Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Love

Valentino tapait du pied, debout devant la baie vitrée du palace qu'il partageait avec les deux autres Vees. Une de ses quatre mains tenait un cigare d'où une fumée d'une couleur normale s'échappait, tandis que ses trois autres mains se retenaient de tout fracasser dans la pièce. Tout avait de la valeur, il devait se retenir. Il emmena son cigare à sa bouche, et prit une taffe, qu'il souffla rouge. Son pied tapota plus fortement le sol. Valentino commençait réellement à s'impatienter. Et au moment où il voulut agir, il entendit la porte derrière lui s'ouvrir.

« Putain... Tes doigts ont été coupés ? »

Il ne se retourna pas une seule seconde. Il savait déjà qui venait de rentrer. Il arrêta de taper du pied, prenant une autre taffe.

« Putain de journée de merde de mes deux, se plaignit l'arrivant »

À peine arrivé qu'il se plaignait déjà. Valentino répéta sa question, mais il fut à nouveau ignoré. Alors il se retourna, près à s'énerver, mais son partenaire le remarqua enfin.

« Val, fit Vox, surpris de voir son partenaire. Quoi ? T'es... réveillé ? Tu fais quoi ?

 - Je fume.

- Je vois ça.

- Donc. Est-ce que tu t'es fait coupé les doigts ?

- Ah ? Bien sûr que non, pourquoi la question ?

- C'était la putain d'extermination annuelle, aujourd'hui. T'aurais au moins pu me dire que t'avais pas fini dans une putain de ruelle, à crever comme un chien. T'étais trop occupé à doigter des putes ? »

Vox regarda Valentino. Il sourit.

« Oh, Tino, est-ce que t'étais inquiet ? Ou juste jaloux ? Tout va bien, maintenant.

- Quelle hilarante blague, Vox, rit le patron du Porn Studios. Mis à part, ouais, ça m'inquiétait. Ça m'inquiète vraiment de penser au futur incertain de ton argent et de tes propriétés si tu venais à ne plus exister. Je pense que c'est réciproque »

L'overlord-papillon fit un pas vers son partenaire, lui soufflant sa fumée rouge à la figure.

« Tu sais, on devrait ajouter une nouvelle clause au deal, au cas où l'un de nous disparaît.

- Une nouvelle clause ? Tu prévois de me tuer ? »

Vox voulut s'approcher pour parler plus en détail de cette soudaine nouvelle envie, mais remarqua certaines choses dans le décor. Premièrement, son partenaire commercial était toujours réveillé, alors qu'il était bien quatre heures du matin passé. Deuxièmement, Valentino semblait angoissé, et Vox le confirma en voyant le cendrier de ce dernier plein d'une bonne quinzaine de cigares, tous entièrement fumés. Il haussa un sourcil. Valentino ne fumait jamais autant, sauf quand son précieux Angel décidait de se rebeller d'une quelconque manière. Et troisièmement, malgré la tentative désespérée de les cacher, Vox pouvait bien remarquer les minuscules tâches de sang sur les manches de Valentino. Il en déduit rapidement que celui-ci s'était griffé les bras jusqu'au sang, tant l'inquiétude le rongeait. La question qu'il se posait maintenant était; Pourquoi ? Pourquoi Valentino faisait tout ça ? 

« Bref. Pense à prévenir, la prochaine fois »

Le papillon ne finit même pas son cigare qu'il le mit dans le cendrier, avant de passer à côté de son partenaire. Sans rien de plus à dire, Vox resta devant la baie vitrée, tandis que Valentino se rendit dans sa pièce personnelle. Une fois dedans, la porte fermée, il se permit de souffler. Il se débarrassa de son long manteau qu'il accrocha au meuble créé pour le soutenir, auquel il accrocha aussi ses lunettes en forme de coeur. Il enleva également ses bottes à talons, et son chapeau, puis s'habilla de sa robe de nuit.
Désormais habillé pour la nuit, il s'assit sur son lit avant de s'y allonger. Et il souffla à nouveau, un de ses quatre bras sur ses yeux. Qu'est-ce qui lui prenait ?

« Putain..., jura-t-il pour lui-même »

Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, ce qu'il avait. Ça ne lui était jamais arrivé de rester éveillé aussi tard pour une personne. Il ne comprenait vraiment pas ce qu'il avait, ni pourquoi il ne faisait que penser à Vox, ces derniers temps. Il ne comprenait pas pourquoi Vox l'avait autant obsédé, ces derniers jours, tellement qu'il avait eu du mal à trouver de nouveaux scénarios intéressants pour ses films pour adultes. Et il comprenait encore moins pourquoi il avait senti ses tripes se retourner juste en pensant à la possibilité que Vox ait pu mourir de la main des anges. Il ne comprenait pas pourquoi il avait été si soulagé en l'entendant rentrer. Il ne comprenait pas ce qu'il ressentait, mais une chose était sûre; il n'aimait pas ça. Pire encore, il détestait ça. Il détestait ce sentiment de profondément vouloir être avec lui. Il détestait vraiment ça. Mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Il ne pouvait pas s'empêcher de vouloir être avec lui, de vouloir partager des choses avec lui, de vouloir le caresser. Il ne pouvait pas s'empêcher de vouloir l'embrasser.

« Quoi ?, finit-il par se dire »

Il voulait embrasser Vox ? Depuis quand ? Il ne voulait pas ça. Ou peut-être que si ? Non, bien sûr que non.

« Voxy... »

Oh, Satan. Bon dieu que si, il en avait envie. Il avait envie de l'embrasser, lui caresser le corps, le toucher de partout. Il avait envie d'être sien et de le faire sien. Et pendant qu'il s'excitait à propos de son partenaire, il entendit toquer à la porte de sa chambre.

« Quoi ?

- Tino »

Il se redressa en entendant la voix de celui pour qui il venait à peine de comprendre ses sentiments. Et Dieu seul pouvait savoir à quel point ce petit surnom l'excitait. Ce petit surnom que Vox était le seul à lui donner. Ce n'était que les dernières syllabes de son nom, mais putain que c'était différent venant du démon-télévision.

« Entre »

Il vit la poignée être abaissée, et la porte s'ouvrir. Il vit son partenaire entrer, et bordel qu'il le trouvait beau. Il l'avait déjà vu des milliers et des milliers de fois, mais maintenant qu'il était au courant de ses propres sentiments, il le voyait différemment.
Il vit Vox s'approcher de lui, alors qu'il collait son dos au mur derrière lui, toujours assis sur le lit. Il le vit s'asseoir à l'autre bout.

« Bon, Val. Je vais pas passer par quatre chemins. Tu me kiffes ? »

Il ouvrit grand les yeux. Comment c'était possible ? Comment lui n'avait pu se rendre compte de ce qu'il ressentait des semaines après, et Vox le découvrir en seulement quelques minutes ?

« T'es sérieux, Vox ?, se mit-il a rire »

Il ne saurait pas dire s'il se moquait ou s'il était nerveux, mais il riait. Peut-être riait-il de sa propre faiblesse ? Peut-être riait-il de ses propres sentiments alors qu'il était le patron d'un studio porno ? Peut-être riait-il de Vox ? Il ne savait pas de quoi il riait, mais il riait.

« Qu'est-ce qui te fait marrer, comme ça ?

- J'en sais rien ! J'en sais foutrement rien ! »

Vox regarda son partenaire devenir fou, et il eut sa réponse. Il était son sujet sensible. Il était son actuel talon d'Achille. Et ça le surprenait. Parce que Valentino, cruel et sans coeur overlord de la perversion et de la luxure ne tomberait jamais, jamais, sous le charme d'une chose aussi puérile et inutile que "l'amour". En tout cas, c'était ce qu'il pensait.

« J'en sais rien... »

Il le regarda calmer son fou-rire. Il le regarda lever la tête vers le plafond et se couvrir les yeux d'une main pour masquer les larmes qui coulaient. Il le regarda craquer et montrer ses faiblesses.

