Chapitre 7: Est-ce La Fin ?
Point de vue Rin
Une erreur, ma mère à commis une erreur. Une chanson, une chanson qui apporte malheur et destruction. Cela pourrait nous être fatal.
Nous étions toujours dans la salle de réunion. Un silence de mort planait.
- Maman, tu as dit voir mourir papa. Que c'est il passé.
Ma mère poussa un soupir.
- c'était il y a douze ans, avant que je ne me fasse capturer. J'étais la fille d'un duc et promis au chevalier de la famille Léobolt. Je venais de faire la connaissance d'Henry. Je l'ai aimé au premier regard. Notre amour était fort et durable. Enfin, jusqu'à ce que le général Bazra, apprenne que j'avais le pouvoir des chansons. Suite à cela j'ai été traquer et recherché. Ton père me soutenait, m'accompagnant ou que j'allais. Je lui en suis redevable. Nous résistions a Bazra. Mais... Notre bonheur a pris fin. Des aubergiste nous on dénoncer au chasseur de ménestrel en échange d'argent. Nous avons été pris au piège. Ton père a engagé le combat contre Bazra. Hélas il s'est fait touché. En le voyant aussi mal, j'ai perdu espoir. Les soldats m'ont alors encerclé et enfermé. Le lendemain Bazra m'annonçait qu'Henry était mort. Ce fut la parole de trop. Je priai cet homme de me donner une feuille et une plume. De mes sentiments négatifs, de ma haine et de mon désespoir est née la chanson de la mortalité. Voilà vous savez tout.
Le silence revint. La situation était plus que critique. La bataille qui s'annonçait déterminerait le camp victorieux.
- Quel est le plan ? Demandai-je.
Ils se tournèrent vers moi. Me regardant étonné que ce soit moi qui pose la question.
- Et bien, commença mon père, il faudrait détruire ces partitions de musique.
Cela semble évident, mais où Bazra les caches ? Sa c'est une autre affaire.
- Suicidaire ! On doit se rapprocher de Bazra pour les avoir ! Hors je ne supporterais pas de te perdre. Ennonça calmement ma mère.
- Mais Finis, continua Pony, si tu abandonnes, c'est nous qui seront vaincu. Je te rappelle qu'ils ont encerclé la ville. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il l'envahisse.
Je regardait Al. Il avait l'air plonger dans une réflexion intense.
Depuis peu. Je me surprend à penser à lui.
- Et si c'était Rin qui s'en approchai ou qui l'attirait.
Quoi ! Moi. Mais c'est n'importe quoi !
- hum... Murmura le professeur Weison, pourquoi pas, rappelons nous que c'est Finis et Rin qu'ils recherchent. Donc la petite pourrait l'attirer en chantant. De plus, Bazra pourrait être déstabiliser, je vous signale qu'il l'a croit morte. Et en embuscade, se tiendrait Henry.
Sa se tient. J'ai envie d'aider, je suis prête à me sacrifier !
- Je suis partante ! Maman, laisse moi aider. Je te promet que je ne risque rien. Aller s'il-te-plaît !
Ma mère à contre cœur hocha la tête positivement.
J'avais un plan et j'étais déterminer à le mener au bout.
- Papa, je compte chanter du haut du donjon du Palais. De la haut il serait coincé et tu pourras facilement me défendre
Ce plan comportait un risque, car nous serions également piégé dans ce donjon.
J'espère que nous vaincrons et que cette guerre s'achèvera. Je n'en peut plus. J'ai envie de retourner à ma petite vie normale.
Pendant que je pensais, les autres avait fini d'établir le plan.
D'un air grave, mon père se leva.
- Vient Rin, on va se battre aujourd'hui ! Demain il sera trop tard. Car l'espion qu'on a dans le camp de Bazra vient de nous prévenir qu'il nous encerclera demain.
Effectivement, dans l'ombre se tenait un homme, il était habillé de l'uniforme des soldats de Bazra.
Quand je croisai son regard, il se hâta de partir.
Bizarre.
Mon père m'interpella. Je me levais et me mit en route derrière lui.
Arriver dans le donjon, salle sombre et exiguë.
Je me raclai la gorge, et commençai à chanter.
Ma chanson achevé, on regarda par la fenêtre. Une armée brandissant du feu arrivait vers nous.
Je me tournai vers mon père avec la peur au ventre.
Je l'interrogeai du regard.
- 500, ils sont 500. Et nous, nous sommes 450. C'est positif, la dernière fois ils étaient 800. Ils ont perdu beaucoup d'hommes dans la bataille de raliation d'il y a 6 mois.
Bon. Quand il faut y aller...
Nous attendions tranquillement que Bazra veuille bien se ramener.
Mon père était prêt. En position de combat.
Moi, je stressais. Mourir c'est pas drôle du tout. Surtout que pour ma première mort j'ai été transpercé d'éppée.
Enfin. Des bruits de pas se faisait entendre.
- 10, ils sont 10. M'annonça mon père d'une voix grave.
Mince ! C'était pas prévu ! Il devait y avoir que Bazra.
L'homme aux cheveux noir et à la carrure imposante entra dans la pièce.
Il était comme dans mon souvenir.
Il m'observa sous tout les angles cherchant à savoir si j'étais réelle.
Derrière lui, un homme. Notre informateur.
Je le savais le traître.
Je crachai dans sa direction pour lui signifier mon dégoût.
- Rin, commença Bazra, quel plaisir de te revoir. Par quel miracle as tu ressuscité. Cet exploit est digne d'une déesse.
Une déesse. Peut être. Ma mère aimait bien me lire l'histoire de la déesse des chansons.
Elle est souvent représenté par une fillette au cœur pur. Symbole d'espoir et de guérison.
Non. Ce n'est pas possible. La définition qui symbolise cette déesse, me correspond.
Bazra semblait également avoir compris. Son rire sonore et effrayant en témoignait.
- Alors depuis tout ce temps c'était toi ! C'est toi que je cherchais sans relâche et qui devait me permettre d'accomplir mon plan. Tu es la déesse des chansons.
Mon père me regardait les yeux exorbité.
Nous étions dans la panade.
Ce simple mot "Déesse" avait ramené des souvenirs.
Oui, ceux où Bazra parlait de sa quête pour la rechercher. Il voulait l'utiliser pour amplifié la chanson de la destruction chanter par Finis. De plus, avec une déesse à ses côtés, ses ennemis seraient effrayées.
Et également, des informations sur les pouvoirs de cette dernière. Le pouvoir de pouvoir renaître après la mort, le pouvoir d'amplifier une chanson, le pouvoir de commander des personnes.
Le pouvoir de commander une personne était le plus puissant. Arme pouvant servir à forcer les gens à faire des choses qu'ils n'approuvent pas.
Comme forcé Finis à chanter la chanson de la destruction.
Si mon père échouait à me protéger, Bazra aurait toutes les clefs de la victoire et cela me déplaisait fortement.
Les huit soldats restant arrivèrent tout à coup. Bazra se mit en retrait pour admiré se qu'il considérait comme sa victoire.
Mon père s'arma de l'épée qui faisait la renommée des Léobolt.
La seconde suivante trois soldats se jetait sur lui. Il para les trois coups. Blessa le premier à l'épaule, le second sur le torse et le troisième dans le ventre. Et il enchaîna jusqu'à ce que ses ennemis tombe au sol.
Puis les quatres autre se lancèrent dans la mêlé. Grave erreur, car Henry les repoussa en quelques seconde et ils furent tout trois blessés a l'abdomen.
Les sept hommes se vidait tranquillement de leur sang. Je faisait de mon mieux pour ne pas regarder.
Ce fut mon erreur.
Notre espion qui est en faites un traître, avait profité de la bataille pour s'avancer doucement vers moi.
Il m'a attrapé par l'épaule, m'a calé contre lui et a mit son épée sous ma gorge.
D'ailleurs sa fait mal. C'est tranchant et sa appuie sur ma trachée.
Je restait calme, il me tuait, je renaîtrait.
Le garde me fit avancer doucement vers Bazra.
Mon père, ayant fini d'achever ses adversaires, remarqua enfin que je m'étais faite avoir.
Mais quand il s'en était aperçu, Bazra me tenait et me menaçait lui aussi avec un couteau sous la gorge.
Le traître rigola de la situation. Mais se rire fut son dernier. Mon père venait de l'achever en le décapitant.
Beurk, répugnant.
Je n'avais pas peur de la mort. J'ai peur pour Henry, cet homme qui m'a élevé et qui m'a tout donné.
- Bien, maintenant qu'il ne reste que moi, toi et la petite, la partie sérieuse commence. Écoute moi bien Léobolt, tu vas me laisser partir avec la petite. Aucun mal ne lui sera fait. Par contre, si tu te rebelle et essai de la retrouver, elle souffrira.
Mon père eut du mal à deglutir.
Je le regardait le priant de s'enfuir et d'aller aider les combat dans le château. Je le regardait et lui disait que tout irait bien.
J'avais accepté mon sort.
Soudain des pas dans l'escalier se firent entendre.
Des soldats de Bazra venus amener la victoire ?
Des soldats oui.
Mais,
Des soldats alliés. Je n'y croyait plus. Des soldats alliées !
- General, dirent-ils en s'adressant à mon père, on a gagné. La guerre est finie.
Je souriais. On a vaincu c'est fini.
Enfin, presque, il reste Bazra et son épée qui me fait mal.
Les soldats alliés et mon père, s'unirent pour vaincre.
Bazra du me lâcher pour se défendre.
Il se battitirent avec acharnement. Luttant avec toutes leur énergie.
Le gagnant fut révélé après une dure et longue bataille.
Mon père et les soldats avaient réussi à vaincre se monstre. Vainqueur nous sommes.
Ma mère choisit se moment pour arriver et me serrer dans ses bras.
Je lui murmurai à l'oreille que j'étais la déesse. Elle le savait m'a t'elle dit.
Nous avions gagné c'est l'essentiel.
Voilà, le dernier chapitre de cette histoire. J'espère qu'il vous a plus. Il reste l'épilogue. Cette histoire a été compliqué à écrire mais j'en suis fière. Bye.
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