Chapitre 38 : L'amour...par définition.
Essoufflés comme si ils venaient de courir un marathon, ce qui était en réalité le cas, Sergio et Raquel s'observaient, le regard rieur. Après plusieurs minutes à passer à essayer de reprendre une respiration plus posée, Ils consentirent enfin à se lever du canapé où ils étaient avachis l'un l'un à côté de l'autre et l'un sur l'autre.
- « Nous devrions nous laver avant d'y aller non ? » suggéra Raquel en voyant le regard de Sergio la détailler comme pour graver sa silhouette dans sa rétine.
- « Probablement oui. »
Elle eut un sourire en coin et monta les escaliers de sa maison où ils étaient arrivés après leur course folle dans les rues d'une Madrid encore ensommeillée. Il était aux alentours de 8h15 à présent. La mère de Raquel avait déjà dû quitter la maison depuis plusieurs minutes pour rejoindre Paula à l'hôpital, ne sachant pas si sa fille serait de retour aujourd'hui. Le silence de la maison, qui avant angoissait toujours profondément Raquel quand elle était seule, était reposant, apaisant, presque comme une bulle enchantée les coupant du monde extérieur parfois si bruyant et agressif. Les pas de Sergio dans l'escalier se joignirent aux siens et ils arrivèrent à l'étage, Sergio analysant tout comme si il cherchait ce qui avait bien pu changer en à un an. La dernière fois qu'il était venu, même les dernières fois, l'étage était toujours plongé dans le noir, l'empêchant de pouvoir observer ce dernier. Il remarqua qu'un cadre photo avait disparu du couloir. Raquel sembla remarquer son regard curieux car elle sourit et se dirigea vers un meuble. Elle ouvrit le tiroir et en sortit une photo qui semblait avoir été touchée, gardée, serrée si fort qu'elle en était toute froissée. Elle la tendit à Sergio qui l'observa. Un sourire heureux et nostalgique perla sur ses lèvres en découvrant l'image. Une photo d'eux deux s'embrassant. Il se souvenait de quand ils avaient décidé de la prendre. C'était ce fameux jour où elle était allée le chercher au commissariat. En rentrant, ils avaient décidé de s'arrêter dans un parc pour marcher tranquillement. Raquel avait absolument tenu à ce qu'il lui explique précisément ce qui c'était passé mais il était parvenu à esquiver plus ou moins le sujet jusqu'au soir. Ils s'étaient juste promener main dans la main, quelques temps, chacun oubliant ses obligations et qui ils étaient pour simplement profiter de cette parenthèse enchantée qui n'existait que pour eux. Puis ils étaient rentrés et avaient passé la nuit ensemble. Sergio releva la tête croisant le regard de Raquel qui n'avait rien perdu de sa réaction devant la photo, l'observant, la tête penchée sur le côté avec un sourire sur les lèvres.
- « Tu l'as imprimé et gardé pendant tout ce temps ? » demanda-t-il.
Elle hocha simplement la tête.
- « Quand on a que des souvenirs pour ne pas sombrer, on s'y accroche inexorablement. »
Sergio s'approcha, caressant avec douceur sa joue pour lui rappeler sa présence près d'elle. Elle porta une main à sa joue, empêchant ainsi sa main à lui de la quitter. Les yeux plongés dans les siens, Raquel souriait.
- « Promets-moi de ne jamais me laisser comme tu l'as fait... » s'entendit-elle dire.
Les yeux de Sergio exprimaient une douleur infinie.
- « Ça te terrifie vraiment... » observa-t-il d'une voix brisée.
- « Tu ne peux pas savoir à quel point... »
Il passa ses bras autour de son corps qui lui semblait si frêle à cet instant, l'attirant contre lui avec douceur. Elle enfouit son visage contre son torse, son parfum entêtant la rassurant tandis qu'un sourire effleura ses lèvres tant elle se sentait bien à cet endroit précis. Elle se sentait juste à sa place, complète, en sécurité, protéger de tout ce que le monde et l'humanité pourrait tenter de faire pour la détruire, la blesser, voir même pour certains, la tuer. Raquel sentait le coeur de Sergio battre dans sa poitrine et cela la fit sourire un peu plus. La tête calée contre celle de Raquel, Sergio humait avec délice le délicat parfum de sa compagne. Leurs âmes elles, se fondaient l'une dans l'autre avec un ravissement qu'eux seuls pouvaient connaître. Elles se complétaient à la perfection, chacune comblant les blessures de l'autre comme si elles étaient chacune le moule créateur de sa jumelle âmique.
- « Je te le promets... » souffla Sergio à son oreille.
Rassurée, Raquel soupira d'aise et peut-être aussi d'un soulagement si grand que son coeur ne pouvait pas le contenir en entier. Elle avait toujours eu peur de l'abandon et elle le savait. Depuis que son père était parti quand elle était encore petite en réalité. Elle avait dû grandir vite, trop vite pour guérir le coeur détruit de sa soeur et de sa mère qui tentait pourtant de faire comme si elle allait bien.
En amitié comme en amour, elle avait toujours douté mais au fil des ans, elle avait fini par réussir à s'en défaire jusqu'à... Jusqu'à ce qu'elle rencontre Alberto... Huit ans à avoir peur sans cesse qu'il la laisse. Huit ans passés à se sentir comme la pire des femmes alors qu'elle faisait toujours tout pour le contentez au maximum. Huit ans de reproches, d'insultes même parfois pour finalement arriver à un an et demi de coups portés à son corps. Pourtant, ce n'était pas lui qui en était sorti le plus meurtri. Quand bien même il avait pu casser quelques côtes ou bien ses vaisseaux sanguins avec ses coups répétés, lui laissant des marques bleuâtres qu'il critiquait encore en lui disant de les cacher parce que ce n'était pas beau à voir pour lui et ses yeux d'homme, c'était son esprit qu'il avait réussi à briser, à mettre en pièce, à réduire au silence pour l'empêcher de parler. Pourtant, un déclic l'avait comme ramené sur terre. Ce déclic, c'était Paula. Paula et ses grands yeux inquiets quand elle avait vu les les marques « d'amour » que son père lui laissait sur le corps.
C'était l'amour de sa fille qui l'avait sauvé. L'amour de sa mère qui l'avait épaulé et presque relevé. L'amour de Sergio qui l'avait guéri.
L'amour... C'était ça qui l'avait maintenu en vie tout ce temps quand elle avait peur avant, pendant et après le divorce. C'était ce qui lui avait permis de tenir quand tout le monde s'était retourné contre elle quand on avait découvert avec qui elle passait ses nuits. C'était ce qui lui avait permis de tenir quand il était parti sans elle, sans vraiment avoir eu le temps de la prévenir. Oh bien sûr ils s'étaient dit au revoir avant qu'elle ne sorte pour aller voir Ángel. Il lui avait dit qu'il ne serait probablement plus là quand elle reviendrait ici. Mais sur le coup, elle n'y avait pas vraiment réfléchi ni même pensé... Son esprit entier était concentré sur ce qu'elle s'apprêtait à faire : sauver, protéger cet homme qu'elle aimait plus que tout et qui l'aimait de la même manière en retour. Le protéger même si cela signifiait qu'elle perdait tout. L'amour lui avait fait faire tant de choses folles...
L'amour... C'était à la fois la chose qui l'aidait à tenir et ce qui pouvait la détruire. Oh oui Sergio avait ce pouvoir sur elle. Elle le savait mieux que quiconque. Il n'y avait qu'à voir l'état dans lequel elle était quand il n'était plus là... Il pouvait détruire son coeur d'un simple mot, le broyer d'un simple geste, l'anéantir d'un simple mouvement. Il tenait au creux de ses mains tout ce qui faisait d'elle ce qu'elle était. Elle s'était livrée à lui tout comme il s'était livré à elle, bien qu'avec un peu de retard. Ce qu'il pouvait détruire, elle le pouvait aussi. Ça aurait dû les effrayer et en vérité, au début c'était le cas. Cependant, ils avaient appris à s'aimer, à se comprendre, à connaître l'autre mieux que eux-mêmes. Et aucun des deux ne voulaient être la cause de la destruction de l'autre. Alors, au lieu de se détruire comme seuls les humains savaient le faire, ils se sont plutôt soutenus, élevés, guéris ensemble. L'un comme l'autre avait pris le coeur de l'autre pour le placer à la place du sien. Si l'un partait, l'autre suivrait. Le coeur de Raquel battait dans le corps de Sergio et le coeur de Sergio battait dans le corps de Raquel. Guérir ensemble pour mieux se comprendre. Guérir ensemble pour vivre ensemble. Guérir ensemble pour juste avoir ce plaisir inestimable d'apercevoir le sourire heureux de l'autre tout en sachant qu'on en est la cause.
En vérité l'amour n'est pas juste aimer quelqu'un, c'est aussi le soutenir, le guérir, l'élever et le rattraper quand il trébuche sur le chemin de sa vie et l'accompagner jusqu'à ce que la mort vienne prendre l'un des deux, laissant toujours l'âme de l'autre autour de celui qui reste jusqu'à ce qu'il le rejoigne ou parvienne à se relever.
L'amour, c'est aimer chaque parcelle même celles inconnues de l'autre, même celles qui ne semblent pas belles aux yeux des autres car on voit toujours la bonne partie de ces parcelles là. C'est aimer les fragilités, les blessures enfouies, les mensonges que tout le monde croit hormis la personne qui sait et qui comprend et la personne qui ment.
Aimer c'est poursuivre le bonheur de l'autre pour le lui apporter. C'est accepter que la personne puisse être heureuse sans nous, parfois même plus qu'avec nous. Aimer c'est pardonner. Aimer c'est juste vivre en vérité. Vivre comme si les lendemains ne comptaient pas, comme si demain ne se lèverait pas, comme si le monde s'écroulerait dans la minute suivante, comme si le futur n'avait plus de sens.
L'amour c'est ce qu'on veut tous sans jamais l'avoir connu. La chose qui donne une raison de vivre à notre âme et une raison de partir quand notre âme soeur s'en va. L'amour nous permet de ne plus avoir peur de la mort et ses mains glacées, de ne plus la fuir mais parfois, même si il ne faut pas, la chercher. C'est l'accueillir comme une amie qui nous permettait de rejoindre celui qui n'est déjà plus là ou si vous avez la chance d'être encore là tous les deux, de pouvoir veiller sur lui ou sur elle ou sur iel sans que personne ne le voit. C'est pouvoir lui rendre visite dans ses rêves même si il ne s'en rappelle bien souvent pas. C'est pouvoir soutenir son âme quand elle a perdu son corps jumeau et lui laisser comme unique consolation son âme jumelle que l'humain ne peut plus voir, ayant perdu cette faculté quand il s'est perdu lui-même.
L'amour... Ça peut réduire à néant toutes les valeurs morales tant que la personne aimée reste près de nous. Si il y avait un train qu'on ne pouvait pas arrêter, qui roulait à grande vitesse sur les rails et que vous seul pouviez décider où l'envoyer à l'aide de l'aiguillage et qu'il n'y avait que deux voies possibles. Celle de gauche où il y avait dix personnes et celle de droite où il n'y en avait qu'une, tout le monde choisirait d'envoyer le train là où il n'y a qu'une personne. La morale nous dicte de le faire pour le bien commun mais pourtant, si on rajoutait une seule variable, une variable si infime qu'on penserait qu'elle n'influerait en rien sur le choix à faire, vous choisiriez l'autre voie pour envoyer le train. Cette variable si exceptionnelle, c'est l'amour. Si la personne sur la voie de droite est la personne que vous aimez le plus au monde, vous n'enverriez jamais le train sur elle. Vous tueriez dix personnes pour la sauver. Et à cet instant précis, Raquel tout comme Sergio savait que c'était vrai. Pour l'amour oui, l'un comme l'autre serait prêt à tuer la personne qui menacerait la personne aimée. Pour Paula, pour Mariví et pour l'être aimé, rien ne les arrêterait.
L'amour... C'est un sentiment si puissant, si grand, si magnifique que le décrire n'est pas possible. Les métaphores peuvent s'en approcher mais jamais donner la réalité. Vous ne connaitrez cette sensation qu'en la ressentant et rien ne sert de chercher à le trouver car quand on le cherche on le perd, on s'égare. Laissez le venir c'est tout. Il vous trouvera. Raquel et Sergio se sont bien trouvés n'est-ce pas ? Rien ne les prédestinait. Pourtant c'est arrivé.
