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Chapitre 18 : Je suis désolé

Point de vue d'Angleterre - Retour en arrière

Nous sommes au moment ou Londres viens juste de s'enfuir de chez Angleterre.

Non, non... Je ne voulais pas que ça se passe comme ça... Je ne voulais pas...

Ses larmes ne cessait de couler, il s'est relever et est parti à la recherche de Londres, il voulait absolument la retrouver... Absolument... Il pleuvait des cordes dehors mais n'en accordait pas une grande importance, il voulait juste trouver Londres, et se faire pardonner pour son acte méprisable. Il courrait dans tous les recoins de la ville, a la recherche de celle qu'il chérissait le plus, mais rien...

Angleterre : Londres... Londres... Pardonne moi... Je ne voulais pas... Reviens...

Il s'était écroulé au sol, et est rester ainsi pendant un certain temps. La pluie étaient ses larmes, son cœur était en larmes. Ses yeux émeraude n'avait plus de lueurs, son regard était vide, il se sentait tellement mal, il souffrait tellement, peut être même qu'il se sentait comme ce jour auparavant qu'il ne pouvait pas oublier...

??? : Angleterre-san, que faîtes vous ici ?

Il releva la tête pour voir qui lui adressait la parole, il n'a pu trouver que son cher ami, Japon.

Japon : Ne restez pas ainsi sous cette pluie, vous risquez d'attraper froid.
Angleterre : Japan...

Sans qu'il ne puisse rien faire, l'homme japonais l'aida a se relever et l'abrita sous son parapluie puis son rentrer ensemble chez Angleterre. Aussitôt arriver, il aida l'anglais à se sécher pour ne pas qu'il attrape un rhume. Mais Angleterre semblait toujours comme si un vide s'était crée en lui.

Japon : Que vous arrive t'il Angleterre-san ? Vous n'êtes point comme a votre habitude.
Angleterre : Tu sais Japon... Je crois que je suis l'homme le plus horrible qui existe...
Japon : Pourquoi dites-vous cela ?
Angleterre : Je me sens comme à mes temps de pirate...
Japon : Cet époque là est révolu, vous êtes un nouvel homme à présent...
Angleterre *sourire amère* : Je me demande...

Mais d'un côté il a raison, je ne suis plus l'ancien moi, mais cela n'explique pas mon acte précédent... Je me sens tellement pitoyable...

Japon : Angleterre-san, pouvez vous m'expliquer de quoi il s'agit ? Peut-être que je ne pourrai pas vous aider mais je pourrai au moins vous écouté.
Angleterre : Je ne sais pas Japon...
Japon : Je vous en pris, dites le moi. Vous voir ainsi me donne un sentiment très désagréable.
Angleterre : Très bien...

Je lui ai tout dit, ma curiosité sur la discussion de Londres et France, l'appel téléphonique de France et... Ma dispute "rude" avec Londres...

Japon : Je vois, cela a été dur pour vous deux...
Angleterre : Tout est de ma faute... Je ne sais pas ce qui m'a pris... Je ne voulais pas...
Japon : Angleterre-san, je pense que vous devriez arrêter de ruminer du noir dans votre coin et que vous devriez agir afin de rétablir la situation. Si vous pensez que tout est de votre faute, alors faites en sorte de réparer vos erreurs !
Angleterre : Japon...
Japon : Vous devez retrouver Londres-san, Angleterre-san, et vous excusé comme ferai le gentleman que vous prétendez être !

Il est rare de voir Japon ainsi, il ma l'air tellement sérieux à ce sujet et tiens vraiment à m'aider. Il m'a vraiment remis les idées en place, il a raison je ne devrai pas rester comme ça. Je suis un gentleman après tout et je dois réparer mes erreurs comme tout le monde.

Angleterre : Oui, tu as raison Japon, je dois retrouver Londres et m'excuser auprès d'elle !
Japon : C'est l'intention !
Angleterre : Mais tout a l'heure en la suivant je ne l'ai pas trouver, je ne sais pas ou elle peut bien être...
Japon : Dans ce cas, reposez-vous pour le moment et demain allez voir France.
Angleterre : France ? Pourquoi aller voir ce Frenchie ?
Japon : N'est-ce pas lui le déclencheur de ces événements ? Après tout, son appel téléphonique et sa discussion avec Londres, je pense que vous devriez lui demander.
Angleterre : Maintenant que tu le dis...

En fait, j'ai toujours su qu'il était la cause de tout mes problèmes...

Une étrange aura rouge entourait Angleterre alors qu'il était dans ses pensées...

Japon : Angleterre-san...?
Angleterre : Merci pour tout Japon, maintenant je sais ce que je dois faire...

Oui, je n'ai qu'une seule chose à faire, un seule et unique chose...

La nuit passa rapidement et Japon est rentrer chez lui, maintenant sur que son ami anglais était dans un meilleur état qu'auparavant et rentra chez lui en toute tranquillité en priant à la réussite de son ami.

Il était désormais 10h du matin quand Angleterre sorti de chez lui. Il pris sa voiture et parti chez France, avec la détermination de lui faire tout avouer. Le trajet n'était pas bien long et il arriva chez lui vers 11h. Personnellement il ne voulait pas voir cette face de grenouille mais savais qu'il était nécessaire si il voulait le dernier mot à la fin. Il arriva devant la porte et sonna. Il entendis des bruits de pas et la porte s'ouvrant brusquement, révélant une petite forme brune, il s'agissait de Paris.

Paris : Angleterre ?
Angleterre : Bonjour Paris.
Paris : Bonjour. Que faites-vous là ?
Angleterre : Je dois voir France.
Paris : France ? Il est dans son bureau en ce moment, il est plonger dans le travail car il a des dossiers en retard.
Angleterre : Je dois le voir d'urgence, dis lui que c'est important.
Paris : D'accord, suis moi.

J'ai suivie Paris dans un long couloir bien décoré mais je n'y fais pas vraiment attention, j'ai des choses importantes à régler. On s'arrête devant un large porte en ébène, elle toque doucement sur la porte.

Paris : France, c'est moi, tu as de la visite.
France : Entre.

La frêle jeune femme ouvrit la porte et s'engouffra à l'intérieur et je la suivis, et comme elle l'avait dit, France était derrière son bureau, entouré d'une pile de document, un stylo à la main et un regard sérieux sur son visage ce qui est plutôt rare venant de cet homme frivole. Il ne lâchait pas du regard la feuille en face de lui.

France : Qui est-ce ?
Paris : Angleterre.
France : Impossible, il ne viendrai jamais de son propre grès...
Angleterre : Et bien si c'est possible bloody frog.

À mes paroles, il a tout de suite levé sa tête et semblait bien plus que surpris par ma présence en ces lieux.

France : Tu t'es enfin décidé a rendre visite à grand frère ?
Angleterre *sérieux* : Absolument pas. Je dois te parler de quelque chose de très important.
France : Ne me regard pas avec ces yeux la ! Tu fais peur à grand frère !
Paris : Hum...
France : Mh ? A désoler Paris, tu peux y aller, je vais parler avec Angleterre.
Paris : Très bien, sur ce, bonne journée.

Et la jeune capitale sortie de la pièce, me laissant seul avec France dans un silence complet.

France : Et donc... Qu'est-ce que tu me veux ?
Angleterre : J'ai une chose à te demander.
France : Une faveur ? Laquelle ?
Angleterre : Dis moi de quoi tu parlais avec Londres lors de la dernière conférence.
France : Pourquoi tu veux le savoir ?
Angleterre : Ce ne sont pas tes affaires, réponds moi c'est tout ce que je te demande.
France : Tu sais, c'était une discussion privé entre Londres et moi, tu n'as pas a être au courant tu n'est pas son père à ce que je sache !

Je n'ai pas pu me retenir, j'ai foncé dans sa direction et j'ai brutalement frappé son bureau avec ma main gauche tandis que celle de droite attrapait le col de la chemise de France.

Angleterre : Il est peut-être arriver quelque chose de grave à Londres a cause de toi alors réponds !!!
France: Qu'est ce qui s'est passé avec Londres ?
Angleterre :...
France : Même si on a beau se détester, tu n'a pas été aussi violent avec moi depuis cet époque révolu, qu'est-ce qui s'est passé ?
Angleterre : Tu n'as pas besoin de le savoir...
France : Je vois dans tes yeux que tu n'est pas près de me répondre, alors je ne te dirai rien non plus.
Angleterre : Oh que si tu vas le faire...
France : Et en quel honneur ?!

Pendant que je le tenais toujours de ma main, l'autre est aller chercher dans la poche de mon uniforme une photo que Japon m'a donner. Je l'ai sorti sous le nez de France.

France : Où as tu eu sa ?!
Angleterre : C'est simple, réponds à ma question ou je mettrai en ligne cet magnifique photo de toi.
France : Tu n'est pas capable de te servir d'un truc comme-
Angleterre : Sauf si je demande à Estonie.

Son visage devînt pâle aussitôt. J'ai lâcher l'emprise de ma main sur sa chemise et je me suis reculé un peu pour pouvoir m'asseoir en face de lui.

