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✥ chapitre 3

Hyunjin avait toujours eu un rôle complexe au sein de sa famille. Il était le troisième né, le plus jeune des trois, un enfant qui n'avait pas forcément été désiré et qui, par conséquent, ne servait pas à grand-chose. Avant lui, deux autres garçons étaient nés. Le premier, Jinyoung, qui avait désormais vingt-sept ans. Il était l'héritier de la famille royale, celui qui gouvernerait sur le pays et il avait tout pour plaire à ses parents - ainsi qu'au peuple. C'était un homme droit, sérieux, intelligent, qui avait de l'aplomb et qui savait se battre. Il ne manquerait pas de trouver une épouse de son rang avec qui avoir de beaux enfants. Il ferait perdurer la lignée des Hwang et ses parents l'encensaient toujours. Jinyoung par-ci, Jinyoung par-là. Il n'y avait d'yeux que pour lui et ses exploits.

Deux ans plus tard était né Chaejin, un enfant qui avait toujours été assez réservé mais qui ne manquait pas de perspicacité et de talent. Il était plus introvertie que Jinyoung, moins dans l'action, mais il avait des capacités qui feraient de lui un homme important au sein du royaume. Il avait soif d'apprendre, il s'intéressait à de nombreux sujets et il n'avait pas été compliqué de lui inculquer des enseignements dès son plus jeune âge. Il avait appris la stratégie avec son père, les combats à l'épée avec un professeur très réputé, et avait recueilli pas mal d'informations sur tous les pays alentour. Il était instruit et ferait un parfait bras droit pour son grand frère.

Et puis Hyunjin était arrivé sur le tard. Il avait toujours été un enfant difficile, un enfant qui ne comprenait pas tout ce que son rôle de prince impliquait. Il s'était rebellé très jeune, refusant d'apprendre, refusant de se soumettre.

Il avait été envoyé dans un couvent jusqu'à ses dix printemps et il préférait ne pas se souvenir de cette période sombre de sa vie. Obligé de participer à des offices, jusqu'à très tard le soir, jusqu'à ce qu'il s'endorme sur le sol en pierre glacial de l'église. Il avait passé des journée à réciter des prières qui n'avaient aucun sens à ses oreilles. Il avait du lire de nombreux livres sacrés, encore et encore, dans l'espoir qu'il comprenne de quelle manière il devait se tenir. Il avait été enfermé dans le noir quand il avait refusé d'obéir aux conditions qui lui étaient imposées. Il avait parfois reçu des coups dans le but d'expier ses péchés. Il n'était qu'un enfant, un enfant que des adultes avaient pris plaisir à bousiller pour qu'il corresponde à des exigences.

Ses parents avaient désiré qu'il reste au couvent, qu'il grandisse là-bas et entre dans les ordres, mais le jeune garçon turbulent qu'il était avait eu raison des prêtres et des religieux. Ils ne pouvaient pas mettre en péril la protection divine à laquelle ils avaient droit pour quelqu'un d'aussi dérangé que Hyunjin. Ils avaient conseillé aux souverains de le placer dans un endroit spécialisé, loin de la ville, loin des habitants, afin qu'il ne les contamine pas de sa névrose. Ils y avaient réfléchi, longuement, mais les frasques du jeune prince avaient rapidement fait le tour du pays et la honte que les souverains ressentaient à son propos les avait convaincu à le garder caché au château. Ils avaient fait défiler des médecins pour trouver la cause à sa conduite dissidente, ils l'avaient envoyé se confesser chaque jour à la chapelle, en vain. Personne ne savait vraiment ce qui pouvait lui causer toute cette agitation.

Un vieux prêtre avait parlé du Malin, qu'il s'était immiscé en lui et qu'il fallait le faire sortir. Après cela, Hyunjin avait été conjuré, débarrassé de tout parasite, et ses parents en avaient été satisfaits. Il avait pu suivre des cours, un précepteur lui avait été assigné et tout semblait rentré dans l'ordre. Mais le répit avait été de courte durée et aujourd'hui, personne n'avait le pouvoir de le canaliser.

