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Chapitre 14 : Adei

(Pour ceux qui n'ont pas lu l'histoire depuis longtemps : je vous conseil de relire au moins le tome 2, pour vous remettre en tête les persos parce que je n'ai fais aucun rappel, j'ai vraiment continué l'histoire comme si je n'avais jamais fais de pause, et puis c'est vraiment pas long à relire, ça m'a pris deux soirées environ (en faisant des pauses en plus))

Enjoy ! 




Jodie sort de sa chambre en fermant doucement la porte. Quand elle relève la tête, ses yeux se posent sur moi. Je suis plutôt surpris car je m'attendais à voir dans son regard quelque chose, de la haine, ou bien de la tristesse, au moins.

Mais là, rien. Même une poupée a un regard plus vivant qu'elle.

Je me mords la lèvre. La voir dans cet état là me fend le cœur. De là à dire que nous sommes amis c'est un peu poussé, mais les peu de fois où j'ai pu discuter avec elle, j'ai compris qu'elle n'était pas si méchante que cela, je pense qu'en réalité elle doit être très timide (une timidité poussée à l'extrême, mais ça reste quand même une forme de timidité).

D'un pas mal assuré elle se dirige vers moi. Elle a les yeux rouges. Je me gratte la tête et tape nerveusement du pied.

- Tu voulais me parler de quoi ? dit-elle d'un ton impatient, sûrement pressée de retourner dans sa chambre.

- Je... je suis désolé, Jodie... pour Jahanne...

Elle secoue vivement la tête

- Non, tu n'as pas à l'être. Tu n'as rien fais...

- Je sais, mais je te demande pardon à la place d'Até. Pour l'instant elle n'est pas trop en mesure de le faire...

Mes yeux se dirigent vers Até, accrochée par les poignets à un poteau face à la Maison Rouge, je serre les dents. J'aimerais pouvoir l'aider mais il m'en est interdit, et puis j'ai l'impression que d'autres joueurs commencent à se douter de nos cartes, tout comme Jodie, si elle a réussi à les deviner aussi facilement, les autres trouverons aussi. Il faut que je me détache d'Até si je veux éviter de la mettre en danger.

Jodie souffle et s'appuie contre le mur de la cantine, elle regarde elle aussi Até, sans aucune lueur dans les yeux.

- J'accepte tes excuses. Puis, c'est de ma faute, tout ça. Si j'avais fermé ma bouche au lieu de vous dire que j'avais compris vos cartes, tout cela ne se serait pas passé, et Jahanne...

La voix de Jodie se brise, elle se racle la gorge et je croise les bras.

- Je pense qu'au stade où on est, continue-t-elle, on ne peut plus blâmer personne. Chacun essaye de survivre comme il peut. Je n'aurais certainement pas trouvé mieux, si j'étais à la place d'Até.

Je me tourne vers elle et la regarde droit dans les yeux.

- Até aurait dû te faire confiance, comme je l'ai fait !

- Personne ne peut faire confiance en personne, dit-elle d'un ton très sévère en me lançant un regard froid. Qui te dit que je suis dans le même camp que toi ?

- Parce que... parce que quelqu'un de très bien renseigné m'a dit que tu ne l'étais pas.

- Alors pourquoi cette personne aurait voulu me tuer ?

Je fronce les sourcils. Sur ce coup, elle n'a pas tort. Pourquoi Até aurait voulu la tuer si elle sait, et qu'elle a vu, que Jodie n'était pas un Loup-Garou ?

Peut-être qu'elle a vu que c'était l'Amoureux des Loups ? non, si je me souviens bien, cette carte est jouée par un homme. Mikay, je crois...

Alors si ce n'est ni un loup ni l'amoureux, quel rôle joue-t-elle ?

Jodie met fin à ma réflexion en se redressant.

- Je ne dis pas forcément ça pour que tu t'imagines que je ne suis pas dans ton camp, juste pour que tu comprennes qu'on joue tous un rôle, ce n'est pas parce qu'on a l'air gentil qu'il faut nous faire confiance.

