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Chapitre 19 : Gwendolyne

ATTENTION : Ce chapitre comporte des scènes à connotation sexuelle (érotiques) qui peuvent heurter les plus sensibles ou les plus jeunes. Les paragraphes concernés sont mis en italiques pour que vous puissiez les identifier.


- Salut ma belle !

- Hey, ma belle, ça va ?

- Parfait ! Quinze euros, comme d'hab ! Et bonne soirée !

Après avoir enfilé les chaussons en plastique au-dessus de mes chaussures afin de ne pas salir l'intérieur, je traverse le rez-de-chaussée, passe devant le bar où je salue mon barman préféré et descends par les escaliers au sous-sol. Il y a peu de monde dans les vestiaires, ce qui est logique à 20h à peine. Le repas n'est servi qu'à 21h, donc certains arrivent plus tard pour le dîner, et d'autres uniquement en deuxième partie de soirée, à partir de 23h ou 1h.

Un couple me salue tandis que, déshabillée et mes affaires rangées dans mon casier, j'enfile le paréo fourni et me dirige vers la douche, le posant un peu plus loin pour ne pas le mouiller. L'eau coule sur moi, comme pour me laver de cette journée et cette semaine riches en émotions. Ce soir, j'ai envie de tout oublier, de ne penser qu'à mon bien-être. Fini les projets en ébullition, le nouveau binôme entre gaffeur et triste, l'hystérique qui m'est tombée dessus et la paperasse qui m'attend à l'appartement.

En pénétrant dans le hammam, je m'allonge nue et me laisse bercer par les gémissements d'un couple en pleine extase. J'ai beau fréquenter ce lieu depuis trois ans, je ne sais toujours pas comment ils font pour rester longtemps dans ce lieu pour un rapport sexuel. Entre la chaleur et l'humidité, les frottements sont peu agréables, je trouve. Les bruits également sont quelque peu gênants car les crissements dus à l'eau couvrent souvent les gémissements. Et, surtout, une très bonne douche s'impose après, car la transpiration est à son comble. Et je préfère la douche de l'étage, beaucoup plus grande et lumineuse.

J'aurais pu rester toute la soirée cloîtrée dans le hammam, mais une connaissance m'interpelle :

- Coucou Gwen !

- Salut Maria ! Tu as perdu ton mari ?

- Il est parti tard du travail, du coup on arrive pile pour le repas...

Je détaille un instant ses yeux marron et ses cheveux teints, à l'opposé de ceux de son mari, très grisonnants. Un couple sympathique que je connais depuis mes débuts dans le libertinage et qui m'a beaucoup appris sur ce milieu que je ne connaissais pas. Entre eux et mon copain de l'époque, j'ai pu m'inscrire dans ce mode de vie atypique, comprenant que l'âge n'a pas d'importance, que les femmes sont plus douées pour certaines choses que les hommes et que j'appréciais cette liberté d'aimer physiquement qui je voulais dans ce cadre.

- Il est déjà 21h ?

- Eh oui, ma cocotte ! Encore un peu et tu t'endormais là ! Dommage pour ta dernière avant trois mois ! Tu viens avec nous ?

- Avec plaisir !

Nous remontons au rez-de-chaussée, où les odeurs de riz parfumé et de poulet bien croustillant nous délectent les papilles immédiatement. Un bon repas et la soirée pourra enfin commencer !


La tête enfouie dans le sexe humide de la femme, prénommée Gaby, qui se trouve au-dessus de moi, je prends plaisir à titiller son clitoris vierge de tout poil, tandis que son conjoint la pénètre avec délicatesse. Il faut dire que le pauvre doit commencer à fatiguer, puisque je ressens une légère douleur, tout à fait négligeable cependant, au niveau de ma langue. Le goût de cette femme est agréable, légèrement acidulé, et je ne suis pas en reste dans l'extase. Ses doigts sont experts dans les caresses et, chaque fois qu'ils pénètrent en moi, je ressens comme une décharge électrique.

Son conjoint vient dans un râle rauque et se pose à côté de nous, me permettant de respirer plus facilement que lorsque ses cuisses se trouvaient au-dessus de ma tête. Pas égoïste, il se place derrière moi et remplace sa copine de ses doigts plus longs en mon sein. Immédiatement, mon excitation étant déjà à son comble grâce aux qualités de la femme, je ressens ses mouvements de façon décuplée. L'avantage des hommes qui, le plus souvent, ont des doigts plus longs que la gente féminine. Ils parviennent plus facilement à toucher mon point G et à me faire connaître la jouissance absolue.

Gaby se déplace après sa jouissance, se posant à côté de moi et, malgré la semi-obscurité, je me rends compte que ses yeux brillent comme des millions d'étoiles. Sa bouche charnue m'attire comme un aimant, et je parviens à lui murmurer, entre deux gémissements :

- Embrasse-moi...

Lorsque ses lèvres marron entrent en contact avec les miennes, je ne peux m'empêcher de chercher sa langue qui a encore le goût de mon intimité, un peu sucrée. Elle place ses mains derrière ma tête et me presse contre elle, caressant ma poitrine de ses mains gourmandes. Son copain accélère son mouvement dans mon être et je m'agrippe de toutes mes forces à Gaby, enfonçant mes ongles dans la peau de son dos, ce qui l'excite davantage. Plongeant mon nez dans son cou, je sens l'odeur de ses cheveux crépus, probablement de l'huile d'argan, et mordille légèrement sa peau ambrée.

- Encore, murmure-t-elle à l'adresse de son conjoint.

Il semble comprendre le message qu'elle lui a transmis car, aussitôt, ses doigts se positionnent différemment en moi et ses mouvements se font plus rapides et à la fois plus profonds. Il touche clairement au point le plus sensible de mon intimité et Gaby me force à ne pas me tortiller dans tous les sens en montant sur moi, ses fesses posées légèrement sur mon ventre. Elle place ses bras autour de mon visage et mange goulument mes lèvres.

Je n'en peux plus, l'extase est à ma porte. Mes gémissements deviennent de plus en plus diffus, mon souffle s'accélère. Mon bassin suit les mouvements de ces mains inconnues qui me font tant de bien. J'oublie tout. Comme si mon cerveau n'était plus capable que de se concentrer sur ces sensations qui me parcourent entièrement.

Un cri sort de ma bouche lorsque j'atteins la jouissance suprême et je me cramponne de toutes mes forces à Gaby. Son compagnon manque de se faire écraser lorsque je referme violemment mes cuisses en me dandinant.


Après avoir quitté ce couple sympathique sous la douche commune, à la vitre transparente permettant de contempler le couloir et le sauna, je jette un œil à ma montre. 1h45. Il va falloir que je rentre, car demain j'ai rendez-vous chez ma tatoueuse à 10h. Si je veux dormir un peu, après avoir pris le Noctilien, il ne faut pas que je traîne trop...

Alors que je rince mes cheveux, je reste scotchée en voyant passer une personne. Non, ce n'est pas possible... Je suis fatiguée... Cela ne peut pas être Iseult... 




Helloooooooooooo !!!

Alors, cette partie vous a-t-elle permis de mieux comprendre l'univers de Gwen ? Et, pour ceux qui ont lu l'italique, comment avez-vous trouvé (c'est ma première vraie scène érotique, alors je demande, vu que ce ne sera pas forcément la seule ^^) ? Le fait qu'elle soit en italique et avec un avertissement en début de chapitre vous convient-il ? 

Et la chute !!! Alors, Iseult ou pas Iseult ? Et, si oui, pourquoi et comment ? Les paris sont ouverts ;)

Prochain chapitre... déstabilisant, je pense ;p

A bientôt :)

Sanguinement-vôtre, 

Gothycka

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