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Chapitre 17 - La soirée d'Halloween

La semaine passa très rapidement et nous nous rapprochions de plus en plus avec Luke sans pour autant dépasser le stade du baiser. J'avais peur de gâcher cette complicité entre nous en voulant plus alors pour le moment je me contentais de ce qu'on avait sans en attendre plus. Est-ce que seulement j'étais prête ? Il faut dire que nous nous voyions très peu en dehors du travail, car Luke passait ses soirées et ces week-ends aux archives et je n'avais pas du tout envie de me retrouver dans la même pièce que ce secret. Alors il m'évitait soigneusement à la fin des cours ce qui me rendait légèrement à cran parce que je n'avais rien contre qu'il aille aux archives par contre y aller comme un voleur là c'est autre chose...

Nous étions vendredi soir et Luke m'avait promis de lâcher ces archives plus tôt pour venir me rejoindre comme c'était prévu étant donné que c'était lui qui m'avait invité à ce bal. Devant l'entrée de la soirée d'Halloween, j'attendais mon cavalier qui se faisait désirer. Maggie arriva peu après et vînt tout de suite à moi les bras ouverts.

« Alors t'es déguisé en quoi ? » m'interrogea-t-elle surprise.

J'avais mis une robe noire mi-longue ornée de broderies en forme de fleurs, transparente sur l'ensemble avec un dos nu lacet et des escarpins noirs vertigineux.

« En fille pas déguisée. Ahah qu'est-ce qu'on se marre. » Répondis-je moi-même, sarcastique.

« C'est pas con au moins tu restes crédible. » Me dit Maggie en m'offrant un coin d'œil complice.

Ce qui était toujours bien avec Maggie c'est qu'elle voyait toujours le bon côté des choses. Puis une main se glissa sur mes hanches et nul besoin de me retourner pour savoir que c'était mon loup, Maggie lui sourit aimablement et partit aussi rapidement qu'elle est arrivée.

« Cette robe te va à merveille. On dirait presque qu'elle a été cousue sur toi... »

Luke ne sembla pas se plaindre du départ précipité de Maggie alors que je pouvais sentir son regard me déshabiller toute entière. L'ambiance générale de la fête était tamisée et prêtait vraisemblablement aux rapprochements. Luke m'enlaçait devant tout le monde en chuchotant dans mon oreille en faisant fit du monde qui nous entoure. Il n'y a jamais vraiment porté une grande attention non plus, n'a jamais voulu qu'on se cache ou qu'on n'en parle pas. Nous vivions seulement le moment présent en l'appréciant à sa juste valeur.

« J'en ai tellement des comme ça, mais c'est dommage... » lui murmurais-je suavement rentrant les pieds joints dans son jeu de séduction.

« Pourquoi ? » me répondit-il sur le même ton en déposant un baiser dans mon cou.

Je me retournais doucement dans ses bras, pour lever un sourcil dans sa direction. Il demandait vraiment pourquoi. Mes lèvres s'élargirent en un sourire en coin, ses yeux dévièrent une seconde et son sourire s'agrandit en comprenant mon sous-entendu alors qu'il se pencha près de mon oreille à nouveau.

« Tu voudrais venir dîner chez moi pour Thanksgiving ? À moins que ta sœur n'ait besoin de tes services... » me chuchota-t-il en regardant un loin son sourire toujours ancré à son visage.

J'attrapais les bords de sa veste pour me hisser un peu plus haut et l'embrasser.

« Ce sera avec plaisir, minou. Mais je n'ai pas de sœur par contre une cousine un peu bizarre. » Le taquinais-je.

« Je sens que ça va rester... ! » ria-il.

« Si je peux te confier un secret, c'est le pire mensonge que j'ai jamais dit ! »

Luke rit franchement alors que j'admirais, en souriant son costume en velours rouge bordeaux très classe avec une chemise blanche et un nœud papillon, il ressemblait à un vrai James Bond.

« Comme je suis une excellente actrice, on va dire que tu es déguisé en acteur et que je suis ta femme, OK ? Parce que tout le monde se paye ma tête. » Lui proposais-je en réfléchissant à ma phrase une fois qu'elle était dite.

Il me tendit son bras sans sourciller et nous sommes allés ensemble pour surveiller nos élèves qui eux avaient le droit de s'amuser alors que je ne savais pas où me mettre. Non, mais sérieusement ma phrase me revenait constamment en tête et je me sentais tellement bête d'avoir dit ça. La niaiserie incarnée, c'est moi. En revenant un peu sur Terre pour éviter mes pensées, je me rendis vite compte sous le regard amusé de Luke qu'il n'y avait pas non plus d'alcool. Je veux dire pour nous, j'aurais pensé à une coupe de champagne au moins pour rigoler un peu, mais rien. Alors un long moment, d'ennui profond passa où j'attendais derrière le bar surveillant les boissons déjà prêtes avec Luke jusqu'à ce que je vois quelques jeunes se lançaient dans un jeu avant de danser.

« Alors le but c'est qu'en couple, une personne réponde à des questions sur l'autre personne pour savoir s'ils se connaissent vraiment. Ça peut être marrant. » Dit Drago.

Je te remercie Drago ce genre de jeu c'est excellent pour faire hurler et pleurer les filles. Conan et Ketty passèrent en premier évidemment il échoua lamentablement provoquant les pleurs de cette dernière. Plusieurs autres couples passèrent avec plus ou moins de succès avant que Drago pose les yeux sur moi.

« Tiens tiens et si le Professeur Hicks et le Professeur Jackson nous rejoignaient ? »

Je te donne l'oscar du fauteur de trouble de l'année mon petit Drago. Tu ne vas pas t'en sortir comme ça mon grand. J'allais refuser avant de remarquer que Luke prenait ça très au sérieux et insista même pour qu'on participe. Drago m'emmena au fond du gymnase pour que je réponde à ces questions et ensuite il m'assit sur une chaise, Luke debout à côté de moi au milieu de la salle pleine d'élèves qui se délectaient de ce spectacle. J'étais entourée de loups-garous, sorcières, zombies, sirènes, la bizarrerie atteint vraiment des sommets ici.

« Prêt les amoureux ? » Nous annonça Drago.

Nous acquiescions en cœur tandis qu'il commença.

« Attention Professeur Jackson, connaissez vous sa taille de chaussures ? »

« 37. »

En plus d'être correct, il n'avait pas hésité une seule seconde et je fus même surprise de lui. Alors que la seule fois où je l'avais dit me revint en tête.
Luke et mois étions en train de travailler dans la bibliothèque et j'ai passé une de mes jambes sur l'autre, mais mon escarpin a buté dans le tibia de Luke. Il avait relevé la tête brusquement avant de passer la tête sous la table.

« Est-ce que ce sont vraiment ces pieds riquiqui qui viennent de m'anéantir la jambe ? »

« Ils ne sont pas si petits ! C'est du 37 pour ta gouverne ! »

Et il avait ri. Son rire résonnait encore dans mon oreille rien qu'en me remémorant le souvenir de ce moment qui m'a paru si anodin. Peut-être pas pour lui alors.

« Son animal préféré ? »

« Le loup. »

C'est vrai. Prétentieux, mais exact.

Un soir de balade en forêt avec mon loup ou celui de ma cousine plutôt, c'est un secret.

« Tu dois te demander pourquoi j'ai été si avenante avec toi le premier soir. Je veux dire celui où je t'ai vu pour la première fois en loup. Au-delà du fait que je ressentais quelque chose de familier émaner de toi il y a eu aussi une grande curiosité nourrie par une fascination pour les loups. Oui c'est mon animal préféré il y a quelque chose d'à la fois libre et indomptable chez eux et en même temps cette structure sociale qui est sans précédent dans le monde animal. C'est... Épatant. »

Luke en loup releva ses yeux jaunes vers moi et frotta son pelage contre ma main.

« Sa saveur de glace favorite ? »

« Menthe chocolat. »

La première fois qu'on s'est embrassé, notre baiser avait ce goût-là. Pourquoi ? Parce qu'on en avait parlé juste avant ou plutôt je l'avais évoqué lors d'une de mes élucubrations.

« La partie de votre physique qu'elle aime le plus ? »

« Mes fesses. »

Deuxième cours débat j'avais mis une main dans sa poche arrière de jeans et je le fais tout le temps maintenant quand on se promène. On ne se prend pas la main, il me serre contre lui et je m'accroche à sa poche arrière. Les yeux sont le miroir de l'âme d'accord, mais je ne peux pas m'en empêcher... La question suivante coupa net mes divagations.

« Son surnom quand elle était petite ? »

« Chouquette. »

Un midi à table en chuchotant.

« Non, mais sérieux Minou tu as trouvé ça où ? Je n'ai ni la taille ni l'apparence d'un chat ! Niveau crédibilité le monde du mensonge a vu mieux »

« Je ne sais pas moi. Dans la famille on est les pros pour les surnoms, ma mère m'appelait chouquette quand j'étais petite pourtant je n'ai ni la taille, ni la forme d'un chou ! »

Luke se paya ma tête en partant dans un fou rire monstre qui finit par me faire rire. Il en pleurait et se tenait les côtes quand même.

« Le titre du livre qu'elle est en train de lire ? »

« Métronome. »

Un soir avant de se quitter.

« Dors bien avec mes bouquins tout près de toi. »

« Je suis désolée, monsieur Jackson, mais j'ai fait le tour de votre sujet... Je vous fais des infidélités avec Lorànt Deutsch... »

Je me hissais sur la pointe des pieds avec un sourire alors qu'il dramatisa la situation.

« À peine ensemble que son cerveau est volé par un écrivain vulgarisant l'histoire de France »

« Votre peu de considération pour cet auteur reconnu me peine mon cher. Sachez que pour la peine je lirai son autre roman juste après. L'art de l'écriture n'a pas de maître, mais des chefs d'orchestre. »

« Est-ce que ta bonté a une limite ? » me demanda-t-il en prenant mon visage entre ses grandes mains.

« Le fruit qu'elle déteste le plus ? »

« La banane. »

Un autre jour, à nouveau dans la bibliothèque, un après midi de creux entre deux classes.

« Rho je me suis trompée à la supérette je n'ai pas fait attention, j'ai pris mes noix comme d'habitude, mais il y a de la banane dedans. C'est dégoûtant. »

« Tu n'aimes pas la banane ? Vas y lance ! »

Luke était juste en face de moi et ouvrit la bouche avant de se pencher avec sa chaise. Hilare je lui lançais une première qu'il attrapa au vol avec sa bouche grâce à une rapidité déconcertante qui me scia. Il la mâcha ensuite un grand sourire aux lèvres.

« Réflexe canin » s'amusa-t-il.

« Le jour de la semaine qu'elle préfère ? »

« Le dimanche. »

Texto de Luke.

« J'aime pas le dimanche il n'y a jamais rien à faire c'est triste. »
« Tu rigoles ? C'est mon jour préféré exactement pour cette raison. C'est l'excuse officielle du dimanche pour ne rien faire ! '
"Vu comme ça"
"Sinon je peux aussi m'habiller rapidement et on peut pique-niquer près du lac"
"Ouh tu me prends par les sentiments là"

"La dernière chose qu'elle a commandée sur internet ?"

"Son cartable."

Premier cours ensemble.

"Joli cartable mademoiselle Hicks. Ça ne vient pas d'ici assurément".

"Pas du tout. Une fois n'est pas coutume j'ai acheté sur internet alors oui effectivement il ne vient pas d'ici, mais de Chine".

"Du faux cuir donc...?"

"Je n'ai pas besoin de peau d'animal pour transporter les livres qui vont me servir à apprendre à mes élèves le respect de soi et des autres qui passe par le bien-être animal et la manière dont la société et les différents religieux le gèrent »

« Effectivement ce serait mal venu »

« N'est ce pas ?! »

« Ce qu'elle grignote entre les repas ? »

« Des Nustys, un mélange de noix et fruits secs. »

Premier rendez-vous pour préparer notre cours en duo.

« Vous permettez ? »

Il me prit ma boîte de Nustys que je venais de sortir pour manger en travaillant et l'observa sous toutes ses coutures.

« J'adore manger en travailleur et j'avoue que les noix sont mon péché mignon. Noix, amandes, pistaches ! »

Je lui souris alors que je lui en proposais un qu'il prit tout de suite et la seconde d'après une moue de dégoût se peigna malgré lui sur son visage.

« Ça a très peu de goût quand ce n'est pas salé c'est vrai » lui concédé-je.

« Son plat préféré ? »

« Les lasagnes à la bolognaise. »

Facile.

« Et question bonus : Dans quelques années mademoiselle sera... ? »

« Madame. »

Pardon ? Vous m'excusez j'ai une minute d'absence là-haut je serais disponible à nouveau dans quelques minutes, veuillez patientez. Le cœur merci d'arrêter de tousser pour enfin faire votre travail afin que le reste de ce corps sous le choc puisse faire de manière optimale son travail, merci. Blague à part cependant j'étais bouche bée, c'était un sans-faute. Chacune de ses réponses était spontanée sans hésitation et la dernière question me fit monter les larmes aux yeux. Je dois bien l'avouer en plus de ralentir tous mes organes internes à tel point que mon cerveau me persuada presque que c'était probablement une hallucination auditive. Il jeta un coup d'œil dans ma direction pour voir comment je prenais la chose et en voyant mes larmes, il sourit, me prit dans ses bras et m'embrassa sous quelques applaudissements. La scène était surréaliste. Je suppose que ça veut dire que nous sommes ensemble et que c'est sérieux ? En tout cas c'est ce qui s'en rapproche le plus. Autant dire que nous avions gagné l'oscar de Drago qui nous demanda de l'imaginer très fort et nous avons aussi gagné le droit d'ouvrir le bal.

