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Chapitre 6

— Euh...

Nous étions lundi matin, et j'examinai, dubitative, l'assiette que venait de me tendre Raphael.

Il avait gentiment décidé de me faire cuire des pancakes.

Sauf qu'ils étaient complètement cramés.

— Ça se mange, tu crois ?

Je tapotai un morceau contre le bord. Dur comme un roc.

— C'est l'intention qui compte après tout, dis-je avec un petit sourire.

— Mon père ne serait pas fière de moi, fit-il en rigolant. Je ne sais même pas cuire des pancakes pour ma femme.

Oh...

Mon cœur fit trois bonds.

Raphael venait de m'appeler "sa femme".

Il reprit l'assiette pour jeter son contenu à la poubelle.

— Je vais réessayer. J'aurai peut-être besoin de ton assistance.

Pour cacher ma joie, je levai les yeux au ciel et contournai le comptoir pour le rejoindre dans la cuisine, prendre la louche et verser la pâte dans une poêle.

— Bientôt dix-sept ans et incapable de faire cuire des pancakes sans les brûler ?

— Pour ma défense, j'étais trop occupé à te regarder.

Je lui tapai sur le bras en riant.

— C'est ça. Concentre-toi un peu sur la poêle.

Je retournai un pancake qui commençait à dorer en regardant Raphael par en dessous.

Il était tout sourire depuis cette nuit et sa bonne humeur déteignait sur moi.

— Difficile d'être attentif à une poêle avec une fille sexy à côté.

Il bloqua mon corps entre ses bras.

— Je meurs d'envie de l'embrasser, en plus.

Sans me laisser le temps de réagir, il s'approcha et déposa un baiser sur mes lèvres. Un seul. Très vite.

Puis un autre, doucement, en posant ses mains sur mes hanches.

Il savait que j'allais en demander plus.

Je fis volte-face vers lui, la spatule toujours en main, mes lèvres s'écrasèrent sur les siennes et je le poussai contre le comptoir.

Il m'embrassa à nouveau, un baiser qui s'intensifia jusqu'à ce qu'on sente une odeur de brulé.

Raphael s'écarta de moi en éclatant de rire. Les pancakes étaient encore cramés.

— On devrait laisser cette histoire de pancakes, dis-je en pouffant à mon tour.

— Pas de souci. Je crois qu'il reste des céréales dans le placard.

La porte d'entrée s'ouvrit. C'était le père de mon copain.

Il portait son bleu de travail taché de graisse et avait les cheveux en bataille.

— Mince, lança-t-il en se grattant la nuque. Je croyais que vous étiez partis.

— On ne va pas tarder, affirma Raphael.

— De toute façon, je ne suis que de passage. Je viens juste chercher mes chaussures de sécurité.

Il se précipita vers l'escalier avant de se tourner vers moi.

— Ah et, bonjour Alice !

Je lui rendis son sourire.

Le père de Raphael était vraiment la personne la plus sympa que je connaissais.

Environ une heure après, on venait de faire un détour par ma rue pour que j'aille chercher mon sac de cours.

— On va être en retard, marmonnai-je en remettant ma ceinture sur le siège passager.

— Avec toi, être en retard veut dire : on est en avance mais pas trop, lança Raphael en levant les yeux au ciel.

Il démarra la voiture et passa la première, le pied sur l'embrayage, avant d'appuyer sur l'accélérateur.

— Attendez !

En face de nous, Libby accourait à cloche pied sur le trottoir, avec sa veste qui glissait sur ses épaules.

— Vous alliez partir en laissant votre vieille amie faire vingt minutes de marche un lundi matin? Sympa.

Elle s'engouffra dans le monospace.

Je lui adressai un sourire narquois.

— Euh... lâcha-t-elle en nous fixant tour à tour. Ça pue la joie de vivre là-dedans. Pas la peine de demander ce que vous avez mijoté cette nuit.

Elle attacha sa ceinture tandis que nous regardions le parebrise avec insistance, le regard fuyant.

Enfin, Raphael s'engagea sur l'avenue.

