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Chapitre 28

Violette

— Violette, tu peux aller défaire les paquets là-bas ? Il faut remettre à jour les livres de science-fiction, m'interpella Hervé au loin, alors que je lui faisais un signe de la main.

    Je partais donc effectuer cette tâche, en entendant quelques secondes plus tard des pas revenir vers moi. Je levais la tête, observant donc Hervé qui était appuyé contre l'armoire. Petit sourire en coin, qui rehaussait quelques-unes de ses rides, il me fixait, son regard voulant dire un tas de choses.

— Ça fait longtemps que je n'ai pas vu mon petit-fils ici. Se serait-il passé quelque chose ? me demanda-t-il finalement.

— Oh, il doit avoir des choses à faire. J'en n'en sais rien, je ne connais pas sa vie, répondais-je, en haussant nonchalamment les épaules.

    Cela faisait deux semaines que je n'avais pas vu sa face se balader à quelques mètres de moi, à part sur une grande affiche que j'avais aperçue dehors. J'avoue que je n'avais pas hésité une seule seconde à attraper une pierre pointue et à écorcher ce grand poster.

    Ce beau sourire narquois m'avait en un seul regard, fait monter un immense pic d'énervement qui avait bien brûlé ma gorge sur le coup. Il ne m'avait fallu plus de temps pour que j'entreprenne de faire ce geste. Du balai cette face, et hop, un autre poster qui terminait à la poubelle du coin.

Ce genre de séance fonctionne encore mieux qu'un psy, c'est fou.

— Vous êtes-vous disputés ? demanda mon adorable patron, en croisant ses bras.

— Non. C'est juste que la vie a fait que nous avons céssé de parler. Tu sais, il était vachement occupé avec son travail et ses pétas... repris-je dans un raclement de gorge. Ses hum, publicités...

— Vraiment ? Pourtant il me semble que son planning s'était calmé ces derniers mois. Vous avez même fait un shooting ensemble, non ?

— Comment tu as su ça ? questionnais-je avec de gros yeux, en sentant mon cœur s'emballer.

— Eh bien j'ai vu les quelques affiches vers le centre commercial, et Max m'a envoyé quelques-unes en inédites, m'expliqua-t-il, avant de dégainer son téléphone sous mes yeux.

Mon Dieu.

Sans perdre de temps je l'attrapais, mon cœur s'emballant encore plus quand j'apercevais ces photos. Je les détaillais avec lenteur, ne me reconnaissant presque pas dessus.

— Ce ne sont pas les bonnes. Je souris sur toutes les photos, là...me murmurais-je à moi-même, tandis qu'il s'esclaffait à mes côtés.

— Max joue beaucoup sur cela. Il adore prendre des photos lors des pauses, ou plus discrètement pour que personne ne s'en rende compte. Il laisse ainsi ses mannequins dégageaient leur vrai côté naturel, en observant ce qu'ils feraient tout seuls, sans l'obligation de poser. Ce sont de très belles photos, ne trouves-tu pas ?

— Elle. C'est ma préférée, me souffla-t-il, l'air sincère.

Mon cœur se serrait sans que je ne puisse rien faire. Mes yeux détaillaient une nouvelle fois cette photo, s'attardant sur ces sourires et ces visages teintés d'amusement.

Merde. Cette photo, je m'en rappelle.

    Lorsque Ciel m'avait totalement écrasée de tout son poids, à cause des chatouilles que je lui avais prodiguées. Ce moment où nous avions bien ri lui et moi, sans prise de tête. Maintenant quand j'y repensais et regardais ces photos, je comprenais donc. Max s'était fait un malin plaisir à prendre des photos en douce, reflétant parfaitement le côté naturel et non obligatoire de la pose.

— Vous êtes très beaux. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un sourire si éclatant sur le visage de mon petit-fils, reprit Hervé, alors que je lui redonnais son portable.

Je finissais de ranger les derniers livres, lui adressant ensuite un mince sourire quand je me relevais.

