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Chapitre 4 ~ New lives


Kahlan's point of view

Je sentis une vive douleur à la tête, alors que j'ouvrais les yeux. J'étais allongée sur une surface dure, mon dos me faisait d'ailleurs mal. Mais j'avais connu bien pire, quand j'étais encore « chez moi ». Tout en frottant doucement mon crâne, je m'assis lentement. Ma vue s'habitua peu à peu au flot de lumière qui entrait dans la pièce. Je découvris face à moi, des barreaux de métal. On m'avait emprisonné. Je n'arrivai pas à me rappeler ce qu'il avait bien pu se passer, pour que je me retrouve ici.

Des bruits de pas m'interpellèrent et je tournai les yeux vers ma droite. La blonde de la veille s'approchait de ma prison, accompagnée d'un homme d'âge moyen. Quand je les vis d'assez près, je posais les yeux sur l'accompagnateur. Il était habillé d'une veste en cuir noir, sur une chemise à carreaux, d'un pantalon noir et de chaussures gris foncé. Je continuai de me frotter les tempes machinalement. Les deux personnes se postèrent devant moi et me dévisagèrent. Je les fixai des yeux, en grimaçant de douleur.

«

- Qui êtes-vous ? Me questionna-t-elle.

Je ne répondis pas et continua ce que j'avais commencé.

- Emma, je crois qu'on devrait lui donner un aspirine. Ce serait plus facile de l'interroger. Proposa l'homme.

- Je fais ça tout de suite. Dit-elle en sortant un verre, pour le remplir d'eau. Voilà, attendez que le comprimé soit dispersé pour le boire.

Je fixai le verre qu'elle tenait alors que je m'étais levée.

- Eh, c'est pas mortel, ça vous mangera pas et vous n'aurez plus mal au bout de quelques heures. Insista-t-elle en me le tendant davantage.

Je le pris délicatement de sa main sans rien dire, puis lâcha son regard pour fixer de nouveau le verre. Puis je l'avala. J'allais devoir attendre plusieurs heures avant de ne plus avoir mal. Mais je n'allais pas me plaindre, j'avais subi bien pire.

- Bon, revenons à notre sujet d'origine. Qui êtes-vous ? Reprit l'homme.

- Et vous, qui êtes-vous ? Lançai-je en soutenant son regard.

- On vous a déjà dit qu'on ne répondait pas par une question en posant une autre ? Ajouta-t-il.

Je haussai les épaules.

- Très bien. Je suis le shérif de cette ville et voici mon père, qui me seconde. Se présenta Emma.

- Hey ! Je ne suis pas que ton second, je t'ai aidé dans beaucoup de cas et même...

- Papa, ce n'est pas le sujet ! Coupa Emma.

Il se tut et m'observa.

- Alors, pouvez-vous nous dire qui vous êtes ?

Je soupirai, car ils n'allaient pas me lâcher.

- Kahlan Amnell. Je ne suis pas d'ici. J'ai atterri ici après avoir fait l'objet d'un sort puissant, lancé par deux grands sorciers. Je devais retrouver mon bien aimé, mais je suis arrivée au milieu d'une berge d'herbes.

- Ca s'appelle une route et vous étiez dans le faussé. M'apprit-elle en croisant les bras.

Je ne dis rien et le père d'Emma reprit la suite de l'interrogatoire.

- Pourquoi avez-vous menacé ma fille, en la prenant par la gorge, de la... Convertir ?

Nous arrivions sur un sujet sensible et je ne devais en aucun cas parler de mon pouvoir.

- Je ne la connaissais pas, ni ce pays. Je me suis tout simplement défendue. Dis-je simplement.

- Justement, vous êtes là parce que j'ai fait la même chose pour ma fille. Je l'ai protégé de vous, alors que vous alliez l'étrangler.

- Je n'allais pas l'étrangler, je... Répliquai-je avant d'hésiter à dire la suite.

- Vous quoi ? Répéta le père.

Je ne répondis pas.

- Très bien. On va employer les grands moyens. Dit calmement Emma, en sortant un boîtier épais métallique de forme rectangulaire de sa poche.

»

***


Je m'étais assoupie, car je m'éveilla en sursaut. On m'avait sorti de ma prison, pour me menotter à une chaise. Ma vue s'habitua peu à peu à la lumière du jour, s'infiltrant dans la grande pièce. Emma et son père étaient assis sur deux chaises face à moi. Mais une nouvelle personne était présente. C'était une femme, aux cheveux d'un noir corbeau, mi-longs et ondulants. Habillée d'un haut rouge vif, sous une veste noire ouverte, elle se tenait droite sur le côté, les jambes croisées. Son regard était si perçant, que je ne la regardai pas longtemps, jusqu'à ce qu'elle prenne la parole.

«

- Je me présente, je suis Regina, une amie d'Emma et de David. Ils m'ont appelé parce que vous ne répondiez pas à leur question. Visiblement, vous nous cachez quelque chose. Et j'aimerais savoir de quoi il s'agit. Je ne voudrais aller plus loin pour vous faire mal. M'expliqua-t-elle calmement.

- Tout ce que je veux, c'est retrouver mon bien-aimé et mes amis dans mon pays. Mais je me suis retrouvée ici, je suis perdue et je n'ai pas de moyens de retourner chez moi.

- D'où venez-vous ?

- Des Contrées du Milieu. Mon compagnon a disparu après qu'on ait combattu Rahl. Mais ce bâtard n'est toujours pas mort, alors que son fils est peut être mort lui.

- Je ne comprends pas. Ca ne répond pas à ma question, pourquoi avez-vous attaqué Mrs Swan. Remarqua David.

- Si je vous le dis, je mets ma vie en danger. Répondis-je.

- Nous ne sommes pas là pour vous nuire, nous protégeons simplement notre ville. On peut vous aider à retourner chez vous. On connaît les personnes dans votre cas, on en a vu beaucoup, qui débarquait de nul part. Des sorcières, des princesses, on a vu de tout. Regina est une sorcière d'ailleurs et moi j'en suis un peu une aussi. Indiqua Emma.

Je les regardai tour à tour. La magie existait donc ailleurs que dans notre pays.

- Très bien. Je suis une Inquisitrice. Quand je me sens menacée, j'utilise mon pouvoir pour me défendre. Je l'utilise aussi pour faire régner l'ordre et la justice entre tous peuples. Quand je convertis un homme ou une femme, il n'est plus maître de ses pensées et de ses actes, il est soumis à ma volonté.

>>

Ils ne tiquèrent pas et m'observèrent un moment. Je remarquai seulement maintenant qu'elle avait les cheveux presque aussi longs que les miens. Mais comme nous n'étions pas du même endroit, je n'y teins pas compte. En effet, dans mon pays, les femmes qui avaient les cheveux longs, étaient les plus puissantes en terme de pouvoir politiques pour diriger. Seules les Inquisitrices avaient les cheveux si longs.

Au même instant, une voix d'enfant attira mon attention. Un jeune garçon entrait dans la grande pièce et s'approcha de la blonde. Celle-ci lui demanda la raison de sa venue. Elle eut pour réponse, qu'il venait simplement voir ce qui se passait. Il avait entendu parler d'une femme blanche arriver de nul part. Puis il posa un livre sur la table devant moi. Un livre d'un épaisseur inimaginable, avec inscrit sur la couverture, un titre plutôt particulier. Once upon a time.

***


Richard's point of view

Ce soir là, je m'en souviendrais sûrement toute ma vie. Je n'avais pas l'habitude d'être entouré de jeunes apprentis, tout cela était surréaliste. J'avais encore du mal à croire que de si jeunes enfants puissent apprendre la magie, dans un si grand château. En entrant dans la grande salle, tous les visages s'étaient tournés vers moi. Des tables étaient installées en quatre grandes rangées, bordées d'élèves en robes noires. Au fond, trônait une table en un grand U, où des adultes étaient assis. J'avais reconnu la directrice, puis je cherchai des yeux parmi les élèves, Albus. Je voyais dans leurs yeux, de l'admiration et de la curiosité. Puis je tombai enfin sur mon jeune ami. Il était assis parmi d'autres jeunes sorciers.

«

- Albus, comment vas-tu ? Dis-je en posant une main sur son épaule.

- Richard, je suis content de vous revoir. Me sourit-il en se tournant.

- Tu peux me tutoyer quand même, je ne suis pas si vieux que ça. Proposai-je.

- D'accord. Richard, je te présente mon amie Rose et mon grand frère James. Nous sommes dans la maison de Gryffondor. Lysander et Lorcan sont à la maison de Serdaigle, quant à Scorpius, il est à Serpentard.

Je le regardai incrédule. Ces noms étaient plus étranges que le château l'était en lui-même. J'adressai un hochement de tête par politesse à ses amis.

- Assey... Assis-toi, ne reste pas debout, tout le monde te regardes ! Reprit Albus.

Je m'assis finalement entre Albus et Rose. Je ne remarquai que maintenant, que toutes les filles autour de moi me regardaient avec un sourire béat. James donna un coup de coude à Rose, qui me fixait depuis le début. Elle baissa les yeux en rougissant. L'attention ne resta pas bien longtemps figée sur moi, puisque la Directrice se leva pour prendre la parole.

- Bonsoir à toutes et à tous ! Nous voilà prêt à dîner entre maisons et amis. Cependant, je voudrais vous présenter un homme qui est arrivé parmi nous, depuis peu. Comme il est très facile de savoir les nouvelles rapidement, je ne vais pas m'éterniser sur les faits. Je précise simplement, qu'il est là parmi nous, et qu'il nous vient d'une contrée très lointaine. Mes chers élèves, je vous demande d'accueillir notre invité avec bienveillance et respect, Richard Cypher Rahl, Sourcier et Maître de D'Hara, au service du bien et de la vérité.

Pendant un court instant, il y eut beaucoup de visages hésitants, puis une salve d'applaudissements emplie la grande salle, faisant un écho, tel à une pluie de feu d'artifices. Je remarquai que toutes les jeunes filles me dévisageaient avec un sourire béat, comme l'amie d'Albus. J'en étais mal à l'aise, mais c'en était absurde. Je sortis de mes pensées, quand la Directrice reprit la parole.

- A présent que les présentations sont faites, nous allons pouvoir servir le repas. Que les festivités commencent ! Bon appétit !

»


Des dizaines d'entrées en tout genre apparurent sur la grande table. J'en ouvris grand les yeux, tellement j'étais ébahi par la beauté des plats et leurs contenus. Mon voisin m'informa que ce n'était le début. Aussitôt, je me suis dis que cela faisait longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de manger davantage qu'à ma faim. Le repas se déroula dans la bonne humeur. Les élèves de Gryffondor me posèrent d'innombrables questions, alors que les filles continuaient de me regarder. Mais la tranquillité ne dura pas. Les grandes portes de bois claquèrent contre les murs, tandis qu'un grand homme trapus et barbu entra. Il tenait un chat au poils ébouriffés comme un épouvantail ayant connu la tempête. Je reconnus le chat que nous avions croisé au détour d'un couloir, avec Albus. Il l'appelait Miss Teigne, et son propriétaire devait être Rusard. Il s'avança jusqu'au milieu de la salle, sans faire attention aux ricanements qui fusaient entre les rangs. La femme au chapeau pointu se leva et leva les bras en l'air, tout en demandant le silence. Toute la salle n'émit plus aucun son. Rusard prit finalement la parole, avec l'autorisation de la Directrice.

«

- Madame La Directrice, je ne peux plus le supporter, s'en est trop... J'ai retrouvé ma chatte pétrifié, j'exige de punir sévèrement le coupable. Si vous me le permettez, je me ferais un très grand plaisir de le corriger moi-même. La Forêt Interdite ne lui ferait pas de mal. Se plaignit-t-il en montrant sa chatte.

- Monsieur Rusard, je suis navrée de l'apprendre. Je vous promets de retrouver le coupable. Seulement, en ces temps obscurs, je pense que la Forêt Interdite est dangereuse. Ne vous inquiétez pas de cela, je m'occuperai personnellement de ce cas. Merci de m'en avoir informé ! Le rassura-t-elle. Vous pouvez disposer maintenant.

Il s'en alla en grognant.

- Mes chers élèves, je vous laisse finir votre repas tranquillement. Mais je veux connaître le coupable de cet événement. Si demain matin, je n'ai pas le nom du coupable, je me verrai dans l'obligation de procéder à des sanctions qui pourraient s'appliquer à toute l'école.

- Madame, s'il vous plaid, ne faites pas ça ! Les autres n'ont rien fait. S'exclama Albus en se levant.

Un long silence s'ensuivit, puis des chuchotements de part-et-d'autres de la salle fusèrent. Elle réclama une énième fois le silence.

- Nous vous écoutons Monsieur Potter ! Dit-t-elle sur un ton sévère mais calme.

- Je l'ai fait après avoir libéré Richard. Je voulais l'aider, il doit rentrer chez lui. Nous ne devions pas nous faire repérer, et cette chatte traîne dans les couloirs à longueur de journée. Avoua-t-il en soutenant son regard.

- Mon jeune Potter, je n'aime pas trop vos manières. Vous ressemblez beaucoup à votre père. Vous voulez aider autrui et vous vous mettez toujours en danger. Je vous demanderai maintenant de ne plus vous mêler de ce qui ne vous regarde pas. Ajouta-t-elle. En attendant, vous aiderez Hagrid à nourrir les créatures magiques dont il s'occupe.

Je vis le visage de mon jeune ami rayonner. Vu sa réaction, cela ne devait pas être si mal comme punition.

- Quant à vous Monsieur Cypher, j'aimerais discuter avec vous, dès qu'il en sera possible.

J'acquiesçais positivement puis m'assis à nouveau, pour finir mon assiette. Je pensais me douter de quoi nous allions parler.

- Richard ? M'appela Albus.

Je ramenai mon attention vers mes jeunes amis.

- Nous savons comment vous faire rentrer. Reprit Albus.

Je les regardai abasourdi.

- N'en parlez à personne, pas même Mme Mcgonnagall. Nous nous reverrons très bientôt pour en discuter. Préparez-vous ! Annonça James avant de commencer le plat.

»

***


Omniscient point of view

Voilà plusieurs jours que le Premier Sorcier Zeddicus Zul' Zorander et la Mord-Soth Cara chevauchaient les Contrées du Milieu en quête de retrouver la sœur de Kahlan, Dennee. La dernière fois qu'ils l'avaient vu, elle s'occupait d'un nourrisson, dans un coin retiré des terres du Milieu. Mais où était-elle maintenant ? Etait-elle toujours vivante ? Il y a deux jours, ils étaient arrivés à cette fameuse maison. Seulement, celle-ci était abandonnée. Aucune trace d'une Inquisitrice. Ni d'un enfant ni de personne. Aucun signe de vie aux alentours. Zedd commençait à s'inquiéter. D'autant plus que Dennee n'avait pas la même teneur en pouvoir que sa sœur. Kahlan, après avoir usé de son pouvoir pour se protéger ou sauver quelqu'un, se vidait de ses forces. Néanmoins, elle récupérait en deux heures. Tandis que Dennee retrouvait ses forces au bout d'un long moment. Il espérait fortement qu'elle n'était pas seule au monde.

Sur le chemin déjà bien tracé, nos deux compagnons de voyage longèrent un village, dont il passa ne pas inaperçu. Des cris emplissaient l'atmosphère, comme si on torturait des humains. Aussitôt, les deux cavaliers descendirent de cheval, pour les attacher non loin d'ici. Puis à pas de loup, ils se faufilèrent à travers les broussailles. Observant l'intérieur de la forteresse, près de l'entrée du village, ils attendirent d'en savoir plus ce qui se passait dans cet endroit.

