-À?
-Orbevent.
-Orbevent? C'est où?
-Loin, très loin à l'horizon.
-Arrête de te moquer.
-Sérieux, je ne sais pas.
-Tes parents sont comment?
-Je sais pas, je ne leur est pas encore parlé.
-Pourquoi ?
-Ils sont trop occupé pour me voir.
-T'es habillé comment?
-Mini short, chandail.
-QUOI?
-Oups c'est pas bon.
-Pas du tout! Je vais te préparer.
-Comment?
-Ouvre ton armoire et laisse moi voir.
J'exécute. Elle reste silencieuse en moment avant de me designer deux vêtement, je les enfile rapidement. On continue comme ça un moment. Une femme frappe à ma porte.
-Mlle, on vous attend pour manger.
-J'arrive. Bye Aessa.
-OK reste comme ça.
-J'y vais à plus.
-Bisous.
Je sors avec un jean noir et une chemise rouge. Mes cheveux sont lâche dans mon dos et à pieds je porte une paire de vans noire. Le major-d'homme me conduit jusqu'à une grande salle tout de verte avec au milieu une grande table, quatre personnes sont assises. Un homme d'une quarantaine d'année, brun avec des yeux vert, à sa droite une femme aux cheveux noisette et au yeux chocolat, un garçon d'à peu près vingt ans et une fille de plus ou moins sept ans. Ils sont tous bien habillé et je fais tâche comme ça. Les trois plus âges ont des ailes dans leurs dos, comme la plus part des gens d'ici. Qu'est ce qui se passe? La femme se lève. Elle vient vers moi et s'arrête à une distance de cinq mètre. Le temps s'arrête, l'air se rafraîchie, une brise se lève. La femme s'approche et me sert dans ses bras fin. J'aimerai me laisser aller dans les bras de cette femme, je me sens en sécurité, au chaud...
Je recule, me libérant de l'étreinte de la femme.
-Je... je suis ta mère, Cemë, ton père Valaën, ton frère Athaën, et ta soeur Taryë.
-Je... non... je...
-Les humains t'ont donné un nom...
-Oui et alors?
-Je vais te dire celui dont tu as héritée.
-Je l'appelle Lila...
-Yica.
Elle la murmurer près que sursurer entrer ses dents comme le plus beau cadeau.
-Viens manger.
-Ouais.
Je m'assois à table et je commence à manger.
-Ça fait 16 ans que je rêve de pouvoir te serrer dans mes bras.
-Hum.
-J'espère que vous allez bien vous entendre entre frère et soeur.
-Ouais, déjà qu'avec une c'est nul alors deux...
-Voyons Ethaën, Yica est plus âgé que Taryë.
-Ouais, elles ont quoi...9 ans d'écart...
-C'est bon, si vous voulez pas que je reste je repars.
Je me lève de table. La petite Taryë ce jette dans mes bras et dit avec sa voix d'enfant:
-Pars pas, j'en supplie pars pas.
Je regarde la fillette, elle me fait penser à Aessa quand je lui ai appris la nouvelle.
-Tu sais, je viens de loin alors je suis un peu fatigué, je vais dormir.
-Merci.
Je ne peux rien faire, c'est affreux.
-Taryë arrêté d'utiliser ton pouvoir.
-Mais... elle reste!
Son ton n'avez plus rien de celui d'une petite fille de 7 ans mais celle d'un adulte, emplie d'autorité.
-Taryë, cesse tout de suite d'utiliser fin pouvoir!
-Oui papa.
Je me décolle de la... ma soeur et je retourne dans ma chambre. Aessa est toujours là, je l'appelle.
-Ae vient me chercher.
-Mais...
-Par pitié.
-Comment ça c'est passé?
-Ben... la... ma mère s'appelle Cemë, mon père Valaën, j'ai un grand frère Athaën et une petite soeur Taryë. Je m'appelle Yica, ce sont des fées, ils possèdent des pouvoir et on vit sur un nuage appelle terre.
-Tu t'es cogné la tête?
-Je suis sérieuse.
-OK... sérieuse toi, c'est la fin du monde.
Je prends l'ordinateur et je me mets de façon à ce qu'elle puisse voir le dehors. Quand elle voit le nuage elle crie. J'avais oublié, elle a le vertige.
-Ça va?
-Oui.
-Désolé.
-C'est rien... je te crois définitivement.
- Tu peux venir me chercher?
-Hum... non.
-Pourquoi?
-T'as pas voulu rester.
-Par pitié...
-Fait pas cette tête.
Je la regarde.
-Je vais te laisser.
-Hein pourquoi?
-Je vais visiter pour essayer de trouver un moyen de partir.
-Ho ma Lila tu vas vraiment le faire?
-Oui.
-Alors vole.
-J'ai pas envie de mourir.
-Reste en vie!
-Bye.
-Ouais a plus.
Je raccroche et je sors. Les deux gardes me suivent, super. Je me retourne et je les regarde.
-Comment on fait pour retourner sur Terre?
-Nous n'avons pas ce genre d'information.
- Hum... vous allez me suivre longtemps?
-Nous sommes vos gardes personnels.
-Nous avons pour ordre de vous escorter partout ou vous allez.
-Qui a fixé une règle aussi débile?
-Le roi votre père.
-OK... je ne retire pas pour autant ce que j'ai dit.
Je vais me balader dehors, avec une veste qui me cache le visage. C'est vraiment nul par ici, il n'y a rien a faire. Je l'aventure un peu plus loin allant jusqu'au village. Je sème mes gardes au passage parce qu'ils m'énerve a me suivre comme ça. Je les entend me chercher dans tout le village. Quand je suis sûre qu'ils sont loin, je sors profiter du peu de liberté qu'il me resta avant de prendre un savon de mon père par ce que je sens qu'il y en aura un. C'est bizarre . J'ai l'impression de connaitre cette endroit comme si j'étais déjà venue ici. Je marche distraitement dans le marché, absorbant avec avidité tout ce qu'il y a à voir. Le marché est grand, la place central est sur le terre, d'une jolie couleur verte comme l'herbe d'une prairie, quelques arbres éclatant aux feuilles multicolores poussent du nuage...
Je suis sur le chemin du retour, la nuit tombe, le ciel s'assombrit, l'air devient plus vrai, les gens rentre chez eux, le sol se pare du jolie violet. Je marche dans les rues bordés petites maisons variés et de jardin bien entretenue. Les rues se font vides et bientôt je ne croise plus que de rare passants
Je passe dans une ruelle. Je marche depuis au moins cinq minutes et je ne vois pas encore le bout de la rue. J'ai un mauvais pressentiment et une douleur insupportable me laboure le crâne. Je m'arrête pour reprendre mon souffle quand je le sens défaillir. Je tombe sur le sol. J'ai froid, ma tête me brûle, mes membres refusent de m'obéir, je me sens tomber dans l'oublie totale. Je m'abandonne à cette étreinte mortelle. Mes yeux se ferme d'eux même.
Je ne sais pas ce qui se passe après, le froid disparait peut à peut, remplacé par un noir obscure, plis épais que l'encre et plus terrifiant que la mort. Les minutes s'écoulent, qui deviennent des heures et seul l'obscurité instable ou je me trouve me raccroche à l'horreur.
J'ouvre les yeux, une violente lueur rouge me force à les fermer alors que tout pousse à les gare ouvert. Je me lève doucement du lit où je me trouve. La maison ou je suis est très belle, chaleureuse, une odeur de romarin flotte dans l'air. Je pose un pied sur le sol. Il tiède et doux. Je passe la tête par la porte un magnifique jardin remplie de fleur aux multiples couleurs de l'été, projette des couleurs dans la pièce. Je me tourne au son de pas et je vois une charmante fillette de 4 ans courir vers moi en criant partout:
-Papa! Papa!
Un homme apparait. Il sourit heureux comme si sont plus beau trésor fonçait sur lui.
La tombe dans sa chute. Son père la relève et la sert dans ses bras.
-Allons mon trésor, sourit pour me faire plaisir. Je n'aime pas te voir triste.
La fillette dévoile ses dents parfaites telle des diamants. Le père sert toujours sa fille dans ses bras, une larme au coin de l'œil.
-Papa, je veux pas aller en bas.
-On en a déjà discuté, c'est provisoire. Une semaine ou deux et je vous retrouve.
-Pourquoi dois-je descendre?