— Il sourit comme ça à tout le monde. Rien ne change avec moi, après tout, déclarais-je d'une traite, en me retournant.

Je me mordais la lèvre, essayant d'effacer ce goût amer de tristesse ou je ne sais quoi qui commençait à trop envahir ma gorge.

**

— À demain ! lançais-je, en claquant la porte.

    Je replaçais mon écharpe autour de mon cou, avant de sentir une main se poser sur mon épaule. Dans un sursaut, je me retournais d'un mouvement, fronçant les sourcils quand je croisais son regard.

— Evan... soufflais-je, tandis qu'il déposait un baiser contre ma joue.

— Désolé, je ne voulais pas te faire peur. Ça va ?

— Tu arrives toujours d'un moment à l'autre. C'est fou ça, enchaînais-je, pendant qu'il attrapait ma main.

— J'aime faire des surprises et je croyais que tu avais oublié pour ce soir. C'est toujours bon ? Enfin si tu ne veux pas, on peut reporter cela, il n'y...

— Oh non pas du tout. Désolée, j'avais un peu la tête ailleurs. Oui ça marche toujours. On y va ? reprenais-je, avant qu'il ne glisse ma main dans la poche de son manteau.

    Je lui lançais un regard, ressentant une agréable chaleur se diffuser entre nos doigts liés. Ces temps-ci, Evan multipliait doucement les petits gestes depuis. Pourtant, il n'avait pas de nouveau franchi le cap du baiser. Et je préférais cela, je l'avoue.

     Je me laissais juste du temps avec lui, ne me projetant pourtant pas dans une future relation qui pourrait dépasser l'amitié. Evan était adorable, gentil, bienveillant, doux et d'autres qualités l'entouraient encore, mais je n'avais plus d'étincelles pour lui. Il restait cependant un très bon ami qui arrivait toujours à me remonter le moral.

    Plus tard nous arrivions en face de son immeuble, remarquant déjà un truc étrange au loin. Un homme assis tout seul sur les escaliers, la tête enfouie entre ses jambes, tapant un peu des pieds pour se réchauffer. Evan me lançait un regard suspect, mais tout en se rapprochant de lui. Et ce qui nous frappait aussi, était l'immense ours en peluche qui trônait à quelques pas de l'homme inconnu. Un gigantesque ours violet, entouré d'un grand ruban bleu. Immédiatement je fronçais les sourcils, avant de voir le fameux homme redresser la tête. Et dès que sa capuche s'enlevait, ses cheveux flamboyants me sautaient presque aux yeux comme la toute première fois.

D'un bleu aussi électrique que son superbe caractère de merde.

    Ne comprenant pas sa venue, je fronçais les sourcils, tandis qu'Evan lâchait nos mains liées. Ciel braqua sans tarder son regard sur nous deux, celui s'attardant un peu plus sur le brun à mes côtés. Il se leva enfin de ses marches pour s'avancer vers nous. Je sentais, contre ma volonté, mon cœur s'emballer. Une fois arrivés devant, il se plaçait droit comme un I, sa grandeur contrastant bien avec celle d'Evan.

— Salut, dit-il, un léger voile blanc s'échappant d'entre ses lèvres.

— Tu fais quoi ici ? demandais-je aussitôt.

— Et toi alors ? Tu sors avec lui ? rouspéta-t-il, toujours non commode.

    Je levais les yeux, me retenant bien de l'insulter à ce moment précis. Evan me donnait un léger coup de coude pour me persuader de ne rien répliquer, préférant à son tour prendre part à cette merveilleuse conversation.

— Nous ne sortons pas ensemble, non. On a juste un rendez-vous dans mon appartement, si tu te le permets, déclara-t-il en nous faisant avancer.

     Pourtant, à peine deux pas faits, je sentais sa main se refermer contre mon poignet, le contact de ses doigts créant un frisson contre ma peau blanche. Je tournais ma tête, en remarquant que ses yeux étaient marqués par un profond agacement.

— J'ai attendu pendant deux heures, trente-huit minutes, et deux secondes. On peut se parler seul à seul ? me questionna-t-il, en tapant du pied.

— Tu n'as pas envie de t'emmerder avec une fille de plus, un nouveau poids comme tu le dis. Pourquoi veux-tu encore me parler ? Nous n'avons rien à nous dire, répondais-je en me dégageant de sa main.

    Ciel jurait comme à son habitude, tandis que nous montions les quelques marches. Evan s'apprêtait à m'ouvrir la porte du hall, mais soudainement je sentais un énorme poids me faire vaciller vers l'avant. Je me rattrapais tant bien que mal sur les mains, les genoux à terre, ne comprenant pas trop ce qu'il venait de se passer.

— Ouais et bah je m'en fiche ! Fais ce que tu veux ! Mais tu as intérêt à garder cet ours car je n'ai pas de place chez moi, ciao ! déballa cette voix grave au loin, teintée de colère.

    Encore au sol, je me relevais dans un grognement, comprenant enfin le pourquoi du comment je m'étais lamentablement écrasée. Ciel avait je ne sais comment, réussi à balancer cet immense ours sur moi. Et vu le poids et la taille, aucun doute que je me sois tombée.

Directement je me levais, remarquant au loin l'autre idiot qui commençait à monter dans sa voiture noire.

—Eh connard ! Quand on offre un cadeau, on le fait au moins correctement ! Reprends-le ! Je n'ai pas de place chez moi ! m'exclamais-je, le stoppant ainsi quand il commençait à s'asseoir sur son siège.

— Sois heureuse de ce présent ! Ça coûte hyper cher et je l'ai fait faire sur mesure ! Accepte-le et sois reconnaissante, ingrate ! répliqua-t-il, me faisant porter mes doigts contre mon front.

Je vais le tuer...

— On n'a plus rien à se dire et à faire ensemble, alors reprend ce gros truc géant et encombrant ! Je déteste les ours !

— M'en fous, tu le gardes ! Et tu as intérêt à le mettre chez toi ! Allez, bon rendez-vous avec ton nouveau mec ! finissait Ciel de sa voix forte, en claquant sa portière.

    Dans un ronronnement de moteur, il partait en une fraction de secondes, n'hésitant pas à klaxonner comme un malade durant les quelques mètres qui séparaient l'autre ruelle. Je poussais un long soupir, tournant donc ma tête vers ce monstre d'ours. Evan se rapprochait de moi, lâchant un simple sifflement à mes côtés.

— Tu vas le mettre à la déchèterie ? me demanda-t-il, l'air curieux.

— Non ! Hors de question ! m'exclamais-je subitement, créant déjà l'incompréhension sur son visage.

— Enfin je veux dire... repris-je. Je vais certainement l'offrir à l'une de mes nièces. C'est un joli cadeau de Noël.

— Comme tu veux, c'est ton choix, dit-il, en m'aidant plus tard à rentrer l'énorme ours dans le hall.

Bordel... Je vais en faire quoi de ça, moi...

    Le dos en sueur, les muscles en compotes, je m'essuyais le front avec ma main, ayant du mal à respirer. Je jetais ma veste et mon écharpe sur mon canapé, prenant un long moment pour souffler.

    Monter les escaliers avec cet ours géant n'est plus jamais à refaire. Hors de question. C'était trop lourd à porter, trop chiant à monter, trop pénible à tirer. Même si j'avais certifié à Evan que tout irait bien et que je comptais me débarrasser de cet ours, je n'avais même pas pu le faire.

Le jeter à la déchèterie ? Non, impossible. J'aime trop les peluches pour le faire. Surtout que celle-ci est immense et que je n'en ai jamais eu des comme ça.

Elle est... putain de trop chouette !

    Même si c'est ce démon qui me l'avait offert, je ne pouvais empêcher ce sourire de gamine d'étirer mes lèvres. Je me laissais tomber tout contre ce gros ventre rembourré de coton, laissant échapper un long soupir. Après l'effort, le réconfort.

    Si j'avais été étonnée de le revoir ici, ne sachant toujours pas comment il connaissait l'adresse d'Evan, je ne m'étais pas en plus attendu à ce cadeau. Ce mec est taré. Il dit qu'il s'en fiche de moi, me traite de poids, de fille emmerdante, pourtant il arrive encore à faire ce genre de chose. Et bon sang... C'est que cette peluche a dû coûter une blinde, sans déconner. Sa dernière campagne publicitaire a dû lui rapporter bonbon, tiens. Il peut remercier une de ses quatre blondes.

     Je commençais à sentir une émotion plus noire s'immiscer dans mon cœur, mais je me dépêchais de la chasser en pensant à autre chose. Il faut que j'arrête de penser à lui. Il n'a pas encore le droit de me reparler. Il a été trop loin, je ne dois pas oublier.

    Dans un râle, j'enfonçais ma tête contre ce ventre tout mou, laissant mes doigts glisser contre le tissu. Mais étrangement, je sentais quelque chose être brodé sur la droite, cela m'interpellant tout de suite. Je tournais donc ma tête, clignant plusieurs fois d'affilés les yeux pour bien être sûre d'avoir lu ce que je venais de voir.

Aucun doute là-dessus. Je sais bien lire depuis mes six ans.

En une jolie écriture bleue, qui constatait parfaitement avec le violet piquant de l'ours, je distinguais très bien ces quelques lettres :

« Ciel, ton homme numéro 1. »

Une fausse toux me prenait subitement, ne m'attendant pas à cette phrase qui était pourtant bien absurde. Il est toujours obligé de faire des trucs nuls, c'est fou ça.

    L'homme numéro 1 ? Numéro 1 dans quoi ? Dans la catégorie des plus crétins ? C'est ça oui. S'il quittait son harem et se reprenait en mains, on pourrait peut-être un peu changer sa vision, mais là non.

Je poussais un long soupir, avant de prendre mon téléphone qui avait sonné. Comme toujours c'était Ciel qui m'harcelait, en ayant encore changé son numéro.

| Tu as intérêt de le garder. Sinon je t'en enverrai cent comme ça. |

    Clair, net, précis. Si je ne voulais pas me retrouver avec une armada d'ours en peluches, je devais garder celui-là. Au fond, je m'en fichais car il me plaisait bien et était très confortable. Je devais juste faire abstraction du fait que c'était lui qui me l'avait offert.

Pour la première fois depuis deux semaines, je lui répondais, éteignant ensuite mon portable car je savais qu'il m'harcèlerait davantage dû à sa future colère.

| Je l'ai offert à la petite sœur d'Evan. Elle était ravie et tellement heureuse. Merci pour ce cadeau. |

    Je planquais ensuite mon sourire dans le ventre du gros nounours, m'imaginant ce que pourrait être sa réaction. Aucun doute là-dessus, il péterait un câble. Et cela m'en réjouissait assez, même.

**

    Comme dans un automatisme depuis trois semaines, je sortais de la librairie, inspirant un grand coup une fois dehors. Je m'enroulais de mon écharpe, répondant ensuite au texto qu'Evan m'avait envoyée.

    Si je n'avais plus aucune de nouvelles de la tignasse bleue, on pouvait presque dire que j'avais trouvé son remplaçant. En moins chiant, con, idiot, bien sûr. Evan adorait m'envoyer des petits messages mignons lorsque je travaillais. C'était gentil, mais parfois un peu... trop. Enfin je n'osais rien dire pour l'instant. Dans le fond, il prenait juste de mes nouvelles car il s'inquiétait. Je lui répondais donc, en disant que j'allais acheter le paquet de croquettes qu'il voulait pour Sherry, l'animalerie se trouvant sur mon chemin. Plus tard j'y rentrais donc, cherchant le fameux sac spécial pour sa petite princesse. Je le trouvais enfin après de longues secondes, mais sans faire exprès, je bousculais quelqu'un près de moi.

— Oh pardon, dis-je automatiquement, avant de lever la tête.

De lever la tête et de me décomposer aussitôt, oui. Qu'est-ce qu'il fait là, lui encore ?

    Les cheveux totalement ébouriffés, son visage me semblait moins rayonnant que d'habitude. Peut-être plus marqué par la fatigue, je pense. Il portait cependant une grosse veste, tenant dans ses bras une écharpe toute formée en boule.

— Euh. Tu caches quoi là-dedans ? De la drogue ? demandais-je malgré moi, en haussant un sourcil interrogateur.

Ciel leva les yeux, avant d'ouvrir délicatement les plis de son écharpe. Aussitôt j'ouvrais la bouche, le regardant avec de gros yeux, choquée.

— Mon Dieu ! Tu l'as volé où ! Dépêche-toi de le ramener chez son propriétaire, vite ! lui chuchotais-je rapidement, en levant une main vers cette petite bête.

Une petite boule de poile toute grise, le poil non entretenu au vu des saletés. C'était un chaton aux yeux bleus d'à peine deux mois, tout au plus.

Merde, mais il fait quoi avec ce chaton lui !

— Non mais Ciel ! Dépêche-toi de le rendre ! Tu vas te faire prendre, m'enflammais-je, marquée d'une profonde inquiétude.

    Connaissant l'énergumène devant moi et sachant jusqu'où ses agissements et actions pouvaient aller, je me méfiais déjà. J'espère qu'il ne l'a pas volé à une petite-fille... Ou même dans une animalerie, en douce...

— Calme-toi idiote. Je l'ai trouvé dans la rue, sous un carton. Tu as bien vu son état ; il ne vient pas d'une famille ou d'une animalerie, déclara finalement Ciel avec sérieux, tandis que la boule de poile lâchait un miaulement.

— Sérieusement ? demandais-je, encore sur mes doutes.

— Ouais. Je ne suis pas fou, quand même.

Pas fou... Pour avoir volé des peluches dans une fête foraine et avoir cassé la machine, non c'est vrai qu'il ne l'est pas.

— Il faut l'amener quelque part. Il a l'air d'avoir froid. Pauvre bébé, repris-je d'une voix plus douce, en posant ma main contre sa petite tête.

Ciel qui sauve un chaton dans la rue. Waouh. Ça m'étonne assez, je l'avoue. Je sais qu'il repêche souvent des femmes à chaque coin de rue, mais pas des chatons, non.

— C'est une femelle, m'interpella-t-il sans tarder, l'air sûr de lui.

— Tu as regardé ?

— J'attire toujours les femelles, pas besoin de vérifier. Elle a couru vers moi pour se frotter à mes jambes. Il n'en fallait pas plus pour comprendre que c'était une petite chatte.

— Bien sûr... murmurais-je, ne préférant rien relever quant à son explication.

    Je laissais mon regard détailler ce petit chaton absolument à croquer, avant de voir Ciel tendre ses bras. Il me donnait soudainement l'écharpe avec la petite bête à l'intérieure, se dépêchant de me le fourrer tout contre moi. Un grand sourire était désormais plaqué contre son visage, et cela ne me rassurait pas.

— Cool je suis heureux ; je viens de trouver sa nouvelle maman. Tu vas pouvoir lui donner du lait j'espère. Car j'ai regardé les prix ici et waouh, c'est que c'est putain de cher. Il vaut mieux aller puiser à la fontaine la plus proche, déclara-t-il, toujours hilare.

Haha. Je crois que je vais vraiment lui voler cechaton, tout compte fait. Et aussi le gifler au passage.



**




(Au moins avec Ciel, Violette a presque toujours le sourire haha ! Et on continue encore d'ajouter un animal de plus dans mes histoires ; mais qui c'est, celui-ci pourrait peut-être aider à les rapprocher. Ou pas...) ♥️

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