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Chapitre 25: La ville du vin

Bonjour à tous.

Nous nous retrouvons avec un nouveau chapitre qui nous rapproche un peu plus de la fin malheureusement.

Je vous souhaite donc bonne lecture ! 

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Sincèrement, je plains ma famille et Anna quand ils sont avec moi. 

Depuis que je me suis mise en couple avec Jungkook, je suis devenue une nouvelle femme. Je suis sans cesse de bonne humeur, je parle de lui tout le temps en faisant des louanges sur lui et je me suis mise à écouter toutes leurs chansons en boucle, du coup je les connais sur le bout des doigts. 

Mais ce n'est pas de ma faute. Je suis amoureuse et heureuse de passer du temps avec lui. J'ai toujours aimé dormir mais là, c'est plus qu'une passion de me coucher dans mon lit. 

Franchement, avant je détestais les gens trop guimauves qui pensaient vivre dans un monde de paillettes et de licornes qui font des cacas papillons, mais depuis que je suis avec le coréen, je vis actuellement dans ce monde. 

Ouais, je me comporte littéralement comme une princesse Disney. Je me lève le matin, toujours de bonne humeur après avoir vu Jungkook, je chante chaque action que je fais comme je vais chanter que je verse des céréales dans mon bol. 

Je sais, c'est ridicule mais je le fais et je m'en fous, j'ai l'excuse la plus valable au monde. 

Je suis amoureuse. 

Il faut tout de même être réaliste. Je dois sincèrement faire chier Anna et elle me le fait bien comprendre à travers des phrases bien placées du genre : "Bon, qui est-ce qui a remplacé ma meilleure amie qui tire toujours une gueule pas possible par cette chose dégoulinante de chamallow fondu ?". 

Cela fait plus d'une semaine que je suis en couple et donc depuis ce laps de temps, elle doit me supporter. Je la plains. 

Dès que l'effet de la relation amoureuse se sera dissipé, je lui achèterai une boîte de chocolat pour la remercier d'avoir été aussi patiente avec moi. 

Je regarde l'heure affichée sur mon portable et souris grandement avant de quitter ma salle de bain en trottinant pour me diriger vers ma chambre. Je me jette sous ma couverture après avoir frotté mes pieds en dehors de mon lit et m'installe confortablement sur mon coussin. 

J'ai décidé de me coucher plus tôt pour passer plus de temps avec Jungkook qui doit être en train de lutter avec le sommeil puisque je ne me suis pas endormie à cause de lui. 

Je ferme mes yeux avec impatience et attends que le sommeil vienne me cueillir. Peu de temps après, comme à chaque fois que je m'endors, je sens une douce brise glisser sur ma peau du visage, signe que je suis dans un rêve. 

Je soulève mes paupières et découvre avec étonnement où je me trouve. Je suis actuellement devant le grand théâtre de Bordeaux, nous sommes chez moi, dans ma ville. 

Je regarde comment le pays des songes a décidé de m'habiller et je soupire de soulagement, ça va, je ne ressemble pas à rien. Un pantalon noir avec des converses blanches, un petit haut en dentelles dos-nu et échancré au niveau des épaules, franchement, tenue agréable et confortable et surtout qui ne ressemble pas à rien. 

Je place une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille et tourne sur moi-même à la recherche du noiraud. Je soupire et décide d'attendre qu'il me trouve. 

Enfin, ça devrait être moi qui tente de le chercher, non ? Je suis tout de même celle qui connaît la ville... 

Des doigts viennent glisser sur la peau découverte de mon dos avant qu'on ne dégage mes cheveux de mon cou pour déposer une paire de lèvres douces. Je frissonne, laissant un sourire se dessiner sur ma bouche tandis qu'un léger soupir s'échappe de cette dernière.

« Tu t'es couchée tôt aujourd'hui, entendis-je sa voix grave venir murmurer à mon oreille, provoquant inévitablement un second frissonnement de ma part. 

- Oui, j'étais fatiguée, inventé-je sur un ton amusé. 

- Juste pour cela ? Ce n'est pas pour me voir plus vite ? Lance-t-il d'une tonalité taquine en me tournant doucement pour lui faire face. 

- Peut-être... fis-je malicieusement. »

Son sourire s'agrandit et il vient déposer ses lèvres sur les miennes avec délicatesse. L'union de nos croissants de chairs me donne sans cesse la sensation d'un envol de milliers de papillons dans mon estomac. 

Comme je l'avais dit, nous sommes coulants d'amour tel un coulis de chocolat sur un cupcake. 

Notre idylle amoureuse est telle que nous en oublions le principal problème. Jungkook ne peut avoir de petite amie. 

Nous sommes destinés à vivre dans le mensonge, dans les rêves et jamais se rencontrer en vrai, jamais goûter le réel goût de l'autre, jamais connaître la chaleur de l'autre. 

Nous y avions pensé au tout début, maintenant, nous nous adaptons et vivons au jour le jour. De toute façon, notre couple ne risque pas d'être découvert à part si l'un des scientifiques vend la mèche, mais à quoi cela leur servirait à faire ça ? Ils risqueraient de perdre un cobaye. 

Jungkook décale son visage du mien après avoir déposé un énième baiser sur mon front avant de jeter un rapide coup d'œil autour de nous. 

« Tu sais où nous sommes ? Me questionne-t-il avec curiosité. 

- Oui. Nous sommes dans ma ville, à Bordeaux ! Répondis-je avec enthousiasme. 

- Bordeaux ? 

- Oui ! La ville du vin et aussi la plus jolie ville de France, laissé-je entendre dans un rire. 

- La plus jolie ville de France ? Je pensais que c'était Paris... Enfin, je ne peux pas comparer les villes, je ne connais que votre capitale... 

- Dis-toi que toi tu as de la chance de connaître Paris, moi je ne sais pas à quoi elle ressemble, rigolé-je en attrapant sa main avant de marcher sans direction précise. 

- Comment ça ? Tu n'es jamais allée dans ta propre capitale ? S'étonne-t-il. 

- Non. À part l'aéroport, je ne suis jamais allée à Paris. Mais tu sais, beaucoup de français habitant dans le sud de la France ne connaissent Paris qu'à travers des photos, ajouté-je avec un sourire. Est-ce que toi tu connaissais Séoul avant d'y habiter ? 

- Non tu as raison, moi non plus je ne connaissais pas Séoul, dit-il après réflexion. Bon... trêve de bavardage ! Qu'est-ce qu'on fait ? 

- Je vais te faire visiter Bordeaux, te montrer toutes les splendeurs dont elle regorge, déclaré-je en tirant doucement son bras. »

Il semble beaucoup apprécier l'idée à en voir son sourire tandis que mon cœur bat avec hâte. Je l'entraîne donc avec moi dans ce périple qui est la découverte de cette merveilleuse cité. 

Je prends d'abord quelques secondes pour me repérer et décide d'abord de lui montrer la grande rue marchande, la rue Sainte-Catherine. Même dans mon rêve elle est bondée de monde, je préviens alors le noiraud de ne pas me lâcher au risque que l'on se perde. 

Durant notre marche entre la foule, je jette un coup d'œil vers mon coréen pour voir comment il se sent. Un sourire tendre se dessine sur mes lèvres en le voyant tout observer d'un regard à la fois curieux et émerveillé, tel un enfant lorsqu'il rentre dans une boutique de jouets. 

Mais tout à coup, un violent frisson se propage dans tout mon corps. Je me retourne vivement, zieutant rapidement les visages de la foule autour de nous. Je repère soudainement une silhouette sombre au fond de la rue, cette dernière vêtue seulement de noir porte aussi un masque sur le bas de son visage, rendant seulement visibles ses yeux, mais je suis bien trop loin de cet inconnu pour les distinguer.

Mon cœur bat à toute allure dans ma poitrine. Je retiens instinctivement mon souffle. Pourquoi nous suit-il ?  

Alors que je suis en train de me faire des films sûrement, Jungkook attrape ma main pour me tirer dans sa direction voulant comprendre pourquoi je me suis soudainement arrêtée.

« Ça ne va pas ? Me questionne-t-il en fronçant les sourcils.

- Hein ? Quoi ? Si si !Je m'étais juste perdue dans mes pensées ! Inventé-je précipitamment. »

Il fait une moue peu convaincue, mais finit par hausser les épaules avant de reprendre sa marche avec moi. Je jette furtivement un regard par-dessus mon épaule et remarque que la silhouette a disparu.

Aurais-je rêvé ?

Je me pince les lèvres puis reporte mon attention devant moi. Cela ne doit être que mon imagination... je ne dois pas y penser mais juste profiter de ce rêve avec Jungkook. 

Nous arrivons au bout de la rue menant alors la place de la Victoire. Je sens soudainement le noiraud me tirer en direction d'une grande statue et à en voir son sourire, je sais qu'il regrette de ne pas être là dans la réalité, voulant sûrement prendre une photo. 

« Un jour tu viendras vraiment à Bordeaux et on fera des photos dans tous les coins de la ville, dis-je en pressent gentiment sa main. 

- Kira... tu sais très bien qu'il y a peu de chances que je vienne... soupire-t-il. 

- Il y en a peu peut-être, mais il y en a quand-même, répliqué-je avec un sourire. Garde espoir Jungkook... 

