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Chapitre 37 : Plus de temps à perdre !


Quand la lumière réapparut, les palpitations de mon cœur s'apaisaient. J'étais soulagée de ne pas être resté longtemps dans le noir. Mais cette luminosité artificielle provenait d'une immense horloge numérique face à moi, tout en haut à m'en faire lever la tête, qui affichait un compteur en rouge vif.

Cette couleur n'éclairait pas grand chose, mais au moins la distance entre cette énorme alarme et moi.

"Ça alors... Le compteur affiche zéro et il clignote." disais-je en baissant mes yeux.

Je remarquais, grâce à la lumière rouge, une entrée s'enfonçant dans l'obscurité située sous l'horloge. Je décidais de doucement m'approcher tout en voyant également un espèce de panneau fait de bois juste devant.

Il y avait quelque chose gravé dessus. Plusieurs dizaines de lignes fait de langage différent à chacune. Exactement comme les panneaux du grand hall.

Evidemment la langue que je lisais, qui était le japonais, était l'une des premières représentées. Je me baissais légèrement et je lisais à voix haute :

"L'épreuve de la lumière. Le but : Se réfugier sous la seule source de lumière de la pièce afin de survivre à l'animatronique jusqu'à la fin du temps imparti. La bête est sensible à la lumière et dégage l'odeur des spores malfaisantes. Mais dès que l'obscurité prend le dessus, elle fonce sur les survivants sans difficulté. Faites en sortes de repérer la lumière et d'y accéder avant que la bête vous touche. Bonne chance."

Après avoir lu les instructions, un frisson me parcourrait sous mes vêtements, tandis que je redressais mon dos pour me tourner vers l'entrée peu large. C'était un coup de froid qu'à imaginer cette "épreuve". Je m'en frottais les bras, dans le but de me réchauffer.

"Mon dieu... Je pensais que toutes les énigmes de cette zone seraient similaires à la précédente. Un "animatronique" va me pourchasser tant que je ne serais pas dans la lumière ? Et elle dégagerait les mêmes spores soporifiques ?"

Consciente que je parlais toute seule, j'ai eu le réflexe de regarder autours de moi. Le compteur à zéro de l'horloge rectangulaire sortait de sa lumière, qui n'éclairait pas au loin.

Mes pensées étaient dans l'hésitation. J'avais tout simplement peur de ce qui m'attendait. Et un instinct de fuite se posait sur mes mots, tandis que je continuais d'observer les obscures alentours :

"Je devrais peut-être chercher une autre énigme... I-il y en a peut-être plusieurs ! Et de différentes ! Pourquoi je sauterai dans la première énigme proposée alors que d'autre sont sûrement cachés, et moins risqué ?!"

Et à peine je prononçais la toute dernière syllabe du dernier mot de ma phrase, que j'eu un soudain sursaut suite à un énorme bruit qui résonnait dans ce lieux qui pourtant aspirait tout bruit dans le silence.

*QUONG...*

Mon huitième coup de cloche ! Le son me semblait plus fort que les dernières !

Ce son, pourtant familier, me remit à la raison. Il me restait encore quatre heures dans mon temps imparti, et je n'avais pas encore trouver ma septième perle. Il m'en restait toujours quatre.

Une heure pour une perle. Une perle pour chaque heure.

Je ne pouvais pas me permettre de perdre encore du temps.

C'est le soupir tremblant que je me retournais en direction de l'entrée, me mettant en tête que je devais le passer. J'avais peur, très peur de ce que j'y trouverai...

Mais il fallait que je sois courageuse.

Je serrais mes poings, je redressais mes épaules, et je fis tête haute. C'est avec une expression de "faux courage" que je finis par m'avancer vers l'entrée où m'attendait l'énigme.

Mais mon courage avait du mal à rester.

Dès que j'entrais dans la fameuse pièce, de mauvaises ondes me donnaient encore des frissons.