«

- Chers villageois, nous sommes ici aujourd'hui pour faire payer ceux qui ont commis des infamies, dans leur propre village. Ils méritent la pendaison, pour vol dans une boulangerie, pour avoir commis des atrocités telle que le viol d'une petite fille et pour avoir frapper à mort un pauvre vieillard sans défense. S'exclama un homme en serrant les poings. Assez parler, laissez entrer le bourreaux de ces chiens ! Ordonna-t-il.

Cara aperçu un grand homme à la carrure baraquée et cagoulé, monter les marches jusqu'à une barre de bois.

- A bat les chiens ! Crièrent les villageois.

Le bourreaux commença à baisser la barre, quand un champ de force l'envoya voler au loin. Tous les villageois se tournèrent et découvrirent une femme en cuir rouge et un vieillard en robe de sorcier. Ils ouvrirent de grands yeux et se reculèrent quand les étrangers approchèrent des condamnés.

- Qui êtes-vous pour oser interrompre ma tâche ? Les questionna le bourreaux.

Cara ne prit pas la peine de répondre et lui enfonça une dague en plein ventre. Après avoir repris sa dague, elle le laissa s'effondrer lourdement, alors qu'elle rejoignait son ami Zedd.

- Pourquoi avoir condamner ces personnes à la pendaison ? Demanda le vieux sorcier.

- Qui es-tu pour me demander cela ? Je fais régner la justice dans ce village. Il est normal que ces chiens connaissent le sort qu'ils méritent. Se renfrogna l'homme.

- Avez-vous ce que j'ai fait ? Et ma compagne, vous devez savoir ce qu'elle est ? Demanda calmement le sorcier.

- Vous n'êtes pas accompagner d'une Inquisitrice, vous ne pouvez donc pas me soumettre.

- Cara, je t'en prie fais toi plaisir ! Je perds patience, et nous n'avons pas le temps pour ça.

La Mord-Sith eut un sourire reconnaissant envers le sorcier, qui soupira longuement, implorant les esprits du bien de le pardonner, pour ce qu'il venait d'ordonner à la femme en rouge.

- Tu m'appelleras bientôt maîtresse, mon petit. Dit simplement Cara, avec un tendre sourire.

L'homme ouvrit de grands yeux alors qu'elle sortait son arme de torture. L'attente ne dura pas longtemps, car elle l'écrasa sur son bras droit. Aussitôt, il se tordit de douleur, tombant à genoux. Elle continua jusqu'à ce qu'il soit soumis. Zedd lui dit d'arrêter et demanda les crimes qu'avaient soit disant commis ces malfrats.

- Madame, dois-je répondre à cet homme ? Demanda l'homme soumis à Cara.

- Je t'ordonne de m'appeler Maîtresse Cara, ou tu ne dormiras pas cette nuit. Ordonna-t-elle.

- Oui, Maîtresse Cara. Gémit le malheureux. Ils ont commis les crimes les plus effroyables qui soit. L'un à voler du pain dans le dos d'un boulanger, l'autre à violer une petite fille d'à peine 8 ans et un autre à tabasser presque à mort un pauvre vieillard qui se promenait dans le rue. Expliqua-t-il en gémissant.

- C'est bien petit chien. Souffla Cara à son jouet humain.

- Mais ils n'ont pas l'air si méchant vos brigands. Remarqua Zedd en s'en approchant. Mes enfants, dites moi l'entière vérité ! Exigea le sorcier.

- J'avais faim, je n'avais plus de travail et je devais nourrir ma famille. Pleura une jeune femme.

- Jamais je n'aurais fait de mal à un enfant. Elle est venue vers moi et m'a avoué être amoureuse de moi. J'ai tenté de lui expliquer qu'elle était bien trop jeune pour aimer un homme de mon âge. Mais elle s'est frotté à moi et je me suis pourtant battu de l'intérieur pour ne pas lui faire de mal. Je l'ai repoussé mais c'est elle qui insistait. Expliqua l'homme dans un sanglot.

- J'ai eu un différend avec mon grand-père et ça c'est mal finit rien de plus. Il tient encore debout, mais ce n'est pas une raison pour vouloir me tuer.