- Je garde espoir, comme je garde espoir de te voir vraiment, laisse-t-il entendre avec un sourire. »

Je laisse un rictus joyeux s'installer sur mes lèvres et l'entraîne à la visite d'autres lieux. Après avoir pris le tram et le bus, nous arrivons dans le parc bordelais, un grand espace vert et reposant où j'aime bien passer du temps pour dessiner quand je veux m'aérer l'esprit. 

Nous allons nous coucher dans l'herbe, lui sur le dos, moi blottie contre lui, ma joue au niveau de son cœur. Il caresse doucement mes cheveux puis mon dos dénudé. 

« Alors les cours ? Me questionne-t-il simplement. »

Voilà ce que j'aime aussi chez lui, il s'intéresse vraiment à moi et à la moindre chose. Nous pouvons discuter de tout et de rien. Je lui raconte des passages de ma vie et lui de la sienne. 

« C'est fatigant... La dernière fois, je me suis endormie en cours parce que tu avais fait une sieste et du coup, j'avais loupé tout ce que le prof à dit. Heureusement que j'enregistre maintenant pour rattraper à la maison mais à cause de ça, je me couche tard, expliqué-je dans un petit rire. 

- Je suis désolé... 

- Mais pourquoi tu t'excuses, je ne t'en veux pas ! Je passe à chaque fois d'agréables moments alors si c'est le prix à payer pour rester avec toi, je suis prête à verser le double ! 

- Juste le double ? Lance-t-il en arquant un sourcil malicieusement. Je pensais que tu tenais un peu plus à moi !

- Oh ! Ne pousse pas le bouchon un peu trop loin Maurice, rigolé-je en tapant gentiment son torse. Et sinon toi ? Ça se passe bien les répétitions ? 

- Toujours ! En plus on s'éclate bien avec les gars donc tout se passe bien. J'ai hâte de partir en tournée d'ailleurs ! S'enthousiasme-t-il. 

- Elle commence quand déjà ? 

- Dans deux jours.

- C'est bientôt... Tu auras plein de choses à me raconter ! Tu as intérêt aussi à bien te reposer ! Ajouté-je sérieusement. 

- Ne t'inquiète pas, je ne ferai pas d'excès, rigole-t-il. »

Pour me rassurer, il dépose un baiser sur le dessus de mon crâne avant que le silence ne reprenne sa place entre nous. Mais cela n'est pas dérangeant, nous profitons des bruits de la nature, des rires des enfants, des mélodies chantées par les oiseaux. 

Un nouveau frisson désagréable se propage de mon échine jusqu'en bas de mon dos. Je me redresse en sursaut et fais parcourir mon regard tout autour de nous. 

Mon cœur s'arrête soudainement de battre lorsque je repère la même silhouette que tout à l'heure, les mains dans les poches de son long manteau noir et postée loin de nous sur le pont du lac en face de notre position. 

Mais je n'ai pas le temps de garder mon attention sur lui que les lèvres du noiraud viennent se poser dans mon dos dénudé avant de remonter en pluie de baisers sur mon cou. 

« Qu'est-ce qu'il se passe ? Me demande-t-il d'une voix sensuelle, ses croissants de chair frôlant le cartilage sensible de mon oreille. 

- R-rien... J'ai cru voir une personne que je connaissais, mentis-je en évitant de le regarder. »

Je reporte mes prunelles vers le pont, mais comme la dernière fois, l'étrange et surtout angoissante silhouette ne se trouve plus là. 

Mais cette fois, je suis certaine de ce que j'ai vu. Cette personne nous suit, je ne sais pas pourquoi mais elle ne nous lâche pas et surtout, n'essaye pas d'être discrète... 

Nerveuse, mal à l'aise, inquiète, je me relève d'un coup et tends la main au coréen en prétextant vouloir lui faire découvrir un nouveau lieu, mais je veux juste m'éloigner le plus possible du parc. 

Je ne me sens pas bien, je me sens en danger et pourtant, je ne peux rien dire à Jungkook qui semble vivre le plus beau moment de sa vie. 

Il ne semble pas percevoir le trouble en moi, enroule simplement ses doigts aux miens tout en se relevant avec mon aide avant de me suivre sans poser de question, l'impatience de découvrir bien plus encore Bordeaux dessinée sur son visage. 

« On va où ? M'interroge-t-il avec un grand sourire. 

- Au pont de pierre. Tu vas pouvoir voir la Garonne de près, c'est un très beau fleuve ! Dis-je avec le plus d'enthousiasme possible dans ma voix. 

- En route alors ! »

Il tire gentiment mon bras pour me rapprocher de lui et passe le sien dans mon dos tandis que je pose ma tête sur son épaule. Nous avançons tranquillement, l'un contre l'autre, jusqu'à arriver à destination. 

L'édifice se peint sous nos yeux et je peux clairement discerner un "wouaw" du brun à côté de moi. 

« C'est beau, lâche-t-il simplement, les yeux ébahis. 

- Oui. Il est très vieux, il a été créé par Napoléon Bonaparte et d'ailleurs, chaque arche du pont constitue une lettre de son nom, soit dix-sept arches, expliqué-je en lui donnant un petit cours d'histoire sur ma ville. 

- Napoléon Bonaparte... c'était un roi de France, c'est ça ? 

- Non, c'était un Empereur, corrigé-je gentiment. Viens, on va monter dessus ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous nous trouvons maintenant au plus haut point du pont, tous deux penchés au-dessus de la Garonne qui coule en dessous de nous, moi avec un simple sourire, lui complètement émerveillé par ces découvertes. 

Il se tourne vers moi et ouvre la bouche pour dire quelque chose mais je manque de frôler la crise cardiaque en découvrant la silhouette sombre juste à côté de lui. 

Je n'ai pas le temps de le prévenir que cette dernière le pousse par-dessus le bord, l'envoyant vers une noyade certaine. Je n'hésite pas une seconde et me penche en avant pour rattraper de justesse la main de mon petit ami. 

Emportée par son poids, mes pieds décollent du sol et je manque de le suivre dans sa chute vers la Garonne. Je serre des dents, force sur mes abdos pour me maintenir au moins sur le bord du pont tandis que je jette un coup d'œil par-dessus mon épaule. 

La silhouette est toujours là... elle attend que nous tombions ensemble. 

« Pourquoi faîtes-vous cela ?! Crié-je avec désespoir. »

Aucune réponse de sa part. Les secondes passent et il ne bouge pas une seconde avant de me pointer soudainement du doigt. Une sueur froide dégouline dans mon dos, ne comprenant pas ce qu'il veut dire par ce geste. 

Est-ce que je suis la prochaine ? Il va me tuer moi aussi ? 

Mais au lieu de s'approcher de moi, il pivote sur ses talons et part dans la direction inverse à la mienne, me laissant seule avec le noiraud. 

« K-Kira ! Lâche-moi ! Me lance soudainement ce dernier qui voit que je peine à le garder là. Je n'ai aucun moyen de remonter et tu n'arriveras pas à m'aider... Je ne veux pas que tu tombes avec moi.

- Ne dis pas n'importe quoi ! Je ne te lâche pas et je vais même te prouver que je peux te remonter ! Répliqué-je en fronçant les sourcils. »

Je tire sur mes bras mais au lieu de nous rapprocher du bord, je glisse légèrement vers l'avant, me faisant lâcher un cri de surprise. 

« Kira, ne fais pas ta tête de mule... Ce n'est que de l'eau en bas, j'ai encore une chance de m'en sortir... 

- Non ! La Garonne est un fleuve mortel ! Les courants sont tellement forts que personne ne survit et finit par se noyer... 

- Alors soit. Je ne veux pas que tu meures avec moi. 

- Et je ne veux pas que tu meures, laissé-je entendre tristement avant de me tourner. S'il vous plaît ! Aidez-nous ! Mon ami va tomber et je n'arrive pas à le remonter ! Je vous en prie ! »

Mais personne ne s'arrête. Tout le monde passe sans faire attention à nous, comme si on n'existait pas...

« Kira... Lâche-moi, insiste-t-il gentiment.

- Mais... mais je ne veux pas... je ne veux pas te perdre, refusé-je les larmes aux yeux.

- Tu ne me perdras pas, on va se revoir dans un autre rêve. Allez, laisse-moi tomber, me redemande-t-il avec un sourire. »

Je me pince les lèvres, les perles d'eau lacrymale glissant maintenant sur mes joues. Comment peut-il me faire une telle demande avec le sourire... il est cruel... 

Je tente une dernière fois de le rapprocher du bord mais je glisse encore plus en avant, mes genoux sont bientôt mon seul point d'accroche. 

« Je n'ai pas envie de le faire... dis-je la gorge serrée. 

- Je sais mais tu dois le faire... J'ai passé une superbe journée avec toi, déclare-t-il avec un sourire tendre tout en faisant bouger sa main de façon à ce qu'elle s'échappe de la mienne. »

J'écarquille les yeux lorsque, sans que je ne puisse faire quelque chose, il me lâche et se laisse tomber avec un sourire dans la Garonne. 

Je vois son corps rentrer en contact avec l'eau, laissant de l'écume s'en échapper. Je parcours vivement mes prunelles, le cherchant désespérément, espérant qu'il remonte à la surface. 

Je cris son nom, je pleure son nom. Il n'est pas remonté... 

Pourquoi... pourquoi faut-il toujours que nous mourrions dans nos rêves ? Le docteur Hellwig avait pourtant dit que tant que nous sommes heureux et stables mentalement, on allait passer de bons rêves.

Pourquoi la mort nous suit-elle alors que nous sommes parfaitement bien en ce moment ? 

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