Bijour les biquettes
Les p'tites biquettes.
JE LES BOUFFE LES BIQUETTES
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Acte 2
Partie 1

Appartement de Zoro
Jeudi 3 Janvier,
21h02

L'active famille s'était réunie autour d'un délicieux repas digne des plus grands chefs cuisiniers : des macaronis au beurre.
Ketsu s'amusait à les manger bruyamment, et Kuichi remuait sa fourchette dans son assiette à l'aide de sa main squelettique.
- Papa, maman... commença Zoro
- Quoi ? Rétorquèrent-ils comme un seul homme.
Il leva ses yeux de fauve vers ses géniteurs.
- On peut aller dans les Alpes Maritimes ? Là, maintenant, tout de suite ?
Mihawk s'étouffa avec sa propre salive et sa femme toussa avec gêne.
- Non. Zoro. Dit elle.
- Mais pourquoi ! C'est pas loin !
- C'est à neuf heures de voiture d'ici ! Hurle son père.
- On s'en fous ! J'ai à faire un meurtre moi ! Crie à son tour le vert.
- Encore moins pour tuer quelqu'un !
- Mon œil, tu veux aller récolter de la drogue dans les champs, tu crois qu'on te connais pas ? Reprends Mihawk.
- Mais non ! Je me drogue pas moi, au moins ! Riposte notre cher Zoro.
- Comment ça "Au moins" ? Tu insinues que je me drogue ? S'énerve sa mère, plantant sa fourchette dans le bois de la table avec une force phœnoménale.
- Je vois en supplie ! Laissez moi y aller !
- C'est complètement invraisemblable, Zoro ! On peu pas y aller sur un coup de tête, et encore moins sur un de tes caprices ! Crie sa mère.
Mihawk pose violemment son poing sur la table.
- Ta mère a raison. Tss, ce que tu es insolent parfois !
Zoro se lève, envoie valdinguer sa chaise au fond de la pièce et hurle, les nerfs à vif :
- Vous comprenez rien ! Bien sûr que y'a une raison ! Faites chier bande de vieux à la con !
Il se dirigea bruyamment vers sa chambre.
- Tu fois quoi là ! Crie sa mère à son tour.
- Je vais me taillader les veines avec des ciseaux à bouts ronds ! Hurla le vert en claquant la porte, après avoir poussé un grognement incompréhensible.
Ses parents, bouches bées, et penauds, s'assirent.
- Hmm, c'était quoi ça ? Commence Kiuchi. Il a ses règles ou quoi ?
- C'est la crise d'adolescence. Lui répond Ketsu en lui volant une énorme cuillère de macaronis.

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Zoro fouillait dans sa chambre, furieux, à la recherche d'un stylo.
Il en trouva un rose, et, haussant les épaules, arracha une feuille blanche d'un calepin bon marché et commença à rédiger peu soigneusement.
Son poignet frottant fénétiquement le papier, il s'énerva à entendre le fruit de cette friction, qui résonnait comme une cloche rouillée à travers ses oreilles.
Il frappa violemment son bras contre la table, et après avoir gemit de douleur, balança son portable à travers la piece, ne pouvant supporter les notifications assourdissantes qui en sortaient.
Ses parents étaient des cons, certes, mais lui et son pseudo sang froid battaient le record de la stupidité : si il avait pris le temps de leur expliquer la situation, il n'en serai pas là, à tenter d'écrire une phrase pourvue de sens.
Il griffonna sur la feuille quelques minutes, puis la plia sans la moindre délicatesse. Il se leva et rejoint le salon d'un pas assuré, visiblement confient.

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Maison de Robin
Dimanche 5 Janvier
9h43

- Robin, réveille toi, ma belle.
Dit Olvia en la secouant gentiement
Robin gémis et dit d'une voix rauque, après s'être enfouie sous ses épais draps :
- C'est le weekend....
La blanche posa une morceau de papier froissé sur sa table de chevet et s'enfuit de la chambre dans laquelle reignait en mettre une forte odeur.
Robin se leva paresseusement et se dirigea vers sa salle de bain d'un pas trainant.
Elle s'admira dans le miroir, et après avoir quelque peu parlé à son reflet, elle se rendit compte que celui ci n'était pas des moindres : ses cheveux avaient été fortement négligés et leur odeur empestait à des kilomètres. Ses yeux étaient fortement cernés, et à sa propre vue, elle bailla à s'en décrocher la machoire.
Elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui, celui qui lui avait brisé le cœur.
Mais maintenant un nouveau sentiment avait surgi de son âme.
La haine.
Elle le détestait plus que tout, c'était la moindre des choses. Elle avait envie qu'il lui arrive malheur. Elle le haïssait jusqu'à la moelle, redoutant presque de vois sa sale tronche de SDF.
Elle ne s'apercut de la présence de la lettre seulement lorsqu'elle se rendit dans sa chambre, après avoir ouvert.
Elle s'en empara délicatement et esquissa un sourire triste quand elle vit à quel point elle était froissée.
Son sourire ne fit que s'accentuer quand elle l'ouvrit, découvrant la magnifique écriture rose de Zoro.

"Bah déjà, salut.
Je ne sais que écrire.
À part que ( excuse moi du gros mot ) Law est un putain de connard.
Ce n'est pas pour t'énerver que j'écris ça, au contraire.
Je suis sûr que tu devais être une formidable petite amie, il a été aveugle de rompre.
Dans ta lettre, tu m'as dit que j'ai ressenti au moins une fois dans ma vie.
C'est vrai. Une personne qui m'étais trés chére est morte beaucoup trop jeune, et je n'avais jamais été aussi dégouté et triste que ce funeste jour.
Je comprends ce que tu ressens présentement.
Enfin, je suis pas là pour raconter ma vie.
Ça va ? Je suppose que non, mais je te demande toujours. Ça me réconforterait que tu me dises que tu va bien, et que tu ne t'es pas coupé les veines.
Bref.
Robin. Je suis très entêté quand je le veux.
Alors ton Law, je vais le retrouver. De nos jours c'est pas difficile de faire ça. J'ai juste à aller sur snap et à marquer son prenom, et même si il doit y avoir des milliers de Law, y'en a qu'un seul à Bourg D'Aizen.
Tu peux me dire tout ce que tu veux, j'irai sûrement le défoncer en pv.
Je suis désolé.
J'espère que tu ne va pas souffrir trop longtemps. Essaye de passer à autre chose.
Pour l'instant continuons à nous envoyer des lettres, je trouve ça plutôt cool au fond, même si c'est vachement ringard.
Comme c'est le vacanses je vais dormir encore et encore, mais je vais passer mon temps libre à faire du sport et à voir mes potes. Je me débrouillerai toujours pour trouver un moment afin de t'écrire.
Raccroche toi à la vie.
Au fait, mon prof à parlé de faire un voyage après les vacanses.
Je ne sais pas beaucoup de choses là dessus, mais mon prof a mentionné "Correspondant".
Je sais pas ce qu'ils préparent encore
Bye bye
Zoro"

- Fufufu ! Je ne sais pas, Zoro, je ne sais pas.
C'était la première fois qu'elle riait depuis quelques jours. Elle ne savait pas vraiment pourquoi. Peu être le simple fait de savoir qu'il la comprenait la réconfortait, même si il était un peu maladroit dans ses mots                                                         

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                                (*×*)
                                

Zoro fis le tour des ses réseaux sociaux à la recherche d'un Law. Instagramme, Facedebook et même Watsup.
Il ne restait plus que Snaptchat, en qui il faisait entièrement.
Il tapait Law dans la barre de recherches lorsqu'il reçut un message en privé.
C'était Sanji.

Sanji-Kuuun
Hmm, vous sortez plus ensemble, avec Tashigi ?

GreenMarimo :
Si, pourquoi ?

Sanji-Kuuun :
Nan, rien ;-;

GreenMarimo :
Si sourcils en vrille, quand tu fais ce smiley c'est qu'il y a quelque chose.

Sanji-Kuuun :
Y'a rien je te dis...

GreenMarimo :
Si tu me le dis pas je dis à tes parents que tu fumes.

Sanji-Kuuun :
Connard... tu va le regretter.

GreenMarimo :
Y'a quoi à la fin ?!? Tu fais chier !

Sanji-Kuuun :
Elle était sencée être avec des amies, non ?

GreenMarimo :
Bah oui :/

Sanji-Kuuun :
Tu vas t'énerver mais elle est avec Coby là.

GreenMarimo :
Et alors ?
Elle fait ce qu'elle veut.

Sanji-Kuuun :
Zoro, t'as pas compris là.
Ils sont en train de se bécoter sur un banc du parc.
Je sais ce que tu vas dire "c'est peu être Coby qui est en train de la violer"
Non Zoro !

GreenMarimo :
Ça fait combien de temps qu'ils sont là ?

Sanji-Kuuun :
Ça fait au moins 5 minutes que je les regarde, mais je suppose qu'ils sont là depuis longtemps.

Vu ✔
G

reenMarimo à quitté la discution
GreenMarimo est hors-ligne