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Chapitre 5

Le lendemain matin, j'essayai d'ouvrir les paupières tout en étirant mes bras raidis.

Mon corps entier n'était que douleur, sans parler de mon mal de crâne terrible.

Un mince rayon de lumière illumina la chambre, pas assez brillant pour que ce soit l'aube.

Il pouvait être n'importe quel heure de la journée, peut-être même le milieu de l'après-midi et je réalisai enfin que j'étais chez Raphael.

Du coin de l'œil, j'aperçus ma robe sur le bureau et mes talons quelques mètres plus loin.

J'étais en sous-vêtements sous les draps.

Punaise, comment s'était terminée cette soirée ?

Tout ce dont je me souvenais, c'était d'avoir croisé le regard de ce Zach.

Après ça... Rien.

Néant.

Je me redressai en me frottant les yeux.

— Salut, enfin tu te réveilles.

Je tournai la tête vers Raphael.

Il était torse nu, appuyé contre la tête de lit avec les bras derrière la tête.

Son regard était froid et il n'affichait aucune expression.

— Il est quel heure ?

Ma gorge était sèche et un son rauque venait de sortir de ma bouche.

— 2:45pm.

Je poussai un soupir et m'agrippai les cheveux.

— Mon dieu. Cette soirée a été une catastrophe.

Les yeux sombres de Raphael rencontrèrent les miens. 

Il haussa un sourcil, l'air de dire : " Ah bon ? Tu crois ? "

Son humeur massacrante me mit mal à l'aise, déjà parce qu'il était rarement en colère contre moi, et parce que j'ignorais pourquoi il était comme ça.

— Qu'est-ce qui s'est passé ? Demandai-je en fixant mes mains, coupable.

— Tu tiens vraiment à le savoir ?

— Est-ce qu'on a... tu sais...

— Tu me demandes si on a couché ensemble ? Railla-t-il.

Je me détournai vers le mur pour éviter de croiser son regard. Je n'étais pas préparée à me disputer avec lui.

Pas maintenant.

Sans attendre ma réponse, Raphael continua d'une voix tranchante.

— Et bien non, on a pas couché ensemble ! Et crois-moi, je n'en avais pas envie !

J'avais mal entendu. À peine avait-il prononcé ces mots que tout en moi se brisa.

Ma voix n'était plus qu'un murmure.

— Ta promesse...

— Tu te fiches de moi, Alice ? Me coupa-t-il, furibond. Tu penses encore à cette promesse ? Tu vas dire que je ne l'ai pas respecté, c'est ça ?

— Mais j'étais consentante...

— Bordel, tu étais saoule ! Et pas qu'un peu !

J'explosai.

— Et alors ? Je ne voulais pas aller à cette foutue soirée, de toute façon.

— Tu me fais porter le chapeau ? Cracha-t-il.

— Oui, exactement ! Je t'en veux de m'avoir fait croire qu'il allait se passer quelque chose entre nous, cette nuit.

Je lui criai dessus en le regardant droit dans les yeux.

— Tu vas me le reprocher pendant combien de temps ? Je l'aurais fait, figure-toi, mais tu as préféré boire à la place !

Les poings et les dents serrés, Raphael repoussa la couette et se leva du lit, dos à moi. Il allait exploser d'une minute à l'autre.

Il me faisait littéralement passer pour une alcoolique.

Plus les secondes passaient et plus la chambre se transformait en cage pleine de couteaux.

— Tu as bu combien de shots, au juste ? Grinça-t-il entre ses dents.

Je levai les yeux vers lui.

— Ce n'était pas des shots. Mais du vin.

Ma crédibilité tombait au plus bas.

— Tu crois vraiment que je vais avaler ça ? Lança-t-il avec un rire nerveux. Tu étais au bord de l'overdose !

Il se retourna vers moi en secouant la tête, une expression dure sur le visage.

Les larmes montèrent et je m'effondrai dans le lit, le visage dans les mains.

— Je suis désolé, murmurai-je.

— Désolé pour quoi Alice ? Clama Raphael. Tu ne sais pas à quel point j'ai eu peur.

Je souffrais trop pour répondre.

Que dire de plus ?

Je ne pouvais qu'espérer qu'il accepte mes excuses.

Raphael se dirigea vers la porte de la chambre avant de s'arrêter.

— Au fait, j'ai oublié de te remercier pour la gifle que tu m'as faite, hier.

Et il claqua la porte derrière lui.

Mon dieu.

Putain.

La soirée n'avait pas été une catastrophe, mais la fin du monde.

Mes larmes redoublèrent et je portais la main sur mon front.

J'étais brûlante et ma respiration saccadée.

Mon mal de crâne redoubla, j'avais l'impression de sortir d'un cauchemar.

Je mis au moins une heure à me lever à mon tour du lit, abattue.

Je n'arrivais toujours pas à croire que l'on s'était engueulés pour un stupide marché.

Avec mes jambes tremblantes, je me portais jusqu'à l'armoire.

D'habitude , j'enfilai un tee-shirt à Raphael mais dans ces circonstances, je ne savais plus quoi faire.

Oubliant ma robe, je décidai quand même d'en mettre un et pour le bas, tant pis, j'allais rester en culotte.

Dans le salon, mes yeux croisèrent à nouveau ceux de Raphael.

Il était appuyé contre le comptoir, le regard fermé.

En voyant son propre tee-shirt sur moi, il se pinça les lèvres, frustré.

Quand à lui, il avait enfilé un jean noir et un sweat. J'ignorais comment, puisque j'étais dans sa chambre.

Son silence me déstabilisait. Sa colère s'était dégonflée, ne restaient que la déception et une énorme confusion.

Finalement, il soupira.

— Tiens, une aspirine.

Il posa un verre sur le comptoir tout en évitant mon regard. Je le rejoignis mais la distance était toujours là.

— Et, euh, ton téléphone.

Je le lui pris des mains. 

— Merci.

Il était encore furieux contre moi. Cette sensation était horrible.

Je baissai les yeux sur mon portable : quatre appels manqués de mes parents.

— Je devrais peut-être les appeler, dis-je en haussant les épaules.

— C'est déjà fait, déclara Raphael. Je les ai prévenu que tu reviendrais demain matin, pour aller en cours.

Il se passa une main dans les cheveux et détourna le regard.

Je haussai les sourcils. Moi qui croyait qu'il voulait que je parte au plus vite.

Mais je ne pus m'empêcher de sourire, pleine d'espoir.

Il s'apprêta à partir au ralenti, mais se ravisa.

— Écoute, pour tout à l'heure...

Je le stoppai.

— Ne t'excuse pas. Tu avais le droit de me gueuler dessus, j'ai été minable. C'est moi qui suis désolée.

Sourcils froncés, il s'approcha avec hésitation.

— Non... Tu avais raison. Je savais que tu supportais mal l'alcool et que tu détestais les party. Mais je t'ai quand même obligé à y aller.

— J'étais d'accord, je te signale.

Les yeux clos, il se pinça l'arête du nez et inspira profondément.

— Il n'empêche que je suis désolé. Maintenant, on oublie ça, OK?

— OK.

OK?

Et nous étions censés faire quoi à présent ?

S'embrasser ?

Raphael s'humecta les lèvres et sembla hésiter à le faire.

Mais à mon plus grand regret, il recula.

— Tu devrais peut-être...euh... enfiler un short, bafouilla-t-il à la place, rouge et le regard fuyant.

Une part de moi paniqua.

Je restai immobile, les yeux rivés sur ma culotte. J'avais complètement oublié que depuis tout à l'heure, je m'expliquai avec lui, presque à poil.

Jusque là, je ne n'avais pas été gênée, Raphael restait mon copain après tout.

Mais bon sang, comment a-t-il fait pour rester aussi longtemps énervé avec une vue pareille?

Son regard tomba à nouveau sur mes jambes. Je ne bougeai pas, j'essayai de prévoir sa réaction, trop timide pour faire le premier pas.

Comme je restais là, il ferma les yeux.

— J'ai un short de foot dans mon armoire. Si tu veux, tu peux le prendre.

Déçue et frustrée, je m'exécutai.

Plus tard, dans la soirée, j'étais nonchalamment installée sur le fauteuil tandis que Raphael, lui, était à l'opposé, sur le divan.

Son père venait d'appeler pour nous annoncer qu'il nous laissait la maison jusqu'à demain.

Alors nous avions décidé de regarder Family Guy à la télé.

Génial.

C'était évidemment une suggestion de Raphael, même si j'avais insisté pour regarder une émission de télé-réalité.

Mais d'après lui, je ne devais pas regarder ces âneries, pour éviter que je me sente mal en voyant les poitrines et les fesses des candidates.

Plutôt mignon de s'intéresser à ma santé mentale.

En tout cas, il n'y avait plus de tension entre nous marlgré qu'il n'y avait aucun contact physique pour le moment

C'était plutôt agréable de traîner à l'intérieur, tous les deux emmitouflés dans nos couvertures, entourés de boîtes de pizza et de Fanta.

Encore une suggestion de Raphael.

Je ne devais plus toucher à l'alcool alors que lui se permettait de siroter une Budweiser sous mes yeux.

Quel connard.

— Logan est repartie dans l'Ohio, dis-je d'une voix triste. Je n'ai pas eu le temps de lui dire au revoir.

— Moi non plus, soupira Raphael en se frottant la joue.

