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Chapitre 3 :

Cela fait maintenant trois jour que nous participons au Loup-Garou, le stress commence à monter chez chaque participant, la tension est palpable, à chaque fois que quelqu'un se fait remarquer, chaque joueur lance à l'autre un regard assassin comme s'il lui disait :

Si je suis Loup-Garou, tu sera le premier à mourir.

Et pour ma part, je m'en suis pris des dizaines de ces regards.

Les seuls personnes qui sont encore gentils avec moi sont Arslan, Alice, Bryan et Eva, même si celle-ci restent un peu avec d'autre personne, mais je ne leurs en vœu pas, quand le jeu va commencer, il va falloir rompre tout lien avec chaque personne, pour ne pas être touché si la personne meurs.

C'est ça le problème d'être dans petit pays...

Car oui, ce jeu n'existe que dans notre pays. Il y a très longtemps, un homme très haut placé dans l'échelle social, prend le contrôle de notre pays, qui est reculé de tous, avant, notre beau pays s'appelait Aguamicro, une île crée par l'homme où il pleut souvent, c'est pourquoi on la surnomme souvent "l'Irlande miniature". Elle était même plus belle que celle-ci ! maintenant, depuis qu'Il a prit le pouvoir sur cette qui, elle a perdue sa verdure, souillé par la pollution. Maintenant, nous l'appelons Tas de Merde.

Cet homme, où plutôt ce connard, n'a pas d'identité, c'est pour cela que nous ne pouvons pas lui donné de nom, les personnes qui le respecte l'appel "Maître", et ceux qui le déteste l'appel "Enfoiré", je les comprend d'ailleurs.

Cet homme, sur le peut de chose que je sais, nous impose ce jeu car il adore la téléréalité, et les émissions où la violence règne.

Voilà la raison pour laquelle il a créé ce foutu jeu.

Mais je ne me plaint pas, car en dehors de cette île, en  France, particulièrement, se déroule des jeux bien plus atroce...

Quelqu'un toc à la porte de ma chambre, me faisant sortir de mes pensée, je vais ouvrir, c'est Anil qui me lance un sourire ravageur.

- J'ai une proposition à te faire, me dit-il.

Je le laisse entré, il s'assoit sur mon lit, toujours en souriant.

- Pour survivre, me dit-il, va falloir se faire aimer par...

- Ouais, je sais, on me l'a déjà raconté, le coupé-je.

- Ok, bref, je te propose de sortir avec moi, on va faire le plus beau couple du jeu, et le public va nous adorer, t'en dit quoi ?

Je m'assois à côté de lui en secouant la tête.

- Je... la plus par du temps... je n'arrive pas à stopper mes sentiments donc si... on se met à s'embrasser et à dire à tout le monde qu'on est ensemble... je crois que...

Il me sourit encore plus, pose sa main sur ma joue et m'attire vers lui pour m'embrasser. Je pose mes deux mains sur son torse en essayant de le repousser.

Mais après tout... il n'a pas tord, si on fait semblant, ou pas, d'être un couple super mignon, le publique va nous adoré. Et l'Enfoiré encore plus.

Au final, je me laisse faire.

Nous sortons de la maison et nous dirigeons vers le centre du village en se tenant par la main, tous le monde est réuni en cercle devant Brieg qui leur raconte une histoire. Nous nous asseyons à par, mais assez près pour que tout le monde puisse voir que nous sommes "en couple".

Arslan, Alice et Bryan me regardent avec de gros yeux pendant qu'Eva me sourit gentiment.

Je ferme les yeux en riant quand Anil me chuchote des bêtises à l'oreille. Je lui dit de se taire pour écouté Brieg.

- ... et c'est là que je vois l'ours arrivé, il était debout sur ses pattes, quand mon amis la vue, trente seconde après ça sentais la pisse dans toute la grotte ! et là on c'est mis à...

Je trouve son histoire pas très intéressante donc je décide de regarder ses auditeurs, la plupart son séparer, je crois qu'eux aussi ne veulent pas souffrir quand le jeu va commencer et ils font la même chose que moi, sauf Arslan, Bryan et Alice. Ceux là sont soudés.

Anil m'embrasse dans le coup en me disant.

- J'espère qu'on va survivre.

Je me mord la lèvre en lui chuchotant :

- Comme un peu tout le monde, personne ne veut mourir, surtout ici.

L'histoire de Brieg se termine, celui-ci fonce sur moi, m'attrape par le poignet, m'emmène dans une maison, qui doit être la sienne et la ferme à clé.

- On avait dit quoi ?! chuchote-t-il pour ne pas qu'on entende.

Je fronce les sourcils en lui montrant que je n'ai pas compris, il croise les bras en me toise du regard en levant un sourcil.

- Merde ! m'exclamé-je, Alejandro ! désoler, je l'avait complètement oublié !

Il lève les yeux au ciel et s'assoit sur son lit.

- Si tu as envie je peux dire à Anil que c'est fini, de toute façon on faisait ça juste pour se faire aimer par le public...

Il secoue la tête et regarde par la fenêtre ou se trouve Anil et plusieurs garçon, je ferme les rideaux en râlant.

- Bande de pervers...

- Cela ne sert plus a rien maintenant, souffle-t-il, ça nous prouve qu'Anil préfère les femmes...

- On n'en sais rien, peut-être qu'il aime les deux.

Il s'allonge dans son lit pendant que je m'assois à côté de lui en regardant la décoration de sa chambre, c'est la même que la mienne.

- Aussi non je demande à Anil s'il aimerai bien sortir avec Alejandro... proposé-je.

Brieg explose de rire.

- Mais, m'expliqué-je, si je lui dit que c'est pour se faire apprécier par le public, peut-être qu'il voudra...

- Ce n'est pas sympa pour Alejandro, imagine que le garçon que tu aimes sors avec toi juste pour se faire apprécier.

- Ouais...

Je m'allonge à côté de lui en soufflant. L'amour est trop compliqué...

- J'aimerai être Cupidon pour pouvoir les désigné, plaisanté-je.

- J'aimerai ne pas être ici et être avec ma petite amie, elle me manques...

Je me tourne vers lui en souriant.

- Tu en as une ?

Il me sourit mélancoliquement.

- Oui... elle compte beaucoup à mes yeux, je l'aime plus fort que tout...

- Mais... ça fait quoi d'aimer quelqu'un qu'on aime en retour ?

Il ferme les yeux toujours en souriant.

- C'est quelque chose de magique, entendre la personne que tu aimes te le dire, et pouvoir lui répondre la même chose sans avoir honte ou peur de sa réaction, c'est la plus belle chose au monde, la serrer contre sois, sentir son corps contre le tien, sa chaleur corporelle qui enveloppe ton corps comme la meilleure des couvertures, la sentir frissonner quand tu pose ta main sur sa peau, les mots doux que vous vous échangez, les sourires complice, son rire, sa voix, son visage, tout ça te fait sourire, tu serai capable de crié sur tous les toits que tu aimes cette personne plus que personne ne l'as jamais aimé, les moments dure où l'un essaye de réconforter l'autre en la prenant dans ses bras sans rien dire, les délires que vous avez, que personne ne comprend mais qui vous tient tellement à cœur... les...

- J'ai compris, dis-je en gloussant.

Il rit avec moi et lâche une larme.

- Pourquoi tu m'as posé cette question ? demande-t-il.

- Car je suis amoureuse de mon meilleure ami, j'ai toujours voulu lui révélé mes sentiments, mais je n'en avait pas le courage, et hier, il m'a dit que lui, était amoureux de ma meilleure amie...

Brieg fait une grimage en me disant qu'il n'aurait pas aimer être à ma place, j'explose de rire en me tortillant dans son lit, pas pour la phrase qu'il m'a dit, mais pour sa grimace, ça a complètement déformé son visage.