Il fuyait le château dès qu'il en avait l'occasion, de préférence à la tombée de la nuit, afin de rejoindre la taverne où il faisait des rencontres. Il avait besoin de tout ça, de se sentir libre le temps d'une nuit, et de se sentir vivant. Il n'y avait que la douleur qui lui rappelait ô combien il était tenace, combien d'épreuves il avait surmontées alors que tout ce qu'il souhaitait était d'être affranchi de tous ces faux-semblants. Il se pliait aux devoirs qu'il voulait, quand il voulait, et ses parents devaient s'en contenter. Il savait qu'il y avait des sanctions, toujours, mais il s'en fichait. Les punitions valaient la peine d'être endurées s'il pouvait avoir un goût de liberté.

Le jeu en valait la chandelle.

Et en même temps, il n'aurait jamais voulu s'en aller définitivement. Il y avait Bang Chan, et il l'aimait profondément. Il aimait la bienveillance dans son regard quand il le posait sur lui. Il aimait sa voix séraphique quand il lui disait de faire attention à lui. Il aimait le fait qu'il s'inquiète pour lui. Cela faisait deux ans que l'homme était prêtre à la chapelle du château et dès que Hyunjin l'avait vu, il avait eu un goût de paradis auquel il n'aurait jamais droit. Chan était inaccessible, mais il avait toujours eu un petit espoir de le conquérir, d'entrer dans sa vie. Il aimait y croire, se raccrocher à cette idée qu'un jour ils pourraient vivre quelque chose de beau.

Allongé sur son lit, Hyunjin soupira. Il voulait réellement que les choses changent, que le prêtre s'intéresse à lui autrement que comme une de ses brebis égarées. Et peut-être que la seule chance qu'il avait eue s'était envolée à cause de son frère aîné. Il tapa du poing sur le matelas tout en lâchant un râle. Il lui avait volé le pendentif que Younghyun lui avait laissé, et ça le mettait dans une colère noire. Il n'avait pas le droit de faire ça, de le priver de ce cadeau. C'était injuste. Il n'avait rien fait de mal, Jinyoung lui avait pris sans aucune raison, juste parce qu'il n'appréciait pas de le voir avec des bijoux car cela lui faisait penser aux filles de joie qui, visiblement, il avait dû côtoyer à un moment de sa vie de misérable prince célibataire.

Hyunjin pouffa de rire. Il aimait croire que son frère était au courant de ses conquêtes et qu'il en était jaloux. Il n'avait toujours pas trouvé d'épouse à son âge, ses hormones devaient le travailler.

— Imbécile… soupira Hyunjin.

Il se redressa d'un bond quand des toquements retentirent contre la lourde porte de sa chambre.

— Qui est-ce ?

— Prince Hyunjin, le dîner va être servi, annonça une domestique.

— Suis-je obligé de venir ?

— Je pense qu'il est préférable que vous ne soyez pas absent. Votre mère n'apprécierait pas.

Il souffla un bon coup et posa ses pieds nus sur le sol froid. Il n'allait pas prendre la peine d'enfiler une paire de chaussures non plus, il allait déjà faire acte de présence, il ne fallait pas trop lui en demander. Il ouvrit la porte à la volée et la jeune femme sursauta, elle ne s'attendait pas à ce que le prince se montre devant elle aussi vite. Hyunjin la toisa de sa hauteur, le visage impassible, la chemise débraillée.

— Je voudrais passer, dit-il sèchement.

— Hm, si je puis me permettre…

Elle avança une main timide avant de la reculer.

— Quoi ?

— Votre chemise elle… Il vaudrait mieux la fermer un peu.

— Vas-y.

Elle s'inclina légèrement et, dans un silence pesant, elle s'attela à boutonner correctement le vêtement. Elle y passa le plat de la main dans l'espoir de le défroisser et Hyunjin se contenta de l'observer sans sourciller.

— Voilà.

— Merci.

Hyunjin la contourna et elle le suivit tandis qu'il avançait jusqu'à la grande salle à manger. Il n'avait aucune envie de s'y rendre, de partager un repas avec sa famille. Il ignorait qui allait être présent, il ignorait si son père était rentré de sa récente expédition et en réalité, ça lui était égal. Il ne l'aimait pas, comme il n'aimait pas sa mère et ses frères. Ici, il n'aimait personne à part Chan. Il était le seul à lui accorder de l'attention, à lui accorder un semblant d'amour. Les gardes aux portes de la pièce lui permirent d'entrer. Il s'arrêta, toutes les paires d'yeux se fixèrent sur lui, sur ses pieds nus plus précisément.

— Viens manger, lui ordonna la reine.

Il ne dit rien et rejoignit sa place, à côté de Jinyoung, en face de Chaejin. Son père était aux abonnés absent, ça ne l'étonnait même plus à force. Il ne savait pas depuis quand il ne l'avait pas vu, quelques jours, voir plusieurs semaines. Il était toujours en vadrouille, Hyunjin avait eu vent d'un conflit au Nord-Est qu'il fallait régler le plus rapidement possible. Il était surpris que son plus grand frère ne soit pas parti lui aussi. Il aurait dû, juste pour lui foutre un peu la paix. Mais non, il devait gérer les affaires du château en compagnie de sa mère.

— Père va-t-il bientôt revenir ? demanda Chaejin.

— Dans une semaine. J'ai reçu une lettre de sa part hier, répondit Jinyoung.

— Oh… Tu as reçu une lettre.

Le jeune homme sembla déçu. Il plongea les yeux sur son assiette et de sa fourchette, joua à faire rouler les petits pois. Le roi n'envoyait de lettre qu'à Jinyoung et à son épouse, Chaejin était peut-être un fils dévoué et respectable, il n'était pas aussi intéressant et important que le plus âgé des trois.

— Au moins y'a quelqu'un qui comprend un peu ce que ça fait d'être rejeté ici.

Hyunjin fut gratifié d'un regard noir de la part de sa mère. Il n'essaya pas de le soutenir, elle serait capable de se lever et de lui coller une gifle en pleine figure. Mais dans le fond, il jubilait de constater qu'il n'était pas le seul à avoir moins que Jinyoung. Ce dernier était l'enfant prodige, celui qu'il fallait choyer. Chaejin était celui dont il fallait se servir, celui qu'il fallait utiliser. Et lui, il n'était rien d'autre qu'un parasite.

— Nous ne sommes pas pareils, intervint Chaejin.

Hyunjin haussa un sourcil. Oui, ils étaient différents, parce que son frère n'avait pas assez de force pour s'opposer à l'autorité. Il était malléable, il se laissait façonner par ce que les autres attendaient de lui. Hyunjin se savait plus fort que ça. Jamais il n'aurait laissé qui que ce soit le dompter pour devenir une marionnette.

— Hm, tu as raison. Tu auras peut-être une excellente place au gouvernement, mais tu ne seras jamais aussi fort que moi. Tu resteras un pion toute ta vie.

— Hyunjin, tais-toi.

Il ne prêta pas attention à sa mère, la peur qu'il ressentait à son égard semblait s'être envolée. Il restait fixé sur Chaejin, comme s'il cherchait à le défier, à le faire réagir. Il planta sa fourchette dans un morceau de viande et l'enfourna dans sa bouche.

— Tu vas jouer les fils parfaits pour ne même pas recevoir de lettre de ton père.

— Hyunjin…

— Et tu mourras comme un sac à merde, tout seul, sans fierté, parce que tout le monde se sera servit de toi !

— Il suffit !

Le cri de la reine qui se leva fit trembler les vitres.

— Je ne te permet pas de parler de cette façon à ton frère ! dit-elle en posant une main sur le crâne de Chaejin. La seule personne ici qui mourra comme une pauvre ordure, c'est toi !

Hyunjin serra les poings, sa mâchoire se crispa. Cette fois, il ne détourna pas le regard, il le planta dans celui de la reine. Il n'était pas comme elle le prétendait, il n'était pas une ordure et lui, il disparaîtrait dignement, en se disant qu'il n'avait pas été faible.

— Maintenant, je t'ordonne de partir dans ta chambre.

Il jeta ses couverts sur la table, provoquant un boucan qui résonna dans la salle à manger. Les pieds de chaise grincèrent contre le parquet lorsqu'il se recula.

— Bon appétit, et bonne nuit.

Personne ne répondit. Hyunjin tourna les talons et traversa la grande pièce afin d'en sortir. Il n'avait aucune envie de partager un repas avec eux, de partager quoi que ce soit avec eux. Les choses finissaient toujours mal, il ne les supportait pas, il les détestait du plus profond de son âme.

Il fit le chemin inverse, la domestique qui l'avait escorté jusqu'à la salle à manger le suivait pour s'assurer qu'il ne lui prenne pas l'envie de se carapater hors du château. Même si Hyunjin partait, elle ne serait pas en mesure de le retenir avec sa petite carrure. Elle pourrait toujours prévenir des gardes, mais ça s'arrêtait là.

— Prince Hyunjin… Attendez…

— Lâche-moi.

— Je vais vous aider à vous mettre en habits de nuit.

Hyunjin s'arrêta et elle fonça dans son dos. Il se retourna, la jeune femme ferma les yeux.

— Fous-moi la paix, dégage.

Sa voix d'habitude si suave s'était faite rauque et basse. Il n'ajouta rien de plus, la domestique s'était faite une raison et il n'était pas question d'insister. Hyunjin était un prince, il avait l'autorité sur elle, alors elle ne pouvait pas se permettre de lui tenir tête. Il se détourna d'elle et repartit dans sa chambre, qu'il prit soin de fermer à clé. Il n'avait aucune envie d'être dérangé. Il voulait seulement aller se coucher en imaginant tout ce qu'il aurait pu faire s'il était sorti cette nuit. Il avait besoin d'un peu de repos avant de faire une nouvelle fugue.

Il retira ses vêtements pour passer une longue robe de chambre blanche dont les trois premiers boutons restèrent ouverts. Il attacha ses cheveux en une queue basse et, après avoir éteint les quelques bougies qui se trouvaient çà et là, il se glissa sous l'épaisse couverture. Il ferma les yeux. Son souffle était régulier, lent, paisible. Il était si fatigué par sa nuit précédente qu'il était sur le point de s'endormir, il se sentait partir, ses muscles se détendre, son esprit s'engourdir.

— Hyunjin…

Il rouvrit les yeux d'un seul coup et battit des cils. Il tendit l'oreille, conscient qu'il avait peut-être rêvé d'avoir entendu quelqu'un l'appeler.

Rien. Le calme absolu.

Il décida de se mettre sur le côté, parfaitement calé dans son oreiller, mais il discernait une luminosité anormale dans la chambre. Il se frotta les yeux et se redressa. Quelques chose, sur sa commode plus loin, scintillait. Curieux, il fit valser les draps et quitta le lit pour y jeter un œil. Quelle fut sa surprise quand il se rendit compte que le pendentif offert par Younghyun était là, posé sur le meuble, et que de celui-ci jaillissait une lumière blanche. Il l'attrapa entre ses doigts et le leva devant son visage pour le contempler. Il ne comprenait pas comment il était arrivé là. Il n'avait laissé sa chambre vacante que quelques minutes, et son frère était dans la salle à manger, il n'avait pas pu passer là entre temps pour le déposer. Hyunjin pouffa de rire. Quelqu'un avait dû le prier de lui rendre ce qui lui appartenait, et il n'y avait que trois personnes potentiellement au courant. Leur mère, Changbin, et Chan. Il avait sans doute envoyé une servante, il avait trop de fierté pour lui rendre son précieux bien en mains propres.

Satisfait, Hyunjin reposa le bijou sur la commode et retourna se coucher. Il ne comprenait toujours pas comment cette pierre allait pouvoir lui venir en aide, mais pour le moment, il avait grand besoin de dormir.

Il se glissa sous la couverture, le sourire aux lèvres. Et alors qu'il était à nouveau en train de sombrer, il sentit un poids au niveau de ses jambes. Son rythme cardiaque s'accéléra et quelques gouttes perlèrent dans sa nuque. Aussi lentement que possible, il tira sur le couvre-lit pour se cacher dessous. Il avait peur, et ce n'était pas quelque chose à quoi il était habitué. Il sentait comme une présence, et le matelas qui s'affaissait ne pouvait pas être une hallucination. Soudain, il fut dévoilé, le tissu qui le recouvrait et auquel il s'agrippait lui avait été arraché. Il émit un lourd soupir de surprise, mais aucun cri ne pouvait sortir de sa bouche. Il était sur le dos, figé, paralysé, incapable de réfléchir. Son souffle s'était coupé net, son cœur semblait même s'être arrêté de battre.

Au dessus de lui, à quatre pattes, une femme qu'il discernait à peine dans la pénombre. Tout ce qu'il fut en mesure de penser était qu'elle lui paraissait magnifique. Les deux atouts qui lui sautèrent aux yeux furent ses longs cheveux qu'il devinait roux, et sa poitrine rebondie mise en valeur par un bustier en cuir.

— Qui… Qui êtes vous ? articula difficilement Hyunjin.

La femme sourit.

— Qu'est-ce que vous faites ici ?

De sa grande main, elle lui cacha la bouche et se pencha un peu plus vers lui. Ses seins frolèrent son torse, un courant électrique le parcourut des pieds à la tête.

— Si tu te tais, tout ira bien. Je te demanderai juste de répondre à mes questions. D'accord ?

Hyunjin hocha la tête et les doigts de la femme quittèrent sa bouche pour enserrer sa gorge. Il ignorait si c'était un rêve, mais il était tout particulièrement excité par la situation. Il n'avait pas pu sortir ce soir, et avoir une aussi belle femme dans son lit était une aubaine. Mais quelque chose l'empêchait de bouger. Même s'il voulait la toucher, il n'y parvenait pas.

— Mon nom est Lilith, et je peux t'aider à obtenir ce que tu désires le plus.

Ses longs ongles aiguisés passèrent sur la peau fine de son cou. Hyunjin frissonna, encore et encore. Le toucher de Lilith était électrisant, addictif, et son sexe commençait à s'éveiller.

— Tu m'as l'air d'être un sacré garnement, je comprends mieux maintenant… dit-elle tout sourire. Alors, dis-moi ce que tu désires le plus dans ce monde ?

Hyunjin inspira profondément, comme s'il revenait soudain à la vie.

— Je veux qu'il m'aime en retour.

— Il ? répéta la femme. Qui ça ?

— Bang Chan.

Elle acquiesça.

— Je veux t'aider. Mais… il y aura un prix à payer. Oui, loin de moi l'idée de t'aider sans contrat établi au préalable.

Hyunjin ne dit rien. Il écoutait, il analysait, et surtout, il avait l'impression de planer. Ce qui était en train de se passer était surréaliste et il ne parvenait pas à tout assimiler. Il était présent et absent à la fois. Il voulait agir mais en était incapable.

— Fais un pacte avec moi et tout ira bien. Refuse mon offre et ta situation ne changera pas. Tu veux que les choses changent, non ?

— Oui.

— Et j'ai cru comprendre que tu étais prêt à tout ?

— Oui… Mais comment ça va se passer ?

Elle écrasa son index sur ses lèvres pulpeuses.

— Tu devras accepter que je prenne possession de ton corps pour qu'enfin je puisse de nouveau ressentir les plaisirs de la chair. Si tu acceptes, je t'expliquerai demain ce dont tu as besoin pour sceller notre pacte.

— Et j'obtiendrai vraiment ce que je veux ?

— Un contrat est un contrat. Younghyun t'avait-il menti ?

Hyunjin secoua négativement la tête.

— Alors sois-en sûr, tu seras béni.

***

▶️ les choses sérieuses vont bientôt commencer 👀 on va plus trop s'amuser dans les prochains chapitres, enfin... ça dépend du point de vue 🙄
je rapelle quand même que si vous êtes mal à l'aise dans la suite, n'hésitez pas a arrêter votre lecture, même si vous avez pris connaissance des avertissements (●'▽'●)ゝ
Sur ce, je vous dis à la semaine prochaine !

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