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Imagine Calum Hood

#Amoureuse de l'indien ennemi...

J'étais coincée entre un mur de pierre et une meute de loups enragés, m'encerclant de toute part. Je n'avais aucune issue. J'étais prise au piège. Paniquée, je voyais ma vie défiler à toute l'allure. Non ce n'est pas possible, je ne peux pas finir ma vie à dix sept ans, je n'ai pas encore visité tout le monde. Je fermai les yeux quand j'entendis plus aucun bruit de grognements. Les loups avaient déguerpis. J'ouvris lentement les yeux. Je vis devant moi, un jeune garçon de mon âge à la peau mate. Il était assez grand en taille. Ses cheveux noirs étaient en désordre, ses yeux noirs me regardaient. Sa veste à moitié ouverte montrait ses abdominaux et ses bras musclés tendus devant moi pour m'aider à me relever. J'hésitais à la prendre. Après tout je ne le connaissais pas. Oh et puis zut, il est hyper mignon et il m'a sauvé la vie. Je pris sa main et il me releva. Ma tête butant contre son torse chaud...

Je rougis et je balbutiai:

"Je...Merci...euh..."

Comme s'il savait ce que je demandais,  il me dit:

"Calum.
-Qui?
-Mon nom c'est Calum Hood...des Mekhong..."

Mekhong...Oh non...j'étais en face du fis du pire ennemi de mon père. Pour une histoire de territoire, ils se sont embrouillés et depuis ils se haïssent. Je répondis brièvement:

"T/P des Alpaches..."

Il baissa la tête nerveux. On lui a sûrement dit à lui aussi de ne pas parler à quelqu'un de mon peuple. Je fixai les tatouages de son bras en disant:

"Ils sont beaux...
-De quoi? Me demande t'il en fronçant les sourcils.
-Tes tatouages...
-Oh merci...J'en ai deux autres sur mes clavicules,  tu veux voir?
-Euh...oui...pourquoi pas. "

Il recula un peu le col de sa veste alors que je matais la plume et les chiffres romains. Je me mordis la lèvre inférieure en disant:

"Je préfère l'indien.
-Moi aussi c'est mon préféré, sourit il.
-Je...je dois y aller...C'était sympa de ta part de m'avoir sauvé la vie...
-Je t'en prie..."

--

Une semaine était passée depuis que ce garçon m'avait sauvé la vie. Son visage ne voulait pas sortir de ma tête. Je le trouvais vraiment magnifique. J'étais dans un arbre dans la forêt en train de dessiner la nature qui s'offrait à moi. J'étais tellement absorbée par ce que j'entreprenais que je n'entendis pas le craquement de branches me signifiant une présence. Ce n'est qu'une voix rauque qui me fit sursauter:

"C'est beau ce que tu dessines. "

J'ai manqué de tomber mais ce fameux garçon m'avait encore rattrapé. Son rire résonnant à travers l'écorce. Gosh...Son rire est tellement puissant...

"Tu m'as fais peur crétin! "

Il se gratta la tête avant de me dire:

"Desolé, ce n'était pas le but. "

Calum, si je me souviens bien, s'assit à côté de moi, frôlant ma cuisse dénudé au passage. Il avait une veste brune toujours autant ouverte. Il me fixait amusé avant de dire:

"Tu aimes la vue?
-Mais,  arrête de te moquer,  dis je en lui donnant un coup de coude. "

Il rit et on se mit à raconter nos vies malgré que nos parents nous ait interdis de parler au clan ennemi. Calum est en fait un garçon sympa, il est amusant et ne manque jamais une miette pour rire de moi. Il disait ce qu'il pensait. Plus l'après midi s'écoulait plus je ne pensais plus le revoir. Je lui dis alors qu'il descendit à son tour de l'arbre:

"On se reverra demain?
-J'essaierai oui, à notre arbre. "

Il avait sorti un petit canif de la poche de sa veste pour graver nos initiales. Avant de partir je déposai un délicat baiser sur sa joue le faisant rougir.

--

Le lendemain.

J'étais montée au même arbre qu'hier, n'ayant rien pris cette fois. Quand je fus en haut, je fus surprise de voir qu'il était déjà là, regardant le soleil se coucher. J'avais réussi à m'eclipser de mon tipi juste pour le voir. Calum sourit en me voyant. Je m'assois à côté de lui contemplant aussi le soleil couchant. Entre deux, je m'étonnais moi même à regarder ses lèvres. Il ne semblait pas le remarquer, absorbé dans ce qu'il faisait. Je lui dis:

"Calum...j'ai un truc à dire...
-Ah...vas y, dit il en tournant la tête vers moi. "

Je rougis et je m'approche un peu de lui en disant:

"J'ai envie de goûter...à...tes...
-Goûter quoi,  dit il d'un sourire malicieux.
-A tes lèvres..."

Il semblait soudainement mal à l'aise,  se grattant la tête gêné puis il colla son front au mien:

"Mange mes lèvres alors. "

Je souris et avec une petite pointe d'hésitation, je posai doucement mes lèvres sur les siennes. Je sais que c'est mal mais j'en ai vraiment envie. Calum s'approcha de moi un peu plus pour poser une main autour de ma nuque pour apprécier le baiser. Le baisers dura quelques secondes. Contre toutes attentes,  il m'attira contre lui et plaquai nos lèvres ensemble, je passai mes mains dans sa veste pour trouver sa taille. Son corps est si chaud... Calum ne lâchait pas prise et il émit un petit soupir qui mourut sur mes lèvres. Sa langue se joignit peu à peu à la mienne et nous sourions. Au bout de quelques baisers, je l'interrompis:

"On ne devrait pas faire plus que ça...
-Il n'y a rien de mal à ça...Nous sommes deux adolescents voulant s' embrasser. "

Je me remis à l'embrasser mais ça ne se passa pas comme prévu, mon père hurla du bas de l'arbre:

"TOI DES MEKHONG QUE FAIS TU A MA FILLE?  T/P RENTRE AU VILLAGE IMMÉDIATEMENT! "

On se séparait rapidement et je fis un mouvement de tête brusque en lui disant de fuir pour ne pas qu'il ait à subir la colère de mon père. Alors que je descendais pour retourner au village avec mon père, Calum prit à contre coeur la fuite.

En revenant au village mon père me crit:

"Je t'avais interdis de parler au Mekhong...
-Papa, je n'y peux rien...je l'aime..."

Venais je vraiment de dire ça?  J'aimais Calum?  Je pense bien être tombé amoureuse de lui...

"On n'aime pas un Mekhong. Je t'intéresse fortement de le revoir. Est ce clair?
-Oui...
-Tu resteras dans ton tipi. "

J'hochai la tête et je rentrai dans le tipi. La dernière fois que j'ai vu Calum c'est nous échangeant plusieurs baisers fougueux.

Je restais toute une semaine dans ma chambre, je n'arrêtais pas de penser à lui. Je l'aimais, j'en étais sûre maintenant. Je ruminai les idées noires quand mon père entra.

"Je veux le revoir...il me manque papa ...
-Il est notre ennemi!
-C'est mon ami! Je suis tombée amoureuse de lui, il...Il m'a sauvé la vie! "

La mâchoire de mon père se serra et il semblait étonné. Il me demanda:

"Vraiment?
-Oui papa...je t'en prie...laisse moi le revoir..."

Il soupira et me désigna la porte de sortie. Je souris et sortis rapidement avant qu'il ne change d'avis courant vers son village. Je passai devant notre arbre et il n'y était pas. Je traversai la forêt,  et j'arrivai  à l'entrée de son village. Je le vis là remplissant un sceau d'eau à son puits. Je lui cris:

"CALUM! " Ce dernier se retourna et il me fixa longuement sans bouger et je continuai de crier. Ces deux mots sont venus tout seuls...naturellement...

"JE T'AIME CALUM! "

Il réagit et regarda de toutes part avant de courir vers moi comme si sa vie en dépendait. Arrivé à ma hauteur, il me prit dans ses bras me serrant de tout son être.

"Je t'aime aussi...je t'aime aussi mon amour..."

Je relevai son visage et l'embrassai avec passion. Nous étions deux enfants ennemis mais nous nous aimions. Je l'attirai vers la forêt. Calum m'amena derrière un buisson, se couchant dans l'herbe alors qu'on continuait de s'embrasser. Rien ne nous arrêtait. Nous étions éperdument fous de l'autre. Il me répétait sans cesse:

"Je t'aime tellement..."

Sans m'en rendre compte,  sous la passion,  je lui avais retiré sa veste et je touchais chaque parcelle de son torse nu le matant au passage. Nous étions peut être rapide mais je lui demande:

"Calum...j'ai envie que tu me fasses l'amour"

--

Après notre ébat,  je me blottis dans les bras de Calum. Je lui demandai:

"Est ce que je suis ta copine?
-Pour moi, tu es ma copine depuis que tu m'as embrassé. "

Il posa un baiser sur ma bouche avant que je parcourre mes doigts le long de son torse. J'aimais Calum...

--

Quelques mois plus tard, je me rendis compte que j'étais enceinte de mon copain. Mon père se dirigeait furieux vers le village. Je le suivais du mieux que je pouvais. Il voulait lui casser la gueule pour m'avoir touché. Calum et moi nous nous voyions toutes les semaines. Par contre...il ne savait pas que j'étais en cloque.

Mon père ouvrit grand le tipi et hurla au père de Calum:

"Où est ton fils?
-Que fais tu sur mon territoire,  scanda son père.
-Ton fils est le père de l'enfant de ma fille. "

La mâchoire du père de Calum se brisa et il appela Calum. Ce dernier descendit et il fut surpris de me voir avec mon père. Je pleurais sans m'en rendre compte et au moment de m'approcher mon père lui dit:

"Toi, ne l'approche plus. Tu viens de tout ruiner en lui foutant un gosse. "

Calum fronça les sourcils et là il comprit la raison de mes larmes.

" bébé...c'est vrai? "

J'hochai la tête et il sourit brièvement avant de dire à son père:

"C'est ma copine père... Je l'aime et je veux que l'on dirige ensemble les territoires. "

Nos pères semblaient réfléchir avant de baisser la tête. Je dis:

"C'est vrai... et puis vous nous empêchez de nous voir à cause de vos histoires débiles..."

Depuis ce jour, ils s'étaient réconciliés...

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