Quelques minutes plus tard, Libby s'esclaffa et nous nous tournions vers elle, interdits.

Elle finit par fermer les yeux en murmurant une excuse.

Je ne m'étais pas aperçue que pendant tout ce temps, elle envoyait des SMS.

— Mais pourquoi tu ris à la fin, Lib' ? Fit Raphael, pincée.

— Désolée. J'écris à Brandon. Il est vraiment trop drôle.

— C'est qui, ça, Brandon ?

— Le type de terminal : celui aux cheveux roux. Il vient de me dire qu'il m'attendait devant la cafétéria.

Raphael éclata de rire.

— Ma parole, Libby Owen flirte avec un gars. Tu ne nous as jamais rien dit sur lui.

— Si, j'en ai parlé à Alice, pas vrai ?

J'acquiesçai.

— Ah d'accord donc tu dis tout à ta meilleure amie, et moi, je suis au courant de rien.

— Ce n'est pas de ma faute. Vous, les mecs, vous ne confiez rien non plus.

— Comment ça, les mecs ne confient rien ? Répéta Raphael en fronçant les sourcils.

— Laisse tomber, souffla Libby avec un demi-sourire.

— Mais ce Brandon, là, c'est celui à qui tu as fait une fellation ?

— Je ne lui ai pas fait de fe... ALICE !

J'étais pliée en deux.

— Je n'ai rien dit, je te promets, jurai-je en portant mes bras à mon ventre.

Libby m'envoya un regard noir.

— Surtout, il ne faut rien dire à Steve, continua mon copain en riant. Il serait jaloux.

— Ferme-là, Raphael, ou je te fais manger le volant.

Elle croisa les bras et la voiture pénétra sur le parking du lycée.

Steve, qui avait l'habitude de garer la sienne à côté du panneau "High School" n'était pas encore arrivé.

— Brandon n'a pas menti, s'exclama Libby en pointant la cafétéria. Il est vraiment là ! Je vous laisse !

Elle trottina vers lui en essayant de recoiffer ses cheveux courts.

— Tu vois, elle a finalement trouvé quelqu'un, murmurai-je en enlaçant Raphael.

Il posa son menton sur mon crâne.

— Ouais. Pourvu que ça dure.

Il me prit la main et on se dirigea vers le bâtiment.

Raphael insistait toujours pour porter mon sac, et j'avais beau lui dire que j'étais contre, rien à faire.

Je remarquai soudainement Zachary, adossé contre la rambarde. Il semblait attendre quelqu'un.

Lorsqu'il me vit, il se redressa en dépoussiérant son jean.

Je détournai les yeux le plus vite possible.

— Hé, Alice !

Avec un air de surprise, je fis semblant de ne pas l'avoir vu et tournai la tête vers lui. Raphael écrasa ma main mais je fis mine de rien.

— Zach ? Salut.

Il sourit jusqu'aux oreilles et s'approcha de nous.

— Tu es son petit-ami ? Demanda-t-il à l'égard de Raphael.

— Ouais.

— Zachary. Mais Zach pour les intimes.

Il tendit sa main et Raphael lâcha la mienne pour la lui serrer.

Il sortait cette phrase à tout le monde ou quoi ?

— Raphael, dit ce dernier d'une voix indescriptible.

La poignée de main s'éternisa et ils se regardaient tous les deux avec un sourire faux collé au visage.

Moi, je restai plantée là, comme un piquet.

Finalement, Zach interrompit le contact.

— Alice m'a beaucoup parlé de toi.

— Je suis heureux qu'elle l'ait fait.

— Est-ce que je peux... hum... lui parler une minute ?

Je me grattai la nuque, mal à l'aise.

— Une minute, précisa Raphael. On est en retard.

Quoi ? Il venait de me dire que nous étions en avance, plus tôt.

Il s'éloigna de quelques mètres à peine, en lui lançant un regard mauvais.

— Il n'a pas l'air très content de me voir, remarqua Zach sans pour autant être touché.

Je mentis.

— Non, non, ce n'est pas contre toi. Il a ses règles. Heu non, il a pas ses règles, il est juste... euh... Il a mal dormi !

Totalement faux. Mes mains devenaient moites. J'avais envie de mourir sur place.

Zach rit.

— Hum... Tu voulais me dire quelque chose? Balbutiai-je en évitant son regard.

Sans répondre, il sortit un bracelet en argent de sa poche avec un mot calligraphié dessus.

C'était mon bracelet.

— Samedi, quand tu dansais avec Austin, tu m'a donné ça.

Il arriva à ma hauteur et saisit mon poignet doucement.

— Je ne m'en rappelle pas de te l'avoir donné... fis-je nerveusement. Il compte beaucoup pour moi.

— Je sais que tu y tiens.

Je me pris à le fixer du regard. Il avait des bras musclés, la peau bronzée, la mâchoire dessinée.

Son souffle chaud qui me donnait la chair de poule sentait le tabac.

Je ne devrais pas remarquer tout cela, et pourtant...

Zach effleura la veine de mon poignet et attacha le bracelet en argent autour.

— Qu'est-ce qu'il veut dire, ton bracelet ?

— Mon bracelet ?

J'étais surprise. Devant son insistance, je finis pas répondre.

— Euh, Nessun Rimpianto. C'est de l'italien, ça veut dire "Aucun Regret".

Là, je l'intéressais.

— Pourquoi de l'italien ?

— Ma grand-mère vivait en Italie avant de s'installer en Amérique. C'est elle qui me l'a donné mais je ne parle pas italien, juste anglais.

Emozionante, dit-il et je n'avais aucune idée de ce que cela voulait dire. Buona Giornata. Ça veut dire "bonne journée", ajouta-t-il avec un air moqueur.

— Oh.

Pourquoi venait-il de me demander la signification de mon bracelet s'il parlait italien ?

Étrange.

Zach m'envoya un clin d'œil et se retourna pour rentrer dans le bâtiment.

Je me dirigeai vers Raphael, qui était resté en retrait derrière nous.

Adossé contre le mur et les mains dans les poches, il me regardait avec un visage crispé.

C'était le moment de l'interroger sur sa petite scène de tout à l'heure.

— C'est quoi ton problème avec Zach ?

Je croisai les bras mais il ne cilla pas.

— Je t'ai posé une question.

— À laquelle je ne vais pas répondre. Attends.... si. Ce mec est un junkie. Il est accro à la coke, tu ne dois pas rester avec lui.

— Mais qu'est-ce que tu racontes ? M'énervai-je.

— Alice, ouvre les yeux. Tous ses potes sont des TOXICOS, alors lui non plus n'est pas clean.

Je voulus protester mais je ne pouvais pas. Je n'avais aucune preuve que Zach était clean.

— D'accord, bon, admettons. Mais il est super sympa. Et tu n'as pas vraiment à me dire qui je dois fréquenter.

— Tu déconnes ? Fit Raphael avec un rire nerveux. Tu vas te faire avoir. Je t'aurais prévenue.

— Tu insinues quoi, là, exactement ?

Il m'agaçait. Il croyait vraiment que j'étais attirée par les junkies et la drogue ?

Je pouvais comprendre qu'il cherchait à me protéger, mais pas au point de m'empêcher de voir qui je voulais.

— Je m'en fiche, en fait, soupirai-je.

— Tu étais avec lui à la soirée, hein ?

— Quoi ? Tu as dit qu'on ne parlait plus de ça...

— C'est lui qui t'a forcé à boire ? Insista Raphael.

— Non.

Oui et non, en réalité.

— Je ne te crois pas !

Je me rapprochai de lui en soutenant son regard.

— Tu es jaloux, là, non ?

— Tu te moques de moi ? Jaloux d'un junkie ? Cracha-t-il.

— Oui, parce que tu crois que je suis intéressée par lui.

Un pas de plus. Ses yeux devinrent sombres.

— Parce que tu as peur que je vais vers lui. Mais tu sais bien qu'il n'y a que toi qui co...

Soudain, de nulle part, on entendit Steve grogner.

— Qu'est-ce que vous foutez, les gars ?

Il était en face de nous, les clés de voiture encore en mains et nous fusillait du regard.

Je me retournai vers Raphael qui secoua la tête, une expression dure sur le visage.

Puis il nous dépassa sans nous toucher et se dirigea vers la porte d'entrée sans se soucier de moi.

— Où est-ce que tu vas ?

Comment osait-il s'en aller comme ça ? Il m'avait énervée et rien n'était résolu.

— En cours !

Il disparût dans la foule.

— Punaise, dit Steve. Mais c'est quoi votre problème ?

Il se traîna jusqu'à la porte principale en me regardant comme si tout était ma faute.

Libby, quand à elle, n'était toujours pas réapparu. Pitié qu'elle ne soit pas dans les toilettes avec ce Brandon Miller.

— Raphael n'est qu'un jaloux possessif, voilà le problème.

Dans le couloir, Steve m'observa comme s'il s'attendait à ce que je lui raconte ce qui venait de se passer. Ça ne risquait pas d'arriver.

— Steve, soupirai-je. Je t'en supplie, ne cherche pas à comprendre et vas en Biologie.

— Alice ?

C'était la voix d'Eva, qui hésitait à venir. Ella portait un haut à manche longue et un jean même avec cette chaleur horrible.

Je m'avançai vers elle en souriant.

— Je voulais... euh... te remercier pour ce que tu as fait samedi. Sincèrement, c'était super sympa.

Elle jouait timidement avec ses cheveux. Rien à voir avec l'état dans lequel elle était à cette soirée.

— C'est normal, dis-je. Je n'allais pas te laisser comme ça, et puis je suis sûre que tu aurais fait la même chose avec moi.

— C'est vrai, ça.

Un sourire se dessina sur ses lèvres.

— Je pense que je te dois un câlin. Amies?

Elle me prit dans ses bras, en plein milieu du couloir.

— Amies, fis-je en relevant la tête parce qu'elle était beaucoup plus grande que moi.

J'avais biologie avec Steve dès la première heure.

Je trouvais cette matière passionnante, le professeur était génial et la composition des élèves me convenait parfaitement.

Mis à part la présence de Jessica Floyd.

Raphael devait avoir anglais.

Arrivée en retard, je me plaçai au fond sous l'œil perçant de Steve qui dut s'assoir sur la dernière place de libre, au premier rang.

Et au bout de dix minutes, à peine, il s'endormit.

— La mitose correspond à une division d'un noyau cellulaire en deux noyaux génétiquement identiques, monologua le professeur de Biologie. Cette division se fait en plusieurs phases et dans l'ordre suivant. Tout d'abord, nous avons la prophase puis la métaphase, l'anaphase et enfin...

Il s'interrompit en voyant Steve avachi sur sa table.

— Monsieur Hall ! S'écria-t-il en tapant sur la pauvre planche de bois.

Steve sursauta et leva la tête en faisant un bruit de bave dans sa bouche.

— Monsieur Hall. Je m'épuise les cordes vocales à vous instruire. Et cependant, dormir vous a semblé plus captivant que mon cours. De grâce, racontez-nous ce que je viens de dire.

C'était à mon tour de manquer de souffle, toute la classe avait les yeux rivés sur lui.

Le professeur avait déjà exclu des élèves à trois reprises pour faute d'inattention ou pour avoir fait passer un mot à un copain.

— Hum... Vous parliez de... euh... de la reproduction... hum sexuée ?

— Bien, alors faites-nous une démonstration avec une fille.

La moitié des élèves étouffèrent leur rire.

— Que, quoi ?

— Allez !

Lentement, Steve se tourna vers moi.

J'étais la seule fille qu'il connaissait bien dans cette classe.

Il m'envoya un regard désolé et déglutit en se levant.

Pitié, Steve, non.

— Idiot ! Lança le professeur. La reproduction sexuée n'est pas au programme cette année !

Steve soupira de soulagement.