France : Du chantage hein ? Je vais te le dire mais seulement pour que tu ne ruine pas ma glorieuse et sublime réputation !
Angleterre : Oui, oui... Maintenant dépêche toi.
France : Quel ingratitude...

Il a réarrangé sa chemise et s'est mis droit sur sa chaise puis il me regarda fixement.

France : C'est très simple, j'ai juste dévoilé à Londres ses sentiments pour toi, je n'ai fait que l'aider en tant que pays de l'amour.
Angleterre :... Quoi...? Comment ça ses sentiments pour...
France : Ah lala, c'est tellement évident ! Londres est amoureuse de toi !
Angleterre : Elle... M'aime...?
France : Oui, et toi aussi tu l'aimes, je suis sur que tu as remarquer depuis longtemps que pour toi, elle est spéciale...

Mon cœur a sauté un battement. Puis il a commencer à se serrer. Londres m'aime et je l'aimes ? Est-ce que c'est pour sa que je me sentais étrange avec elle ? Est-ce que c'est pour cela que je voulais la garder près de moi plus que tout les autres ? Oui... Maintenant tout est clair, je veux être quelqu'un de spécial à ces yeux, je veux la rendre heureuse à n'importe quel prix.

Angleterre : Je vois... C'était donc ça...
France : Satisfait maintenant ?
Angleterre : Oui, je m'en vais... J'ai une chose à régler de tout urgence.
France : Pour la photo...
Angleterre : Ah, je te la donne, je n'en ai plus besoin.

Je lui jette la photo sur le bureau en me levant de mon siège et je m'apprête a sortir de la pièce quand je me suis arrêter au moment ou j'avais ouvert la porte à moitié.

France : Quoi encore ?!
Angleterre :... Merci...

Et j'ai fermé la porte derrière moi, dans des circonstances normales je n'aurai jamais dis quelque chose comme ça. Je suis presque certain d'avoir entendu un bruit sourd juste après mais je n'y fais pas attention, maintenant je dois chercher Londres, et lui dire ce que je ressens vraiment.

Point de vue de France

Bon sang qu'est-ce qu'il m'a pris ? Je suis tombé de ma chaise par simple étonnement, je n'aurai jamais penser que pendant toute ma vie, je l'entendrait dire ça...

France : Celui-là...

La porte s'est soudainement réouverte mais cette fois c'était Paris, elle accouru vers moi dès qu'elle m'a vu, son visage laissait transparaître une légère inquiétude.

Paris : France, tu vas bien ?!
France : Oui, comment dire... Aujourd'hui était une journée bien étrange...
Paris : ?

Point de vue d'Amérique

Amérique : Hey, Londres ! Dépêche-toi ! Canada aussi !! Le héros arrive premier !
Londres *éssouflé* : Tu cours trop vite...
Canada : Ce n'est pas une compétition...
Amérique : Rappelez-vous ! Le dernier qui arrive au sommet de la colline prépara le dîner ce soir !
Canada *soupire* : Tu dis ça car c'est ton tour de le faire ce soir et que tu ne veux pas le faire car il y a "Avengers" à la tv...
Amérique : P-Pas du tout...! Mais Canada c'est une série de héros et j'en suis un aussi donc c'est mon devoir de regarder !
Canada : Oui...

Nous sommes tous arrivés au sommet de la colline, elle entourés de nombreux sapins verts ainsi que d'ours blanc ressemblant étrangement à celui qui mon frère garde avec lui. Mais pas de souci, cette colline est entouré d'une forêt et nous sommes au Canada !

Amérique : Yeah ! J'ai la dalle ! Mangeons ici !!
Canada : Un pique nique sous l'arbre...? Cela me semble bien...
Londres : J'ai préparer des sandwichs où cas ou. J'espère que sa ne vous dérange pas que j'ai utiliser les ingrédients de la cuisine...
Canada : Pas du tout... Merci... Cela nous arrange...

Les 3 heureux se sont installés en dessous d'un grand arbre, ou sapin plutôt. Ils ont tous commencer à manger. Il était aux environs de 13h.

Amérique : Même si j'ai une préférence pour Macdonald tes sandwichs sont bon aussi !!
Canada : Oui, ils sont délicieux...
Londres *souris* : Merci vous deux !
Amérique : Au fait Londres, tu n'as pas oublier quelque chose la dernière fois que tu es venu à la conférence ?
Londres : Maintenant que tu le dis... Ah ! Ma montre à gousset !
Amérique : Yes, it's exactly ! J'étais venu te le rapporter attend !

Je cherche dans les poches de mon manteau la fameuse montre, je cherche... Je cherche... Je ne les trouve pas ?! Pas possible ! Je les ais oubliés !

