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Chapitre 9.

10 heures, Jeudi.

L'homme qui maintenant m'est familier, s'est assit en face de mon bureau, silencieux et observateur. J'ai rapidement fuis son regard. Parce que tout ça a changer, ce n'est plus qu'un simple patient, il a prit une place trop importante dans ma vie, et j'ai fais de même dans la sienne.

« Pensez-vous encore à Norah ? » cette fois-ci je plongea mon regard dans le sien afin d'y apercevoir la moindre émotion, et durant l'espace d'une seconde, son regard était remplit de tristesse.

« J'ai beaucoup aimé la soirée chez Liam. » avoue t-il afin d'éviter la question que j'avais posée plus tôt. Je n'avais pas envie de repenser a cette fabuleuse soirée que j'avais passée. Parce qu'Harry n'est que mon patient et il ne sera jamais rien d'autre. Je ne me ferai jamais a cette idée, mais c'est ainsi, et ça le restera.

« Ecoutez, je pensais vous l'annoncez à la fin de la séance, mais j'ai besoin de le dire maintenant. » Nos regards se croisèrent et j'ai continuée; « Cette séance sera notre dernière. » avouai-je en baissant le regard vers mon bureau qui me paru; a cet instant précis; plus intéressant que le jeune garçon.

Son corps se mit a trembler, et même sans le regarder, je l'ai devinée, parce que je le sentais, je sentais son poils s'hérissait, son corps tremblait, sa mâchoire se contractait et son cœur se serrait.

« Vous ne pouvez pas, Eleanor, comment vais-je faire ? J'ai besoin de vous, d'un médecin, de votre aide. » il dit, d'une voix qui commençait a se brisait au fil des mots, au fil du temps.

« Vous avez besoin d'aide, mais la mienne s'arrête ici, en fin de séance. Vous n'avez pas besoin de moi, vous avez besoin de comblé le vide que Norah a laissé. Je ne l'ai pas choisis, et vous non plus, vous n'avez pas choisis de ressentir ce vide. Mais c'est comme ça. » expliquai-je calmement comme le ferai-je avec un enfant. Pourquoi ne pouvait-il pas accepté cette décision ? Pourquoi doit-il compliqué les choses plus qu'elles ne le sont ? J'ai sue compléter le vide qu'il ressentait durant quelques heures voir quelques jours, mais je ne peux continué de le compléter.

Peut-être par peur de récrée ce vide un jour.

« Non, ne me laissez pas affronter le monde seul, je me sens seul Eleanor, je n'ai aucun repère. » cette fois-ci sa voix se brisa complètement, de légères larmes se mirent a couler sur ses joues rosées, et son regard autrefois vifs se mit a scintillé.

« Une certaine Mlle.Given devrait me remplacer dès la semaine prochaine, c'est super non ? » Je tente de donner un ton joyeux et encourageant à ma voix, afin de le convaincre. Comment puis-je le convaincre, si moi même je ne suis pas convaincu ? Je lui offris un de mes plus beaux sourire, un faux sourire. Un sourire douloureux.

J'ai sursautée, lorsque j'ai entendu la chaise; ou autre fois il était assis; percuté le sol, il était debout en face de mon bureau les mains posées dessus. Il dégagea le bureau sur le côté droit d'une simple poussée de ses paumes de mains positionné sur le côté de celui-ci. Sa grande taille me surpassant de plusieurs tête, m'intimidait, sa carrure monstrueuse et bestial se tenu devant moi. J'eue le reflexe de reculer légèrement avec ma chaise, malgré qu'elle ne soit qu'à 30 centimètres du mur habituellement, je percuta le mur violemment, du a la pousser de son pied contre celle-ci. Je m'engouffrai peu à peu dans la chaise, collant entièrement toute la surface de mon dos contre le dossier de celle-ci.

Bestial. Tétanisant.

Son énorme poing droit percuta le mur au dessus de ma tête, créant dans celui-ci une marque assez profonde. Mes yeux se fermèrent instinctivement afin de calmer ma respiration qui devenait de plus en plus bruyante dû au stress ainsi qu'à la peur.

« Pourquoi tu fais comme si rien ne s'était passé ? » demande t-il en s'abaissant afin d'être à ma hauteur. Il posta deux doigts sous mon menton et le releva délicatement, afin que mon regard croise le sien.

« Rien ne s'est passé. » mentis-je en fixant innocemment ses deux prunelles.  

« Alors tout ça n'était qu'une vaste connerie a t'es yeux ? » ses deux paumes de mains se posèrent gracieusement sur mes joues, sa respiration se calmait et l'intensité de son regard aussi. Mon pouls s'accélérait au fil de son touché qui devenait de plus en plus chaud sur mon visage, mon cœur tambourinait contre ma poitrine, et dieu sait si, lui le ressentait.

Et là, j'ai sue. J'ai sue qu'il le ressentait, parce que ses lèvres venait de se poser sur les miennes, scellant peut être a jamais deux âmes. Il se mit à fermer les yeux rendant ce baiser à la fois passionné et étrange.

« Alors cette façon que tu as de m'embrassé n'est qu'un vaste amas de conneries ?  Je peux sentir la passion que tu as eue lorsque mes lèvres ont touchés les tiennes. » en conclus t-il après avoir mit fin au baiser.

« Tu as toujours été doué pour ressentir les sentiments des gens, Harry, je l'ai su a l'instant même ou ton regard s'est posé sur moi. Mais cette fois-ci j'ai bien peur que tu te trompes. » Encore une fois je venais de mentir, il avait parfaitement raison.

« Petite catin ! » hurle t-il en serrant dans sa main droite ma mâchoire. Une sensation extrêmement douloureuse me parvint assez rapidement, se mélangeant à la peur et au dégoût. Je ferme les yeux afin de ne plus voir ses iris vertes me tétanisé et je serre de toutes mes forces les accoudoirs de la chaise canalisant toutes les sensations qui me passent. De fines perles salées se mirent à coulé de mes yeux, parcourant un chemin sur mes joues, pour finir leurs courses, sur la bordure de la main d'Harry.

« Je t'en supplie, love n'est pas peur de moi. » prie-t-il changeant complètement le timbre de sa voix. Passant d'une voix traumatisante et rauque à une voix douce et rassurante.


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