Moi qui suis assez réservée généralement sur mes relations, ce soir j'étais sous les feux de la rampe. Mais dans les bras de Luke, ses pas assurés et son souffle tout contre moi j'oubliais tout. Les élèves, le lieu, les circonstances. Seul rester la musique et nous deux qui n'aspirions qu'à être l'un contre l'autre. Je ne voulais pas briser ce moment, pas parler alors je de posais juste ma tête sur son torse. Je sentais les pulsations rapides de son cœur probablement dû au stress ou à la dance qui sait. J'étais bien, je me sentais protégée à cet instant et rien n'aurait pu m'enlever ça. Pas le regard faussement meurtri de Red, les œillades circonspectes de Maggie ou les yeux attendris du proviseur. La danse se finit beaucoup trop vite à mon goût et en levant les yeux Luke me regarda un sourire en coin. Ce sourire qui ne manque jamais sa cible et cette fossette créée par sa cicatrice que je ne manquerai jamais d'observer sous toutes les coutures tellement elle rend son visage typiquement beau. Un charme que je n'aurais jamais pensé mérité et pourtant il était devant moi.

Sa main ne quittait pas mes reins et me poussa gentiment vers les gradins. Un coup d'œil me suffit pour voir que le proviseur et Maggie nous avaient relayés à la surveillance des boissons alors je suivis Luke sans rechigner. Nous nous sommes frayé un chemin parmi les danseurs avant d'atteindre péniblement les bancs. Je m'assis à la première rangée alors que Luke s'assit derrière et posa sa tête sur la mienne m'entourant les épaules de ses grands bras. Ma main comme par automatisme se posa sur son bras pour entamer de douces caresses qui lui fit me déposer plusieurs baisers dans les cheveux.

« Comment se fait-il que j'ai eu juste à la dernière question de Drago ? Je pensais déjà que ma réponse était pour le moins... Cavalières, mais alors je ne m'attendais pas à ce que ma vision de l'avenir soit 'partagée''

« Parce que Drago ne m'a posé aucune question bonus. »

Et comme pour répondre à nos questions intérieures de loin cet âne nous souleva son haut-de-forme avant de nous adresser un clin d'œil.

« Quel môme surprenant... » dis-je comme à moi même.

« Cependant en y repensant j'ai apprécié ton audace. » Rajouté-je.

« J'ai cru le remarquer effectivement et ça m'a plu. » M'avoua-t-il en se lovant un peu plus contre moi.

Nous sommes restés là un moment seulement l'un contre l'autre je n'irais pas jusqu'à dire que nous avions besoin l'un de l'autre, mais en tout cas je me sentais à ma place et...

« Lucy... Je t'aime. »

Aimée. Je me levais brusquement bravant cette sensation de froid loin de Luke pour l'emmener à l'extérieur du bâtiment. J'agrippais son bras et son beau costume avec toute la force que je pouvais et quand on fût enfin dehors il se plaça contre le mur devant moi, un regard perdu sur le visage.

« J'ai dit une bêtise ? »

« Tu peux juste répéter ça fait 2 fois que j'ai des hallucinations auditives et je veux être sûre de ce que tu m'as dit. »
Le moins qu'on puisse dire c'est que je devais ressembler à une folle furieuse hystérique et paranoïaque, mais il me regarda avec toute la tendresse du monde et calla sa tête contre la mienne.

« J'ai dit que je t'aimais et qu'un jour tu deviennes Lucy Jackson. Ce que je pense réellement parce que je ne peux plus me passer de toi ma douce Lucy. Tu es tout ce que j'attendais d'une partenaire, tu me connais souvent mieux que moi même, tu m'accompagnes toutes les nuits où je ne peux pas être à la maison tu les passes à marcher à mes côtés, à me faire la conversation comme si c'était moi qui allais m'ennuyer. Tu es merveilleusement belle, je n'arrive toujours pas à comprendre comment une femme comme toi peut s'intéresser à moi. En l'espace de quelques semaines, tu es devenu mon oxygène. Alors oui j'ai essayé de fuir, d'échapper à ma condition, de ne pas éclabousser tes plumes blanches, mais si tu savais comme le monde m'a paru vide et étranger sans toi et je me suis senti tellement bête de renoncer à la seule chose qui me rendait heureux. Depuis trop longtemps j'étais dans l'ombre et tu m'as appris à réapprécier les joies d'une vie douce et agréable. Parce que c'est ce que tu es et aussi une des nombreuses choses qui me plaisent le plus chez toi. Tu donnes tellement sans en attendre en retour que je n'aie qu'une envie c'est de m'occuper de toi en retour. Alors pour toutes ces raisons et pour la plus simple qu'il soit, je t'aime et si on fait un bout de chemin ensemble ce que j'espère c'est qu'un jour tu dises un seul mot pour faire de moi le plus heureux des hommes. Je ne me confie pas beaucoup sur mes sentiments parce que je n'en ai tout simplement pas l'habitude j'ai des manières pour le moins... Bestial, mais aujourd'hui je veux que tu le saches. »

Je souris en m'essuyant une larme qui coula le long de ma joue. Avant de me pendre à son cou et l'embrasser avec la ferveur qu'une telle déclaration peut déclencher.

« Je t'aime... Aussi. »

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