Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 5

Ses phéromones de plaisir qui remplaçaient ceux de la peur. Sa surprise. Son extase. Son visage tourné vers le ciel. Les yeux émerveillés par le spectacle. Ses joues rougies par le froid.

J'étais content de mon effet.

Je ne pensais pas arriver à le faire monter jusqu'en haut. Parce qu'après tout il était un prince. Il ne se prêtait pas à ses activités. Il aurait pu ne pas avoir confiance. Ne pas vouloir. Mais il était venu quand même. Il avait osé sauté de sa fenêtre. Osé suivre un vulgaire alpha des rues. Et cela me ravissait.

Je reportais mon attention sur la voute céleste. Je ne me lassais de la contempler. Bien que terne. Elle étais d'une beauté incomparable. Il me tardait de retrouver son éclat campagnard.

« C'est ce que tu vois dés que tu viens. »

Une voix douce dans le parfum silencieux de la nuit. Je souris. Plus encore. Mais l'embêta. Pour le voir finalement tourné la tête vers moi. D'en haut, il paressait plus tendre. Ses traits s'adoucissaient à la lumière de le faible lune. Et cette expression. Le nez froncé. La langue tirée. Puis un grand sourire.

« Je t'emmerde.

- On verra. »

Il tenta de me frapper. Mais se figea bien avant de m'avoir atteint. De nouveau conscient du vide sous nous. Il grogna comme il savait si bien le faire. Avant de retourner à la contemplation des étoiles. Les mains crispées sur le rebord.

Il ne restais plus que le silence. Un doux bruit. Tout en volupté. Que aucune parole ne vint déranger.

Jusqu'à que l'on descende. Où je l'abandonnais pour sauter de notre perchoir. Je disparu dans le noir. Chutant bien trop peu pour avoir peur. Mais bien trop pour qu'il retienne son cri. Et je ris.

Il m'en voulu les minutes suivantes. Essayant de son piètre équilibre de me faire tomber. Je m'enfuyait alors en courant. Sous son regard impressionné.

Nous regagnons sa chambre le sourire aux lèvres. Les mains tremblantes. Et des étoiles dans les yeux. Pendant ces instants nous étions seulement nous même. Sans avoir besoin d'être discret. Sans avoir besoin d'être supérieur. Sans avoir besoin d'être différents.

C'est en huées et en joie qu'on entra dans le palais. On pouvait surement sentir notre gaité jusqu'à l'aile nord. Et si on n'en avait que faire. Ce n'était pas le cas des gardes. Parce qu'il devait être seul. Parce que personne ne les avait prévenu d'une visite. parce que je pouvais être autre choses qu'un ami.

Donc rapidement. Bien trop rapidement. Leurs pas mirent fin à nos éclats de rires. leurs phéromones agressifs mirent fin à nos discussions.

Nos regards se croisèrent. Et alors que les miens reflétaient de la panique. Les siens montraient toute sa malice.

Il me poussa sur le lit.

«Tu as intérêt à être plus convaincant cette fois. On aura plus que un spectateur. »

Son corps recouvrit le mien. Puis ses lèvres nous réunir. Mais bien plus délicatement que dans les semaines passées. C'était comme deux hommes différents. L'un sauvage. Animal. Magnifique. L'autre gentil. Aimable. Magnifique.

Je lui répondis naturellement. Essayant de faire preuve de cette même finesse.

Un sourire sur son visage.

« Tu te débrouilles très bien.

- Je t'emmerde.

- On verra. »

Je ris à sa provocation. Mais la porte s'ouvrit en grand. Laissant les troupes admirer les activités de leur prince.

« Maintenant que vous avez vu que je ne risquais rien. Je vous prierais de repartir. Sans ébruité ce qu'il vient de ce passez. Et fermez la porte. »

Son ton froid ne permettait aucune discussion. Pas plus que son visage tourné vers moi. Il ne lança pas un regard aux intrus. Seulement des mots sans éclat. Eux. Balbutièrent une réponse. Embarrassés. Confus. Il partirent sans demander leur reste. Conscients de leur faute.

Quand il n'y eu plus aucun bruit. Il se laissa tombé sur moi. Quelque peu fière de sa performance.

D'un geste automatique. Ma main vient caressée ses cheveux. Passa près de sa nuque. Où son duvet s'hérissa à mon touché. Presque aussitôt un vague parfum vient emplir la pièce. Son odeur musquée. Ses phéromones puissants. Qui appelaient les miens.

En un regard, nous acceptions. Et de nouveaux nos lèvres se touchèrent.

« Est ce que tu te défilera encore. 

- Non. Par contre. »

D'un geste. Je le basculais pour inverser nos places. Il resta quelques secondes immobile. Surpris.

« L'alpha des rues ne supporte pas être en dessous. 

- Tu devrais apprendre à tenir ta langue si tu veux pas le regretter demain. »

Il arqua un sourcil. Peu impressionné.

Et notre danse continua ainsi pendant de longues heures. Entre la gentillesse et la sauvagerie. Entre ses envies et les miennes. Entre son corps et le mien. Il y avait les grognements. Les taquineries. Les caresses. Mais aussi ses sursauts. Ses soupires. Ses sourires.

L'air froid de la nuit avait laissé place à nos souffles chauds. Nos gestes déterminés s'encraient dans les draps. Embrasant l'obscurité.

Toujours il y avait cette petite rivalité. Qui rendait le jeu bien plus amusant. Quoi qu'il arrivait nous ne laissions pas l'autre prendre le dessus. Pourtant cela nous convenait. Cela nous plaisait. Parce que sans cette étincelle. Ce n'aurait pas été lui. Ce n'aurait pas été moi. Et peut-être nous n'aurions pas continuer de nous voir.

Néanmoins. Nous prenions tout de même soins de l'autre. Nous n'étions pas violent. Méchant. Nous riions. Ensemble. Comme nous l'aurions fait si nous avions été amis.

L'aube était encore loin lorsqu'il s'endormit. Ses yeux s'étaient fermé au son de ma voix. Je lui contais quelques anecdotes de mon enfance. Ses bras serraient un oreiller. Son sourire de bonheur ne s'effaça pas lorsque sa respiration devint régulière. Bien loin des heures précédentes.

Je m'attardais encore un peu. Sachant que c'était la dernière fois que je voyais son visage. Que je sentais ses phéromones. Que j'entendais son souffle.

Pendant cette soirée. J'avais gravé sa peau. Ses courbes. Sa chaleur dans ma mémoire. J'avais pris conscience de toutes ses émotions. De la peur à l'émerveillement. De la surprise au plaisir. 

J'aurais voulu lui faire découvrir bien plus. Lui faire rencontrer les sept. Lui faire voir la campagne. Avec ses arbres. Ses champs. Ses animaux. Voir l'étonnement passé à la malice. Son sourire si caractéristique. Avant qu'il ne m'arrose de l'eau froide d'une rivière. Son rire magnifique suivant son mouvement.

Mais au lieu de cela. Je m'habillais en silence. Fermais la porte sur nos souvenirs. Et terminais ce qui devait l'être depuis longtemps.

Quelques heures plus tard je retrouvais Minho. Un sourire carnassier teinté son visage.

« Tu as été long.

- C'était nécessaire. »

Je mis un terme à la conversation. Sachant très bien ce qu'il en pensait. Ses yeux trahissaient son amusement. Mais malgré cela, il s'inquiéta sur mon état. Se permit de me débarrasser des dernières odeurs de Woojin. Avant que l'on rejoigne les autres. Notre butin en main.

Chacun me félicita à sa façon. Des accolades. Des mots. Des sourires.

Et on partit. S'éclipsant dans l'aurore naissante. Disparaissant de cette ville. Avec quelques dizaines des trésors royaux.



07 octobre 2024

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro