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Chapitre 30

C'était bizarre, Inacio et Joâo lui avaient demandé de faire à manger pour quatre ce midi-là. Soraia n'avait eu le droit à aucune autre information supplémentaire, aiguisant sa curiosité sur la personne qui allait passer le déjeuner avec eux. C'était probablement un des membres du groupe de neuf qui passait tout le temps à la villa, mais lequel ?

Edouardo peut-être ? Elle l'aimait plutôt bien en plus. Ou encore Idalina ? Elle adorait cette fille !

Comme elle avait du temps devant elle, elle décida donc de faire un gratin au poisson et au curry. Se rappelant alors que le dernier repas qu'elle avait fait ici, c'est-à-dire la veille, elle avait laissé un plat de pâtes à l'eau aux deux frères.

Et en fait, elle se demandait comme ça se faisait qu'elle soit toujours en vie.

Ils ne lui avaient même pas fait de remarque.

Étrange...

C'est vrai que du peu qu'elle avait vu ses supérieurs ce matin, ils avaient eu l'air assez préoccupés. Nerveux, même, ce qui se montrait assez troublant étant donné de leur tempérament naturellement froid et contrôlé. C'est que la personne qui allait venir ce midi devait être importante si elle arrivait à mettre Joâo et Inacio dans cet état-là. Ou avait quelque chose d'important à leur dire.

Elle se rendit tranquillement mettre le couvert tandis que son plat cuisait. Aucun bruit ne résonnait dans la villa, et bien qu'elle crût entendre une voiture crisser sur les gravillons quelques instants auparavant, aucun véhicule n'était garé devant la demeure.

La brunette retourna ensuite dans la cuisine. Il était treize heures lorsqu'Inacio entra dans la pièce, souriant.

Soraia fronça des sourcils.

Comment ça souriant ?

C'était si rare !

Et mon Dieu, il n'en n'était que plus beau...

- Si tu es prête on va pouvoir passer à table. Lança-t-il de sa voix habituelle. La jeune femme acquiesça, mais alors qu'elle se penchait vers le four pour en sortir le plat, la main chaude du garçon se posa brusquement sur son bras.

- Laisse, je m'en charge

- Mais... non ne t'inquiètes pas ! Il ne faut pas se déranger pour moi je vais me débrouiller.

Mais apparemment déterminé, l'homme se contenta de la pousser calmement pour enfiler un gant de cuisine à sa main droite et empoigner l'ustensile encore brûlant d'où venait une délicieuse odeur. Il plongea ses yeux verts dans ceux violets de son interlocutrice. Ils étaient remplis de malice... et d'une touche d'appréhension.

C'est que le mafieux était plus qu'intriguer que de voir comment Soraia allait réagir en voyant le Cygne. Ou plutôt Anastasia, si vous préférez. Mais en même temps, il avait légèrement peur que la brunette ne leur refasse une crise d'angoisse, car le sottocapo de son frère n'avait encore jamais daigné leur détailler la relation qu'elle entretenait ou avait entretenu avec la portugaise.

Etaient-elles proches ?

Ou au contraire se haïssaient-elles ?

Car connaissant la blonde, les deux propositions avaient autant de chances d'êtres la bonnes. Anastasia était assez mesquine pour fourrer ses ennemis dans les crocs de ses alliés. Et assez complaisante pour savoir introduire ses bons amis dans son cercles privé, aussi lugubre soit-il.

Si tu tombes, nous tomberons ensemble. Disait les paroles d'une chanson américaine dont il ne savait plus le nom, et après tout il s'en foutait. Ce qui comptait c'est que cette phrase, c'était juste parfait pour décrire un des états d'esprits de la Russe.

Or, si la mafieuse et cet joli petit bout de femme ne pouvait pas se voir...

Tout allait s'effondrer.

Lui et Joâo voulaient Soraia. Ils la désiraient, d'abord de manière charnelle mais aussi et surtout apparaissait cette envie de possession sentimentale.