— Mais je vais vous demander de quitter la salle, M.Hall. Ou sinon, c'est avec moi que vous allez faire votre démonstration. Et jeudi, quand vous serez prêt à prendre ce cours au sérieux, vous serez le bienvenu.

Le pauvre Steve fourra son cahier dans son sac et se dirigea vers la porte, humilié.

Je me mordais la joue pour éviter moi aussi d'éclater de rire.

Le professeur de Biologie continua son cours là où il s'était arrêté.

— ... Et c'est pour ça que je vais vous demander de faire un exposé pour savoir faire la différence entre ses quatre phases. Faites des binômes, de préférence.

Les élèves commencèrent à discuter entre eux.

— Monsieur, je peux aller avec Steve Hall ? Demandai-je en levant la main en l'air, anxieuse.

Il me regarda un instant, puis leva sa main vers son visage épuisé et frotta sa joue, hérissée de poils blancs.

— Je regrette, M. Hall a été viré du cours. Par conséquent, il n'est pas là. Allez donc avec Jessica Floyd. Avec tes excellents résultats, tu lui viendras sûrement en aide.

— QUOI ?

Ce n'était pas moi qui venait de crier à travers la salle. Mais Jessica.

Un éclair passa dans ces yeux et elle remit son mascara dans sa trousse.

— Je refuse d'aller avec elle, siffla-t-elle.

— Qui vous permet d'intervenir, Mlle. Floyd ? Demanda le professeur en se tournant vers elle. Vous êtes tenues de vous conformer à ma loi. Ou bien vous échouez. À vous de choisir. Sortez sinon.

Les sourcils parfaitement dessinés de Jessica, ses pommettes hautes et ses lèvres pulpeuses s'affaissèrent d'un coup.

D'abord déconcertée, son expression se durcit soudain, alors qu'elle finissait de ranger ses accessoires de maquillage dans sa trousse scolaire.

Je ne pouvais m'empêcher de détourner les yeux.

— D'accord. Lança-t-elle.

Mince, pendant un bref instant, j'avais espéré qu'elle refuse et quitte la salle.

À mon plus grand regret, ce n'était pas le cas.

— Dépêchez-vous de vous déplacer, alors, Mlle. Floyd. On attend que vous.

Énervée, Jessica lui décocha un regard meurtrier avant de se tourner vers moi.

— Toi, viens. Je ne bougerais pas.

— Oui, je murmurais.

J'avais du mal à la regarder dans les yeux, d'abord parce que je me sentais minuscule et puis parce que cette situation ne me plaisait pas du tout.

Je me levai et échangeai ma place avec une fille qui se trouvait derrière elle.

— Bon, écoute-moi, commença-t-elle en inspectant un de ses ongles manucurés. Je n'ai pas envie de perdre du temps sur un stupide exposé de merde sur des cellules de je ne sais quoi avec une fille comme toi.

Elle plissa les yeux et me regarda enfin.

— Donc soit tu le fais toute seule, soit tu passes chez moi demain dans l'après-midi. Non pas que ça m'enchante, mais je n'ai pas non plus envie d'aller dans ton bidonville.

Mon bidonville ? Mais pour qui elle se prenait, cette garce ?

Je fermai les yeux en me mordant la lèvre pour ne pas exploser et réduire en miettes sa chirurgie esthétique.

— Je ne sais pas où tu habites, je crachai finalement.

Jessica resta interdite quelques instants, comme si je venais de dire une parole digne d'une antiquité.

Quand elle parvint enfin à ingérer l'information, elle se retourna vers moi, ses yeux perçants me fixèrent plusieurs secondes et me déclenchèrent un frisson dans le dos.

Qu'allait-elle encore dire ?

— Ma chérie, tout le monde sait où Jessica Floyd habite. 

_______________

Hey :D

Que pensez-vous de ce chapitre ? 

De Zach ? De Raphael ? De Jessica ?

Sinon merci pour les 1K!!! Pour certains, ce n'est pas énorme mais pour moi, si donc merci merci *-*

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Je vous aime,

Emma♥

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