Il continue de la faire pendant que je n'arrive plus à m'arrêter de rire, j'en pleure même.

- Chuut ! dit-il, on va se faire remarquer !

Il pose un cousin sur ma tête pendant que je me débat, s'ensuit une petite bagarre amicale marrante.

D'un coup, quelqu'un frape fortement à la porte.

- ÇA FAIT PLUS DE QUINZE MINUTES QUE JE VOUS ATTEND ! DONC VOUS SORTEZ TOUT DE SUITE ! hurle le Maître du Jeu.

On se fige tous les deux en se regardant, d'un coup, Brieg par ouvrir pendant que je me recoiffe. Nous sortons tous les deux, tête baisser pendant que tous les regards sont posé sur moi. Je vais m'assoir sur un tronc qui est à l'opposé de celui de Brieg.

- J'ai oublié de vous préciser que, depuis votre entré ici, vous êtes filmé, annonce le Maître du Jeu avant de poser le regard sur moi, donc essayer de paraître présentable...

Je baisse la tête et regarde Brieg qui me ressort sa grimace, je met mes cheveux devant mon visage pour ne pas montrer aux autres que je ris pendant que le Maître du Jeu continue de parler.

Quand celle-ci a fini et que tout le monde se lève, je fonce sur Brieg en riant pour le taper.

- Je te déteste ! rié-je.

Eva arrive en nous demandant ce qu'il se passe, se secoue la tête en lui disant que c'est un délire.

Brieg s'en va pour rejoindre Alejandro, Anil arrive et m'attrape par les hanches, quand il allait m'embrasser, je détourne la tête.

- Pourquoi ? demande-t-il.

- Car...

J'essaye désespérément de trouver une excuse quand mon regard se pose sur Alejandro.

- Car je suis amoureuse d'une autre personne.

- De qui ?

- D'Alejandro.

Anil sourit puis explose de rire, il m'emmène à l'écarte avant de me dire, toujours en riant.

- Mais Alejandro et gay !

Je fronce les sourcils et il lève les yeux au ciel.

- Pour tout te dire, m'avoue-t-il, il y a un an Alejandro m'a avoué qu'il avait une attirance pour les hommes, même si je m'en étais douté depuis très longtemps.

- Et... c'est toujours ton ami j'espère ?

- Bien sure ! dit-il, c'est pas parce qu'Alejandro préfère les hommes que ce n'est plus mon meilleure ami ! ça ne change rien à la sympathie que j'ai pour lui.

J'attend quelques seconder avant de claquer du doigt, faisant semblant d'avoir une révélation.

- Et si tu faisait semblant de sortir avec lui ! comme ça le public t'aimera encore plus !

Il fait une grimace en secouant la tête.

- C'est mon meilleure ami je te rappel, pas mon petit copain.

- Oui mais...

- J'aime les filles Milena, surtout celles dans ton genre.

- Merci mais...

Il m'attrape une seconde fois par les hanches et m'embrasse, je le repousse en secouant la tête.

- Je ne peux pas...

Je rentre dans ma chambre en la fermant la porte à clé, quand je me retourne, je vois sur mon lit un "cadeau", je m'approche doucement, déchire le papier cadeau. Ma respiration s'accélère quand je vois cette photo encadré, c'est celle où mon père s'était pris en photo avec moi, lors de la publication de son premier livre, j'était si jeune... et lui en vie...

Juste à côté de se tableau, se trouve un magnétophone, je crois que la personne qui m'a offert se tableau sait que je ne sais pas lire... J'appuie sur le bouton et écoute l'enregistrement.

- Soit courageuse, ne montre tes larmes à personne, surtout si elle ne mérite pas de les voir, sourit, et obéit si tu ne veut pas avoir de problèmes, je t'aime ma fille.

Je laisse tomber cet instrument pendant que mes larmes tombent en abondance le long de mes joues.

C'est la phrase que mon père me disant avant que je m'endorme après m'avoir lu une de ces fabuleuses histoires.

