Je t'aime abruti
Ma fille : 18:30, envoyé.
-je suis l'hôpital chérie... J'ai eu un accident...j'ai perdu mon bras droit.
Je m'empresse de ranger mes affaires et partir en courant direction l'hôpital, mon père a eu un accident et il me dit ça comme ça..
Bordel lui est son calme.
En courant le plus vite que mes petites jambes puisse aller j'arrive à l'hôpital, on me donne le numéro de chambre de mon paternel et mis dirige.
Je marche d'un pas rapide et non rassuré, j'ai passer presque 8ans dans un hôpital, j'aime pas cette endroit et ça me rappel de mauvais souvenirs.
J'arrive enfin à le chambre 104 ! J'ouvre la porte et vint me jeter dans les bras de mon père.
-baka ! T'aurai pus me prévenir avant ou que des infirmière m'appelle !
Erwin: excuse moi je ne voulez pas t'inquiéter
- me donner aucun signe de vie c'est encore pire !
Erwin : ne crie pas s'il te plaît
- pardon... Mais-!
Ma voix ce coupe en voyant qu'il manque un bras à mon père, le reste enfin... Il restée pas grand chose et le peu qu'il était encore là était dans des bandages. J'étais bouche bée, mon cerveau ce poser des millions de questions mais aucune ne peut arriver jusqu'a ma bouche
Erwin : Dragonne, ne t'inquiète pas, je suis encore vivant c'est le principal.
- mais ptn ta un ! Ta une moitier même pas! Ta un bras qui a... Pouf disparu !
Erwin : tu paniques... Calme toi...
- je panique pas ! Je suis calme très calme... Trop calme... Ptn j'ai soif... Aaaah !
Erwin soupire, Dragonne pouvais devenir insupportable lorsqu'elle paniquée ou ne comprenais pas quelque chose.
Elle s'assoit contre le mur en reprenant doucement ça respiration, elle étais bien connu dans cette hôpital, malgré un fort caractère sa santé pouvais chuter d'un coup sous une forte panique.
Erwin : je vais rester quelques temps à l'hôpital donc tu devras m'aider pour mon travail...
- t'aider?
Erwin : tu devrais remplir des dossiers sur les nouvelles recrue.
-je peut pas...fin'...
Erwin : tu doit grandir Dragonne, tu à 17ans tu doit prendre tes responsabilités.
- mais je-...
Je soupir, bordel, entres les cours, les connerie à pas oublier, Porco à supporter, bordel ça me soule rien que dit pensée.
Je vais vite partir en couille...bon jvais trouver le moyens d'esquiver tout ça comme j'ai l'habitude de faire.
Erwin : s'il te plaît, ne fais pas n'importe quoi, 3 jours c'est pas énormes.
- 3 jour que tu restes à l'hôpital mais après ? Tu seras sûrement plus aptes à travailler compte pas sur moi pour faires tout tes blabla...
Erwin : je sais, je serais à la maison on pourra passer du temps ensemble.
- oui ça fais longtemps *dit-je avec un petit sourire heureux *.
Nous continuons à parler pendant deux bonnes heures, je commencé à fatigué et les visites était terminée, il étais 21h, je devrais être parti depuis une heures, un dernier câlin et un dernier baiser sur le front de mon paternel et je sorti de ça chambre.
Sorti de l'hôpital il commencer à faire frais, évidemment j'étais en short, t-shirt, et je n'aller pas remettre mes vêtements salez de sport, je déambule dans la ville, remarque quelques groupes de jeunes, surtout des gars qui boivent et fume, bordel demain on est que jeudi... J'irai pas en cours mais plutôt me doré le corps au soleil à la plage.
21h45, j'arrive enfin chez moi ! Je rentre et me déshabille tout en montant dans ma chambre, je m'installe dans mon lit, nuit noir et souffle un bon coup, je remarque que mon lit sans une odeur que je connaît que trop bien...
- AH BORDEL GALLIARD DE P-!
Je me met rapidement dans mon lit et allume la lumière, mon instinct ne me trompe pas, il était dans le sofa.
-comment et pourquoi !? Surtout comment ! Tout était fermée !
Porco : oooh crie pas comme ça voyons, j'ai juste ton double de clef que jtes gentillement prit dans ta poche de veste avant que tu sèche les cours.
- tes un incroyables, con, abruti, baiseur, chieur, connard !
Porco : ta fini?
- non ! Qu'est tu fais la !?
Porco : jme fessais chier alors j'ai voulu te rendre visite, t'étais où ?
- j'etait parti voir papa... Il est à l'hôpital...
Porco : ah...il vas bien ?
Je ne répond pas, je ne voulez pas en parler et voir mon père dans cette état ma rappeler l'accident...Porco le comprit vite et vint s'assoir à coter de moi.
Porco : s'il est vivant c'est le principal... Retire donc cette couverture ~
- vas chier.
Il ris. Chiant mais il a sa façon à lui d'apprécier les gens, enfin il n'aime pas grand monde...
Je lui propose une parti de PlayStation, il accepte, il descend dans le salon allumer tout et prendre a boire et manger tandis que j'enfile des sous vêtement.
Je le rejoint, c'est peut être dangereux qu'une nana comme moi ce présente en sous vêtement devant lui mais j'aime le provoquer et sa fonctionne bien, j'aime bien le laisser sur ça faim c'est un jeu que j'ai commencer avec lui depuis mes 15ans.
Porco : oh ~le noir à dentelle rouge ~mon préféré ~
-je savais que celui ci t'aurai plus mais décidément tu l'aime plus que moi !
Porco : sa dépend ta quoi d'autre à offrir ~
- un raclée à te mettre sur Mhw ~
Porco : le ou LA perdante fait ce qu'ils veux de l'autre ce week-end, on lance le pari ?
-pari tenu !
Nous nous serons là mains et lance le jeu.
L'heure tourne, il est 1h30 du matin, Porco continue de jouer pendant que je suis allongée les jambes sur les siennes à regarder mon profils insta, je défile l'actualité et je sent une mains plus que froide sur mes cuisses, je frissonne et râle.
- arrête ta les mains gelée sérieux...
Porco :j'ai gagner ce week-end t'es à moi et ta les cuisses chaudes je réchauffe mes mains ~
-tu changeras jamais Porcelets...
Porco :pour ça que tu m'aime ~
- bien sur que je t'aime abruti je serai pas là sinon et je te laisserai pas chez moi.
Il pose sa manette et vient s'allonger sur moi de tout son poids, je râle et rigole.
Lui il prend mon téléphone et le pose à coter en venant caresser mes cuisses et embrasser mon cou.
Je change d'humeur et pose ma mains sur ça bouche.
- arrête.
Porco :laisse moi faire tu verras c'est agréable un peu de tendresse ~
- tu connais pas la tendresse Porco...
Porco : bien sur que si je te les jamais montré simplement ~
Il vient prendre les poignets de la jeunes filles et les tenir sans pour autant être brute, il recommence ces baiser et je sens une bosse frôler mon entre jambe, je rougit gênée et essaie de me dégager, les baiser me font frissonner, bien que mon subconscient ne veut pas mon corps lui ne dit pas non à ce faire prendre par mon meilleur ami.
J'essaie temps bien que mal de l'arrêter et il commence le trucs que je redoute, me faire un sucon.
Je couine un peu, il me fais mal ce con ! Mais il continue et vient frotter son sexe près de mon intimité, j'essaie de cacher ma gêne mais malheureusement mon corps fait tout le contraire de ce que je lui demande et un gemissement sort de ma bouche.
- Porco arrête stp... Je-je suis pas prête...!
Je sort la seule excuse qui fera à coup sûr arrêter Porco, chance pour moi il arrête mais me laisse un magnifique sucon.
Porco : très bien... Jte forcerai pas, bonne nuit poulette
- merci... Toi aussi...
Il ce relève de sur moi je remarque malgré moi qu'une bosse était présente dans son pantalons, et moi...mon entre jambe était humidifié, je râle, éteins tout et monte dans mon lit, Porco était parti dans sa chambre d'amis et forcément je les un peu entendu ce soulager je rougit et me faufile dans mes draps avant de m'endormir difficilement.
Demain, je reste chez moi.
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