Et ça paraissait impossible d'entretenir une relation avec la jeune fille si la membre la plus importante de leur équipe n'acceptait pas celle-ci.

Ce n'est pas qu'il stressait, d'attendre ce verdict...

Mais si, un peu quand même. Ça l'angoissait, putain de merde. Et ça l'angoissait encore plus que de savoir qu'il était angoissé pour cette portugaise. C'était mauvais. Pour ce barrage construit autours de lui, pour son âme et son cœur qui devaient rester inhumains pour survivre et exister dans ce monde si noir. Qu'en pensait Joâo, lui ? Son frère semblait bien plus maîtriser la situation, bien qu'il sente tout de même qu'un certain trouble l'habitait. C'est qu'ils étaient si fusionnels...

Fusionnels au point qu'on pourrait croire qu'ils partageaient la même âme. Dure et cruelle. Et actuellement déstabilisée par ces iris violets. Ça les frustrait profondément de voir leurs corps si attirées par la jeune femme. Et ça les amusait, ça les intéressait, aussi. Tout cela était si paradoxal.

Il posa d'un geste maitrisé sa main gauche dans le dos féminin, l'incitant à marcher à ses côtés. Il sentait le corps de la brunette se contracter légèrement mais n'y prêta pas attention. Elle se crispait si souvent que s'en était presque devenu habituel.

Il n'enleva sa main que pour ouvrir la porte qui menait à la salle à manger, remarquant que sa femme de ménage était plutôt surprise par ces gestes attentionnés. Il haussa les épaules, la laissant passer avant lui, ce qu'elle fit après une légère hésitation.

Mais à peine Soraia eut-elle passée la porte que ses jambes cessèrent de marcher. De toute façon, elle ne pouvait plus. Il y avait là, une femme, en train de parler à Joâo. Elle avait de longs cheveux couleur or, qui dégringolaient dans son dos et sur sa poitrine. Elle distinguait ses yeux bleus, et les deux larmes tatouées sur sa pomette.

Les yeux violets de Soraia s'ouvrirent en grand. Elle la reconnaissait entre mille. Bouche-bée, elle vit la femme se retourner vers elle et sourire de toute ces dents. Ses yeux s'embrumaient de larmes alors que ses jambes commençaient à trembler.

Ce n'était pas possible, ce n'était pas possible...

Elle rêvait, c'était sûr, elle rêvait !

Anastasia ne pouvait pas être là ! Elle ne pouvait pas...

Non... Anastasia était à plusieurs centaines de kilomètres d'ici, enfermée à White Swan.

La portugaise voyait ses jambes flageoler et elle maudit intérieurement la faiblesse de son corps, tout en sentant Inacio poser une main sur son épaule, comme pour la rassurer. Mais ce contact fut comme un poid qui s'était écrasé sur son corps. Elle se sentait lourde, et avait l'impression que cette main l'écrasait de tour son poid. La brunette faillit s'effondrer, elle aurait bien finie par terre si l'homme ne l'avait pas un dernier moment rattrapé. Son cerveau avait tout bonnement cessé de fonctionner. La brunette sentit juste Inacio la coller à lui d'un geste protecteur. Les yeux verts l'avaient des éclairs en direction de la blonde, comme un avertissement silencieux, une menace de si elle essayait de faire du mal à la portugaise. Joâo, lui, était immobile, observant calmement ce qui se passait face à lui, bras croisés sur la poitrine.

Soraia n'essayait même pas de savoir comment la femme était arrivée ici. Comment elle connaissait ses patrons. Comment tout cela était possible.

Elle voyait juste la Russe écarter jovialement les bras.

Et un sanglot lui échappa alors qu'elle s'y jeta, sous les yeux abasourdis des deux frères.

- Боже мой Ана ... Ho mon Dieu Ana... Hoqueta-t-elle en enfouissant sa tête dans le cou de la femme qui la serrait dans ses bras.

La Russe caressa d'une façon presque maternelle les cheveux noirs de la jeune femme avant de répondre :

- Я сказал тебе, что в ближайшее время ты не собираешься от меня избавляться. Je t'avais dit que tu n'allais pas te débarrasser de moi de sitôt. Soraia rit nerveusement tout en décollant sa tête du corps de la femme pour se poser face à elle.

Ce visage lui avait tellement manqué.

- Волосы меняются от того, что я вижу. Changement capillaire à ce que je vois.

- Я хотел измениться. J'avais envie de changer. Lui répondit la brunette en lançant un sourire splendide.

Le regard d'Anastasia resta encore quelques temps posé sur elle, à l'observer calmement, comme une mère qui inspecte son enfant, heureuse de le retrouver après un long voyage. Elle les yeux de la russe se dirigèrent ensuite vers Inacio, qui les détaillait sans bouger, le repas toujours dans le main.

- Хочешь автограф? Tu veux un autographe ? Lança-t-elle d'un air mi-agressif mi-amusé, ce qui fit lâcher un ricanement au mafieux.

Entendre la voix de l'homme fit revenir Soraia à la réalité. Elle se décrocha brusquement de son amie pour tourner la tête vers le deuxième fils, puis le premier, puis Anastasia. Faisant des aller-retours de regards entre les trois individus. Son cerveau fusait.

La probabilité qu'elle retrouve la blonde ici était si faible pourtant... presque inexistante croyait-elle-même, pensant innocemment que les deux frères étaient de simples hommes d'affaire.

Au bout d'une longue minute de silence, Joâo parut lassé et s'assit à sa place, très vite suivit par Anastasia. Le futur Parrain et son bras droit étaient assez similaires, lorsqu'on ne les connaissait pas : froid, distant, parlant peu et haïssant le monde entier. Mais quand on les inspectait plus en profondeur, Anastasia était plus vive et affectueuse envers son cercle privé, contrairement à l'homme qui restait insensible. Et puis, elle était aussi extrêmement mesquine, malicieuse.

Ils s'assirent tous en silence. Soraia avait pourtant des centaines de questions à poser. Enfin non, des milliers. Mais sa bouche restait fermée, observant l'air ébahit ses trois interlocuteurs.

Ils se connaissaient bien tous les trois. Elle ne savait pas comment elle arrivait à le déduire, mais dans tout les cas elle le sentait. Par cette façon presque fraternelle avec laquelle il se regardait. Ces paroles muettes qui circulaient si mystérieusement entre eux.

Et elle sursauta presque en se souvenant de ça : ce même tatouage qui ornait leur avant-bras gauche.

Ho non, ce n'était pas une coïncidence. Que Joâo, Inacio, Anastasia et Idalina porte ce même emblème gravé sur leur peau. Elle fronça des sourcils, intriguée.

- Comment... Comment vous vous connaissez ? Demanda-t-elle d'une petite voix. Les trois autres se lancèrent un simple regard, comme pour déterminer lequel allait répondre, et ce fut non sans grand étonnement qu'Inacio prit la parole :

- On fait partie de la même famille.

À cette entente, Anastasia ricana :

- Надей свой рот. Она прекрасно знает, что я сирота. Nace ta gueule. Elle sait très bien que je suis orpheline.

Elle avait parlé en Russe, car en effet, la jeune femme connaissait très bien cette langue -qui lui était maternelle- tout comme le grec et l'italien. Mais le portugais restait encore flou dans sa tête, du fait qu'elle était en phase d'apprentissage et que son incarcération en Russie ne l'aidait pas beaucoup sur ce point-là.

La visage des deux homme se crispa, sous l'air malin d'Anastasia qui semblait s'amuser de la situation.

- Та же семья, так сказать... Même famille, façon de parler... Grommela le deuxième fils comme pour se rattraper.