Normalement, Logan reviendrait cet été pour les vacances, comme il l'avait dit.

Plus qu'un mois, alors, avant de le revoir.

J'aurais aimé rencontrer sa copine Hannah, mais elle devait retourner à Manchester en Angletterre.

Une heure après, j'étais réellement captivée par le dessin-animé quand un téléphone sonna.

— Décroche, marmonnai-je en laissant tomber un morceau de chorizo sur ma cuisse sans le faire exprès.

— C'est le tien, répliqua Raphael en levant les yeux au ciel.

Je jetai un coup d'œil sur le portable qui sonnait sur la table basse et c'était bien le mien.

Il y avait un appel entrant de Libby.

— Salut ! Dis-je en essayant de paraître en colère. Contente que tu t'intéresses enfin à ta meilleure amie qui t'a cherché partout pendant TOUTE la soirée.

— Alice ! S'exclama Libby en m'ignorant. Tu ne devineras jamais où je suis !

Je soupirai.

— Dans le frigo de Tyler ? Aux Bahamas ? Chez ta grand-mère ?

Elle rit.

— Non ! Je suis dans le lit de Brandon Miller !

— Tu... QUOI ?

Je me redressai soudainement sur le fauteuil, le téléphone toujours collé à l'oreille.

Raphael haussa un sourcil.

— Je t'assure, ce n'est pas une blague, affirma Libby.

— Oh mon dieu ! Tu ne perds pas de temps.

— C'était plus fort que moi.

Je pouffai.

— Et vous êtes allés jusqu'où ?

— Si je te dis que nous n'avons pas que dormi...

— Tu l'as sucé ? M'écriai-je avant de me rappeler que Raphael était là.

Ce dernier s'étrangla avec sa pizza.

Mince.

— Non, souffla Libby dans le combiné. Mais on a couché ensemble. Deux fois. Une à la soirée et l'autre chez lui.

— J'y crois pas. Et moi qui te cherchait comme une idiote.

— Pardon, dit-elle en rigolant. Mais en tout cas, une chose est sûre, c'est que j'avais tort. Les roux sont définitivement les meilleurs au lit !

Cette conversation était parfaitement gênante. J'éclatai de rire.

— Et tu lui as demandé pour le bal ?

— Non, pas encore. Il est parti me chercher un café dans la cuisine. Je vais lui demander après et tu sais, il m'a dit qu'il n'avait pas oublier notre baiser de l'année dernière...

— Décidemment, c'est ton jour.

Je souriais comme une enfant. Libby avait enfin trouvé quelqu'un.

— Ouais. Et toi, ta nuit avec ton chéri, c'était comment ?

Merde.

— Euh...

Je lançai un regard à Raphael, il regardait la télé.

— Il est avec toi, c'est ça ? Devina Libby.

— Oui...

J'avais l'impression que l'air devenait de plus en plus chaud. La couverture tomba de mes épaules.

— Ah et, euh, vous l'avez fait ou pas?

— Non, murmurai-je.

— Pourquoi, et votre marché alors ?

— Je sais mais il...

Difficile de parler en disant que oui ou non. Je devenais de plus en plus nerveuse.

— Il n'a pas voulu et vous vous êtes disputés ?

Libby était décidément la meilleure pour comprendre les choses vite.

— Si oui, réponds, euh, je ne sais pas. J'aime les pâtes, lança-t-elle.

— J'aime les pâtes.

Raphael tourna la tête vers moi et je lui souris bêtement.

— Mais qu'est-ce qui s'est passé ?

J'entendis du bruit à l'autre bout de l'appareil, m'empêchant de répondre.

— Mince, Brandon remonte, chuchota rapidement Libby, toute excitée. Il faut que je te laisse, désolé Alice. On se voit demain.

Elle raccrocha juste après. Je soupirai en reposant le téléphone sur la table basse.

Raphael me fixait toujours, il avait l'air perplexe.

— C'était Libby, dis-je.

— J'imagine.

Mille et une pensée devait le traverser la concernant.

— Alors comme ça, tu aimes les pâtes ? Se moqua-t-il. Si j'avais su, j'aurais préparé ça.

— Non ! Les pizza, c'est bon aussi.

Pour le prouver, j'enfournai une part dans la bouche.

Il rit, je devais être lamentable à voir et honteuse, je reportais mon attention sur le dessin-animé.

Au bout de plusieurs épisodes, j'étais tellement absorbée que lorsque Brian Griffin, le chien de la famille mourut, des larmes commencèrent à couler sur mes joues.

— Tu pleures? remarqua Raphael.

— Non, hoquetai-je. C'est juste qu'ils n'ont pas le droit de tuer Brian. Pas lui.

— Mais ce n'est qu'un dessin-animé.

— Oui mais Brian était drôle et intelligent. Il ne devait pas mourir.

Je redoublai de larmes en entendant la musique de funérailles.

Sérieusement, qui sur cette terre pleurait devant Family Guy ?

Moi, bien sûr.

C'était sans doute les nerfs qui retombaient.

— Hé, Alice.

Raphael se leva du divan et prononça mon nom d'une voix faible.

Ses mains se posèrent sur moi.

Il me serra fort et j'enfouis mon visage contre son tee-shirt.

Enfin, je ressentais sa chaleur près de moi.

Enfin, j'étais arrivée à mes fins.

— Je suis désolé, murmura-t-il. On va tout faire pour le ressusciter, d'accord ?

Il prit soudain mon visage dans ses mains et plongea son regard dans mes yeux gonflés.

Nous restions ainsi quelques instants.

Raphael respirait calmement, son parfum mentholé me captivait et m'attirait comme toujours.

Puis il approcha ses lèvres de mon visage, jusqu'au coin de ma bouche. Là, il s'arrêta.

— Laisse-moi t'embrasser.

Son souffle était chaud contre ma joue, me donnant la chair de poule.

— Pour te réconforter, ajouta-t-il.

Et il effleura ma bouche.

Ce fut un soulagement. Ne pas l'embrasser de la journée avait été extrêmement difficile.

Doux et tendre au début, notre baiser devint vite plus ardent.

Je pris à mon tour son visage dans mes mains, nos baisers se nourrissaient de nos émotions, agités, enragés, mélange de colère, de tristesse et bientôt on s'abandonna, on oublia tout.

Sans jamais décoller ses lèvres des miennes, Raphael me prit dans ses bras et me souleva du fauteuil, la couverture tomba à ses pieds.

Il me porta à travers la maison tandis que j'agrippai ses cheveux et que ma bouche descendit dans son cou.

— C'est hyper bizarre de prendre son pied sur la mort de quelqu'un, avoua mon amoureux dans un soupir.

— Carrément.

Dans sa chambre, il referma la porte d'un coup de pied et me déposa sur le lit.

Cette fois, quand ma main trouva la ceinture de son pantalon, il ne m'arrêta pas, parce que cette fois, je n'étais pas ivre.

Cette fois, il n'y avait personne pour nous interrompre et cette fois, il n'y avait pas mes trucs de filles pour nous stopper.

Il m'embrassa à nouveau, lentement, passa sa main sous mon tee-shirt trop large et je pressai ma poitrine contre son torse.

Mon corps entier tremblait d'impatience.

Ses yeux parcoururent mon visage et ma poitrine quand il retira mon soutien-gorge.

— Tu es tellement belle, souffla-t-il en déposant ses lèvres sur ma clavicule.

Chaque fois, il me le disait, et chaque fois, je l'empêchais de parler en agrippant sa nuque pour l'embrasser.

Notre baiser s'intensifia, s'accéléra, alors je lâchai son visage et agrippai son sweat.

J'essayai maladroitement de le lui retirer sans briser notre étreinte.

Il le remarqua et, avec un petit rire, il se mit à genoux et le jeta derrière lui.

Je rougissais toujours devant les reliefs de ses abdos.

Libby ne soupçonnait pas à quel point il était beau.

Et je n'étais pas d'accord avec elle, ce n'était pas les roux, mais les bruns qui étaient les meilleurs.

Raphael embrassa le haut de mon sein, une main sur ma taille, l'autre sous mon short de foot.

Ses lèvres effleurèrent ma peau tandis que je jouais avec ses cheveux.

Le menton appuyé sur son front, je tentai de respirer, fiévreuse.

Tendrement, il m'allongea sur le lit et se tourna pour fouiller dans le tiroir de la table de nuit, à la recherche de préservatifs.

C'était là qu'il les cachait toujours.

Il me rejoignit en se mordillant la lèvre.

Je le contemplais et il me regardait, les yeux écarquillés, comme pour me demander si j'étais prête, et j'acquiesçai.

J'acquiesçai parce que j'aimais sa façon de se mouvoir, j'aimais sentir la sensation de son corps contre le mien, j'aimais entendre sa respiration rapide et synchronisée à la mienne.

Je l'aimais, tout simplement, et je ne pense pas qu'un jour, cela puisse changer.

Nous deux, nous ne formions qu'un. 

____________________

Hey hey hey :D

Voilà le chapitre 5, qu'en pensez-vous ?

Je voulais aussi vous dire que j'ai inscrite cette histoire au #Wattys2016, donc si vous voulez voter pour elle, faites comme vous voulez.

Je tiens aussi à remercier ceux qui votent et qui commentent l'histoire, c'est super gentil et ça me fait extrêmement plaisir !

Bref,

Lâchez un Vote♥ un Com♥

Je vous aime,

Emma.

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