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Chapitre 5 : Heart Broken

Je tiens à préciser qu'il y a 3 actes~

Okay, theeen ~
Ce chapitre va être ce que
j'appelle.......
Roulement de tambours....
Un chapitre parenthèse.
Un chapitre qui est très important si l'histoire doit avoir du sens, mais je dis parenthèse parce qu'il s'y passe pas grand chose. Mais si vous le lisez pas, vous comprendrez rien aux prochains....

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Acte 2 :
Partie 3/fin

Zoro

Résumé des deux mois entre le voyage et le chapitre précédent
Pendant les deux interminables mois qui suivirent la séparation entre Tashigi et Zoro, qui avait causé beaucoup de remue-ménage au sein de l'école, car certaines personnes étaient férues de potins, le voyage au bout de la France avait été plus clairement expliqué aux parents inquiets de laisser leurs enfants entre des mains d'inconus.
La mère de Zoro et celle de Robin avaient fait connaissance très tôt avant le voyage, et elles étaient devenues à présent de bonnes amies.
La façon dont elles se contaient les exploits (bons ou mauvais) de leurs enfants éxaspéraient au plus haut point ceux-ci, d'autant plus qu'elles ne se gênaient point à les transmettre à Robin ou Zoro.
Ainsi notre belle brune était au courant de chaque connerie que Zoro faisait de sang froid.
Quant à lui, il avait pris la funeste décision, quoique sage, de conserver le peu de patience qui lui restait et de promettre de ne pas entendre la voix de Robin.
Il voulait connaître son timbre seulement lorsqu'il la rencontrerait dans la vraie vie, sage décision que Robin accepta sans broncher.
Car, il était vrai, il était impatient de la voir pour la première fois, dès qu'il pensait à son visage sur les photos, l'adrénaline traversait ses veines à une vitesse phœnoménale, et il sentait dans son ventre des grésillements presques imperseptibles, sans en connaître la réelle nature.
Il avait réussi à obtenir une relation fusionelle avec une fille dont il n'avait jamais vu les yeux, ni entendu la voix, et il était fier de l'admettre.
Lui parler le comblait, sans qu'il s'en rende compte, il éprouvait un certain plaisir à rédiger ses longues lettres, et il s'impatientait devant sa vide boîte aux lettres, attendant le facteur avec l'espérence qu'il lui rapporte une lettre fermée au scotch et soigneusement signée à l'encre noire.
Il conservait ces lettres si précieusement que cela en devenait étrangement effrayant.
Puis vînt le moment de se préparer au voyage. Plus il se rapprochait du moment où il allait enfin la voir, plus les jours passaient lentements, comme si ils en avaient marre de défiler devant les yeux de monsieur tout le monde.
Le temps en avait sans doute marre de cette routine monotone.
Tout cela allait changer ~

Fin résumé ~

Dimanche 19 Mars.
J-1
18h53
Paris, salon de Zoro

- Zoro ! Tu as mis combien de slips ? Tu n'as pas oublié ton maillot de bain ? Et ton doudou ? N'omet pas de prendre ta brosse à dent et toutes les autres merdes, là, oui, ta brosse aussi.
Notre cactus favori et sa grâcieuse mère étaient posés sur leur canapé délavé, triant les habits celui qui ne tarderait pas de partir.
- Maman, pourquoi tu veux absolument que je prenne un maillot de bain ? Je veux dire...on est en Mars et...
Zoro se retrouva avec un doigt manucuré sur la bouche. Il fronça les sourcils.
- Don't say anything else, tais-toi, mon instinct de mère me dit que tu en aura besoin ! Le rabroua celle-ci en pliant un de ses sous vêtements.
Zoro lui arracha des mains, gêné.
- C'est bon, je vais le faire...
-Roooh, c'est je t'ai donné naissance, fais pas chier...
Zoro fais une grimace et fourre à la va-vite son boxer pedo bear dans la valise.
- Non non non, tu prends pas ça, Zoro... Lui apprends sa mère en reprenant le vêtement du bout des doigts, comme si il s'agissait d'une bactérie cancérigène.
- Mais allez, laisse moi le prendre ! Il est super bien ! S'exclame le vert en lui reprenant des mains.
- C'est bon, rend lui, vous connaissant on en a pour des heures de négociations ! Recommande Mihawk, qui repassait ses chemises.
- Arrête de nous parler comme si on était des enfants. Le rabrouèrent en cœur Zoro et sa mère.
- Mais vous êtes longs à la détente, dis donc ! Bredouille celui-ci dans sa barbe.
- Je t'ai entendu ! Au bout de 10 ans de mariage, je ne t'ai jamais entendu dire de telles ânneries ! Rétorque sa mère en brandissant son sous vêtement en guise de trophet.
- Mais rends moi mon slip Pédo-Bear, maman... commence Zoro.
- Arrêtez de faire de la merde ou j'appelle les services sociaux pour qu'ils m'emmènent dans une habitation on ne sait plus normale que celle-là. Rétorque la sœur de Zoro, un portable en main.
Les trois délinquants se calmérent, et heureusement pour nous, lecteurs, la tension qui était presque palpable quelques minutes plus tôt avait été remplacée par une ambiance triste et mélancolique, car, contrairement à ce que l'on pense, cette famille de cœurs de pierre était morose quand au départ de Zoro. Tous savaient pertinament que cela allait être étrangement vide sans lui.
Il avait beau être un abruti, un sans cœur, un foutu geek de merde, et un adolescent en pleine croissance, ils l'aimaient plus que jamais.
Il avait beau toujours avoir le même sang froid éxécrable, le même caractère de merde, la même peur pour les légumes, son visage souriant leurs manquaient à présent.
Car oui, il était, intérieurement brisé, son cœur était écrasé, broyé, cassé. Il avait perdu toute sa joie de vivre. Mais ne le montrait pas. Seulement, ses parents savaient pertinament qu'il souffrait, qu'il se détestait. Et ils ne pouvaient rien faire pour remédier à cela.
Robin ressentait la même chose

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Lundi 20 Mars
6h01
Lycée de Zoro
(J'me rappelle plus son nom, faites pas chier)

- Maman, on a quarante minutes d'avance...
-Je-je veux pouvoir te voir un peu avant que tu partes ! Renifla celle-ci, un mouchoir en main.
Zoro aperçoit Sanji, seul, assis à terre devant le bus déjà arrivé.
- Hey ! Sanji ! Qu'est ce que tu fous par terre ?
- Bonjour ravissante demoiselle... dit Sanji à l'adresse de la mère de Zoro en lui faisait un baise main.
- Q-quoi ?!? Je !
- Termine ta phrase maman, je t'en prie. Se moque Zoro.
Elle retire sa main et s'en vas, véxée des avances du garçon qui semblait être le meilleur ami de son fils.
Elle se retourne.
- Mais non ! Je rigole ! Allez Zoro, t'as pas oublié ton doudou, t'es sûr ?
Il grince des dents.
- T'étais pas sencée dire ça ! Dans le script y'avais marqué que tu pleurais en agitant ton mouchoir...
- Alors les jeun's, vous vous amusez bien ? Intervient Mihawk avec ringuardise.
- Vous étiez obligés de tous venir ? Soupira le vert, s'assayant a coté du jeune blond.
- Oui, on a été forcés. Rassure toi, j'avais pas envie de venir. On a du se lever à 5h00. Maugrée sa sœur et s'appuyant sur l'épaule de Ketsu.
-On est aimé à ce que je vois. Ricana Sanji et s'amusant avec la buée qui sortait de sa bouche.
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Le trajet en bus se déroula en toute ....
Traquilité ?
Non. Ce fus le bazard total. Tout le monde se baladait à travers le car en quête d'une personne possédant des chips, tout le monde parlait et chahutait pendant que le conducteur envoyait des messages en conduisant.
Les professeurs s'étaient planqués avec leurs écouteurs et n'entendaient en aucun cas le brouhaha permanent qui reignait en maître dans le véhicule motorisé.
Ce fus aussi très long. Zoro passa la moitié du voyage à dormir à poings fermés. L'autre moitié, il fit le plus de conneries possible, accompagné du fidèle Luffy, toujours présent lorsqu'il s'agissait de boutades.
(Omg j'ai reussi à caser boutade)
Il arrivèrent aux à Nice aux abords de 17h00.
Zoro dus attendre une dizaine de minutes avant que le père de Robin arrive pour le récupérer.

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Une voiture grise s'arrêta juste devant Zoro. Un homme métisse aux cheveux dressés sur sa tête en sorti, un petit sourire suffisant aux lèvres.
Il regarda Zoro, un morceau de papier en main. Il semblait comparer les deux modèles. Quand à lui, il avait déjà deviné qu'il s'agissait du père de Robin.
- Bonsoir ! C-c'est moi ! Roronoa Zoro !
L'homme leva les yeux vers lui, et après avoir jeté un furtif coup d'œil au vert, il le salua :
- Oh ! C'est toi que je dois récupérer, donc ? Donne moi ta valise ! Il se rua vers celui-ci
- Merci !
Le père de Robin ouvrit la portière avant droite et fis signe à Zoro d'entrer. Celui-ci s'installa et attacha sa ceinture. Il renifla, son nez était bouché. Le voilà qui fouillait dans sa poche en quête d'un mouchoir.
Il sentit une petite pression sur son épaule. Le père de Robin n'était pas encore rentré dans la voiture, et il n'arrivait pas à la remettre. Qui donc étais-ce ?
Zoro réalisa et écarquilla les yeux, se retournant vers la partie arrière de la voiture, admirant la personne qui s'y trouvait.
- S-salut... Dit-elle
Elle étais ravissante.

À suivre ~

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