Raquel et Sergio ne sauraient dire combien de temps ils avaient passé l'un contre l'autre et en vérité, ils s'en fichaient bien. Ils voulaient juste profiter l'un de l'autre. Finalement, ils se séparèrent de quelques millimètres ce qui leur semblaient déjà trop et se regardèrent l'un l'autre avant de se sourire avec amour. Ils scellèrent ce moment magique dans leurs mémoires respectives d'un baiser passionné puis Raquel attira Sergio à sa suite dans sa salle de bain, refermant soigneusement la porte à clé. On ne sait jamais, peut-être qu'en vérité sa mère n'était juste pas encore réveillée. Ce n'est que presque une heure plus tard qu'ils en ressortirent, se dévorant des yeux, un sourire béat sur les lèvres pour eux deux. Raquel alla se vêtir et il fit de même puis descendirent en bas. Raquel attrapa rapidement son sac et sa veste et Sergio son manteau et son sac en plastique mystérieux que Raquel n'avait même pas pensé à ouvrir. Il attrapa rapidement deux pommes pour manger en chemin et ils sortirent. Ils devaient aller chercher la voiture de Raquel qui était toujours garée à quelques mètres de l'immeuble où vivait son ex-mari. Ils quittèrent la maison et rejoignirent à pied l'immeuble. Raquel savait que normalement, Alberto travaillait et qu'il ne revenait jamais le soir d'une dispute à la maison. Donc normalement, il n'était pas là et n'avait pas dû voir sa voiture. Du moins elle l'espérait. Mais par mesure de prudence, Sergio resta à distance, au bout de la rue. Raquel regagna sa voiture, ses sens en alerte. Personne. Elle ouvrit sa voiture et rentra à l'intérieur. Alors qu'elle se concentrait sur la mission « trouver la clé dans le bordel du sac », elle perçut un mouvement brusque dans sa vision périphérique gauche. Elle eut le réflexe de fermer sa portière et de verrouiller la voiture aussitôt et heureusement car un poing s'abattit une demi-seconde plus tard sur sa vitre, là où se trouvait avant sa tête.
- « ELLE EST OÙ PUTAIN ! » rugit Alberto en essayant d'ouvrir la portière.
La vision des traits déformés par la fureur de son ex-mari lui rappela aussitôt toutes ses fois où il avait été ainsi devant elle, juste avant que les coups ne pleuvent sur son corps déjà tremblant sur le sol. Ses pupilles s'écarquillèrent et elle s'écarta de la fenêtre où le visage rougi par la colère d'Alberto s'affichait.
- « JE SAIS QUE TU SAIS OÙ ELLE EST SALOPE ! »
La respiration de Raquel s'accéléra, elle sentait qu'elle allait faire une crise de panique dans peu de temps. Soudainement, son portable vibra, signe qu'elle recevait un appel. Cela la ramena à la réalité et elle attrapa son téléphone, fronçant légèrement les sourcils en voyant un numéro inconnu s'afficher sur l'écran. Elle décrocha tout en faisant un doigt trop longtemps retenu à Alberto ce qui l'énerva encore plus.
- « Raquel ?! »
- « James ! » s'écria-t-elle en entendant cette voix qu'elle connaissait si bien.
- « Est-ce que tu vas bien ? Je l'ai vu sortir de l'immeuble mais j'étais trop loin pour te prévenir ! »
- « Je vais bien oui ne t'inquiètes pas. On va dire que toutes ses années passées à avoir peur de lui ont au moins servi à ça... J'ai un détecteur spécial ex-mari en colère maintenant... » plaisanta-t-elle d'un ton qu'elle avait voulu amusé mais qui n'était que faux.
Alberto hurlait toujours, frappant la vitre de son coude pour essayer de la briser.
- « Je l'entends s'énerver d'ici Raquel je suis inquiet ! Est-ce que tu veux que je viennes ? »résonna la voix vibrante d'inquiétude de Sergio dans l'habitacle anxiogène de la voiture de Raquel.
- « Non ! Non surtout pas ! Restes là-bas, je suppose que tu es dans une cabine téléphonique étant donné que tu n'as plus de téléphone. »
- « Oui en effet mais tu es sûr ? »
- « Oui oui je te rejoins, la plus proche est au bout de la rue principale. »
- « D'accord je t'attends mais sois prudente je t'en pries ! »
- « C'est promis. »
Sa main gauche fouillant toujours dans son sac, elle trouva enfin la clé et démarra la voiture tout en s'attachant rapidement, le téléphone coincé entre sa joue et son épaule.
- « Il faut que je te laisses, je viens de démarrer. »
- « D'accord fais attention à toi ! Et enregistres ce qu'il crie ça servira peut-être à ta soeur si elle souhait porter plainte. »
- « Tu as raison. J'arrives. »
- « Je t'aime. »
- « Moi aussi. »
Ils raccrochèrent en même temps, Sergio commençant à faire les cent pas en attendant Raquel, les hurlements de colère d'Alberto lui parvenait par brides. Plusieurs personnes étaient déjà allées voir ce qu'ils se passaient, lui attendait comme elle le lui avait demandé. De son côté, Raquel lança l'enregistrement.
- « JE VAIS LA TUER ! ELLE A INTÉRÊT À REVENIR OU C'EST MOI QUI LA RETROUVERAIT ! TU REVERRAS JAMAIS PAULA SALE PUTE ! » hurla-t-il à nouveau.
- « Changes de disque tu veux ! De toute façon c'est toi qui perdras tout ! Dis bonjour à l'enregistrement ! »
Alberto blêmit et après l'avoir insulté une nouvelle fois, il rentra dans son immeuble, non sans fracasser à moitié la porte contre le mur. Avec un soupir de soulagement, elle arrêta l'enregistrement. Son coeur battait à une vitesse folle. Les doigts tremblants, elle sortit de la place, rejoignant à vive allure Sergio qui l'attendait. Quand il la vit au loin, il poussa un soupir de soulagement et monta rapidement à l'intérieur, l'embrassa aussitôt.
- « J'ai eu tellement peur ! »
- « Moi aussi... Il était furieux... » dit Raquel en déglutissant difficilement, rejoignant la circulation, un brin d'appréhension dans la voix.
- « Est-ce que tu vas bien ? » s'inquiéta-t-il.
- « Oui... Enfin... Physiquement oui psychologiquement...je ne sais pas... »
Il posa une main sur sa cuisse. Le contact sembla la détendre un peu car un sourire perla, bien que petit, sur ses lèvres. C'est avec plus de sérénité au fil du temps qui défilait tout comme les rues de Madrid jusqu'à l'hôpital qu'ils arrivèrent là-bas, descendant de voiture pour gagner le hall d'accueil de l'hôpital afin de rejoindre la chambre de Paula.
Pub pour la tête dans les étoiles
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¡Hola mis ángeles!
Comment allez-vous ?
Moi je vais bien!
Bon ! J'espère que ce nouveau chapitre vous a plu !
Si certains ont regardé la série « C'est la faute à Rousseau », vous avez sûrement remarqué que l'exemple donné sur la morale et l'amour ressemble comme deux gouttes d'eau à celle du prof de philo dans la série.
J'ai décidé de le reprendre ici parce que j'ai trouvé cet exemple magnifique.
Je suppose que vous ne connaissez pas le mot « âmique » et c'est normal parce que c'est un mot que j'ai inventé pour qualifier tout ce qui touche à l'âme voilà voilà 😅
Sinon, je voulais vous parler d'une histoire que j'ai lu hier soir et qui était juste magnifiquement bien écrit tant par le style utilisé que par les mots utilisés. Je n'ai jamais lu une histoire aussi bien écrite et aussi poétique que celle-ci. Ce n'est pas du Serquel je vous préviens mais c'est une histoire d'amour. Si elle vous intéresse elle s'appelle « La tête dans les étoiles » et elle a été écrite par MeiPlnk
Je sais que d'habitude je ne fais pas de pub pour d'autres personnes que mes amies et ceux qui écrivent du Serquel ou sur La Casa de Papel mais cette histoire m'a tellement touché que je me devais de vous la faire découvrir.
Voilà voilà !
Prenez soin de vous !
Je vous aime ❤️❤️❤️
Soyez heureux ❤️🫂
¡Besos a todos! 💜
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