-Tu sais bien qu'à cause de la guerre je préfère vous savoir, ta mère et toi, en bas.
-Mais...
-Tu prendras soin de ta mère?
-Oui! Je la protégerai.
La fillette de 4 ans embrasse son père sur les deux joue avant de saur sur le sol et de repartir en courant.
Je me sens aspirée et je me retrouve dans un autre lieux. Un flotteur attend sur le bord d'un pont. La petite fille serre son père dans ses petits bras avant de tirer sa mère dans le flotteur.
-Viens vite nous chercher papa.
-Promis!
Une explosion retenti, l'homme détaché le flotteur et s'élance vers le château qui est attaqué. Le flotteur monte plus haut toujours plus haut. Un tire pénètre dans le flotteur et ce dernier disparaît.
L'univers bascule encore une fois. Le flotteur a prit l'apparence d'une voiture et il est écrasé par terre, du feu englobe le véhicule. La fillette sort du feu. Elle a de multiples blessure. À ses côtés gît sa mère. La fillette se penche sur la femme.
-Madame! Madame!
La femme ne réagit pas. Au loin une ambulance arrive. Les hommes s'activent autour de la petite fille.
-Petite tu c'est qui est cette personne.
-J'ai mal a la tête.
-Tu t'appelle comment?
-Je ne sais pas.
L'enfant est emmené dans un hôpital. Après ça je vois Mathilde à l'orphelinat.
- Tu vas venir vivre avec moi maintenant, je remplacerait ta maman.
-Maman?
-Oui.
-Maman!
-Madame, elle a perdue la mémoire il se peut que quand elle se souvient elle soit désorienté.
- Je ferai attention.
Je me réveil dans ma chambre à Orbevent. Une femme est penché au dessus de moi.
-Lady! Vous étés enfin réveillé, vous avez besoin de quelque chose?
-De l'eau.
La femme me tend de l'eau que je bois comme une assoiffé.
-Je... ma tête...
-Ne vous en faite pas, tout va bien. Le médecin a dit que c'est du a un choc émotionnel. Lady Taryë est très inquiète pour vous.
-Taryë?
-Votre sœur.
Une petite tête brune passe par la porte et se jette dans mes bras.
-Yica! Yica!
-Chut tout va bien.
Taryë me serre dans ses bras. Je revois la petite fille, enfin je me revois à 4 ans. Le roi entre dans la chambre à son tour. La servante emmené Taryë dans la pièce à côté. J'entends les protestations de ma soeur. Je suis bien dans les bras de mon père.
-Tu m'as manqué. J'ai eu si peur.
-C'est pas ma mère?
Le roi me regarde surprit.
-Comment... que c'est-il passé? Vous étiez sensé vous retrouver sur la terre d'en bas et vous avez atterri sur Terre.
-Nous avons été attaqué et le flotteur c'est matérialisé sur Terre. Maman est morte et j'ai perdue la mémoire... Mathilde m'a adopté et je suis revenue.
-Je t'ai cherché partout. Ils en ont après toi et ça ne terminera jamais. Ils seront toujours tes ombres... tant qu'il ne sera pas mort.
-Qui?
-Le démon.
Il me serre dans ses bras.
-Tu vas devoir apprendre a te protéger... tu es l'espoir de l'humanité.
-Je... je le tuerai.
-Tu n'auras pas le droit à l'erreur, veux-tu vraiment te lancer dans cette quête ou tu trouvera sans doute la mort?
-Je n'ai pas vraiment le choix puis que de toute façon il en a après moi... je le tuerai parce qu'il a tué assez de gens et que je ne veux pas perdre les personnes qui me sont chère.
-Alors je te souhaite bonne chance. Tu devras partir demain pour te rendre au temple du savoir... six gardes t'accompagneront.
-Quand il sera mort je rentrerai et nous rattraperons les années que nous n'avons pas pu vivre ensemble.
-D'accord mon trésor.
Je me lève et j'accompagne mon père jusqu'à la salle à manger. On mange tous ensemble. En les connaissant j'aime beaucoup la famille, je n'oublierai jamais Mathilde ni Aessa et tout ce que j'ai vécu avec eux , mais je veux vivre avec ma famille. J'en ai une alors que j'ai toujours crut que mes parents m'avaient abandonné. Je veux grandir avec eux et pourtant pour préserver la paix, je vais devoir partir pour un très long voyage et me battre contre le démon qui menace ma famille. C'est mon devoir mais je reviendrai et je vivrai avec eux, parmi eux.