- L'habit ne fait pas le moine... soufflé-je.

- Tout à fait.

Un petit silence s'installe entre nous deux, j'aperçois au loin le Maître du s'avancer vers Até et lui parler. Jodie râle à côté de moi.

- Son sourire de tombeur m'exaspère...

- Tout son être m'exaspère, avec son petit air suffisant.

Jodie se tourne vers moi avec un regard amusé, son visage reprend enfin vie.

- Ah bon ? tu es l'une des premières personnes qui dit ça devant moi.

- Pourquoi tu dis ça ?

- Une rumeur court sur moi, disant que j'ai embrassé le MDJ, souffle-t-elle en rougissant.

J'explose de rire.

- C'est dans tes habitudes d'aller aussi loin physiquement avec les gens ? dis-je.

Le coin de ses lèvres se soulève légèrement.

- C'est une méthode d'expression non verbale.

- Ah, donc en frappant des gens tu leur fais passer quel message ?

- Que je ne les aime pas.

- Donc quand tu les embrasses, ça veut dire que tu les aimes ?

Cette fois-ci, elle devient cramoisie.

- Alors, premièrement, je ne l'ai pas embrassé ! puis deuxièmement, j-je, je n'étais pas maître de mes émotions, j'étais saoule !

Un grand sourire se dessine sur mon visage.

- Tu sais, je ne parlais pas forcément du MDJ...

Elle pose ses mains sur son visage, certainement morte de honte.

- Je te déteste... gémit-elle.

- Tu vois, tu arrives à me parler sans frapper !

Elle se retourne et me fou un léger coup de poing dans le bras, je m'écarte et nous nous mettons à rire, tous les deux.

Des émotions renaissent enfin sur son visage, une larme qu'elle chasse rapidement, s'apprêtait à couler. Elle est à la fois triste et joyeuse, ça fait un cocktail d'émotions assez bizarre sur son visage.

Je jette un coup d'œil vers Até, le MDJ lui "parle" toujours. Je mets des guillemets car, certes il s'adresse à elle, mais ses yeux me fixent, moi, je suis un peu trop loin pour comprendre ce qu'il essaye de me dire à travers ce regard, mais j'en ai quand même des frissons.

Até lui parle de moi ? que lui dit-elle ? vu l'expression du MDJ, elle ne doit pas dire des trucs très sympa à mon égard...

- Tu sais, dis-je en me retournant vers Jodie, je pense que ta situation est quand même pas mal.

- Comment ça ?

- Voyant que tu es proche du MDJ, les autres n'oseront certainement pas t'attaquer, que tu sois du côté des Villageois ou des Loups-Garous.

- Et pourquoi ça ? regarde, Até a essayé.

- Até est un cas à part, puis regardes où elle est maintenant ! attaché à un poteau, personne n'a le droit de venir lui parler ou de lui donner à manger jusqu'à ce que le MDJ en décide autrement. Puis je te rappelle qu'il n'a pas tué... Jahanne... pour toi, ça montre que tu as un plus que les autres n'ont pas, et ça leur fera sûrement peur.

Jodie fronce les sourcils, réfléchi quelques instants puis secoue la tête.

- Je n'en ai rien à faire. Je ne veux pas me sentir avantagée, je veux juste sortir de ce jeu.

- C'est en jouant avec ça que tu en sortiras vivante.

- Je n'ai jamais précisé que je voulais en sortir vivante.

Un lourd silence s'installe entre nous deux. Elle tape nerveusement du pied et commence à s'impatienter.

Le MDJ finit de parler avec Até et retourne dans sa maison.

- Tu préfères l'ancien ou le nouveau MDJ ? demandé-je.

Jodie hausse les épaules.

- L'ancienne, on le voit très bien que Bryan n'est pas à sa place ici.

- Il devrait être où, pour toi ?

- Avec tous les autres déchets de son espèce, sous terre.

Je ris, elle a vraiment un drôle de caractère.

- Le plus étrange pour moi, dis-je, c'est qu'il n'a qu'un an de plus que nous, t'as l'impression que ce n'est qu'un joueur comme les autres.

- Surtout qu'il l'a été et qu'on l'a vu batifoler avec Milena.

- Oui. Puis niveau crédibilité, avec sa petite tenue de bûcherons moulante, on s'en passerait bien !

Jodie explose de rire.

- Je pensais la même chose !

Je lui souris en retour mais le sien s'efface, elle commence à me regarder bizarrement. Merde ! elle va me frapper ou quoi ?

Quand je lui fais remarquer son attitude étrange, elle baisse la tête en grattant le sol du pied.

- R-rien... dit-elle, je repensais juste à quelqu'un...

- Qui ça.

- Un ami... on s'est perdu de vu à la fête avant les sélections et je n'ai pas pu lui dire au revoir, ni même lui expliquer à quel point il comptait énormément pour moi... là, la façon dont on parlait m'a rappelé notre amitié... il me manque tellement...

- Raison de plus pour sortir d'ici vivant, dis-je en posant ma main sur son épaule.

Elle lève les yeux vers moi, son regard est... étrange, ses yeux sont remplis d'une émotion... de l'envie, je dirai ?

Attends, quoi ?

Elle entrouvre la bouche et s'avance vers moi, elle devient tellement proche que je peux sentir son haleine mentholée.

Je la repousse un peu trop violemment, elle recule en fonçant les sourcils.

- J-je... je ne peux pas ! crié-je.

- Pourquoi tu dis ça ? s'exclame-t-elle, surement vexée que je l'aie repoussée.

- Ce que tu as tenté de faire...

- J'allais juste te dire un secret, Adei.

La honte monte en moi tandis que je tente de formuler tant bien que mal des excuses.

- Tu pensais que j'allais te faire quoi ? lâche-elle, le regard noir.

- Rien ! c'était juste un malentendu !

Son regard se durcit, ses poings se serrent, je me crispe intégralement et ferme les yeux en attendant le coup fatal, mais rien, je ne sens rien. Je rouvre un œil, puis l'autre, Jodie a disparu, elle n'est plus en face de moi. Je tourne la tête et la vois marcher vers sa chambre.

J'ai dû la vexer.

***

Le soir arrive et je me dirige vers la cantine. Je pars m'assoir à côté de Mikay, qui tente de draguer Calix.

Mikay s'approche de moi et chuchote :

- J'ai une touche, mec.

- Heureux pour toi, dis-je en posant mon front dans le creux de mes mains.

- Ça ne va pas ?

J'envoie ma tête en arrière en râlant.

- Les femmes sont compliquées...

J'ai essayé de comprendre toute la journée pour quelles raisons Jodie a pu être vexé par mon comportement... après tout, je l'ai juste repoussée car il y avait un malentendu ! il n'y a pas de quoi en faire tout un plat !

"Jodie a ses raisons que la raison n'a pas" m'a lâché Hect.

Dois-je en conclure que je n'ai pas à m'en vouloir ? je ne sais pas.

Je secoue la tête tandis que Mikay me regarde avec un grand sourire en plissant les yeux.

- Tu parles d'Até ?

- On va dire, dis-je pour clôturer au plus vite ce sujet de discussion.

- Si tu t'étais intéressé à moi, me lance Calix en posant sa main sur l'épaule de Mikay, tu n'aurais pas eu à te poser la question, je suis loin d'être une femme compliquée...

Puis elle regarde sensuellement Mikay, qui lui lance le même regard en retour.

Soudain, une main se pose sur mon épaule. Quand je me retourne je vois Até avec de grandes poches sous les yeux, les poignets brûlés par la corde et un sourire triste. J'essaye de contenir ma joie et lui rend un simple sourire.

Calix se tourne vers Até.

- Oula tu as une salle mine, toi !

J'essaye de paraître le plus détaché possible et me lève pour aller me servir. Il ne faut pas que les autres devinent mon rôle, ni le sien. Il faut donc que j'évite de prendre soin d'elle en public.

Je pars me servir des pâtes et tombe nez à nez avec Jodie. Quand elle m'aperçoit, elle me sourit timidement.

- Désolée, pour tout à l'heure... souffle-t-elle.

- Ne t'en fais pas, je n'aurai pas dû réagir comme ça, moi aussi !

Nous poussons presque en même temps un petit soupir de soulagement, ce qui nous fait rire.

- Tu veux venir manger avec nous ? propose Jodie en désignant ses amis.

- Euh, dis-je en regardant les miens. Je vais plutôt rester avec Até, le MDJ vient de la relâcher...

Elle hoche la tête en signe qu'acquiescement puis me tourne le dos.

Je retourne vers Até et croise le regard de Calix qui fait la moue.

- Quoi ? je demande en me rasseyant.

- Rien, rien, répond-t-elle en commençant à manger.

Até, elle, baisse la tête.

- Tu n'as pas faim ?

Elle secoue la tête. Je fronce les sourcils, j'aimerai bien lui remonter le moral, mais j'ai peur de me faire surprendre. J'espère qu'elle comprend pourquoi, qu'elle ne pense pas que je la déteste après ce qu'elle a fait.

Enfin si, je la trouve super conne à avoir agi ainsi, je lui en veux beaucoup d'avoir voulu agir ainsi sans m'en parler... j'aurais pu peut-être changer les choses...

Surtout que, maintenant que nous ne sommes que 18, les Loups-Garous ont l'avantage. Mon ventre se noue à cette pensée... si les Loups-Garous désignent Até pour mourir, je devrais mourir à sa place... J'ai beau l'aimer énormément, je ne sais pas si je serais prêt à faire ça... de toute façon je n'ai pas le choix, alors autant ne pas y penser.

On continue de manger dans le silence, seul Até ne mange pas, elle ne fait que fixer ses poignets rougis par la corde qui les maintenaient.

Après avoir fini, Mikay s'étire.

- Je suis é-pui-sé ! je crois que je vais aller dormir dès maintenant !

- Moi aussi ! glousse Calix avec un regard malicieux.

Les deux se lèvent en se tenant par la main et me laissent seul avec Até.

- Il t'a dit quoi, le MDJ, tout à l'heure ?

- Rien, me répond Até, il m'a fait la morale pour ce que j'ai fait (elle retient un sanglot et prend une profonde inspiration comme pour se donner du courage), puis après il me disait des trucs qui n'avaient pas réellement de sens, il était surtout concentré à fixer quelque chose derrière moi.

Je hoche la tête, pourquoi me fixait-il si Até ne lui parlait pas de moi ?

Até pose sa tête sur mon épaule et je frissonne, j'aimerais pouvoir la prendre dans mes bras et la serrer fort contre moi, la réconforter, l'embrasser... or, j'ai l'impression que tous les regards sont posés sur nous, depuis qu'elle a posé sa tête sur mon épaule. on ne protège pas assez bien notre identité.

Ils doivent s'en douter, tout le monde doit connaître notre carte... On ne protège pas assez bien notre identité.

Je m'écarte suffisamment d'Até pour lui faire comprendre que je préfère qu'on reste éloigné. Elle lève les yeux vers moi et son regard me chagrine, elle a l'impression que je la déteste...

Je lui fais un petit sourire gêné, en espérant qu'elle comprenne.

***

Je regarde l'horloge au-dessus de ma porte, Até a 1h de retard...

Pourquoi ne vient-elle pas ? ça m'angoisse...

Je décide de mettre mes chaussures et de sortir. Le Chat de la Petite Fille peut lui aussi sortir sans crainte. Donc discrètement, je me dirige vers la chambre d'Até, en viellant bien à ne pas me tromper de maison, cette fois-ci. Lentement j'ouvre la fenêtre de sa chambre et m'y faufile.

