Chapitre 14 : Un tableau romantique
Paris : À quoi penses-tu Italie ?
Italie : A quelque chose qui fera certainement plaisir a bella Paris !
Paris : Quoi donc ?
Italie : Suis moi !
D'un air joyeux et insouciant, Italie me conduit dans un couloir que j'ai n'avais jamais vu chez France depuis que je suis ici. Non, en faite j'avais déjà vu ce couloir mais jamais je ne m'en suis approchée car France me disait "Cette partie de chez moi appartient a quelqu'un d'autre." Italie s'y dirige comme si il était déjà venu ici auparavant, serait-ce lui ?
Paris : Italie, tu es déjà venu ici ?
Italie : Sì !
Paris : Tu sais où tu vas ?
Italie : Oui, je viens parfois ici, comme je rends souvent visite à France nii-chan, il a fait quelque chose de particulier pour moi !
Paris : De particulier ?
Italie : Ici !
Il pointe du doigt un porte fine en bois teinté d'un rouge vermeille à la poignée couleur or. Cette porte bien plus qu'intriguante était la seule dans le couloir emprunter plus tôt. Nous nous en rapprochons puis Italie pose sa main sur la poignée et l'ouvre lentement, a ce geste, une bribe de lumière s'en dégagait. Ensemble, nous entrons dans le pièce tant attendu. Un endroit simple, certes, mais joliment décorés, beaucoup d'étagères cachés par de grands draps blanc, des peintures et autres sont soit accrochés sur les murs, soit déposer au sol ou encore ranger sur les étagères, des tables et un peu plus loin un petit tabouret avec en face un tableau sur un chevalet. Plus loin, du matériel de peinture et de dessins, des pinceaux, des palettes, des couleurs, des crayons. Cette pièce était l'endroit rêver pour un jeune peintre.
Paris : Waouh !
Italie : C'est jolie non ? France a réserver cette pièce pour moi et me l'a donner en me disant que je pouvais dessiner et peindre autant que je le voulais !
Paris : Tu es l'auteur de tous ces tableaux ?
Italie : Ve~ ! Oui, j'en suis très fière.
Paris : Ils sont sublimes...
Un tableau, parmis toutes ces œuvres, avait particulièrement attirer mon attention. C'était celui sur le chevalet, elle semblait être une peinture récente, une peinture à l'huile. Ce tableau était un portrait, celui d'une jeune homme blonds aux yeux bleu, une barbe de trois jours, un regard attendrissant vêtu d'un costume élégant. Je connaissais cette personne, c'était...
Paris : France...
Italie : Ah ? Oui ! La dernière fois que je suis venu ici France m'a demander un portrait de lui. La peinture à l'huile met du temps à sécher donc je l'ai laisser la.
Paris : Il est splendide ! Italie je ne te connaissais pas ce talent d'artiste !
Italie : Héhé ! Sa me fait plaisir, si tu veux tu peux le prendre.
Paris : Tu es sûr ? C'est France qui t'as demander de le peindre non ?
Italie : Oui, mais il ne m'a jamais dit si il comptait l'exposer, je suis le peintre de ce tableau et je préfère mille fois qu'il rayonne dans ta maison que rester dans l'ombre de cette pièce !
Paris : C'est gentil de ta part Italie je suis très toucher, c'était sa la surprise ?
Italie *souris* : Non !
Je me suis retournée vers lui, étonnée. La pièce qu'il vient de m'offrir et sublime et j'étais heureuse de penser que c'était sa la surprise mais en faite ce n'était pas sa mais quelque chose d'autre ? Italie, venant de remarquer mon état soudain il...
Italie *clin d'oeil* : Ve~ Viens Paris !
Paris : Hein ?
Point de vue de France
Ah, cette journée a été devrais-je dire... Forte en émotion. Le jeu de Prusse était fort intéressant mais, si j'ai décider de mettre Londres avec Angleterre c'était pour améliorer leur relations. Je ne m'attendais pas du tout que mon plan aurai échoué à cause de Prusse ! Londres s'est évanoui, j'espère qu'elle va bien. Au final, c'était la paire Russie/Romano qui à gagner, bien que je pensais qu'ils allaient réclamer leurs récompenses, je vois Prusse se faire poursuivre par Romano et Espagne rigoler en les regardant... Je suis juste rentrer chez moi...
J'espère que je n'ai pas fait attendre Paris trop longtemps, je lui ai demander de rester chez moi mais était-ce vraiment la meilleur chose à faire...? Je l'ai laisser seule. C'est indigne de moi, je devrai me dépêcher d'aller la retrouver !
Après quelques pas de plus je rentre enfin chez moi, je suis satisfait on est bien meilleur chez soi ! Je ne vois pas Paris à l'entrée alors que je viens de faire une splendide entrée, où est elle ?
France : Paris ? Paris où est tu ?
Aucune réponse... Elle doit probablement se trouver dans le salon, je m'y dirige de ce pas. J'ouvre la porte et je ne vois personne, pourtant je remarque que les oreillers du sofa ne sont pas a leur place, elle a sûrement du attendre ici, a regarder la pluie tout en attendant mon retour. Je fronce les sourcils, quand soudain, une bonne odeur c'est fait ressentir par moi. Je la suis et je me retrouve dans le cuisine, il y a une marmite et des assiettes dans l'évier, sur le rebord de la cuisine, je vois un plat emballé dans de la cellophane, je m'approche et regarde.
France : Des pâtes... Et pas n'importe lesquelles en plus je reconnais son odeur unique et il n'y a qu'une personne capable de cela, après tout ce sont des pâtes italiennes.
Italie serait venu ? Pour quel raison ? Il y a deux assiettes dans l'évier donc je suppose qu'il n'a pas manger seul, peut être qu'il a dîner avec Paris... Italie comment as tu pu ?!! C'est moi qui aurait dû être a ta place et savourer ce magnifique instant !!
Mais encore, toujours aucune trace de Paris. Elle doit être avec Italie, oui, et le seul endroit où ils puissent être est... Je me suis précipiter dans le couloir pour me rendre à la pièce que j'ai offerte à Italie. Le long couloir n'est pas aussi long que ça et je suis vite arriver devant la porte au bois vermeille. J'entends vaguement du bruit à l'intérieure, je me penche et approche mon oreille de la porte. Je reconnais deux voix...
Paris : C-Comme ça...?
Italie : Oui ! Vous êtes parfaite bella, surtout ne bouger pas et laisser Italie s'occuper de tout !
Paris : C'est dur de rester dans cette position...
Italie : Tu peux le faire ! Je fais aussi vite possible !
Mais de quoi parlent ils ?! Ne me dis pas qu'ils...
Sans me poser plus de question j'ouvre violemment la porte.
France : ITALIIIIIEE !!! QU'EST CE QUE TU FAIS ?!!
Italie : Hiiiii !! France nii-chan !!!
Paris : France !
France : Italie !!! Explique toi !!!
Sous le coup de la colère, je n'ai vraiment pas fait attention à ce que se passait. Bien que je pointait Italie du doigt, il était mort de trouille et Paris semblait surprise par ma soudaine entrée. Italie, était debout avec une palette dans la main et un pinceau de l'autre, il était en face d'une toile, et Paris se trouvait non loin de la toile, assise sur une chaise.
Paris : France explique toi !
France *gloups* : J-je... Hum... Et bien je pensais que... Euh... Vous...
Paris : Que nous ?
France : Haha... Non rien... Que faisiez vous exactement...?
Paris : Exactement ce que tu vois.
J'observe un peu mieux, sur la toile devant Italie, une ravissante jeune femme était peinte d'une façon exquise. De long cheveux bruns, des yeux vert flamboyant, un regard mélancolique, elle est assise sur le rebord d'une fenêtre et regarde par dehors, elle était...
France : Il faisait... Ton portrait...?
Paris : Oui.
Italie : C'est vrai ! Bella Paris m'a donner un cadeau il y a peu et je voulais lui en faire un retour !
France : Je vois... Grand frère te doit des excuses Italie pour t'avoir effrayer... Et aussi à toi Paris !
Italie ton tableau est magnifique comme toujours.
Italie : Hehe, tu me flattes !
France : Sinon Italie pourquoi es-tu venu chez moi ?
Italie : Ah ! C'est vrai ! France nii-chan, quand est ce que tu me rendras mes tableaux ?
France : Tes... Tableaux...?
Le stress est monter, je suis mis a dos... Italie, pour son jeune âge est un peintre très prometteur et il se trouve que je lui ai emprunter ses tableaux, la plupart d'entre eux sont chez moi et les autres sont aux musée du Louvres, ils se trouvent que ses peintures italiennes ont beaucoup de succès auprès des touristes qui sont nombreux a voyager chez moi rien que pour les voir, ils font en quelques sortes... Mes rentabilités... Je ne dis pas qu'ils le sont toutes hein ! En plus avec Paris à coter je ne suis pas sur de pouvoir m'en sortir indemne.
France : Ha... Oui à ce sujet... Viens mon petit Italie allons en discuter dehors...
Italie : Oui !
Paris : Est-ce vraiment nécessaire ? Je ne vous dérangerait pas donc faites.
France *gloups* : Et bien... Ce n'est pas contre toi... C'est une affaire d'homme !
Paris : Tu m'as dis la même chose avec Chine.
France : Mais là c'en est vraiment une... Italie et moi devons parler affaire entre pays.
Paris : Alors avec Chine c'était faux ? Et je ne peux pas y participer parce que je suis une ville, bien que je suis la capitale c'est sa ?
France : Non ce n'est pas sa du tout !!!
Paris *légèrement surprise* : Alors pourquoi ?
Je ne veux pas qu'elle le prenne comme ça...
Il semblerait que je n'ai pas le choix...
France : Italie je-
Italie : Oui France nii-chan ?
Je sens le regard insistant de Paris se poser sur moi... Je n'ai qu'une seule chose à faire...
France *tapote l'épaule* : Bien sûr que je rendrais tes tableaux, c'est juste que comme ils sont nombreux et précieux cela prendra du temps de te les envoyer !
Italie : Merci France ! Je suis rassurer !
France : Tu peux repartir tranquille !
Italie : Oui ! Bella Paris !
Paris : Oui ?
Italie cours vers Paris et la serre dans une étreinte. J'ai bien envie de... Mais il s'en éloigne un peu ensuite, c'était juste pour lui dire au revoir donc cela peu aller.
Italie : Arrivederci Paris ! France !
Paris : Ah, Italie, et pour le tableau ?!
Italie : Tu peux le garder et faire ce que tu veux avec il est a toi !
France : Italie je te raccompagne ?
Italie : Non c'est bon ! Ve~
Et Italie sorti de la pièce, en laissant la porte ouverte. Laissant seul moi et Paris. Je m'approche de la toile qu'Italie venait de finir et je le comptemplait, ces traits fins, sa soyeuse chevelure, son visage radieux... Tout était parfait chez elle, autant le tableau que l'original.
France : Il est bien plus qu'un artiste amateur, il est un véritable professionnel même si il ne le pense pas...
Paris : France...?
France : Paris, tu es sublime...
Paris *rougis* : Q-Qu'est ce qui tu prends tout d'un coup...?
Je lui souris et instinctivement mon corps a bouger de lui même et je me suis placer en face d'elle. Je ne lui ai pas laisser le temps de faire quoi que ce soit que je l'avait déjà prise dans mes bras.
Paris *bégaye* : F-f-france...!! Qu'est ce que tu fais ?!
France : Je suis désoler de t'avoir laisser seule durant ces dernières heures...
Paris : Si ce n'est que ça je-
France : Non, je tiens a m'excuser proprement devant toi et je suis prêt a me rattraper.
Paris : Tu...
Je me recule légèrement et je la regarde tendrement puis je prends sa main et y déposer un baiser.
France : Mademoiselle, souhaitez-vous sortir avec moi demain ?
Paris *rouge* : Q-Quoi ?!! C'est un-
France *souris* : Oui, c'est un vrai rendez-vous...
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