Il faisait sombre et la seule lumière, située au dessus de ma tête, n'éclairait que la partie lumineuse. Je distinguais à peine le reste de la pièce... Bien qu'à voir les chaises éparpillés, un paravent, une armoire entre deux poteaux ou de multiples cartons sous les tuyaux des murs, je pensais être tombée dans une sorte de cave.

Mais ce n'était pas ça, le plus étrange. A l'autre bout de la pièce, en face de moi, je percevais exactement la même horloge numérique rectangle que celle de la salle précédente, sous une porte blindée et visiblement fermée... Les seuls différences sont que l'horloge était beaucoup plus petite, donc de taille normale, et que le compteur tournait. Elle affichait un compteur de moins de deux minutes, défilant les secondes jusqu'à zéro.

Mais le pire, était ce qui rôdait dans la pièce.

Des lourds pas mécaniques tournaient autours de ma position, de manière lente et frénétique. Et une grosse masse tapit dans l'ombre passait devant l'horloge, bloquant pendant son passage la visibilité de la lumière rouge de l'objet.

Il faisait trop sombre pour voir à quoi ressemblait cette chose, à quel type pouvait être cet animatronique. Mais je n'avais clairement pas envie qu'elle s'approche de moi.

En tout cas, elle ne s'approchait pas de la lumière. Mais même en me souvenant des consignes, je n'étais pas plus rassurée.

Mon regard se portait autour de l'observation. J'étais toujours sous la lumière, mais je me préparais à courir dès qu'elle changeait de place.

Pshhhhhh !

Comme un tuyau d'air qui fuit, la lumière où j'étais en dessous s'éteignait en laissant cet étrange bruit s'échapper. Et malgré mes préparations, je n'étais pas prête.

"Aaah !"

J'en poussais un cri de surprise. Il ne m'a pas fallu attendre longtemps pour que la lumière réapparaisse, mais à un autre coin de la pièce. Au fond à droite, pour être exact.

Et bien sûr, cela voulait dire que j'étais dans le noir. Avec l'animatronique.

Soudain, deux points rouges apparut dans l'obscurité. Ceci est rapidement suivit par un son provenant du même endroit, comme un hurlement mécanique avec un nouveau "pshhhhhh".

Prise de panique, je courrais à toute allure en direction de la source lumineuse. A ce moment, j'ai comme senti mon cœur vouloir bondir hors de mon corps, tandis que le son des pas de la bête se rapprochait de moi violemment.

Tout ça était dans un boucan infernal. Je n'ai pas pu m'empêcher de hurler dans un haut aigu quand j'ai compris que l'animatronique me coursait.

Mais dès que je plongeais sous la lumière tête baissée à en faire un vrai plongeant qui me mit à terre, je me retournais subitement et j'apercevais automatiquement le bras rouge en acier de la bête. Elle s'était arrêtée, et ramenait sa main grande ouverte dans l'obscurité avant de reprendre un pas lent en s'éloignant.

Je posais ma main gauche contre mon buste en canalisant ma respiration rapide, profitant ainsi de ce court répit.

"Ah.... Aaah... J'ai cru mourir..." disais-je sous un dernier soupir avant de reprendre une respiration plus calme.

Je me relevais doucement et je sentis une petite douleur au niveau de mon genoux droit. En y regardant de plus près, je remarquais que je me l'étais écorché lors de ma chute. Un petit saignement mouillait mon bas légèrement abîmé.

Une fois debout, je regardais en direction de l'horloge. Quinze bonnes secondes s'étaient écoulés. Il restait encore une minute et plus de trente secondes avant la fin du temps imparti.

"Je dois survivre jusqu'à la fin..." marmonnais-je en fronçant des sourcils. "J'ai compris. Dès que la lumière s'éteint, je cours en direction de la lumière qui s'allume tout en évitant cet animatronique. Elle peut m'attraper, ses spores peuvent m'endormir... Ok... Donc, quand ce sera fini, je foncerai en direction de la porte parce que si je suis la logique, elle s'ouvrira !"

...

Et ainsi, la survie commençait !

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