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Chapitre 27 : L'appel d'une personne inconnue ?!

Le soleil perlait entre les rideaux de la fenêtre; éclairant un couple enlacé, endormi l'un contre l'autre le sourire aux lèvres. La porte de la chambre s'ouvrit et la tête d'une vielle dame passa par l'embrasure de la porte. Elle rit silencieusement puis la referma. Les rayons du soleil réveillèrent l'un des deux qui ouvrit les yeux, se retrouvant presque nez à nez avec le visage endormi de sa compagne. Un doux sourire se peignit sur ses lèvres tandis qu'il écartait une mèche de cheveux de cette dernière de son visage paisible. Il caressa sa joue délicatement avec son index. Un sourire de bonheur apparut doucement sur les lèvres de la jeune femme.

- « Bonjour mon amour... » murmura-t-il pendant que le sourire de cette dernière s'élargissait à ses mots.

- « Bonjour... » murmura-t-elle d'une voix endormie qui fit fondre son compagnon.

- « Tu as bien dormi ? » lui demanda-t-il.

- « À merveille dans tes bras. » répondit-elle.

Il sourit devant cet aveu.

- « Et toi ? » le questionna-t-elle.

- « La seule chose dont j'ai besoin pour bien dormir, c'est de toi à mes côté... » lui confia-t-il à l'oreille la faisant rougir.

- « Tu commences dès le matin toi... » dit-elle en riant, enfouissant sa tête dans son cou.

- « Je trouve que j'ai perdu beaucoup trop de temps loin de toi alors je profite de chaque seconde à tes côtés comme si c'était la dernière. » répondit-il.

La jeune femme éclata de rire.

- « Tu as fini de me draguer de la sorte ? Je suis déjà toute à toi... » dit-elle en se redressant sur ses coudes de chaque côté de son compagnon, surplombant ainsi son visage du sien.

Ses cheveux tombaient de part et d'autre de son visage qui semblait être celui même du bonheur.

- « Je n'arrêterai jamais. J'aurais bien trop peur que tu t'en ailles... » répondit-il.

- « Sergio... Je ne partirai jamais. Je te le promets. » le rassura-t-elle en posant délicatement sa tête sur son torse en souriant.

- « Je l'espère... »

Comme une promesse, elle déposa ses lèvres sur les siennes. On toqua subitement à la porte, brisant ce moment de pureté et de simplicité. La porte s'ouvrit sur Mariví, visiblement ravie de voir sa fille dans les bras de Sergio.

- « J'ai préparé le petit déjeuner vu que vous dormiez encore toute à l'heure. Il est 7h45, si on veut être à l'heure pour...pour... Pour quoi déjà ? » demanda Mariví légèrement perdue.

Raquel eut un sourire triste.

- « Pour aller voir Paula. » lui dit-elle d'une voix douce.

- « C'est ça ! Mais où avais-je la tête ?! » dit Mariví en refermant la porte.

- « C'est de pire en pire... » soupira Raquel au bord des larmes.

- « Je suis désolé... Si je peux faire quelque chose...dis le moi... » lui dit Sergio en passant une main dans son dos avec douceur.

- « Merci... » murmura-t-elle.

Le silence s'installa. Seules leurs respirations parfaitement synchronisées ensemble brisaient ce calme olympien. Ils restèrent ainsi plusieurs minutes, savourant la présence de l'autre. Finalement, Raquel brisa le silence.

- « On devrait descendre manger... On ne sera jamais à l'heure sinon... » observa-t-elle.

- « Oui tu as raison. » répondit Sergio.

Raquel se redressa, lui permettant ainsi de faire de même. Ils se rhabillèrent, Raquel avec un short et Sergio avec un t-shirt, complétant ce qu'ils portaient déjà pour dormir. Ils sortirent de la chambre et descendirent au rez-de-chaussé main dans la main. Mariví s'affairait autour de la table, marmonnant des paroles incompréhensibles.

- « Maman ? Tout va bien ? » s'inquiéta Raquel en posant une main sur son épaule.

Celle-ci sursauta et la fixa un instant, ne semblant pas la reconnaître durant un millième de seconde puis son visage s'éclaira d'un grand sourire.

- « Oui bien sûr ! Allez venez manger ! » s'exclama-t-elle en les guidant vers la table.

Sergio serra un peu plus fort la main de Raquel, lui manifestant ainsi qu'il était là pour elle et que tout irait bien. Elle le remercia d'un sourire empli de gratitude puis s'assit. Il fit de même. Ils mangèrent ensemble, plaisantant sur bien sujets. Mariví tentait de tout savoir de la vie privé de Sergio, le mettant un peu mal à l'aise. Il riait souvent, le rouge aux joues, cherchant du regard le soutien de Raquel qui lui murmurait à chaque fois un petit désolé avec un sourire gêné. Quand la curiosité de Mariví fut rassasiée, les deux amoureux remontèrent pour se préparer à partir pour l'hôpital. Ils redescendirent un quart d'heure plus tard, légèrement en retard sur l'horaire. Ils prirent la voiture de Raquel. Celle-ci conduisit et par miracle, ils parvinrent à arriver à l'heure pour le début des visites. Par mesure de prudence, Raquel et Mariví entrèrent d'abord puis Sergio les suivit. Il savait pertinemment que son déguisement ne le protègerait pas éternellement et il ne voulait pas que tout retombe sur Raquel. Elle n'y était strictement pour rien. Il monta en suivant les indications données par l'hôtesse d'accueil et finit par retrouver la chambre. À sa grande surprise, Raquel et sa mère l'avaient attendu. Il leur adressa un sourire de gratitude puis Raquel toqua avant de pousser la porte, permettant à toute la petite famille d'entrer dans la chambre de Paula.

- « MAMAN ! » s'écria  cette dernière en se redressant aussitôt.

- « Salut mon coeur ! » s'exclama Raquel en accourant pour la serrer dans ses bras.

- « Bonjour mamie ! Bonjour James ! » les salua Paula en se souvenant du nom qu'elle se devait d'utiliser ici.

- « Bonjour Paula. As-tu bien dormi ? » lui demanda Sergio en souriant.

- « Oh oui beaucoup mieux depuis que vous m'avez appelé ! » répondit-elle avec enthousiasme.

- « Tant mieux alors. Nous pouvons refaire ça quand tu le souhaites. » lui proposa-t-il en souriant.

-« Euh bah je veux bien mais je n'ai pas de téléphone et tu voudrais sûrement récupéré celui-là... » répondit Paula un peu inquiète.

Sergio s'approcha et s'assit sur le bord du lit, près de Raquel.

- « Ce téléphone ne me sert qu'à parler avec ta mère. Étant avec elle, il n'est donc pas nécessaire que je l'ai sans cesse sur moi tu ne crois pas ? » observa-t-il.

- « Oui c'est vrai... Alors... Ça veut dire que je peux le garder ? » demanda Paula, ravie.

- « En effet oui. »

- « Seulement le temps de ton séjour ici, après il faudra le lui rendre d'accord ma puce ? » lui dit Raquel.

Paula hocha la tête, heureuse. Mariví contourna le lit pour se placer de l'autre côté.

- « Alors Paulita, combien de temps vas-tu rester ici ? » lui demanda-t-elle.

- « Je sais pas... »

- « En tout, onze jours. Nous préférons la garder plus longtemps pour la laisser sous surveillance afin de vérifier qu'il ne subsiste aucune séquelle de son arrêt cardiaque. Elle ne pourra sortir que dans huit jours si tout se passe bien. » dit un médecin en entrant.

Personne ne l'avait entendu entrer.

- « Merci monsieur. » le remercia Raquel, rassurée.

- « Avec plaisir. » répondit-il avec un petit sourire charmeur.

Raquel l'ignora complètement. Sergio n'avait rien perdu de l'échange. Il entrelaça ses doigts avec ceux de Raquel sous les yeux du médecin, lui signifiant indirectement qu'elle était prise et qu'il n'avait pas intérêt à l'approcher. Raquel ne put retenir un petit sourire. La jalousie de Sergio était assez drôle à voir et particulièrement rare, presque invisible. C'était toujours par des gestes discrets que l'on pourrait penser non-intentionnels mais qui, en vérité, l'étaient totalement et étaient calculés. Jamais trop, jamais trop peu, juste ce qu'il fallait pour faire comprendre sans prétention que Raquel lui « appartenait » d'une certaine manière. Le médecin se racla la gorge, visiblement gêné puis s'adressa à Paula.

- « Alors comment te sens-tu aujourd'hui Paula ? »

- « Ça va... J'ai juste la tête qui tourne un peu des fois et j'ai tout le temps envie de dormir... » répondit-elle.

- « Bien bien bien... Bon nul besoin de s'inquiéter, c'est normal. » la rassura-t-il.

Paula hocha la tête.

- « Bon. Je vais demander à ce qu'on t'apporte ton plateau de petite-déjeuner puis on ira te faire faire quelques analyses de plus. » l'informa-t-il.

- « D'accord. » répondit Paula en souriant.

Le médecin les salua rapidement et sortit. Paula se tourna aussitôt vers Sergio, les yeux pétillants de malice et d'espièglerie.

- « T'es jaloux James ! » s'exclama-t-elle, faisant rire Raquel et sa mère et rougir de gêne Sergio.

- « Hmmm... »

- « Ça sert à rien de nier ! J'ai vu que tu lui as pris la main quand le médecin la trop regarder ! C'était trop mignon ! » dit Paula avec enthousiasme, les yeux rieurs.

- « Bon... Il est disons possible que je le sois...un peu... » admit-il à demi-mots.

Raquel sourit, trouvant cela mignon qu'il le soit un peu et même gêné de l'admettre. Sa jalousie, à la différence de celle maladive de son ex-mari, était sans mauvais fond. Il ne la culpabilisait pas et ne cherchait pas à faire des démonstrations de forces et des combats de coqs pour bien montrer à tous qu'elle était sa compagne. Non, lui il préférait la discrétion. Il montrait simplement par des gestes qu'ils étaient liés au delà de l'amitié ou autres. Il ne cherchait pas l'affrontement. Il restait calme et agissait de la même manière. Il faisait juste ce qu'il fallait pour qu'une personne qui l'approche de trop près à son goût se rende compte par elle-même qu'elle n'avait aucune chance. Ce changement, cette différence avec tous les autres hommes avec qui elle avait pu sortir était flagrante. Là où tous cherchait à se pavaner, lui chercher à lui montrer qu'il lui faisait totalement confiance et manifestait leur lien par des gestes ou des paroles anodines, sans chercher à rabaisser l'autre. C'était sûrement pour cela qu'elle se sentait aussi bien en sa présence et que ses petits moments de jalousie ne la dérangeaient pas. En vérité, elle trouvait cela adorable.

- « Garde le celui-là ! » lui conseilla Mariví en souriant d'un air entendu.

Raquel éclata de rire.

- « Oui maman. Mais tu ne voudrais pas mettre ton nez ailleurs ? » plaisanta-t-elle.

- « Comme tu voudras ma fille. » répondit-elle en souriant ironiquement, signe qu'elle ne comptait pas les lâcher.

Raquel connaissait ce regard par coeur. Elle s'apprêta à répondre quand son téléphone vibra dans sa poche, signe d'un appel entrant. Elle sortit ce dernier et faillit lâcher le téléphone en voyant qui l'appelait. Sergio, surpris par sa réaction et par le fait qu'elle ne réponde pas aussitôt alors que c'était toujours ce qu'elle faisait d'habitude, se pencha pour voir le nom de l'appelant. Il fut tout autant étonné de l'identité de la personne. Sur l'écran du téléphone, une photo et un nom s'affichait. La photo était celle d'une jolie jeune femme d'une trentaine d'années brune aux yeux noisettes qui souriait à l'objectif et le nom était celui d'une personne que Sergio n'avait encore jamais rencontré. Laura Murillo, la soeur de Raquel.

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¡Hola mis ángeles!
Comment allez-vous ?
Noël c'est bien passé pour vous ?
Pour ma part tout va bien !

J'espère que ce chapitre vous a plu !
Qu'en avez-vous pensé ?
Et oui notre chère Laura Murillo va débarquer dans la fiction !

Prenez soin de vous !
Je vous aime ❤️❤️❤️
Soyez heureux les petits anges vous le méritez !

¡Besos a todos! 💜

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