Anastasia plongea ses yeux azur dans ceux de Joâo. Celui-ci comprit immédiatement le message, leva les yeux au ciel d'un air désapprobateur, mais voyant qu'elle le soutenait, l'homme lança froidement :

- Anastasia est le Cygne.

Soraia fronça les sourcils, puis écarquilla les yeux, pour finir par recracher dans son verre l'eau qu'elle était en train de boire, manquant de s'étouffer. Elle toussa une bonne dizaine de fois avant de se redresser, presque honteuse, posant ses yeux rond sur la blonde.

Anastasia était le Cygne. Elle rit nerveusement, pensant immédiatement à cet article qu'elle avait tant négligé sur une soi-disant criminelle réputée... C'était la vérité. Ses patrons étaient proches de la femme. Proche d'une personne incarcérée à perpétuité dans un établissement pénitentiaire de Russie. D'ailleurs, à ce propos...

- Но... но подождите, вы... как вы сюда попали? Mais... mais attends, tu... comment t'es arrivée ici ?

Ça lui faisait vraiment bizarre de passer ainsi d'une langue à une autre, mais étrangement son cerveau semblait très bien s'en accommoder.

- Выпуск под поручительства на праздники. Relâchement sous caution pour les fêtes. Lança la jeune femme, sous-entendant bien que sa situation se situait dans le monde des magouilles "illégales mais légale".

- Mais... Mais... Mais... Je ne comprends pas. Elle rit nerveusement. Je ne comprends rien. Pourquoi, vous, dit-elle en visant les deux frères, la connaissez elle, avait-elle rajouté à l'attention de la blonde. Sa voix était faible, reflet de son cerveau en surcharge qui tentait tant bien que mal de trier toutes les informations qu'il avait accumulées.

Elle remarqua que les deux garçons semblaient tendus. C'est qu'il appréhendait un peu cette rencontrer.

Soraia ne devait pas savoir. Point final. Et ils firent bien passer ce message à leur meilleure amie par ce regard lourd qu'ils lui adressèrent. Celle-ci soupira, quoiqu'étant en parfait accord avec la situation. La portugaise n'était pas prête. Elle devait d'abord mener son enquête. Savoir ce que la brunette savait sur les deux frères, car connaissant celle-ci elle n'avait probablement pas pu résister à l'idée d'hacker leur système informatique malgré toutes les belles promesses du contraire qu'elle se faisait.

Et puis le blondinette voulait savoir, aussi, si les Osabio étaient au courant qu'ils abritaient sous leur toit un jeune talent hors-pair. Se demandant ce que les deux frères savaient et ne savaient pas à propos de leur femme à tout faire.

- Я встретил молодых Жоао и Инасио. Я уже свернул не на ту сторону, и нет возможности повернуть назад. И они меня поддержали. J'ai rencontré Joâo et Inacio jeune. J'avais déjà viré du mauvais côté, sans possibilité de retours en arrière. Et ils m'ont soutenu. Elle acquiesça, comme approbant elle-même ses propos, avant de continuer :

- Вы знаете, что в этом "курсе великих" силы сочетаются друг с другом, хотя они происходят из самых разных миров. Tu le sais, que c'est fréquent dans cette « cours des grands » que les puissances s'allient entre eux, bien que venant parfois de mondes opposés.

La brunette tremblait. Elle tremblait juste de tout son corps, mais ravala brusquement les larmes qui envahissait ses yeux. Elle ne voulait pas être faible devant Anastasia. Elle ne pouvait pas la décevoir, c'était impossible. Pas après tout ce que la russe avait fait pour elle... Soraia se contenta alors qu'hocher la tête d'un air dubitative, enfourchant dans sa bouche un morceau de gratin pour faire en sorte que son corps pense à autre chose en se focalisant sur la nourriture.

Bien sûr qu'elle savait ces alliances qui se faisaient, elle n'était pas naïve à ce point quand même ! La portugaise avait passée assez d'heures dans les rouages d'internet pour découvrir que certains ministre s'alliaient à la Mafia par exemple, des juristes aux cartels et trafiquants de drogues. Des stars, acteurs, célébrités de tous les jours prêtaient alliances à ces grandes organisations de l'ombre, ne se rendant même pas compte la dangerosité de leur acte.

Elle passa le reste du déjeuner dans un état seconde, mais aucun de ses trois interlocuteurs ne le releva. En même temps, quoi de plus normal d'être sous le choque après la découverte qu'elle venait de faire... Anastasia se contenta de parler joyeusement à son amie, de tout et de rien, faisant comme si de rien n'était. Et Soraia suivit le fil de la conversation, essayant de faire semblant que tout ceci était normal. Et puis, dans le fond, elle était véritablement heureuse de revoir la russe. Si heureuse qu'elle souriait presque béatement en la regardant. La femme n'avait pas changé, pas bougé d'un poil depuis fin juillet, ou elle avait enfin pu quitter cet enfer sur terre qu'était White Swan.

Joâo, qui était à ses côtés et sentait les tensions de la brunette avait calmement posé sa main sur la cuisse de celle-ci. La jeune femme sursauta et tenta de se défaire discrètement de cette emprise, mais son patron ne fit qu'accentuer la pression, faisant bien comprendre qu'il ne comptait en aucun cas changer sa position. Soraia déglutit, mais finit par s'en satisfaire, car inconsciemment ce contact sur sa jambe la calmait, jusqu'à faire cesser ses tremblements. L'homme plongea ses yeux verts dans les siens l'espace d'une secondes, avant de reprendre le fil de la conversation qui se déroulait avec son frère et son amie.

Son regard insensible la soulageait instantanément, comme s'il lui disait « tout va bien se passer » par un simple coup d'œil. C'était à la fois étrange et envoutant.

Le futur Parrain ne savait même pas pourquoi il faisait ce geste. C'était presque instinctif. De la toucher. Elle éveillait chez lui un désir bien trop important pour qu'il puisse l'ignorer, c'était étrange. En temps normal, les femmes imprégnaient en lui une envie charnelle. Mais rien de plus. N'apportant que cette satisfaction sexuelle dont il se contentait parfaitement. Et de toute façon, il les haïssait trop pour qu'il en soit autrement. Joâo haïssait chaque être humaine, chaque homme, chaque femme de cette planète sauf pour rares exceptions : son frère, sa sœur, Anastasia... Léna Da Costa. Eux, il les supportait plutôt bien, appréciant leur présence. Pour son père et ses Capo, il les supportait simplement. Et pour tout autre individu vivant sur cette planète, il ne ressentait que dégoût.

Le jeune homme était un véritable misanthrope. Et puis voilà que cette jeune portugaise éveillait en lui une sorte de... curiosité.

Anastasia, dans leurs premier jours, avait su faire naitre cette même émotion, mais mélangée avec une certaine admiration. Il posa les yeux sur la blonde. Elle souriait en parlant vivement.

Soraia, elle, il ne l'admirait pas. C'était simplement de la curiosité. Curiosité de comprendre pourquoi elle éveillait en lui un tel désir, presque inapproprié. Pourquoi elle semblait avoir cette peur irrationnel qui lui nouait les entrailles. Pourquoi, quand il la touchait ainsi, on eut l'impression qu'elle avait à la fois envie de partir en courant que de se jeter dans ses bras.

Il reposa ses yeux sur Anastasia.

Que donc sont Sottocapo leur avait caché au sujet de la portugaise. Car il était indéniable que son frère et lui n'avaient pas été mis au courant de tout...

⭐⭐⭐
Et voilà enfin la rencontre entre Soraia et Anastasia !
Moi même je m'attendais à quelque chose de plus spectaculaire mais je n'ai pas réussi à écrire autrement 🤷‍♀️, j'espère dans tous les cas que ça vous a plus !

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