Je tombe à terre, tremblant de tous mes membres en murmurant "papa". Je m'allonge par terre, rembobine la casette et la relis plusieurs fois pour m'assurer que c'est bien sa voix.

Oui, c'est la sienne. Je ferme les yeux. Me remémorant son visage et son odeur, il avait l'odeur des livres que je faisais semblant de lire pour avoir l'air cultivé face à des invités. Cette odeur... à chaque fois que j'y pense, je repense aussi à la mort de mon père...

Quelqu'un m'appel à travers la fenêtre de ma chambre, j'essuie discrètement mes larmes, cache mon cadeau et ouvre à Arslan et Bryan, ceux-ci froncent les sourcils.

- Tu as pleurer ? demande Arslan.

- Non, mentis-je.

- Arrête de mentir, répond-t-il, ton maquillage à coulé...

La cloche du déjeuner sonne.

- O-on va... mangé ? demande Bryan.

- Je n'ai pas très faim, dis-je en grimaçant, mais allez-y.

- Milena, me dit Arslan, si tu as envie qu'on parle de quoi que ce sois, on est là.

J'hoche la tête, il m'embrasse sur la joue et s'en va, Bryan reste là sans rien dire.

- Qu'es qu'il y a ? demandé-je.

- Tu m'as dit que si quelque chose n'allait pas, il fallait que je vienne t'en parler, et c'est pareil pour toi.

Je me mord la lèvre.

- C'est bizarre, dès qu'Arslan est parti, tu as arrêter de bégayer...

- N'essaye pas de changer de discussion Milena, raconte moi ce qui ne va pas.

Je secoue la tête, en essayant de retenir mes larmes.

- Je n'ai pas envie d'en parler...

- Milena... si tu ne me fais pas confiance, comment veut-tu que je te le fasse en retour...

J'explose en sanglot et tombe dans ses bras, Bryan s'empresse de rentré avec moi dans ma chambre, pour que personne ne me voie pleurer. Il s'assoit par terre, de sorte que, même en regardant par la fenêtre, personne ne puisse nous voir, et me sert fort contre lui. Je m'assois sur ses jambes en serrant mes poings sur sa chemise en sanglotant très fort.

Il attend cinq minutes, que je me calme avant de me demander.

- C'est à cause de ton père que tu pleurs ?

Je hoche la tête en serrant plus fort les poings.

- Il me manques ! sangloté-je.

Il pose son menton sur mon front en ne disant rien, et ça me convient très bien, je n'ai pas envie qu'il me bombarde de question, je préfère qu'il me prenne dans ses bras sans rien dire, en attendant que je face le premier pas.

Mais je n'ai pas le droit d'en parler, on me l'interdit.

Quelques minutes plus tard, quand j'ai fini de pleurer, il se lève, part dans ma salle de bain et revient avec du démaquillant, des mouchoirs et du maquillage.

- Qu'es que tu fais ? demandé-je.

- Je vais faire en sorte que personne ne remarque que tu as pleurer

Il essuie en premier mes larmes, puis il me démaquille le visage et commence à me maquiller en me mettant du charbon tout autour des yeux puis du rouge à lèvre rouge.

Je le remercie en souriant.

- Tu es belle quand tu souris, lâche-t-il.

Je ris et me lève en soufflant, toute gêner de ce qui vient de ce passer. Il ouvre la porte mais je n'ose pas sortir, quand il me demande pourquoi, je secoue la tête.

- Tout le monde va me prendre pour une fille facile ou pour quelqu'un qu'il faut éliminer d'urgence, je n'arrête pas de me faire remarquer depuis mon arrivé, tout le monde doit me prendre pour leur ennemi numéro un...

Bryan secoue la tête.

- Quand j'entends les autres parlé de toi, je n'entends que du bien, ils sont plus épaté de ce que tu fais que l'inverse.

Je secoue la tête et sors, avec beaucoup d'appréhension de ma maison, Bryan referme la porte et me rejoins, je lui attrape la main et la serre fort.

- Quand tu dis une "fille facile", tu veux dire quoi part là ? demande-t-il en rougissant.

- Bah... en une matinée, tout le monde doit pensé que je me suis fait trois mec, Anil, Brieg et toi.

Il rougit encore plus.

- M... mais... c'est pas vrai ?

Je m'arrête en le regardant dans les yeux.

- Tu crois franchement que c'est le lieu pour faire des trucs comme ça ? surtout qu'on est filmé.

Il secoue la tête et je lui souris.

- Eh bien tu as ta réponse !

Nous repartons vers la cantine, quand nous rentrons, presque tout le monde nous regardent. Bryan me lâche la main en murmurant "c'est pas ce que vous croyez" mais personne ne l'entends.

Un mec se lève et s'approche de moi.

- Hey poupée ! tu crois qu'après j'aurai le droit à mon petit quart d'heure ?

Tout le monde sauf mes amis et moi explose de rire. Le garçon fait un pas vers moi, je crois qu'il s'appel Adrian. Je lui envoie un puissant coup de pied dans le ventre, il tombe sur les fesses, le souffle coupé.

- Tu m'appel encore une fois poupée, et je t'écrase le crâne.

Il pousse un cri de rage et me fonce dessus, heureusement que mon oncle m'avait appris quelques technique de penchak, je me décale, attrape son bras, le tord et l'envoie à terre. Il se met à me supplier de le lâcher, j'allais lui casser le bras quand quelqu'un intervient.

- Milena, arrête.

Je lève la tête en voyant le Maître du Jeu juste en face de moi, je me lève, en posant un pied sur Adrian.

- Suis-moi, me dit-elle.

Je la suis, à contre cœur en abandonnant ma victime. Nous allons dans la Maison Rouge, je m'assois sur le même siège que la dernière fois et prend la tasse de tisane qu'elle me tend, elle s'assoit en face de moi, en sirotant la sienne.

- Devine pourquoi je te convoque, me lance-t-elle après une minute de silence.

- J'en sais rien, j'ai rien fait de mal.

Un petit sourire apparaît sur ses lèvres.

- Mais tu allais faire du mal à quelqu'un, ici, nous ne nous battons pas, à part quand je le décide, mais aussi non, tu n'as le droit de taper personne.

- Mais... !

- Il n'y a pas de mais, tu me déçois beaucoup, tu sais ? tu es la première personne en dix ans de carrière que je ramène ici pour lui faire la morale sur la bagarre, en plus, tu es une fille ! les filles ne jouent pas à la bagarre !

Je lui souris.

- Les femmes ne jouent pas aux bourreaux.

Elle lève les yeux au ciel.

- Je suis payer pour ça, comme ton père était payer pour faire rêver des gens.

Je ressers mon emprise sur ma tasse.

- Enfin bref, dit-elle, pour montrer qu'ici, les règles ça ce respecte, tu es punie.

Je ris en croisant les bras.

- Et comment allez-vous me punir ? Je serai curieuse de le savoir.

Elle se lève, ouvre une porte où sont empiler des dizaines de haches.

- Chaque jours à six heures du matin tu te lèvera pour me nettoyer et aiguiser ses haches.

- Quoi ?! Mais pourquoi ?!

Elle glousse.

- Si les haches sont mal aiguiser, elles vont moins facilement pénétré dans la chair, donc celui qui devra mourir souffrira trois fois plus... et ce n'est pas très poli de tuer quelqu'un avec une lame sale... De plus ! tu vas me coupé du bois, il commence à faire assez froid...

Elle me lance une hache que j'attrape en vole.

- Tu commence ta punition dès maintenant.

Je me lève et sors en claquant la porte, tout en laissant trainer ma hache, je me dirige vers la forêt. Et là, tout le monde hurle.

Attendez, je vous explique, l'entré de la forêt est juste en face, il fallait donc que je passe entre ces dix neuf personnes pour y aller, car tout le monde avait le dos tourné car ils regardaient Brieg raconté une histoire, alors quand Brieg m'a vue, il a poussé un cri et là, c'est devenu une vrai quincaillerie, tout le monde c'est mis à hurlé.

- Taisez-vous ! hurlé-je par dessus les cris, je pars juste couper du bois !

Les cris se transforment en rire et tout le monde se désintéressent de moi, je me dirige vers la forêt, trouve un endroit assez bien pour coupé du bois puis je commence à faire ma tache épuisante. Après une heure de dure labeur, je décide de faire une pose.

Je m'assois contre un arbre en essuyant ma sueur quand quelqu'un s'assoit à côté de moi en me tendant du pain et une gourde d'eau.

- Tu... tu n'as pas manger et je pense que tu dois être déshydraté, me dit Bryan.

Je le remercie et prend de grande goulée d'eau en dévorant mon pain.

- Cette sorcière profite de moi juste parce que j'ai failli tapé quelqu'un... elle attend que je fasse un pas de travers pour qu'elle me foute sa foutu punition...

- Ou.. aussi non elle essaye juste de t'éloigné du groupe pour que tu te face moins remarquer...

Je le regarde en haussant des épaules.

- Si elle aurait voulu m'éloigné du groupe, elle n'avait qu'à m'envoyer pêcher, pas coupé du bois !

Il se lève et attrape la hache.

- T-tu veux que je t'aide ?

Je ris en le remerciant, il me dit d'aller du bois, quand je reviens, il coupe les bout que j'avais déjà ramener, je remarque que sa chemise est déchiré au niveau des coutures, pour lui faire remarquer, je passe mon doigt à l'intérieur en le faisant gesticuler, Bryan sursaute et la hache se plante dans le sol à cinquante centimètre de son pied.

- Excuse-moi ! dis-je, surprise.

Il s'éloigne et se met à rire pour me dire que ce n'est rire.

- Tu devrais enlever ta chemise, elle est déjà assez détruite comme ça.

- Euh... M-mais, j-je...

- Si ! j'insiste, enlève ta chemise, ça me ferai plaisir !

Il rougit et l'enlève, bon, je m'attendais à ce qu'il soit super musclé, comme les petits copain des héroïnes dans les films pour filles, mais c'est pas mal quand même, on voit qu'il n'est pas rester dans son lit à rien faire.

J'attrape sa chemise et la pose à côté de moi, il reprend son "coupage de bois", quand je vois Anil lui foncé dessus, Bryan en perd la hache, Anil le pousse, très en colère.

- Tu veux que je te tape ou quoi ?! s'énerve-t-il, elle est a moi !

Je m'incruste dans la discussion en me mettant devant Bryan pour le protéger.

- Qu'es qu'il se passe ? demandé-je à Anil.

- C'est pas tes affaires, Bryan n'a pas besoin de toi pour s'expliquer, non ? hein Bryan ?

Celui-ci n'arrive pas à répondre, il se met à bafouiller des choses incompréhensibles.

- Mais répond putain ! s'énerve Anil.

Anil me pousse pour mettre un coup de poing dans la joue à Bryan. Je lui hurle d'arrêter, mais il ne veut pas m'écouter.

- Alors mec ? qu'es que tu vas faire, tu vas te défendre ou tendre l'autre joue ?

Bryan ne répond rien, Anil s'énerve encore plus et se met à se défouler sur lui, je me jette sur Anil en essayant de l'empêcher, mais il est trop fort, je me met à hurlé à l'aide, quelques personnes arrivent et parviennent à séparer Anil et Bryan, qui lui, a le visage et le torse rempli de blessure. Avant même que j'ai pu venir l'aider à se lever, celui-ci est déjà debout, se pinçant le nez qui saigne à fond.

Je m'approche de lui en lui demandant s'il va bien, il hoche la tête sans rien dire.

- Vous voyez ! hurle Anil, il n'a même pas de couilles se mec ! il n'ose même pas rendre les coups que je lui ai donné !

Arslan et Alice arrive, on part tous vers la Maison Rouge que j'ouvre d'un grand coup de pied. Le Maître du Jeu est assit de dos à nous en lisant un livre.

- On a besoin d'un... commencé-je.

- Je ne fait pas office d'infirmière, me coupe-t-elle sans lever son nez de ses pages.

- Mais...

- Il n'y a pas de mais, maintenant sortez et refermer la porte, il fait froid.

Arslan et les autres allaient partir mais je les retiens.

- C'est un peu normal que vous ayez froid vu la façon dont vous êtes habillez ! et en plus ! pourquoi Anil a le droit de mettre à sang Bryan alors que moi je n'ai même pas le droit de casser le bras à Adrian !

- Car ce sont des garçons, maintenant au revoir, dit-elle sans même s'énerver.

Je referme la porte en rageant, elle m'énerve celle-là !

Nous allons dans la chambre d'Arslan, qui est la plus près de toute, je m'assois avec Bryan sur son lit pendant que les deux autres ramènent des choses pour soigner ses blessures.

Pendant qu'Arslan et Alice s'occupent du nez et des blessures qui saigne, je m'occupe de ses bleus, mais d'abord je part lui chercher une nouvelle chemise.

Quand je reviens, ils ont déjà terminer, je commence à lui étaler de la pommade sur le torse quand un grand silence s'installe.

Arslan se met à tousser très fort.

- Oh, dit-il bizarrement, j'ai la gorge super sèche, Alice, accompagne-moi au robinet !

- Attend mais... proteste-t-elle.

- Tu viens, point bas !

Il l'attrape par le poignet et la tire hors de la chambre. Je continue de "crémer" Bryan  pendant que le silence continue.

- Anil est débile, lâché-je enfin.

- N-on, il est juste un peu jaloux...

Je lève les yeux au ciel.

- De quoi il serrait jaloux ? râlé-je, je n'ai rien à envier !

Il secoue la tête en me regardant droit dans les yeux.

- Non, c'est de moi qu'il est jaloux...

Je fronce les sourcils.

- Pourquoi ?

- Car tu as l'air de plus m'apprécié que lui...

J'attaque son visage.

- Mais parce que je t'aime beaucoup, t'es un superbe ami, lui, ça fait trois jours que je le connais et il essaye déjà de sortir avec moi...

Je me rapproche de lui pour pouvoir passer ma main sur un bleu qui est tout en haut de son crane.

- Laisse-lui une chance, me dit Bryan, j'ai l'impression qu'il t'aime beaucoup...

J'explose de rire.

- Après ce qu'il t'a fait, il peut toujours rêver.

- Mais ce n'était qu'un règlement... j'en ai vécu plein des comme ceux là...

J'écarquille les yeux, il relève son pantalon jusqu'à son mollet, plusieurs cicatrices se voient, quand je lui demande ce que c'est, il me lance un sourire triste.

- Quand j'avais onze ans, j'étais dans une équipe de foot, personne ne m'aimait car j'étais nul, très nul, donc les grands costauds, quand on se changeait dans les vestiaires, me mettaient dans un coin et commençaient à me marcher dessus avec leurs crampons... quand j'ai tout raconté à mes parents, ils m'ont fait arrêter le foot, mais ça n'a pas empêché ces mecs de continuer à me frapper...

Il se tait pendant que le silence s'installe, je ne sais pas quoi répondre à ce récit...

- Bryan... chuchoté-je, pourquoi...

- Pourquoi je ne me suis pas défendue ? car j'avais déjà compris que dans la vie, il devait toujours y avoir un tyran et un larbin, et bien moi j'étais leur larbin... on n'y peut rien, c'est la vie...

Je baisse la tête, choqué de la violence humaine, depuis toute petite j'ai déjà vu des gens se faire frapper par d'autre, et ces gens-là répliquaient toujours, même mon père me disait qu'il fallait répliquer quand quelqu'un te frappait, c'est ce qu'il appel la "légitime défense". Mais, de ma vie, je n'ai jamais vu quelqu'un accepter de se faire harceler.

- Bryan... ce n'est pas normal de se laisser faire...

Il secoue la tête.

- De toute façon, je vais sûrement mourir ici, donc ce qui est fait, est fait...

Je le prend dans mes bras en le serrant très fort pendant de longues minutes.

- Je ne laisserai personne te faire du mal, chuchoté-je.

Il rit doucement et secoue la tête en passant ses bras autours de moi.

- Avec ce qu'il ce passe, je pense que je vais être le premier à me faire tuer.

Je le regarde droit dans les yeux en secouant la tête.

- Je préfère me sacrifié que de te laisser mourir.

Il s'écarte de moi en mettant une chemise.

- A quoi bon ? souffle-t-il, je ne sert à rien ici, je paris que j'aurai une carte pourrie que personne n'aime, comme un Villageois ou un Chien-Loup...

Je secoue la tête.

- Et alors, comme ça tu sera le plus innocent des joueurs !

- Et le plus vulnérable.

Je lui attrape la main en essayant de garder mon calme.

- Bryan, soufflé-je, pense à ta cousine, tes amis, pense à moi, si tu meurs, tu n'imagines pas la tristesse de chacun, quand tu t'es laisser te faire frapper par Anil, tu ne sais pas à quel poing j'ai eu peur pour toi, comme Alice et Arslan, ce qui prouve que nous avons besoin de toi.

Il lève les yeux au ciel. Je passe mes bras autour de ses hanches en posant ma tête sur son torse.

- J'ai besoin de toi, chuchoté-je.

Il devient tout timide et frissonne.

- C-comment ça ?

- Bah... tu es mon meilleure ami dans ce jeu, et puisque que j'ai ruiné mon amitié avec Bob, tu l'es aussi en dehors du jeu, je t'aime beaucoup et je n'ai pas envie de te perdre...

Il ouvre la bouche pour me dire quelque chose quand quelqu'un toc à la porte, je me lève pour ouvrir, c'est Jekaterina, sans me prévenir, elle m'attrape par le poignet et m'emmène dans les bois.

- Qu'es que tu fais ? m'écrié-je.

- On va se promener et discuter entre fille.

- Euh...

D'un coup elle s'arrête et se tourne vers moi.

- Oublie Bryan, Ok ? Anil t'aime réellement et tu irais trois fois mieux avec lui qu'avec ce pochetron !

- Je... je ne sors pas avec Bryan, c'est juste mon meilleure ami...

- Ami ou pas, arrête de lui parler et sors avec Anil.

Je recule d'un pas en secouant la tête.

- Tu n'as pas le droit de m'obliger à faire ça !

Elle s'approche de moi pendant que je recule, à un moment je me retrouve aplatie contre un arbre, pendant qu'elle colle son corps au mien en me regardant méchamment.

- On va faire un marché, lance-t-elle, tu sors avec Anil, et Bryan ne meure pas, compris ?

- Quoi ?! ce n'est pas...

- Tu veux que Bryan se fasse désigner oui ou non !

Je ferme les yeux en secouant la tête.

- Non mais... comment peux-tu me garantir qu'il ne va pas mourir ?

Elle me sourit comme si je n'étais qu'une pauvre fille inconsciente.

- Avec mon caractère, tu sais très bien ce que je vais être, elle s'approche de mon oreille et me chuchote, je tiens la vie de Bryan entre mes mains, donc fait le bon choix.

Je serre les poings et à contrecœur, accepte.


Salut !

Bon, pour les fautes d'orthographes, je ne suis pas vraiment sûre, mais j'ai essayée de faire de mon mieux ;

Dites-moi ce que vous pensez des nouveaux personnages, si je dois changer certaines choses ou bien en préciser quelques unes !

Il n'y aura pas beaucoup d'action dans ces prochains chapitre car pour l'instant, j'essaye de vous immerger pleinement  dans le Loup-Garou !


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