Elle est là, posée sur son lit, fixant ses pieds.

- Até... je souffle en m'avançant vers elle.

Elle lève la tête vers moi, ses joues sont inondées de larmes, je cours jusqu'à elle et la serre fort dans mes bras.

- Je suis désolée... s'excuse-t-elle entre deux sanglots.

Pourquoi s'excuse-t-elle ? elle ne m'a rien fait...

- Je suis un monstre Adei... un monstre...

Je ne réponds rien et pose ma main sur son dos. Nous restons ainsi pendant au moins vingt minutes avant qu'elle ne cesse de pleurer.

- Tu n'as pas bien agi, ça c'est sûr, dis-je en lui caressant le dos, mais il faut continuer à se battre, Até, si on veut sortir d'ici vivant...

Elle serre mon T-shirt dans ses poings, comme pour se raccrocher à quelque chose.

- Tu as raison, dit-elle d'une voix sombre.

- Mais tout en respectant les règles du jeu, puis si tu veux faire quelque chose tu viens m'en parler avant, que je puisse t'en dissuader si c'est quelque chose d'insensé. Nous ne pouvons rien nous cacher si nous voulons nous en sortir.

Até hoche la tête et me regarde droit dans les yeux. C'est hallucinant comment, dès qu'elle me regarde, je tombe de nouveau sous son charme. J'ai vraiment envie de l'embrasser.

Elle soupir mon prénom et pose sa main sur ma joue, comme pour l'attirer vers elle. Je fronce mes sourcils mais me laisse faire. On dirait qu'elle va m'embrasser...

Pour éviter tout malentendu, je ne bouge pas, et regarde ses lèvres s'approcher lentement vers les miennes...

Soudain, un cri sourd se fait entendre depuis l'armoire.

Até et moi sursautons. Elle me demande, paniquée, d'aller vérifier ce qu'il y a dans l'armoire.

Je prends mon courage à deux mains, me lève et me dirige vers celui-ci.

Un autre cri... on dirait celui d'une fille...

Ce cri est vraiment étrange, on dirait qu'il remonte des profondeurs, qu'il ne vient pas de l'armoire.

J'ouvre lentement l'armoire et aperçois... personne.

J'aurai pourtant pu parier que le cri venait d'ici.

- Alors, demande Até ?

- Rien, dis-je, confus.

J'attends quelques minutes, plus de bruit, plus rien. Je décide donc de refermer l'armoire et partir me coucher.

En entrant dans le lit, Até vient se blottir contre moi.

Je l'embrasse sur le front et m'endors avec un grand sourire aux lèvres.



Heyyy

Bon bah voilà, après 3 ans d'absence je poste enfin un nouveau chapitre ! j'étais trop stressée !!!

Si vous avez des conseils pour que je puisse m'améliorer n'hésitez pas ! 😉

Le prochain chapitre qui sortira a été celui qui m'a posé beauuuucoup de problème il y a 3 ans car j'avais énormément de mal à le rédiger, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai calé ce petit chapitre là pour sauter un passage que je n'arrivais pas à écrire (la partie où ils entendent un cri, normalement ça aurait dû être du pdv d'un autre personnage mais j'avais beau passer du temps devant mon ordi je n'y arrivais pas !)

En tout cas j'espère que ce chapitre vous aura plus, j'ai deux autres chapitres qui attendent d'être publié (et un troisième en cours de rédaction) mais j'essaye d'avoir assez d'avance sur vous avant d'en publier un prochain, comme ça si j'ai une panne d'inspiration je ne vous ferai pas trop attendre (2 ans grand max quoi) ;) 

Vous en pensez quoi de la relation entre Jodie et Adei ? N'y aurait-il pas une forme géométrique amoureuse qui se forme ?😏

Bisouuus

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