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Chapitre 35 : Les événements des heures


Bien que je me posais pleins de questions, dont j'étais sûre que seule Player-san en avait les réponses...

Je la laissais partir.

J'avais des questions mais j'étais, au fond, persuadée que je ne pouvais pas perdre d'avantage de temps, surtout dans un monde où le temps est très touché.

"Après tout, pensais-je, je la reverrais sûrement dans la dernière zone..."

Je voyais la femme quitter les lieux sans s'arrêter, ni se retourner. La disparition de sa forte silhouette dans l'entrée de la pièce mettait ma solitude en avant.

Ainsi, me voilà seule.

Après un large soupir, je me retournais vers l'horloge et je repris mon exploration. Il n'a pas fallut attendre longtemps pour que je tombe que quelque chose, situé derrière l'horloge en bois.

"Qu'est-ce que c'est que ça ?"

A l'opposé de la pendule se trouvait une ouverture ronde où il y avait pleins de rouages à l'intérieur. Elles étaient liées aux aiguilles, tournant dans le vide sous un bruit mécanique.

Et parmi ces petits rouages, deux d'entre eux n'étaient pas rejoints. Elles tournaient dans le vide. C'était comme si l'espace entre elles était destiné pour un autre rouage, non présent.

"Je ne crois pas être spécialiste en mécanique des horloges, mais si je trouvais le dernier rouage, l'aiguille terminerait son heure. Hm... Si c'est ça l'énigme, c'est plutôt simple."

Sur mes mots je décidais d'aller fouiller la pièce où je me trouvais, à la recherche du dernier rouage.

Je commençais à regarder dans les endroits les plus évident où se cacherait un petit objet. Sous la table, dans le meuble où était la télévision, ainsi que dans le placard et même sous la couverture du futon.

Mais malheureusement, je fus obligée de chercher autre part. Car je ne trouvais pas le rouage.

Sous un soupir, j'ai eu l'idée de regarder dans les endroits moins évident.

Je me suis mit à pousser l'horloge. C'est sous grognement que je réussissais à la déplacer.

Je posais ensuite mon regard sur la trace que j'ai fait en déplaçant le meuble, quand je remarquais quelque chose qui est posé par terre.

"Ce n'est pas un rouage. Mais un... bout de papier ?"

Je m'accroupissais et je le ramassais avant de déplier ce morceau de papier de couleur bleu, qui avait les mêmes symboles dorés que sur la porte du monde ou sur l'horloge.

Je tombais alors ce qui semblait être un mot écrit main, que je lisais à voix basse :

"A quatorze heures, il se lève du futon suite à une petite sieste.

A seize heures, il s'installe sur le coussin rose et prend son thé au citron et au gingembre.

A dix-huit heures, il se pose devant la télé pour regarder son émission préféré.

A vingt heures, il ouvre le placard et emprunte la porte pour quitter la pièce."

A première lecture, je pensais que ce papier contenait un sorte de problème. Mais visiblement, ce n'était qu'un mot qui décrivait les actions d'une personne qui a été dans cette pièce. Car en observant à nouveau la pièce il y avait bien le futon, le coussin rose posé à coté de la table basse, la télé et le placard.

Mais je n'avais pas vue la "porte", quand j'avais fouillé le placard. Il ne faisait pas assez sombre pour me faire hésiter.

Je me grattais la tête en me demandant à quoi ça pouvait me servir. Car après tout, il n'y avait rien au sujet du rouage.

Mais une fois que je me suis relevée, et en relisant dans ma tête ces trois phrases, je me demandais si les heures n'avaient pas un rapport avec l'horloge.

"Et si c'était des scènes...?" me demandais-je. "Des scènes en fonction de l'heure de l'horloge ?"

Ça pouvait être farfelu, mais j'étais bien dans un monde où il y avait une scène de meurtre.

Mais avant de pouvoir toucher aux aiguilles, il me fallait le rouage manquant pour pouvoir les débloquer.

Alors, je me suis remis à mes recherches, après avoir replacé l'horloge à sa place d'origine.

C'était long, mais j'étais très soulagée quand j'ai enfin trouvé le rouage. Après examination totale, j'avais repéré dans un coin de la pièce une drôle de bosse situé sous le tatami. J'avais dû arracher une partie pour accéder à ce qu'il cachait.

Le rouage en main, je courrais vers le meuble en bois. Puis, j'insérais le rouage entre les deux pièces en mouvement.

Les rouages, désormais tous placés, faisaient un bruit mécanique plus intenses, accompagnant les tic-tac qui ne s'étaient arrêtés.

Surprise par cette supériorité de son, je me plaçais devant l'horloge. Je vis les aiguilles bouger. Elles étaient désormais débloquées.

"Ça y est ! Bon, alors..."

Je sortais ensuite le papier de la poche de ma veste pour le déplier, afin de relire pour la énième fois son contenu.

Trois heures étaient écrites. Seize heures, dix-huit heures et vingt heures.

"Je ne vois aucune utilité pour quatorze, seize et dix-huit heures... Se lever d'une sieste, prendre le thé, regarder la télévision... Si je met l'horloge à vingt heures, peut-être que la porte secrète du placard apparaîtra...?"

C'est sous cette hypothèse que je levais mon index et que je déplaçais la grande aiguille. Je fis ainsi plusieurs tours du cadre, en fonction du déplacement de la petite aiguille qui avançait le temps d'une heure par tour.

De douze heures, la petite aiguille s'approchait du chiffre romain huit. Il me fallait donc faire le tour de la pendule huit fois.

Et quand je plaçais la grande aiguille sue le chiffre douze pour la dernière fois, la petite aiguille pointait l'heure huit.

A ce moment précis où je retirais mon index, un "clic" sortit de la pendule avant que les tic-tac ne cessent.

Puis, pendant que je reculais de deux pas, j'écoutais avec inquiétude l'alerte des huit heures.

*Dong...*

*Dong...*

*Dong...*

Ce son stressant résonnait huit fois, comme le ferait n'importe quelle horloge. Chaque résonnement représentait une heure.

Le bruit ne résonnait pas autant qu'un quong des limbes.

Et quand le huitième "dong" s'entendit, quelque chose apparut à quelque mètres de ma droite.

Une ombre noir à l'allure ancienne et masculine.

Sur l'instant, j'ai sursauté quitte à en reculer.

"Aaaah !"

Mais mon adrénaline s'abaissait doucement quand je voyais que l'ombre ne me prêtait aucune attention. Elle n'était même pas tourné vers moi, comme si elle ne me voyais pas.

Je pris une respiration troublée. Je n'osais pas dire un mot face à cette ombre, par peur qu'elle m'attaque. D'où le fait que quand l'ombre se mit à bouger, j'en reculais encore.

Mais la silhouette à l'apparence d'un vieil homme avec une canne bougeait car il se déplaçait. Il se dirigeait vers le placard situé derrière la télévision.

Il tira la porte glissante, entra dans les quatre coins...

Puis il leva sa main au plafond du placard, soulevant une petite trappe... Qui fit disparaître miraculeusement le mur du fond.

Et l'ombre traversa ce nouveau passage, avant de disparaître de mon champ de vision.

"La porte... C'est le passage !" disais-je en souriant, soulagée.

C'est avec l'espoir que j'enclenchais mon pas en direction du placard.

Lorsque soudain...

Une nuance de fumée de couleur bleu nuit sortit du plafond, dans un bruit de fuit d'air qui comblait ce nouveau silence.

"Qu'est-ce que... De la fumée ?"

En voyant cette couleur assez opaque descendre petit à petit, mon regard et mes mouvements restaient bloqués de stupeur.

Sans que je me rendais compte de ce qui ce passait, je respirais involontairement cette fumée. Et le délire me succombait.

Je commençais à avoir le regard trouble, ainsi que tout mes sens se brouillaient. Mon corps s'entourait de cette fumée bleuté avant de s'effondrer sur le tatami.

Les spores m'avaient ainsi atteints.

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