-Chapitre 4: Tashigi, menteuse
Sachez, mes biquettes, avant de me demander pertinemment pourquoi tant de haine envers cette pauvre Tashigi-chan, que j'aime beaucoup, je vous répondrai que mes goûts concernant les personnages ne doivent en aucun cas se répercuter dans l'histoire, et je ne dois pas les favoriser afin de permettre à mes biquettes une lecture optimale.
Maintenant l'histoire peut continuer
Je vous préviens, ce chapitre risque d'être assez long.
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Acte 2
Partie 2
Zoro
23h47
Chambre
Veille de la rentrée.
Dimanche 19 Janvier.
Deux semaines après que Zoro ai appris que Tashigi le trompait de sang froid.
Zoro était d'un naturel réactif.
Pourtant, cela faisait deux semaines tout au plus qu'il avait appris ce que faisait Tashigi avec Coby.
Et cela faisait deux longues semaines qu'il errait dans sa chambre, tentant de se réveiller du cauchemar dans lequel il était plongé.
Jusqu'à ce jour il n'avait pas encore complètement réalisé ce qui lui arrivait.
Il était vidé de ses émotions, il n'arrivait pas à comprendre. Pas complètement. Il se persuadait que c'était dans sa tête, qu'il errait en plein rêve, qu'il était sujet de mortelles hallucinations.
Mais celles-ci, au bout d'un certain temps, lui parurent étrangement réelles, si bien qu'un choc électrique lui parcourut tout le corps.
Pour la première fois, il eut le courage d'avouer la fatale vérité :
Tashigi me trompe
Cette pensée le brisa de l'intérieur. Il se retournait dans son lit éternellement sans trouver le sommeil.
Elle me trompe, elle ne sait pas que je l'ai appris
Il pensa qu'a cet instant même elle pourrait être très bien dans le lit du rose, en train de vouer son corps et son âme a celui-ci pendant que Zoro s'apitoyait sur son sort, comme si il était incapable de vivre dans ce monde brutal.
Il se leva pitoyablement, similaire à une bête blessée.
Son torse incroyablement musclé peinait à se soulever, si bien que sa respiration acharnée le prit au dépourvu.
Il sortit de sa chambre, similaire à un mitard enfoui à des milliers de pieds sous terre tellement l'air y était irrespirable.
Il ne fut pas surprit de retrouver la même atmosphère écœurante en dehors de sa prison.
Il se dirigea à pas lents vers le frigo et en sortit ce qu'il cherchait, le poison qui allait l'achever :
Une bouteille de Saké, précieusement conservée par son père au fond du réfrigérateur rempli de cochonneries en tout genre.
Le tintement du verre contre celles-ci brisèrent le silence pesant. Zoro se cabra, de peur d'alerter ses parents qui se trouvaient à quelques mètres, séparés de lui par de vulgaires murs.
Il serra les dents et, la bouteille fermement retenue par ses doigts, se dirigea vers sa chambre.
Il ferma celle-ci à clé et marcha vers sa fenêtre, confiant.
Il montai sur le rebord après l'avoir ouverte.
Une fois dessus, il regarda le vide.
Il ne voulait pas mettre fin à ses jours, non. Il avait besoin de liberté, d'air libre. Il devait quitter cette maison pendant quelques heures, le temps d'un petit somme.
L'air froid percuta de plein fouet son torse, léchant ses abdominaux saillants comme des aiguilles terriblement aiguisée.
Il faisait actuellement -2° C, il était à moitié nu. Mais s'en foutait royalement. Le froid lui paraissait comme une chaleur accueillante .
Poussé par une bouffée irrésistible d'adrénaline, son poison liquéfié toujours fermement tenu, il sauta dans le vide dévastateur -
Avant d'atterrir lourdement sur un toit métallique situé un mètre en dessous.
Le froid de celui-ci lui broya les doigts, si bien qu'il gémit pitoyablement.
Le jeune garçon se releva et admira le paysage vaste qui s'étendait à perte de vue sous ses yeux frigorifiés.
Les toits de Paris, spectacle extravagant et euphorique, submergèrent Zoro de toute part, envahissant son corps comme un suc délicieux.
Il frissonna, non pas de froid, mais de joie et de liberté.
Il s'accrochait à la vie comme on se raccroche aux infimes prises sur une montagne abrupte.
Où trouvait-il tout se bonheur ? Avait-il de quoi être aussi heureux après ce qu'il avait vécu ?
Il se rendit compte de tout. Il su qu'il n'avait plus aucune chance de retrouver l'autre partie de son cœur, méchamment dérobé par celle envers qui il vouait un amour éternel.
Il se sentait ironiquement vidé de l'intérieur.
Son sort, similaire à un mauvais songe, lui paraissait comme un destin funeste dont il ne pouvait échapper.
Ravalant avec difficultés un sanglot, il se mit à rire.
Un rire dément, il ne pouvait se résumer à arrêter. Il arracha sa peau avec ses ongles, déchiquetant l'once de raison qui lui restait.
Il s'arrêta net.
Que faisait-il ? Il étais réellement en train devenir fou... la démence s'était emparée de lui si facilement qu'il n'avait pu l'arrêter.
Il craqua, fondit en larmes, ce liquide salé dévalant ses joues crispées en tombant avec acharnement sur le toit métallique.
Il frappa celui-ci, hurlant, sans ce soucier le moindre du monde des personnes qui tentaient sûrement de trouver le sommeil.
Pourquoi fais tu ça ? Pourquoi ?
Ses mots défilèrent dans sa tête comme les images d'un film.
Il s'allongea sur la plateforme, les larmes ravageant toujours son magnifique visage.