« Voxy... Qu'est-ce que je deviens... »

Il le regarda encore quelques secondes, avant d'oser s'approcher et s'asseoir à ses côtés. Mais il ne fit rien d'autre. Après tout, Vox n'était pas quelqu'un de sentimental. Du moins, pas ce genre de sentimentalisme. Il était du genre à se moquer des faiblesses des autres et à en profiter, pas du genre à s'inquiéter pour les autres. Pourtant, il appréciait Valentino. Pas de la même façon dont il était apprécié, pas amoureusement, plus amicalement. Si au début, leur relation n'était que contractuelle, que commercial, maintenant, elle donnait l'impression qu'ils étaient amis.

« Hey, Tino »

Vox passa un bras sur les épaules de son ami, et le fit mettre sa tête sur son épaule. D'abord retissant, Valentino accepta ce rapprochement. Puis il lui caressa gentiment le dos, le rassurant.

« Va te faire foutre..., jura le papillon.

- Plus tard, peut-être »

Valentino resta un moment comme ça, avant de laisser sa tête tomber sur les cuisses de son partenaire. Il n'en pouvait plus, de cette faiblesse qui le rongeait. Il n'en pouvait plus de ses sentiments. Mais il profitait quand même de ce moment, parce qu'il savait que ça n'arriverait plus. Il connaissait Vox, et il savait que le sentimentalisme et lui, ça donnait l'infini. En fait, le sentimentalisme n'avait pas sa place en Enfer. Encore moins l'amour. Pourtant, il était tombé dans le piège. Il était tombé pour cette chose aussi puérile que ridicule. Il était amoureux. Et ça le rongeait.

« Voxy... »

L'une de ses quatre mains remonta vers la nuque de son crush, et se déposa dessus. Son coeur battait. 200 bpm par minute, facilement. Mais malgré ça, il attira Vox à lui, et lui captura les lèvres. Il l'embrassa, étonnamment doucement, gentiment. Et il lui caressait la nuque en même temps.
De son côté, Vox ouvrit grandement les yeux, surpris de ce que son ami faisait. Mais il ne le repoussa pas. Il le laissa faire, jusqu'à ce que ça ne s'arrête. Leurs bouches restaient à à peine trois centimètres l'une de l'autre, et Valentino murmura.

« Baise-moi »

Et dieu que ça l'excitait.

« Oublie mes putains de sentiments et baise-moi »

 Il ne leur était jamais venu à l'esprit de coucher ensemble, ils n'en savaient d'ailleurs pas pourquoi.

« Arrache mes vêtements »

Valentino disait tout ça d'un air sensuel, mais toujours d'un air très faible. Il le murmurait.

« Dilate-moi le cul comme tu l'as jamais fait »

Il en avait envie. 

« Fais-moi hurler ton nom »

Il avait envie de baiser avec Vox, sans prendre en compte ses propres sentiments. 

« Fais-moi tien, Voxy »

Leurs regards se croisèrent un moment, et il ne fallut pas longtemps pour que leurs lèvres se rejoignent une nouvelle fois, tandis que les vêtements volaient à travers la pièce. Leurs mains se caressaient. Leurs hurlements et gémissements sortaient, arrivant jusqu'aux oreilles de Velvette qui se demandait combien de temps encore ils allaient se retenir.

Non, je n'essaie pas de vous faire de la peine pour Valentino. Il ne mérite la pitié de personne. Mais je kiffe le ship, surtout sachant que Vox crée de la lumière et que les papillons sont attirés par la lumière. Puis j'ai vu un comic (le début, avec Val qui demande à Vox s'il s'est fait couper les doigts, en est repris) et je me suis sentie obligée d'en écrire un OS. Et vous savez quoi ? J'en suis méga fière ! Encore une fois, j'ai l'impression d'avoir carrément réussi à retransmettre les émotions et sentiments de Valentino, comme ceux de Vox :D

J'espère que j'suis pas la seule à kiffer ce ship ;-; Soutenez-moi ;-; Et j'espère que vous aurez aimé le one shot aussi !

✌️ and ❤️ and 🍋

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro