Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 3

Un gros lemon pour vous, bande de pervers! 8D

Profitez-en bien parce que ce sera le seul que vous aurez avant un bon moment!


Chapitre 3.

-Je vois que tu ne sais toujours pas où mettre les pieds : je suis encore en train de me demander comment tu as pu aboutir ici, me nargua-t-il.

Ça y est, il ne manquait plus qu'il apprenne mes problèmes d'argent, maintenant!

-De l'argent facile, je ne suis pas pour cracher dessus, je rétorquai, toi, tu dois t'y connaître en argent facile, hein? Tu sais ce que ça fait d'avoir juste à tendre la main pour avoir de grosses liasses. Ouais, j'ai reconnu ton nom : « Blackwood », comme la grosse multinationale du même nom, tu dois être leur sublime héritier, les poches plein aux as du pognon de ton papa!

J'étais un peu jaloux et je n'y pouvais rien. Ce mec pouvait avoir tout ce qu'il voulait rien qu'en faisant teinter une clochette, alors que je devais me tuer à l'ouvrage – un boulot que je n'avais même pas encore trouvé, d'ailleurs – pour obtenir une somme misérable à la fin de la semaine.

Un éclair de rage traversa le regard couleur miel de Blackwood. Il attacha brusquement la laisse à mon collier et tira dessus, réduisant l'espace entre nos deux corps à rien du tout. Pressé contre son torse que je devinai musclé, presque étranglé, je soulevai le menton pour croiser son regard. Sa mâchoire était crispée et ses yeux brillaient de rage.

-Ne parle pas de ce que tu ne connais pas!

Oh, oups, visiblement, j'avais touché une corde sensible et monsieur était énervé. J'en serais presque désolé.

-À ce que je sache, ce n'est pas dur de gérer un héritage de plusieurs milliards quand il y a des centaines de personnes pour le faire à ta place.

Ce n'était pas que je ne voulais pas me la fermer, mais j'avais vraiment de la difficulté à me taire quand on me contredisait, même si je courais droit dans les ennuis. Disons simplement que j'étais du genre obstiné.

Le regard de Blackwood était toujours aussi dur, mais sa poigne sur la laisse se relâcha un peu. Il se calma, plus ou moins. Un sourire inquiétant étira bientôt ses lèvres.

-Tu peux dire ce que tu veux, Dylan, mais ce soir, tu ferais mieux de te la boucler un peu parce que chaque millimètre de ton corps m'appartient pour cette nuit et je peux en faire tout ce que je veux.

-Enculé, ne puis-je m'empêcher degrogner entre mes dents serrées.

En vérité, j'aimais le trashtalk et c'était diablement excitant de jouer à ce petit jeu de l'esclave et du maître. J'avais vendu ma virginité, donc je savais très bien ce qui m'attendait. J'étais consentant.

Pour toute réponse, son sourire s'agrandit.

-Je pense que tu as compris. Viens, il y a des chambres par là.

Il m'entraîna dans un couloir où des portes s'alignaient. Il en choisit une et la poussa. Nous pénétrâmes dans la pièce à l'image du reste du club : chic et propre. Il referma ladite porte derrière nous, puis se tourna vers moi. Il lâcha la laisse.

-Au fait, je risque d'être violent – désolé, c'est ta première fois avec un homme –, mais tu ne peux que t'en prendre à toi-même parce que tu m'as énervé. Du coup, si tu veux crier un nom pendant que je te baiserai, tu peux gémir « Elijah ».

Ah, première nouvelle, l'enculé a un nom. Tiens, voilà qui le rendait déjà un peu plus humain à mes yeux, mais pas moins enfant pourri gâté de riche, malheureusement. Avais-je oublié de dire que j'étais le roi du sarcasme?

En un éclair, Elijah m'avait plaqué contre le mur du fond. Il avait détaché la laisse et l'avait laissé traîné par-terre. Ses mains se retrouvèrent partout sur moi. L'une qui me tint les poignets menottés et l'autre qui partit en balade sur ma hanche, puis se montra aventureuse sur mon torse nu. Je me crispai légèrement, n'ayant pas l'habitude d'être ainsi touché par un homme.

Ses doigts glissèrent dans le nœud de sa cravate qu'il défit, puis laissa tomber au sol. Sa main glissa ensuite sur le tissu de sa chemise en lin. Il plaça un genoux entre mes jambes pour bien les écarter, puis s'employa à déboutonner les dix boutons de son haut. Il bougea les épaules en cercle pour faire tomber son veston, lâcha mes poignets environ un dixième de seconde duquel je profitai parce que j'étais en train de perdre la circulation sanguine dans mes bras. Lui aussi maintenant torse nu, il pressa ses lèvres contre ma clavicule, aspira la peau peu épaisse entre ses lèvres, mordillant. Quand il se retira, il laissa derrière lui une marque violacé qui avait tout pour me déplaire.

Son genoux monta doucement jusqu'à exercer une pression légère sur mes parties génitales. Bien malgré moi, j'échappai un couinement que je serais incapable d'identifier comme étant du plaisir ou de la douleur. Ses dents râpèrent mon cou et je détournai la tête par automatisme. Ses doigts beaucoup trop explorateur vinrent tirer l'élastique de mon boxer, puis plongèrent à l'intérieur. Sa main froide qui entra en contact avec ma peau chaude me fit frissonner. Ses doigts s'enroulèrent autour de mon sexe. Mon souffle se bloqua dans ma poitrine, mais je fis tout pour qu'il ne le remarque pas.

Elijah baissa mon boxer jusqu'à mi-cuisse, puis vint caresser mes fesses que j'eus le réflexe de serrer, ce qui bien sûr fit sourire mon putain d'acheteur.

-Tu sais, si tu te tends, ça va faire encore plus mal. Non pas que j'en ai quelque chose à faire, c'est pour toi, hein.

Je grimaçai. Aurais-je pu tomber sur pire acheteur? Le pire, c'est que mon petit doigt me soufflait que oui.

Parlant de doigts... Je sentis quelque chose se presser contre mon intimité, puis forcer le muscle pour me pénétrer brusquement.

-Oh merde, oh merde, oh merde...

Ça brûlait. C'était léger, mais brûlant et... particulier.

-Je t'ai dis de te détendre, mais tu n'en fais qu'à ta tête : ce n'est pas mon problème.

Je n'avais jamais eu autant envie d'arracher la tête de quelqu'un. Drôle de pensée alors que cette personne avait trois doigts dans mon derrière.

-Espèce de gosse de riche, tu n'aurais pas pu te payer une autre pute que moi avec tout ton argent? Le provoquais-je.

Il laissa mes poignets menottés tranquille et avec sa main libre m'attrapa la mâchoire.

-Tu veux la vérité? Depuis la première fois que je t'ai vu dans ce café, je n'ai pas pu détacher mon regard de toi. Je suis même revenu plusieurs fois juste pour toi, mais je n'avais aucune idée de comment t'aborder, alors quand je t'ai vu ici ce soir, j'ai saisi ma chance. Mais la prochaine fois que tu viendras vendre ton cul ici, suffit de le dire, je te laisserai à quelqu'un d'autre, j'ai vu que Rob avait l'air de pas mal enchérir : il était rendu à 15 000...

Je m'étranglai. Est-ce qu'il plaisantait? Rob, mon meilleur ami, avait vraiment essayé de m'acheter? Mais il s'attendait à quoi, bon Dieu? Finalement, je n'étais pas si mécontent que ce soit tombé sur Elijah.

Devant mon silence, mon acheteur poursuivit ses attouchements. Ses doigts bougèrent, se plièrent. C'était une sensation parfaitement bizarre. Mon sphincter faisait prisonnier l'annulaire, l'indexe et le majeur d'Elijah sans être capable de se détendre. La brûlure du départ était disparue pour ne laisser place qu'à une gêne légère qui était bien plus supportable.

Soudainement, une secousse secoua tout mon corps. Je haletai, puis mes poignets toujours liés tombèrent sur la nuque de mon partenaire, tandis que je recherchais un semblant d'équilibre. Elijah fit claquer sa langue tout près de mon oreille.

-Trouvé.

J'allais demander quoi quand un nouveau choc électrique me parcourut des pieds à la tête. Je compris qu'il touchait probablement ce que mon ami Rob se vantait de pouvoir trouver en quelques seconde chez ses amants : la prostate. Je n'avais jamais compris comment cette chose pouvait procurer du plaisir aux hommes, mais je devais bien avouer que je commençais à durcir. Ma virilité était fièrement dressée de toute sa taille contre mon ventre. Elijah passa sa main dessus, étalant la pré-semence sur tout son long. Particulièrement sensible à la base de ma hampe, je ne pu empêcher un gémissement de s'échapper d'entre mes lèvres. Il descendit la fermeture éclaire de son pantalon et ôta son sous-vêtement en 2.0 secondes top chrono et, sous les yeux, j'avais son membre veiné dans toute sa splendeur. Merde, je n'allais jamais pouvoir prendre... tout ça. Il était... gigantesque.

Elijah retira ses doigts, puis posa ses paumes juste sous mes fesses. Usant d'une puissante force, il me souleva de terre d'un coup, sans le moindre effort. Prenant soudainement peur de tomber, je refermai mes jambes autour de la taille du jeune homme. Il guida sa masculinité, l'aligna et la pressa contre mon muscle. D'un coup, il poussa.

Je poussai un cri à m'en déchirer l'âme. Ça brûlait, ça brûlait! C'était cent fois pire que les doigts! Comment des hommes pouvaient-ils aimé ça? Ils étaient fous ou quoi?!

-Ça va passer, fit Elijah.

-Je ne vois pas comment!

Les larmes commencèrent à s'accumuler dans le coin de mes yeux. Je soupirai bruyamment à plusieurs reprises, souhaitant ne pas pleurer à tous prix. Je ne donnerai pas cette satisfaction à Elijah. D'ailleurs, ce dernier attendit à peine que la douleur se calme avant de reculer, puis avancer son bassin. Il frappa durement ma prostate. Je criai encore, puis il recommença. Des sensations de plaisir commencèrent à monter en moi. Par contre, si cet idiot pensait que j'allais crier son prénom, il se mettait le doigt dans l'œil!

-Je vais te faire voir des étoiles et te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus marcher, Dylan!

Elijah avait la voix rauque. Plus il me pilonnait, moins il y avait de douleur, toujours plus de plaisir qui m'amenait aux portes de la jouissance. Alors que j'étais à deux doigts d'exploser, il s'arrêta brusquement.

-Que... quoi? Demandais-je, complètement perdu.

-Ton cul est si foutrement étroit et vierge; c'est vraiment agréable d'être en toi. Alors, il vaut mieux faire durer le plaisir, non? Si tu veux jouir, dis mon nom.

-Hein?

-Tu as très bien compris

Oui, malheureusement, j'ai trop bien compris.

-Tu peux toujours courir!

-Avec plaisir!

Il recommença à me baiser avec fougue, s'arrêtant à chaque fois que j'arrivais tout proche de la libération. À la troisième fois, ça devint insupportable.

-Elijah! Merde, salaud, fais quelque chose!

-Si c'est demandé si gentiment.

Il me laissa jouir au même moment. Eh merde, c'était le meilleur orgasme que je n'avais jamais eu, le plus violent. Je soufflai un peu.

-Près pour un deuxième round? J'ai payé 20 000 dollars et j'ai bien l'intention de rentabiliser cet argent!

-Pff, c'est l'argent de ton père, ne fais pas comme si c'était le tien !

Juste pour avoir dit ça, il me prit encore plus violemment que la première fois.

***

Au bout de trois round, nous fument tous les deux complètement épuisés. Pendant un instant, Elijah me fit dos, tandis qu'il se retournait pour aller dans la salle de bain chercher quelque chose pour nous nettoyer. Mon regard resta accroché à son dos : recouvert d'entailles et de cicatrices.

-Qu'est-ce que c'est? Demandais-je lentement.

-Ce n'est rien, répliqua-t-il sèchement, ne pose donc pas de question! Je t'aimais mieux lorsque tu gémissais!

Il revint avec une débarbouillette et il s'en servit avant de me la lancer. Je me débarbouillai à mon tour, puis lui redonnai. Après ça, j'étais si épuisé que mes yeux se fermèrent tout seul et je m'endormis dans le spacieux lit king size en un temps record.  

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro