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✥ chapitre 10

Le soleil matinal venait baigner la grande chambre de ses rayons d'un blanc éclantant, se glissant sur les deux corps dénudés allongés sur l'immense lit princier. Hyunjin fronça les sourcils avant de passer un bras par-dessus son visage. Il avait très envie de prolonger sa courte nuit ; Jeongin l'avait tenu éveillé presque jusqu'à l'aube et il était épuisé. Épuisé par toutes les positions qu'ils avaient enchaînées, épuisé par tous les orgasmes qu'il avait encaissés. En voyant le jeune homme la veille lors du banquet, il n'aurait jamais imaginé qu'il puisse se montrer aussi entreprenant et qu'ils passeraient la nuit ensemble. Il avait pensé à s'amuser avec lui, à le mettre mal à l'aise en lui faisant des sous-entendus graveleux, mais Jeongin l'avait devancé. Il l'avait pris de court, et il l'avait agréablement surpris.

Hyunjin sourit en repensant à tout ce qu'ils avaient fait, à tous les cris de plaisir qu'ils avaient poussés en chœur. Il avait la sensation d'être encore à l'intérieur de son partenaire tant il avait le sexe douloureux, d'entendre encore ses gémissements tant ils semblaient ancrés dans ses tympans. Il avait l'impression de planer, d'être sur un petit nuage et surtout, il ressentait au fond de lui à quel point Lilith était satisfaite par cette nuit de débauche. Il était persuadé qu'elle s'en trouverait calmée pendant un bon moment. Cette partie de jambes en l'air interminable avait dû la rassasier, il la sentait apaisée, comblée. C'était chaud à l'intérieur de lui, chaud et silencieux, comme si la belle démone s'était endormie un temps.

Le prince pivota sur son côté gauche, une main se glissa dans son dos au même instant. Elle descendit dans le creux de ses reins pour caresser sa peau avec douceur, puis termina sa course au niveau de ses fesses. Il décida de se tourner face au jeune homme qui partageait encore sa couche. Les yeux mi-clos, il l'observa et à son tour, il s'approcha davantage pour lui caresser le torse.

— Bien dormi ? demanda Hyunjin d'une voix encore enrouée par le sommeil.

— Hm, trop peu…

Un petit rire lui échappa.

— C'est ça de vouloir se faire sauter toute la nuit.

Jeongin sourit et se glissa contre Hyunjin. Il chercha à se blottir dans ses bras, le visage calé au niveau de son cou. Il huma son odeur avant de déposer de petits baisers sur sa peau chaude, cela le fit frisonner.

— T'en as pas eu assez ?

— Si. J'ai juste envie d'un peu d'attention.

Hyunjin l'enlaça avec plus d'ardeur. Il pouvait comprendre ce que son partenaire ressentait, il devait admettre qu'obtenir ne serait ce qu'un peu d'affection de la part de l'autre était quelque chose d'agréable. Il n'avait que rarement côtoyé des hommes attentif à ses besoins affectifs, ceux avec qui ils couchaient n'étaient là que pour le baiser et il s'en satisfaisait très bien ainsi, mais il n'était pas contre quelques gestes tendres une fois la tempête passée. Il s'appliqua à peigner les cheveux de Jeongin de ses doigts, parfois il allait lui malaxer les omoplates pour le détendre, et il n'hésita pas à lui donner quelques baisers. Il y répondit, sans montrer un quelconque désir d'aller plus loin, c'était suffisant.

— Je devrais y aller, dit-il après quelques minutes passées à se faire cajoler. Je ne sais même pas où sont mes parents, ils risquent de s'inquiéter de ne pas me voir.

— Tu as raison. Si on s'habillait pour aller voir où ils sont ?

Jeongin acquiesça et, alors qu'ils étaient sur le point de se lever, la porte s'ouvrit à la volée. D'un reflex, Hyunjin tira la couverture à eux afin de couvrir leurs corps nus du regard horrifié de sa mère la reine. Elle était là, devant eux, les yeux écarquillés face au spectacle qui se jouait dans la chambre de son fils.

— Qu'est-ce que cela signifie ? cria-t-elle.

Hyunjin attrapa la main de Jeongin dans la sienne et la serra très fort.

— Ta perversion n'a donc aucune limite ! Tu es même allé jusqu'à faire entrer dans ton lit le fils de notre cousin ! Pauvre enfant !

Jeongin se défit de l'emprise du prince afin de partir à la recherche de ses vêtements éparpillés aux quatre coins de la pièce. Nu comme un ver, il ramassa ses habits pour les enfiler à la hâte. La reine ne cessait de hurler, les insultes fusaient et bien vite, des domestiques furent alertés par ses cris incessants. Elle les congédia sur le champ, elle n'avait aucune envie qu'ils assistent à ce qui était en train d'avoir lieu. Elle avait honte, honte d'être la mère d'un enfant pareil, d'un enfant qui n'en faisait qu'à sa tête et qui de surcroît, influençait les autres avec son comportement dépravé.

— Jeongin, reste, demanda Hyunjin d'un ton incertain. On s'en fiche de ça…

Le concerné lui lança un bref regard, les sourcils affaissés, la mine désolée.

— Désolé Hyunjin, je veux pas avoir de problèmes.

Il enfila son pantalon en quatrième vitesse alors que la reine avançait un peu plus dans la chambre. Il s'empressa d'emporter avec lui ce qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de remettre et, sans un regard ou un mot de plus, il disparut. La femme attrapa le bras de son fils pour le forcer à sortir du lit et, ce fut avec une force impressionnante qu'elle l'en extirpa pour le pousser sur le sol. Il y tomba, à genoux, complètement nu et désemparé. Il savait très bien que cette fois encore, les choses n'allaient pas bien se passer, et pour plusieurs raisons. Ses parents détestaient les Yang, mais ils avaient aussi besoin de rester en bons termes avec eux. Et si Hyunjin l'avait embarqué dans ses pratiques étranges et qu'ils l'apprennaient, ils se feraient un plaisir de les discréditer auprès de tout le monde en utilisant cet élément. .

— Espèce d'idiot ! Tu es vraiment le pire fils qui soit, tu me dégoûtes !

Il n'osa pas relever la tête pour faire face à sa mère, il entendait parfaitement à quel point elle était en colère. Il sentait son regard noir peser sur lui et si elle avait pu le faire disparaitre en un claquement de doigts, elle l'aurait fait sans hésiter.

— Tu n'en avais pas assez de te faire sauter par la moitié de la capitale ? Il fallait que lui aussi te passe entre les cuisses ?

— Il n'est pas passé entre mes cuisses… marmonna-t-il.

— Tu es répugnant !

Des pas retentirent dans le couloir et Hyunjin chercha à cacher son corps avec ses bras. Son père venait d'entrer dans la chambre et aussitôt, il le fusilla du regard.

— Qu'as-tu encore fait ?

Il déglutit et baissa la tête. Il se sentait complètement démuni, là, nu devant ses deux parents alors qu'il venait d'être surpris au lit avec le fils Yang. Il aurait préféré que leur agréable petite aventure ne reste secrète.

— Habille-toi ! lui ordonna le roi.

Il acquiesça et, difficilement, il se remit sur ses jambes. Elles vacillaient tant il était fatigué par les efforts qu'il avait dû fournir pour satisfaire Jeongin et Lilith cette nuit. Sous les yeux de ses parents, il alla chercher des vêtements dans la grande armoire en bois. Il leur exposa son corps meurtri par ses précédentes escapades érotiques, son dos abîmé par les coups et les morsures, ses fines cuisses parsemées de tâches bleues, ses fesses lacérées par les coups de règles que son précepteur lui avait administrés. Les marques peinaient à disparaître, elles semblaient ancrées dans sa peau, dans tout son être. Les sensations de chacune d'entre elles étaient imprégnées en lui, incrustées dans son âme.

— Ça ne peut plus durer ainsi, soupira le souverain.

— Nous aurions mieux fait de te garder enfermé dans les cachots. Au lieu de nous remercier, tu préfères aller t'exhiber à tous, leur offrir ton cul et…

— Ma reine, calmez-vous.

De son air hautain, la femme analysa son fils de bas en haut, un moue de dégout déformant ses lèvre rouges. Elle tourna les talons et quitta la chambre. Hyunjin renifla. Il savait parfaitement que ses parents auraient été plus tranquilles s'il était mort. Ils le détestaient, mais ils ne voulaient pas non plus s'attirer les foudres de leur Dieu. Ils ne pouvaient pas ôter la vie d'un enfant, de leur enfant, sans que cela n'ait de graves conséquences sur leur rôle de souverain. S'il était encore là, ce n'était que grâce à l'Église et à ses enseignements.

— Il va vraiment falloir que tu cesses tout ça.

Hyunjin attrapa un ruban posé sur la coiffeuse pour attacher ses cheveux en une demi-queue un peu brouillon. À travers le reflet du miroir, il entrevoyait son père, droit derrière lui, son imposante carrure lui faisait froid dans le dos. Il n'avait jamais levé la main sur lui, mais il en avait toujours eu plus ou moins peur.

— Quand je te disais de te rapprocher du jeune Yang, ce n'était pas de cette manière.

— Je n'ai pas imaginé que les choses se passeraient comme ça.

Le roi expira un bon coup.

— Va te confesser.

Hyunjin tourna la tête vers l'homme. Il planta son regard dans le sien, sans ciller une seule fois.

— Et pourquoi je ferais ça ?

— Parce que je te l'ordonne.

Il pouffa de rire, son père l'attrapa par le poignet pour l'obliger à lui faire face. Il était grand, bien plus grand que lui, et jamais il ne ferait le poids. Lui, il n'était qu'une brindille qu'on pouvait écraser, pas un homme fort et taillé pour faire la guerre.

— Va te confesser tout de suite. J'imagine que les prêtres sont déjà au courant de ton énième incartade. Les nouvelles vont vite, et si des servantes vous ont vus, elles ont dû se faire un plaisir de colporter l'information à travers le palais.

Hyunjin serra les dents, sa lèvre inférieure tremblait et ses yeux commençaient à se remplir de larmes. Quand il sentit que la prise sur son poignet se fit plus faible, il s'en défit d'un geste brusque et quitta ses appartements.

Il se hâta dans les corridors du château, les poings serrés et le visage cramoisi. Il percevait chaque regard sur sa personne, chaque chuchotement, chaque accusation. Tout le monde savait. Tout le monde avait eu vent de sa nuit avec le fils du duc Yang ; les domestiques et les gardes prenaient un malin plaisir à le juger pour ses actes. Mais qui étaient-ils ? Ils n'étaient que des humains imparfaits, qui avaient eux aussi leurs vices, ils n'avaient rien à dire sur son comportement. Ils avaient, eux aussi, une part sombre qu'ils dissimulaient. Et pourtant ils se réjouissaient de le voir fauter. Son père avait raison, ce genre de nouvelle croustillante voyageait très rapidement et ravissait les esprits voyeurs qui, dans le fond, rêvaient de s'adonner à tout ce que lui se permettait de faire.

Non pas sans peine, il arriva devant la chapelle du château. Il inspira à pleins poumons et d'une main, il poussa la porte. À l'intérieur, quelques religieux se trouvaient là. Ils s'arrêtèrent pour se tourner vers lui et, d'un petit mouvement de tête, ils le saluèrent. Hyunjin avala sa salive quand il remarqua l'homme de tous ses désirs un peu plus loin. Bang Chan. Il venait sans doute de l'interrompre à en croire sa position, un ouvrage sacré à la main sur lequel il semblait montrer un passage à une jeune femme. Il referma le livre, s'excusa auprès d'elle et, d'un pas lent mais assuré, il arriva au niveau de Hyunjin. Il s'inclina légèrement, un mince sourire étirant ses lèvres.

— Bonjour Hyunjin.

Sa voix séraphique le fit frissonner des pieds à la tête. Son doux visage le rendait fébrile. Quand il souriait, ses yeux disparaissaient presque.

Il devait se contrôler, ne pas craquer face à lui, mais il sentait ses jambes faiblir. Il fit un pas en avant dans le but de le saluer, mais son genou flancha. De justesse, Chan le saisit par les avant-bras et le redressa sans pour autant le lâcher.

— Vous n'avez pas l'air très en forme. Vous devriez vous ménager.

Le rouge lui monta aux joues. Il avait l'impression que le toucher de Chan le brûlait par-dessus ses vêtements. Il aurait pu se consumer sur place et partir en fumée s'il n'avait pas fini par se séparer de lui.

— Désolé, mon père.

— Que me vaut votre visite ?

Hyunjin balaya la chapelle d'un regard timide ; il était observé de tous les côtés, il était jugé. Même eux savaient. Même Chan. Et pourtant, il continuait à faire comme s'il ignorait tout de ce qui l'amenait là. C'était une véritable torture.

— Je… Je suis venu me confesser, mon père.

Un nouveau sourire naquit sur les lèvres du prêtre. Il porta une main à son chapelet pour en serrer la croix et Hyunjin resta subjugué par ce simple geste. Les doigts de Chan étaient longs et osseux, et il sentit une décharge électrique lui parcourir le corps. Il frissonna une fois de plus et secoua la tête. Il ne pouvait pas avoir de telles pensées dans un moment pareil et surtout pas concernant l'homme qu'il admirait. Ce n'était pas correct, mais son esprit s'amusait à lui faire subir le pire des supplices. Ses doigts sur son corps, s'accrochant à ses hanches, caressant chaque parcelle de sa peau meurtrie, se glissant entre ses cuisses…

— Hyunjin ?

Il revint à lui, sortit d'un rêve qu'il ne maîtrisait pas alors qu'une érection naissait dans son pantalon.

— Oui, pardonnez-moi.

— Nous y allons ?

Hyunjin hocha vivement la tête et suivit Chan jusqu'au grand confessionnal en bois massif. Il poussa le rideau rouge pour s'installer à l'intérieur et, assis sur le banc, il serra les jambes quand il remarqua que son érection ne s'était toujours pas calmée. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Son corps n'avait jamais eu une telle réaction face à Chan. Il n'avait jamais ressenti plus que de l'amour, de l'admiration, et aussi beaucoup d'obsession à son égard.

— Que voulez-vous confesser à Dieu aujourd'hui ?

La voix de Chan retentit et Hyunjin crispa les doigts sur son pantalon. Il avait beaucoup de difficultés à se contrôler. Une puissante chaleur s'était éprise de son corps ; elle lui brûlait les reins et l'entrejambe, elle le brûlait si fort qu'il aurait pu en gémir de douleur et de bonheur. Il n'arrivait pas à mettre des mots sur ce qu'il ressentait, c'était trop intense, et ça envahissait tout son être.

— Je… J'ai couché avec un…

Il déglutit et prit une grande inspiration.

— Prenez votre temps, Hyunjin.

Chaque mot du prêtre ne faisait qu'accroître le feu qui était en train de le ravager. Il n'en pouvait plus. Il posa une main sur son membre et appuya dessus aussi fort que possible. Il voulait faire disparaître son excitation, quitte à se faire mal. Mais la douleur ne faisait-elle pas partie intégrante de son plaisir ? Elle était inefficace sur lui.

— J'ai couché avec le fils du duc Yang.

Un silence s'installa avant que Chan ne reprenne la parole.

— Hm, d'accord. Vous avez d'autres choses à dire ?

— On l'a fait plusieurs fois. Beaucoup de fois. Toute la nuit, avoua-t-il en fermant les yeux.

— Et vous avez aimé ça ?

Cette fois, le feu s'embrasa et il se laissa emporter par les flammes ardentes. Son corps et son esprit étaient en train d'être réduit en cendres. Il suffoquait, si bien qu'il se mit à sangloter. Il n'arrivait pas à repousser cette force supérieure qui l'engloutissait dans les méandres de l'abîme. Il rouvrit les yeux et l'air revint dans ses poumons, comme s'il reprenait vie. Ses pleurs cessèrent aussi vite qu'ils s'étaient déclarés.

— J'ai adoré jouir en lui.

Il battit plusieurs fois des cils avant de reprendre connaissance. La voix qui avait résonné dans sa tête ne lui appartenait pas. Ce n'était pas lui qui venait de parler à Chan. Non, il s'agissait bien de Lilith. Elle venait tout juste de se réveiller après s'être débattue pour ressurgir et prendre le dessus sur lui. Elle venait de parler à sa place, et il se demandait si Chan avait entendu la succube.

Le prête toussa.

— Pardonnez-moi mon père… Je… Je ne sais pas ce qui m'a pris…

— Vous êtes juste un peu perdu Hyunjin, ne vous en faites pas.

— Je n'aurais pas dû vous dire ça.

— Y a-t-il autre chose que vous désirez confesser ?

— Non, c'est tout mon père.

Il entendit Chan inspirer et déglutir.

— Vous vous repentez ?

— Oui, je demande le pardon mon père. J'ai conscience que j'ai besoin de l'aide de Dieu pour laver mes fautes et mes manquements, et aussi pour progresser vers la lumière.

— Soyez-en sûr, vos péchés sont lavés, car Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et les injustes.

Hyunjin entendit la porte du confessionnal s'ouvrir, mais il resta à l'intérieur encore un moment afin de se remettre de ses émotions. Et surtout, il avait terriblement peur de croiser le regard de Chan après ce qu'il venait de lui dire. Il se sentait honteux d'avoir osé lui parler de cette manière. Il savait pertinemment que ce n'était pas réellement lui qui s'était laissé aller, que Lilith y était pour quelque chose, mais la démone semblait s'être de nouveau assoupie. Il finit par sortir lui aussi, le coeur battant la chamade, des gouttes de sueur perlant sur son front et dans sa nuque. Par chance, il n'avait plus d'érection.

Il était sur le point de repartir quand il décida de se retourner ; Chan était près de l'autel, en compagnie d'un autre prêtre.

— Cet enfant ne sera libéré qu'une fois qu'il sera mort.

— Je ne suis pas si sûr. Le pauvre, il a malheureusement été vomi par les enfers.

Hyunjin quitta l'église en courant, submergé par la peine. Les larmes lui montèrent et il n'arriva plus à respirer, chaque pas qu'il faisait était un peu plus douloureux que le précédent. Son cœur était brisé en mille morceaux. Il avait toujours pensé que Chan était sincère et bon avec lui, qu'il voulait l'aider, qu'il pensait pouvoir l'aider. Finalement, il pensait la même chose que tous les autres.

Vomi par les enfers.

Il pensait qu'il n'était qu'un monstre engendré par Satan, qu'il était irrécupérable. Il arriva à sa chambre, non sans mal, et une fois à l'intérieur, il s'effondra sur le sol. Face contre terre, il laissa éclater sa tristesse. Son corps soubresautait sous les sanglots, il n'arrivait plus à s'arrêter. Il se sentait anéanti, seul, terriblement seul.

Mais il ne l'était pas. Il ne l'était plus. Une main se posa dans ses cheveux, elle était tendre et le caressait lentement.

— Ne pleure pas Hyunjin. Tu auras ce que tu désires, tu es un bon garçon.

***

▶️ Hello ! J'espère que vous allez bien !
Nouveau chapitre de Lilith (enfin) où on a revu Chan 😌 on le verra beaucoup plus dans la suite, jusqu'à la fin, mais je ne vous en dis pas plus.
Normalement l'histoire fera un peu moins de 20 chapitres (ça dépend si je me perds en route ou pas lol)
Mais j'espère qu'elle vous plaît (◕ᴗ◕✿)
À bientôt 💜

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