Son corps était secoué de soubresauts.
Toute la nuit il pensa.il pensa juste.
Lorsque le soleil commença à apparaître à l'horizon, il n'avait pas fermé l'œil. Ou du moins avait-il peu être dormi un petit peu, mais il n'en avait point le souvenir.
Il rejoint sa chambre, laissant là sa bouteille de saké qui avait été vidée de son contenu.
Il avait horriblement mal à la tête.
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- Ça va Zoro ? T'as pas l'air dans ton assiette... s'inquiéta Sanji.
- Bien sûr que ça va pas, je viens d'apprendre que ma copine me trompe, et je suis obligé d'aller lui parler parce que ça fait 3 semaines qu'on s'est pas vus.
-Mais... tu va lui dire ?
Zoro soupira et hocha la tête à contrecœur.
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- Zoro ! Ça fait super longtemps !
Tashigi se jette sur le vert avec force, mais celui-ci la repousse.
Le blond rejoint Luffy pour laisser les deux lycéens tranquille.
- Arrête de faire semblant, je ne supporte pas que l'on me mente.
Tashigi semble douter quelques secondes. Zoro reprends :
- C'est vrai ce que m'a dit Sanji ?
- D-de quoi est ce que tu parles ? Souffle la brune
- Ce que tu faisait avec Coby. Lui rétorque sèchement Zoro.
Un blanc s'installe dans la conversation. Tashigi fronce les sourcils.
- Et toi tu le crois bêtement ? Sanji pourrait très bien te raconter n'importe -
- Ferme là. Que cela soit bien clair. Tu peux faire tout ce que tu veux, mais jamais tu ne contredira la parole de Sanji. Ça fait plus de temps que je le connais, on s'engueule peu être H/24, mais je lui fais confiance. Et dans ce genre de situations, si tu veux bien m'excuser, j'ai tendance à plus le croire que toi !
Tashigi semble se véxer, puis elle remue les bras.
- Je vais tout t'expliquer !
- Je t'en prie. Grogne Zoro, les pings serrés.
Elle ne semble pas trouver d'excuse valable. Le jeune homme, en colère, commence à partir.
- Je m'ennuyais avec toi !
Il se retourne, cette fois fou de rage.
- Bah t'aurai pu me le dire tout de suite, au lieu d'me tromper avec ce...ce...ce ce connard !
- Ça marche pas comme ça !
- Bien sûr que si ! J'en aurai moins souffert ! Quelle idée de merde ! Pourquoi tu me l'as pas dit tout de suite, hein ? Je t'en prie !
Tashigi inspire.
- Parce que ! C'est pas simple de quitter la personne avec qui j'ai passé mes deux dernières années ! J'ai même eu du mal à comprendre que je me lassai de toi !
- Tu peux pas te lasser de quelqu'un comme si c'est un objet ! Tu veux que je souffres, c'est ça, hein ? J't'ai fait quelque chose peu être ? Oh mais oui ! Coby est sûrement mieux que moi ! Hurle ironiquement Zoro.
- T'étais pas sencé prendre connaissance de ses informations ! On en est là à cause de Sanji ! Crie à son tour Tashigi.
- Recommence pas à ramener la faute sur Sanji, j'vais pas le supporter. C'est toi la fouteuse de merde dans tout ça !
Jpp de moi, je sais même pas écrire une dispute de couple...
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Tous les élèves s'asseyent à leurs tables respectives avec une certaine haine contre le professeur.
Personne n'aime le Lundi, c'est bien connu.
Et encore plus que il succède les vacanses.
L'instituteur pénétra dans la salle, provoquant un silence pesant entre les élèves.
Il porta ses lunettes à son nez et commença à faire l'appel, ce moment de répis pour chaque personne présente.
Puis il distribue, à l'aide de deux élèves qui, je tiens à préciser, n'ont rien demandé, des morceaux de papiers.
Zoro range celui-ci dans son sac sans même y jeter un coup d'œil.
Mais voyant ses camarades s'agiter en s'échangeant les feuilles avec des regards éxités, il pris le temps de la lire attentivement :
"Cher parent ou tuteur.
Nous souhaitons vous informer, ainsi que votre enfant, qu'un voyage scolaire aura lieu le Lundi 20 Mars, dans 2 mois pile.
Comme vous le savez, les élèves de notre classe communiquent avec des correspondants depuis le début de cette année scolaire.
Nous avons donc décidé après de longues réflections qu'il serait souhaitable qu'ils se rencontrent un jour.
Fruit d'une organisation très précise, chaque élève de la classe de votre fils/lle possèdent un correspondant dans les Alpes Maritimes, ainsi il est plus facile pour eux de voir ceux avec qui ils conversent depuis quelques mois.
Voici le planning de la semaine pendant laquelle ils partiront :
Lundi : à 6h40 : Vos enfant prendrons le bus pendant 9 heures, avant d'arriver à Nice. À ce moment là nous disperceront les élèves dans tout le 06 afin qu'ils puissent rencontrer leurs partenaires. Ils seront bien sûr accompagnés par les parents du correspondant, qui les emmèneront dans leur foyer.
Mardi : temps libre.
Mercredi : Un instituteur passe voir chaque enfant afin de vérifier si tout ce passe bien
Jeudi : temps libre
Vendredi : Temps libre
Samedi : Temps libre + vos enfants devront préparer leur affaires pour le lendemain.
Dimanche : le bus viendra les chercher l'endroit où ils se situent.
Ils arriveront devant le lycée à 18h30 sans encombres.
Voir les informations concernant votre fils/ille en vous connectant au site du lycée : https//:Lycée.cocasse.com.
Bye les biquettes 🐐
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