Amérique : Mince, j'ai du les laisser chez moi, attends moi là avec Canada, je vais la chercher !
Londres : Ce n'est pas la peine, tu peux y aller plus tard.
Amérique : Non, c'est la mission du héros alors laisse moi m'en charger, je reviendrai vite !

J'ai couru aussi vite que mes jambes le pouvait. Canada est mon voisin donc le chemin n'est pas trop long et avec ma vitesse je peux y arriver en un clin d'œil. It's easy ! Je pense qu'au bout de quelques minutes j'y suis arriver, je me suis dépêcher d'ouvrir et je suis entrer dans ma chambre en fouillant dans mes tiroirs.

Amérique : Pas ça, pas ça, non plus... Pas la... Ici !

Une montre à gousset doré avec des motifs splendide ! Maintenant que je l'ai je peux y retourner, je le garde de ma main et je sors et referme aussitôt la porte à clé. Pendant ce temps, j'ai entendu des bruits de pas derrière moi, je me suis retourner après avoir fermer et en un instant j'ai été surpris puis la colère est monté en moi dès que je l'ai vu...

Amérique : Qu'est-ce que tu fais là, Angleterre ?

Avant de me répondre, il regardait autre part. J'ai suivie son regard, en direction de ma main qui tenait la montre de Londres.

Angleterre : Je m'en doutais... Elle est avec toi n'est-ce pas ?
Amérique *furieux* : You !!!

Aussi vive et rapide que l'éclair, mon corps à bouger en raison de mes sentiments, et je ne me suis pas retenue. J'étais devant lui en un rien de temps et je lui ai collé mon poing dans la figure, il n'as pas chercher à esquiver et je l'ai éjecter de quelques mètres, il est retombé au sol, sa joue était enflé.

Amérique : Jerk... Comment oses-tu venir ici après ce que tu as fait ?! Tu sais ce que tu as oser faire à Londres !??
Angleterre : Je le sais très bien... J'ai mérité ce coup... Et si je suis ici c'est pour trouver Londres, je dois lui parler...
Amérique : Tu penses que je vais te laisser faire ?!!

Il tenait sa joue rouge avec sa main et se relevait, son regard était devenu sérieux.

Angleterre : Je suis venue pour m'excuser... S'il te plaît Amérique laisse moi la voir !
Amérique : Comment je pourrai le croire ?!!
Angleterre : Crois en moi, je te jure que je ne la ferai plus jamais souffrir de toute ma vie !!
Amérique : ...

J'ai bien envie de lui en coller une droite mais je peux voir dans ces yeux qu'il est sincère. Je n'ai pas envie qu'il la voit mais je ne veux pas non plus qu'elle reste comme ça. Peut-être que si ils se réconciliaient elle...

Amérique : D'accord... Je vais t'emmener jusqu'à elle... Mais si tu fais quoi que ce soit qui me mettra en colère je ne te raterait pas !
Angleterre : Oui, c'est entendu...
Amérique : Suis moi...

L'homme anglais a suivi l'américain et un long silence s'installa durant le trajet. Il était anxieux car il ne savait pas si il avait bien fait. Les deux hommes marchaient dans le silence absolu, personne n'a tenter de parler à l'autre. Arriver au bas de la colline, on pouvait seulement voit le haut du grand arbre sous lesquels se trouvait Londres et Canada. Il hésitait à monter mais n'avait pas d'autre choix que de le faire, a mi-chemin on pouvait voir Canada debout. Amérique l'a appeler en lui disant de venir, chose qu'il a faite. Alors que Canada rejoignait son frère, Angleterre était partie voir Londres, il jeta un dernier regard sur les frères avant de partir la rejoindre.

Canada : Tu es sur de toi...?
Amérique : Non...

Point de vue d'Angleterre

Je suis soulagé qu'Amérique m'est laissé voir Londres, son coup de poing m'a vraiment mal, la blessure sur ma joue me lance encore... Mais ce n'est rien comparé a la douleur que j'ai fait ressentir à Londres. Enfin au sommet de la colline, elle était là, ma belle était assise sur l'herbe verdoyante en regardant vers l'horizon, la légère brise laissait ses long cheveux doré flotté dans le vent, elle n'as pas l'air de m'avoir remarquer. Je ne veux plus perdre un instant...

Angleterre : Londres...

A l'entente de son nom, la jeune femme tourna légèrement son visage vers son interlocuteur même si elle savait déjà qui il était car elle avait reconnu sa voix... On pouvait lire plusieurs sentiments dans son regard, de la surprise, de la peur, et de la crainte...

Londres : Angleterre...
Angleterre : Londres... Je suis venu m'excuser...

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