Je regarde ma mère, ma soeur, mon frère avant de regarder mon père. Je sais que c'est ce que je dois faire. Je prends la parole.
-Je vais partir pour le temple du savoir... et je tuerai le démon.
-C'est ton destin, les sages l'ont prédit avant ta naissance et il te rattrape aujourd'hui.
-Va ma fille mais reviens nous vivante.
-Yica, tu ne nous abandonne pas, souvient toi toujours de nous parce que nous sommes une famille. rajoute Taryë
-Une petite soeur arrive et elle part déjà. Quand tu reviendras je te ferais visiter Orbevent.
-Je vous promet de le vaincre et de revenir vivante.
Je n'avais aucune certitude que je rentrerai en vie et pourtant dans leurs paroles, je puisées la force nécessité pour détruire ce démon et peut importe l'ennemi qui se présentera devant moi. Je partie me coucher après avoir rangé mes affaires pour le voyage.
La nuit passa vite. Je me réveil à L'Aurore. Je déjeune rapidement avant de vérifier que j'ai toute mes affaires et je m'habille d'un pantalon bleu nuit et d'une chemise en soie rouge. Je laisse mes cheveux retomber dans mon dos et je sors. Mon père m'attends. Il me serre dans ses bras avant de me donner une épée. Le fourreau est noir avec grave dessus: "invisible". Un rubis est sertie dans la garde et la lame est fine d'un style elfique, légère et la lame est paré des pierres bleu nuit, rouge, ambre et blanche.
-Infinie est une lame hors du commun, elle te protégera et te sera fidèle. Elle porte les 4 éléments en elle, l'eau, le feu, la terre et l'air. Va et reviens vite.
-Je... merci papa.
-Tu me manques déjà.
-Toi aussi...
-Bon voyage et au-revoir.
-Ce n'est qu'un au revoir, je te promet qu'on se reverra.
Alors que je me tourne pour monter sur mon cheval; un magnifique étalon noir avec une longue crinière et une tâche rouge sur son front; Taryë crie:
-YICA !
Je me retourne. Ma soeur le saute dans les bras.
-Allons Taryë je ne pars pas pour toujours.
-Tiens. C'est de l'ageratum mauve ça veut que j'ai confidence en toi.
-Merci. Je ne vous oublierai jamais et je reviendrai vite.
-Prends de toi ma grande.
-Prenez soin de vous.
-Je prierai tout les jours pour ta réussite.
-Je prierai pour vous.
J'embrasse mon père et ma soeur avant de monter à cheval et je l'élancement au galop suivit par mes gardes.
Le temps du souvenir est une étapes et il me faudra surmonter bien des épreuves mais j'ai fois en ma famille.
Le soleil se lève quand je me tourne et que je vois Orbevent s'éveiller. Dans les premières lueurs du jour, la cité est magnifique, digne d'un dieux.
-Continuons, plus vite parti plus vite revenue.
-Nous vous suivons princesse.
-Alors allons y.
Dans l'ivresse de la chevauché, je laisse mon esprit s'envoler vers ma famille. Le vent faisait voler mes cheveux, j'étais heureuse de commencer mon voyage.
Roi ne serai plus comme avant, j'en avait la certitude mais je continuais mon chemin... je ne trahirai pas la confiance qu'ils me portent. L'ageratum, cette fleur qui offre le soutient d'un amour partager et d'une confiance mutuelle étais mon plus beau trésor. Je savais qu'a présent plus rien ne m'arrêterai. S'il fallait que je meure je mourrai pour ma famille, parce que je les aimes.
Les épreuves que je traverserai ne l'effrayait pas, ce serait mon défi.
______________________-______________
Voilà voilà le chapitre 2. J'espère que ça vous plait et je vais faire un maximum pour essayer de prêt le chapitre 3 avant la reprise des cours. Donc merci a tout ceux qui le suive et je voulais juste rappeler que je m'étais en pause le baiser de l'ombre ( pour ceux qui lisent). Je préfère le concentrer sur Ma légende, mon destin pour l'instant
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro