Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 4 : Se réconcillier

Gabriel était hors de lui.

Mais à quoi pensais tu bon sang ??? Qu'est-ce que j'avais dit ? PAS-DE-BASTON !! Et qu'est-ce que tu fais, à peine arrivé ? Tu te bats ! MAIS QUEL CON !

Jesse se fit poser une crème sur son œil au bords noir par Angela, qui n'osait rien dire. Ana observait ses amis un peu plus loin, l'air grave. Le cowboy allait dire quelque chose, mais le latino hurla de plus belle.

Et avec qui ??? L'aîné des Shimada ! Mais tu pouvais pas choisir un mec inconnu dans la rue plutôt ?? Le brun bougonna avec une grimace quand son amie mit du désinfectant sur son arcade qui était fendue.
— Ouais ben au moins, j'suis pote avec Genji... Le commandant de BlackWatch gonfla les joues, en se retenant d'essayer de ne pas casser les jambes de son subalterne.
— GENJI SHIMADA !!! Ce gamin ! Ils ne lui disent rien ! Il passe son temps à baiser avec des putes et à s'amuser naïvement dans son monde de bisounourses !!!

L'ancien délinquant sentit la médecin tressaillir face à cette description abusive du playboy japonais. Le garçon était peut-être un peu naïf, mais dire cela de cette façon ne lui plaisait pas. Mais elle ne déclara rien, et soigna simplement Jesse en silence.

Elle respectait Reyes, et savait pertinemment son erreur. Elle n'aurait jamais dû aller dans cette boite de nuit, de même qu'elle n'aurait jamais dû faire ce discourt face à Hanzo. C'était totalement de sa faute si la bagarre avait éclatée. Aux souvenirs de ses insultes de l'aîné des frères, elle replongea dans ses souvenirs noirâtre de son enfance.

À la sensation des mains tremblantes de son amie, le brun blessé devina ses souffrances, et il posa une main protectrice sur son épaule, et il lui souria tendrement, toujours sous les cris de son supérieur, qu'il pris soin d'ignorer royalement.

Hey, Angel'. Rien est de ta faute d'accord ? Il méritait ce coup plus que tu méritais ses paroles.

La fausse brune eu un petit sourire, et elle posa son front fatigué sur l'épaule de son ami. Elle n'en pouvait plus. Déjà qu'elle manquait affreusement de sommeil, mais s'il fallait qu'elle se couche tout les jours à deux heures du matin.. Ses longs cils papillonnèrent sur ses iris azurs, et Jesse le remarqua. Alors il se leva, interrompant Gabriel.

On va se coucher. Le latino s'indigna.
— Jesse ! J'ai pas finis de-
— Demain. Ou plutôt, laisse nous au moins dormir sept petites heures Gabe..

Furibond, le commandant de BlackWatch se retourna et suivit alors Ana dans la chambre adjacente au salon. Jesse et Angela entrèrent dans la leur, et sans prendre le temps de se déshabiller pour ce mettre en pyjama, la suissesse plongea sous la couette et s'endormit rapidement.

L'américain, lui, resta pensif face à ses actes que lui même ne comprenait pas. Comment avait il pu perdre son sang froid si rapidement ? C'était impensable. C'est vrai, qu'il pouvait souvent s'emporter facilement. Mais il avait vécu plus dur. Surtout qu'il avait bu. Avec de l'alcool dans le sang, comment avait il pu céder à la rage ?

Jesse était d'un genre pacifiste quand il était ivre. Dans la salle de bain, dans le besoin de se détendre, il se déshabilla rapidement, arracha les pansement de la médecin, et se fit couler un bain bouillant, comme il les aimait.

Pendant que l'eau descendait en cascade dans la baignoire, il en profita pour s'observer dans le miroir. Son teint n'était pas du tout le même que la veille au matin.

Petite gueule de bois, il était pâle. D'épaisses cernes ornait ses yeux ambrés blafards. Un œil au bords noirs accentuait ses signes de fatigue, sa lèvre et son arcade étaient ouverts dans des entailles rougeâtres, et sa joue avait un peu gonflé.