- Vous êtes innocents, vous vouliez juste vivre tout simplement. Vous n'auriez pas dû être condamner à mort.

>> Ne vous inquiétez pas, vous aurez tout le pain que vous voudrez. Ajouta Zedd, en regardant le voleur.

- Zedd, qu'est-ce je fais de lui ? Demanda la femme en rouge.

- Il va connaître le châtiment qu'il voulait infliger à ces innocents. Répondit-il en se tournant vers le soumis.

- Quoi ? Mais c'est inadmissible ! Je ne suis pas d'accord. Cria le condamné en se débattant.

- Tais-toi ! Ordonna Cara en le giflant violemment avec ses gants de cuir.

Du sang gicla de son visage. Le vêtement de la Mord-Sith, rouge comme le sang, permettait à sa propriétaire d'être parfaite en tout circonstance, puisque le sang ne la tâchait pas. Une situation qui facilitait la tâche à notre amie.

- Pardon, Maîtresse ! Gémit le supplicié.

Il reçu un violent coup d'Agiel dans la mâchoire, suivi d'une violente claque qui le fit s'effondrer par terre.

- Pardon, pardon, pardon, Maîtresse Cara ! La supplia-t-il avec des yeux implorants.

- Tu vas te lever, petit chien, tout de suite !

Il s'exécuta sans rechigner, par peur de recevoir de nouveaux coups de cet instrument de torture.

- Je veux que tu montes sur la balustrade et que tu mettes la code autour de ton cou. Dit-elle calmement en le suivant de très près.

- Maîtresse Cara, je ne veux pas mourir. L'implora-t-elle.

- Dépêche-toi ou tu connaîtras un sort pire que la pendaison ! Et je peux te le faire croire que je sais très bien faire souffrir, très lentement.

Il ne dit rien et fit ce qu'elle demandait. Une fois debout et la corde au cou, personne n'attendit d'annonce. Puis comme par magie, la trappe où était le soumis s'ouvrit. Le soldat tomba dans le vide et en une fraction de seconde, la vie s'éteignit dans ses yeux.

»

Zedd, malgré que ce soit lui qui ordonnât cette condamnation, il ressentit une pointe de culpabilité. Il n'aimait pas voir des gens mourir. Mais il servait le bien et la justice. Il luttait comme son petit-fils pour la liberté. Il devait passer au-dessus. Ils devaient partir, pour retrouver Dennee.

Alors que le vieux sorcier et son amie annonçaient leur départ aux villageois, les trois villageois épargnés par la mort vinrent les remercier. Ils leur souhaitèrent de bonne réussite dans leur quête. Selon eux, sans le Sourcier et la Mère Inquisitrice, les Contrées du Milieu seront vouées à l'esclavage, Darken Rahl reprendrait ce qui lui est dû. Zedd promit de tout faire pour les ramener. Le village avait raison, sans eux, leur monde était voué à connaître des échecs plus nombreux encore qu'il y eut  jadis.

Ils partirent donc l'heure qui suivit, vers l'est pour retrouver la sœur de Kahlan. Le sorcier espérait vite revoir ses deux amis, tout comme Cara.

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Bonjour/Bonsoir, comment ça va ? Bah bonne année, meilleurs voeux pour cette année !!

Je pense maintenant que vous avez trouvé où sont Kahlan et Richard ? Enfin si vous connaissez la série et que vous l'avez vu, à la télé, en streaming, en dvd ou autre. Mais pour Richard, c'est pourtant évident vous ne trouvez pas ?

Vous vous dites sûrement, ils ne sont pas si malheureux que ça. Ne le pensez pas trop vite, ça va peut être changer. Mais j'en ai déjà trop dit! Alors je n'en dis pas plus. A vous de faire preuve de patience. Et au fait, désolée du retard que j'ai pris pour poster celui-là. Je vais essayer de me rattraper sur le prochain.

Bonne soirée, bonne nuit, bonne semaine, bonne année, bonne santé. Bisous tout plein!!!


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