Mais tout cela n'était rien encore face à tout les bleus que son corps supportait maintenant, et ses côtes fêlées. Son cœur se serra face à l'image qu'il recevait de lui-même. Il avait lamentablement perdu face à Hanzo. Sa fierté en avait prit un coup.

En effet, le cowboy avait eu beau commencé la baston, le regard si haineux que lui avait lancé le noiraud suite au premier coup, il s'en souviendrait toute sa vie. Cela l'avait déstabilisé une seconde. Une seconde de trop.

Hanzo lui avait envoyé son tibia dans les côtes avec un style de combat qui lui était complètement inconnu. Et puis le japonais s'avérait le surpasser totalement au corps à corps. De plus que l'alcool encore présent dans ses veines ne l'aidait pas vraiment pour avoir des réflexes convenables.

Sans l'intervention de Genji, l'aîné des frères l'aurait bien battu jusqu'à la mort. Jesse coupa l'eau et s'y plongea rapidement, l'eau qui frôlait bien les quarante degrés s'infiltrant agréablement dans ses blessures. Avec honte de sa défaite, il soupira bruyamment, et passa le savon sur ses bleus et plaies.

Comment avait il pu être si inconscient ? On l'avait prévenu pourtant. Les Shimada avait reçu un entraînement de ninja intensif qui leur procurait des capacités surpassant largement celles d'un soldat normal. Évidement qu'au corps à corps, Hanzo pouvait maîtriser le cowboy à une main si il le voulait.

Mais le brun ne regrettait pas son geste. Il repensa au visage si angélique, si beau du noiraud. Mais son caractère qu'il n'avait pas pu supporter une seconde de plus, surtout à l'égard d'Angela, qui avait juste agit par principes.

Mais pourquoi avait il hésité à lui mettre un autre coup ? Peut-être qu'il ne voulait simplement pas abîmer son visage... À cette pensée, qui se frotta douloureusement les tempes avec fatigue. Ridicule. Simplement et purement ridicule.

Il somnola un peu, et sortit finalement de la baignoire, vida l'eau, s'essuya avec douleur et enfila un caleçon. Pour finir, il mit des pansements sur ses plaies, il fila sous la couette lui aussi s'endormir comme une pierre.

***

Le soleil se leva lentement dans le brouillard de pollution sur la ville d'Hanamura. Encore engourdi par le sommeil, Angela se réveilla à cause de la lumière trop vive avec un mal de tête atroce. Et pour cause. Quel était l'idiot qui avait oublié de fermer les volets ? Jesse McCree.

La fausse brune fut tentée par l'envie de réveiller l'homme qu'elle enviait du plus profond de son cœur du ommeil si lourd qu'il avait et qu'elle voulait elle aussi avoir. Sachant très bien qu'elle ne rendormirait pas, elle se leva, pour ôter son jean qui la serrait trop à son goût et pour enfiler une des chemises à carreaux de son ami, dont elle préférait la lâcheté.

Machinalement, elle ouvrit la fenêtre de la chambre pour faire entrer l'air tiède de l'été japonais. Elle inspira, expira.

Ohayō, kawaī josei..

Elle sursauta à l'entente de cette voix familière qui venait d'en bas. Ils étaient pourtant au cinquième étage.. Elle baissa dans un tressaillement le regard, et vit Genji, cheveux verts dans la brise matinale, lui souriant légèrement. Sa tenue avait changé.

Il avait troqué ses habits punks pour un kimono blanc aux manches déchirées, un signe orange qu'elle devinait être une insigne des Shimada sur son torse. Sous son habit porté de façon relâché, on pouvait apercevoir une armure noire discrète, qui accentuait la forme de ses muscles.

Un tee-shirt gris moulant aux manches courtes dessinait la forme de ses épaules qu'on avait envie de caresser, en il avait des gants gris clairs couverts d'une armure métallique taillée de façon japonaise. Une écharpe orange emmitouflait son cou, et une sorte de serre-tête de métal semblait empêcher ses cheveux de venir sur son front.

Une ceinture de fer soulevait légèrement son habit de satin neige, dont le pantalon était plutôt large, et s'arrêtait au mollets, donnant l'air d'un sarwelle. Ses tibias étaient couverts d'une armure dans le même esprit que pour ses bras, et ses pieds étaient couverts par des sortes de griffes de métal.

Ce qu'Angela remarqua aussitôt, c'était ce sabre d'un émeraude brillant si long attaché dans son dos, et un plus court sur sa ceinture arrière. Le jeune homme avait escaladé habilement le mur pourtant lisse, et semblait attendre depuis un moment déjà. Il souria de plus belle, et confirma les pensées de la médecin.

Question : comment Genji avait il su que cette fenêtre était la leur ?

J'attend depuis un moment déjà tu sais... Mais je pensais que tu allais te réveiller plus tard.

Angela l'observa avec de grand yeux étonnés et vit avec jalousie que le japonais ne semblait pas du tout être affecté par le manque de sommeil, comme si la plupart de sa vie se passait pendant la nuit. Elle s'empressa avec honte face à sa tenue déshabillée de s'écarter en proposant.

Entre, je t'en pris !

Il fit la chose demandée, et son regard se perdit une seconde sur les courbes de la suissesse, pour détourner le regard, gêné. Un silence lourd passa lentement et semblait alors durer des heures, avant qu'il n'explique en se frottant avec stress la nuque.

Hum ! Je voulais... M'excuser auprès de toi et de Jesse pour.. Mon frère. Le cœur de la fausse brune se serra de nouveau aux souvenirs de la veille. Elle bafouilla, en se tripotant les doigts.
— Ce n'est pas si grave que ça. Il avait raison. Le japonais se rapprocha de la jeune femme avec indignation.
— Non ! Enfin.. C'était horrible. Il.. Il est plus doux d'habitude. Mais il n'aime pas l'endroit où nous étions, et en plus de notre dispute, il a craqué. Il dit et fait beaucoup de chose qu'il regrette une fois la colère passée.

À ce soudain rapprochement physique les deux rougirent et s'éloignèrent vivement. Un grognement retentit, et Jesse se tourna dans son lit. Il venait de se réveiller. Machinalement, les yeux à moitié ouverts à cause de la lumière du soleil, il murmura, affreusement calme alors que quelqu'un qui ne devrait pas être ici était là.

Oh. Salut Gen'.
— Salut Jesse ! Tu vas mieux ? Instinctivement, le cowboy porta ses mains sur ses côtes.
— Bof.

Son amie enleva la couette et observa le torse nu du brun qui avait un peu gonflé sur le côté gauche, sous le regard de Genji. Ce dernier venait de se ramener une fois de plus sur terre violemment. Celle qu'il connaissait sous le nom de " Sarah " était mariée. Il sentit encore une fois la déception traverser son estomac, sans savoir que la jeune femme était simplement médecin.

Après quelques minutes, Angela se leva et souria à son collègue.

Ça reste une fêlure. Mais tu devras éviter de bouger pendant quelques jours. De mauvaise humeur, le cowboy se redressa, en observant Genji, de son lit avec une grimace en râlant.
— " Sous la colère " hein ? J'ai pourtant l'impression que cet enculé n'y est pas allé de main morte. Le japonais eu un sourire innocent.
— Oh si. Je pense pas qu'il a voulu te tuer. Si il y serait allé à fond.. Un petit blanc pesant s'installa. Tu serais mort. Des sueurs froides passèrent dans le dos de Jesse, qui déglutit alors, non rassuré.
— Ah.

Le cowboy se rappela alors que le jeune homme s'était interposé entre lui et Hanzo la veille. Il revit la scène, ou Genji avait eu un mal extrême à retenir la rage de son frère. Ce japonais devait être lunatique, pour changer d'humeur si rapidement, même si il devait retenir sa colère depuis un moment.

Jesse sentit le rouge lui monter aux joues. Il avait honte. Honte d'avoir bu, honte de s'être fait battre à la baston par un fils à papa. Honte d'avoir eu envie de revoir ce taré, honte de l'avoir trouvé terriblement beau. Feignant une fatigue soudaine, il ramena ses mains sur son visage pour souffler bruyamment.

Avec douleurs, il se leva du lit, pour filer sans un mot sous la douche. Hanzo l'obsédait. Comment ? Jesse n'arrivait pas à comprendre. Comment ce japonais, qui faisait au moins une tête de moins que lui, avait réussi à le battre ? Il était pourtant le meilleur combattant au corps à corps de sa catégorie...

Il se rappela vaguement de fierté ressentie quand il avait réussi à tenir Gabriel deux secondes trente-deux au sol. Bon, après il s'était fait défoncé, mais il en avait très fier. Là, sa petite mégalomanie dégringolait d'un coup. Certes, il avait bu. Mais tout de même ! Il n'avait réussit qu'à lui mettre UN coup ! Un seul ! Si le ridicule et la honte tueraient à cet instant, le cowboy serait mort sur le coup.

Alors que l'eau atténuait un peu la douleur de son corps, son esprit, lui, était dans un merde sombre, et il était impossible pour lui de s'en dégager. La beauté de ce japonais le rendait fou. Et son caractère détestable aussi. Au final, cela donnais l'exemple parfait de ce type au physique parfait, mais à l'esprit si traditionnel japonais, que cela donnais la nausée à Jesse.

Et dire qu'il devait l'espionner. Gabriel et Ana était chargés d'observer les anciens, et il était prévu qu'Angela et lui s'occupe des deux fils. Leurs âges correspondant, et le cadet étant très sociable, Jack avait eu l'idée de se servir de Genji comme tremplin et attendre ensuite les idées d'Hanzo, lui qui était l'avenir entier des Shimada.

Il était clair que ça ne serait pas le benjamin de la famille qui reprendrait le flambeau. D'ailleurs, ce dernier semblait faire passer les affaires de ce clan bien au dessus de son crâne, et s'en foutre totalement. Et d'après ses dires, son père le laissait faire de cette façon, si il le souhaitait.

Dans le cerveau de l'ancien délinquant, tout tournait à l'accéléré. Venait il de faire foirer la mission, à cause d'une simple baston ? En effet, il était clairement impossible de soutirer des informations aux anciens. Mais si ils étaient arrivé à exploiter les points faibles de l'héritier, ils auraient pu réussir.

Jesse se tapa violemment le front contre le carrelage de la douche. Mais quel idiot. Ses dents lui arrachèrent la lèvre inférieure, en un grognement sourd et fatigué.

***

En sortant de la douche, il ne se surprit pas à voir Angela et Genji rire ensemble, en toute convivialité. Avec un bruyant soupir, il se racla la gorge pour signaler sa présence, et il eu en effet raison. Car les deux eurent un sursaut à son entente. Par réflexe, ils se reculèrent de l'un de l'autre, la fausse brune en lançant un regard timide à son meilleur ami, Genji n'osant même pas le regarder, ayant un peu honte de lui.

Pour changer l'ambiance, la suissesse avança vers le brun, et lui toucha affectueusement l'épaule.

Genji, et moi-même, pensons que tu as mal commencé ta relation avec Hanzo. L'américain lui fit les gros yeux.
— An- Il se reprit. Sarah ! Il t'as insulté ! La médecin baissa ses iris azur vers le sol, et souria bêtement aux yeux de son collègue.
— Ce n'est rien ! La colère peux parfois faire faire des choses idiotes.. Je te remercie d'avoir pris ma défense. Mais... Elle replanta ses yeux dans les siens et continua, sérieusement. Pour le futur, j'aimerai que tu te réconcilies avec lui.

Jesse comprit alors qu'elle voulais arrangeait les choses pour la mission. La belle jeune femme lui tendait une perche qu'il devait saisir, malgré sa fierté qui chatouillait ses organes abdominaux. Comme d'habitude, Angela réparait ses erreurs dans son dos. Il détestait ça, mais finalement, incapable de continuer à soutenir les pupilles de sa sois-disante femme, il marmonna.

Ouais.. P't'être bien.. Avec un grand sourire, la médecin claqua ses paumes.
— Bonne nouvelle ! Elle recula vers Genji, et posa cette fois sa main sur son épaule à lui, profitant d'un petit rapprochement. Genji a accepté de t'aider à régler cette affaire ! Jesse eu les yeux ronds.
— Quoi ? Son amie continua.
— Et bien tu pourrais aller lui parler ce soir ! Histoire de régler tout ça ! Le jeune japonais à leurs côtés leurs sourirent.
— J'ai une carte du temple si tu veux ! Angela renchérie, en lui lança un regard.
— Il a une carte !

Le cowboy comprit qu'une copie de cette carte pouvait être favorable à la mission aussi. Il eu un discret soupir. La fausse brune était tellement douée. Elle réussissait tout ce qu'elle faisait, laissant Jesse sur un goût amer de jalousie. Il aborda alors un sourire hypocrite.

Mais ... Je vais- Angela, désormais sur des élan d'hystérie face à son succès finit sa phrase.
— ... Y aller ce soir oui ! Cette fois, le sourire faussement heureux de Jesse s'effaça.
— Pardon ?

***

Tu devrais y aller.

Les quinze heures locales allait bientôt sonner. Genji était rentré chez lui, et les deux cadet de l'opération avait fait part de cette entrevue à leurs supérieurs. Gabriel était pour l'idée de la suissesse. En effet, il était hors de question pour lui de revenir en Suisse les mains vides pour subir le supplice qu'était d'être benêt devant Jack. Ana écoutait le débat silencieusement.

Depuis un moment, l'aînée du groupe était sans cesse dans la lune, et pensait tout le temps à autre chose, ce qui était assez inhabituel chez elle, qui était si bavarde en temps normal.

Jesse, lui, agissait comme un enfant. Il tapa du pied, et criait.

NON !!! Plus jamais je veux voir sa jolie gueule d'ange de CON DE MERDE !!!

Le latino arqua un sourcil amusé au compliment glissé dans les insultes, et faillit rire à la bouille de gosse de son subalterne qui ne s'était même pas rendu compte de se qu'il venait de dire. Mais il ne ria pas, fidèle à lui-même, et monta le ton.

Jesse fais pas ton gamin de dix ans ! C'est juste un allez retour ! Tu y vas, tu t'excuses, tu le baises, et tu t'en vas !

Dans un sursaut, le jeune homme se tourna vers celui qu'il considérait comme son père. Gabriel se retenait de rire à sa bêtise, assez fier de lui. Jesse balbutia d'abord un langage incompréhensible, à l'image d'Hanzo et lui en train de se retourner l'estomac dans un lit, et réussi à enfin articuler une phrase normale.

JAMAIS !!! JAMAIS JE BAISERAIS CE... Il réfléchit à une insulte crédible, observé par ses trois collègues. Cette saleté d'aubergine. Voilà. Un long et lourd silence plana pendant trois interminables secondes. Gabriel et Ana pouffèrent, et demandèrent en même temps.
— Aubergine ??? Angela, elle, rougit et murmura pour elle-même, sûrement trop innocente pour les idées déplacée du reste du groupe.
— Aubergine ...? Agacé et surtout honteux, le cowboy changea rapidement de sujet.
— Bref ! Il croisa les bras sur son torse, et tourna la tête, avec un air de boude. Je n'irais PAS !!! Le latino de l'équipe fronça ses épais sourcils.
— Jesse ! Assumes et répare tes PUTAINS DE CONNERIES !!!

Et ils recommencèrent leur débat sincèrement idiot. Ana et Angela se lancèrent un regard exaspéré, et l'égyptienne murmura, dans le bruit de la dispute, un sourire plein de sous-entendus au visage.

Je pense que ça serais un bon plan que tu y ailles Jesse.

Les garçons se tournèrent vers la femme, et s'en suivit à ce geste une intense bataille de regard entre Jesse et Ana. Le brun resta longuement à détailler les prunelles de celle qu'il voyait comme sa mère. Il resta silencieux un long moment, et finit par se tourner pour retourner dans sa chambre en marmonnant.

Je vais y aller.. Gabriel s'indigna, désormais frustré.
— Mais ... Quoi ? Comment ?

En un rire malicieux, Ana partit à son tour dans sa chambre.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro