Levi ? Un DIEU ?!
~PDV Levi~
J'ouvre les yeux et me retrouve face au ciel. Je me lève doucement avec un mal de crâne atroce.
Le sol est confortable...
Je vois que ce sont des nuages. Je suis habillé entièrement en blanc et je suis pieds nus. Je regarde devant moi et vois un grillage ÉNORME fait apparemment d'or ou de métal encore précieux. Je vois une petite dame qui m'a l'air plutôt vieille derrière un guichet en train de me fixer.
Moi: Mais je suis où...?
Vieille: Bonjour Levi !!
Je la regarde et pars vers elle.
Moi: Bonjour... Qu'est-ce que je fais ici...
La vieille rit.
Vieille: Tu ne sais toujours pas mon jeunot ? Mais tu es mort voyons !
Je me rappelle ma mort.
Moi: Oh. Et donc je suis au para-
Vieille: Nan ! Tu n'es pas au paradis !! Tu es dans le monde des cieux. Là où les Dieux et les Déesses sont établis normalement !
Moi: Je vois...
'Donc (T/p) était là...'
La Vieille regarde des papiers.
Vieille: Donc c'est bien ce que je pensais. Tu as une femme divinité, des enfants demis-dieux et des amis Dieux n'est-ce pas ?
Je hoche la tête impressionné.
Moi: Comment savez-vous cela ?
Vieille: Mais voyons mon petit ! Ta mort était prévue depuis des lustres mon beau !! On a eu le temps de prendre toutes les informations nécessaires à ton affectation possible dans nos rangs !
Moi: Affectation dans vos rangs ?
Vieille: J'ai un marché à te proposer. Soit tu deviens un Dieu, soit une Divinité, soit tu pars au Paradis puisque tu y tiens tant.
Moi: C'est-à-dire ?
Elle regarde encore ses feuilles.
Vieille: Tu peux devenir soit un Dieu de la Foudre, soit tu vas au paradis !
Je fronce les sourcils.
Moi: Mais pourquoi moi ?
Vieille: Tu as le profil parfait ! Tu es responsable, jeune, fort et surtout très fidèle ! Alors tu es taillé pour ce travail !!
Moi: Qui consiste en ?
Vieille: Protéger l'humanité si tu deviens un Dieu de la Foudre !
Moi: Et vous avez parlé de Divinité. Je peux savoir quels seront mes pouvoirs ?
Vieille: Fée du logis ! Ça te correspond aussi ! À propos de correspondance ! Si tu choisis de devenir un Dieu de la Foudre, tu devras t'entraîner ici pendant 2 ans, 2 heures pour la fée du logis et pas du tout pour le Paradis ! Mais pour le dernier cas, tu ne pourras descendre voir tes proches alors qu'en tant que Dieu ou Divinité, tu pourras retourner dans le monde des humains !! Et tu ne seras pas aussi faible qu'un enfant de 6 ans si tu choisis d'être un Dieu de la Foudre !! Tu seras même plus puissant.
Je réfléchis.
Vieille: Alors ? Tu te décides oui ou non ?
Moi: Je choisis le Dieu de la Foudre.
La Vieille sourit.
Vieille: Je le savais !! Tu es vraiment un gars bien ! Je te dis...
Sa voix si chaleureuse devient démoniaque.
Vieille: BIENVENUE DANS LE MONDE DES CIEUX LEVI ACKERMAN...
Le grillage s'ouvre sur une étendue de nuages. Je marche et passe le grillage. Je me sens téléporté jusque dans une ville magnifique.
Je me fais agresser par pleins de gens pour le début de ma formation.
J'ai même pas commencé que j'en ai déjà marre.
=====
Ça fait 1 an et 7 mois que je suis dans les Cieux. Je marche tranquillement dans la ville en créant des éclairs sur mes doigts sans pression quand j'entends une conversation.
???: Mais ta mère elle est trop classe !!
???2: Nan... Elle est devenue totalement folle...
Je connais ces voix.
C'est Miuna et Sayu, sa meilleure amie.
'Elle a tellement grandi...'
Miuna: Elle est devenue totalement insensible à nous. Elle est trop concentrée sur son travail de Reine là...
Sayu: Mais genre elle inspire trop le respect ! Sa coupe trop classe, ses yeux blancs putain de classe et sa démarche tellement classe !!
Miuna: Mouais...
Je retourne dans la forêt au large de la ville en soufflant.
Je m'entraîne à maîtriser les éclairs qui tombent. J'aspire la force de l'un d'entre eux et la redirige vers un arbre qui tombe à l'impact avec l'éclair. Je souris légèrement et continue comme ça. J'entends encore des voix.
Miuna: Mais laisse-moi Yamato !!
Yamato: Mais nan Miuna je veux que tu sois pas petite amie !
Miuna: Mais je veux pas !
Yamato: Alors je vais devoir te forcer.
Yamato pose ses mains sur le corps de Miuna sur une zone que je ne cautionne pas DU TOUT. Je fonce vers eux et lance un éclair sur Yamato qui tripotait ma fille. Je serre Miuna contre moi.
Moi: Tu touches encore au corps de ma fille et je t'écrase les couilles salaud.
Yamato s'enfuit comme un lâche.
Miuna: Merci Monsieur...
Elle se sépare de moi puis me regarde. Elle fait une tête de choquée de la vie.
Miuna: PAPAAAAAAAAAAA !!!
Elle me saute dessus et me serre fort.
Miuna: Comment ça se fait que tu soit ici ? Tu n'es pas...
Je lui rends son étreinte.
Moi: Non. Je ne suis pas mort Miuna. En fait, je suis devenu Dieu de la Foudre.
Miuna: GNÉ ?! T'es devenu DIEU ?!
Moi: Oui. Une chance sur 10 milliards de devenir Dieu et j'ai eu cette chance.
Miuna: Et donc... Tu reviens quand ?
Moi: Normalement dans 6 mois.
Miuna: Aaah... Maman elle a changé depuis ta mort. Elle est devenu Reine d'Angleterre. Elle s'occupe presque plus de nous, on la voit jamais et c'est devenu une connasse.
Moi: Je pense pas qu'elle soit devenue une vraie connasse Miuna...
Miuna: Tu l'as pas vu... Elle exécute elle-même les gens tu vois et ses yeux sont vides d'émotion.
Moi: Aaah...
Sayu arrive.
Sayu: Aaaah bah t'étais là !! Je te che- t'es sûr que c'est légal de sortir avec un gars beaucoup plus vieux que toi ? ON a que 12 ans...
Miuna: C'est mon père...
Sayu: Oooooh d'accord. GNÉEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ?!
Miuna me lâche et part voir son amie.
Miuna: Je vais t'expliquer sur le chemin. Au revoir Papa !!
Moi: Au revoir Miu-Miu.
Je la regarde partir et reprends l'entraînement.
=====
C'est enfin le jour où je dois retourner sur la Terre. J'ai pu voir plusieurs fois Miuna pendant ces 6 derniers mois. J'ai aussi vu l'évolution de (T/p).
Elle a totalement changé.
Ses cheveux. Elle a changé de coupe.
Ses yeux. Ils n'ont plus aucune couleur.
Sa démarche. Elle est assurée.
Son visage. Il est sans expression.
Son attitude. Elle est royale.
Tout a changé depuis que je suis parti.
Je demande l'ouverture du grillage. Je le passe et vois la Vieille.
Vieille: Ah ! Levi ! Comment ça va ? Prêt à retourner sur Terre ?
Moi: Ouais.
Vieille: Alors bon retour chez toi !
Je la remercie et demande les escaliers pour descendre au Palais Royal où ma famille habite en Angleterre. Ils apparaissent devant moi. Je les descends calmement et arrive devant le château. Les gardes me reconnaissent. Certains s'évanouissent et d'autres vont probablement appeler la Reine. Je me poste devant la porte où (T/p) est censée sortir. Elle arrive en courant comme une folle et me voit. Elle s'arrête tétanisée.
Moi: Oi. Bonjour Chérie.
Je lui souris. Elle me saute dessus et me serre fort. Elle pleure. Je lui rends son étreinte.
Moi: Tu m'as tellement manqué...
(T/p): Levi... Tu es là...
Elle touche mon visage pour être sûre de ma présence.
Moi: Je suis bien là (T/p).
Elle sourit en pleurant.
(T/p): Tu es là... Devant moi... En chair et en os... Tu es là...
Je pose mes lèvres sur son nez.
Moi: Je suis de retour Chérie.
Je pose mon front contre le sien. J'entends des pas précipités.
???: PAPAAAAAAAAAAA !!!!
Mes enfants me foncent dessus. Je les serre aussi. Je vois Miuna descendre les escaliers. Elle sourit en me voyant. Elle vient me faire un câlin. Je souris.
Moi: Vous m'avez tellement manqué... Tous...
Haruka en pleurant: Je savais que tu reviendrai !!
Miuna: Bon retour chez nous !
Yukio ne dit rien mais je sais qu'il est heureux de me retrouver.
Moi: J'aimerai respirer vous voyez...?
Ils me lâchent. Je les regarde tous.
Moi: Je suis tellement heureux de vous revoir tous...
Je souffle de soulagement. Ils me sourient tous.
Moi: Et si vous me faisiez la visite du château ?
(T/p): BAWIIII !!
Elle me prend le bras et me tire à l'intérieur du château. Je m'émerveille devant tant de richesse. Elle me montre CHAQUE PIÈCE du château. Je croise Erwin. Il me regarde choqué.
Moi: Salut.
Erwin: ...
Moi: Tu pourras rien tenter sur elle.
Je sens (T/p) se coller à moi. Elle met la tête dans mon cou.
=====
Je dois revenir dans la vie humaine. Et (T/p) n'est pas là pour m'aider. Je la cherche partout, et là je la vois sur le balcon devant cette foule immense de gens qui la regarde sans dire mot.
(T/p): Je suis consternée. Ravagée. Mais ce procès aura duré et ce sera fini dans la justice ! Plus jamais nous n'aurons affaire à telle tragédie ! Mes amis ! Mes frères. Nous sommes tous dans le même monde ! Où nous respirons le même air ! Partageons au lieu de nous entretuer ! AFIN QUE PLUS JAMAIS ! PLUS JAMAIS LA FLAMME DE LA FRATERNITÉ NE SAIGNE ! POUR NOTRE DIGNITÉ ! POUR LA FRANCE ! POUR L'ANGLETERRE UNISSONS NOUS TOUS ! ET MONTRONS LEURS QUE NOUS VALONS MIEUX QUE DE VULGAIRE MACHINE DE GUERRE !
La foule s'extasie et les vigiles se resserrent autour de (T/p), ils étaient déjà très prêt... Trop prêt. Elle se fait acclamer.
'C'est beau.'
(T/p): EN MARCHE VERS LA JUSTICE ET LE CHEMIN QUE JE VOUS MONTRE SERA ALORS BAIGNÉ DE LUMIÈRE AU LIEU DU SANG DE NOS CAMARADES !
'C'est encore plus beau.'
(T/p): C'EST POUR CELA QUE... JE VOUS REDONNE UN HOMME QUI SERA LA FORCE DE NOTRE NATION ! LA FLAMME DE L'ESPOIR QUI S'ÉTAIT ÉTEINTE CHEZ LE BATAILLON D'EXPLORATION DOIS RENAÎTRE ! ET C'EST HOMME EST LA PREUVE D'UNE DEUXIÈME CHANCE DE L'HUMANITÉ !
Elle fait un signe très bref et un vigile me pousse à côté d'elle, elle me prend la main et la lève.
(T/p): MESDAMES ET MESSIEURS LE CAPORAL-CHEF LEVI ACKERMAN !
La foule hurle pendant que moi, je ne réagis pas.
(T/p): L'AUBE D'UN NOUVEL UNIVERS SE LÈVE ET LA RÉAPPARITION DU CAPORAL EST UN SIGNE ! ALORS TENONS NOUS LA MAIN ET ENSEMBLE NOUS VAINCRONS !
Alors que la foule est en furie et que la traductrice Anglaise finie sa phrase, (T/p) m'entraîne à l'intérieur.
???: Ma reine vous n'êtes pas assez prude-
(T/p): Il suffit. Je ne vous emploie pas pour me donner sans arrêt des ordres.
???: Excusez-moi ma reine.
(T/p): Levi suis moi j'ai quelque chose pour toi.
Elle part, le vigile me regarde d'un air sévère. Je le regarde sans expression et suis la reine.
'Je me sens trop privilégious...'
Quand je passe en la suivant je sens de nombreux regards noirs sur moi. (T/p) arrive devant une porte très grande. Celle de sa chambre. Elle entre, et appuie sur un bouton sur le côté, un pan du mur se détache pour laisser place à une armoire en or. Elle l'ouvre, et se retourne, une magnifique épée dans les mains.
(T/p): Sa lame est faîte avec de l'or, elle est très lourde. Fait attention. Mais elle à l'avantage d'être incassable. Cela permet l'utilisation d'un nouveau type de système tridimensionnelle inventé par Ryuzaki. Plus rapide, plus efficace, il va droit au but. Avec nous avons limités les pertes à la moitié de celles initiales. De plus...
Elle me remet un collier.
(T/p): C'est le mien. Montre le et on te laissera entrer n'importe où. Que ce soir dans ce château ou à l'extérieur.
J'observe ce collier dans tous ses détails.
C'est un phénix d'un rouge orangé orné de dorures au niveau du bec. Je vois une chose dessus qui m'intrigue.
'C'est quoi ce bouton ?'
Je mets le collier puis prends l'épée d'or.
(T/p): Je n'en ai pas pour longtemps.
Elle part dans la pièce d'à côté et revient 5 minutes plus tard totalement transformée, en reine. Elle scintille de partout et la couronne qui orne sa tête donne place à des milliers de petits rubis rouge. Ses cheveux sont tressés autour de sa tête pour dégager son visage et sa robe laisse voir le haut de son ventre jusque son nombril, ses bras, épaules et le haut de sa poitrine. Elle tourne les talons dos à moi, on peut voir son dos également, elle avance et prend une sorte de sceptre. Elle se retourne vers moi.
(T/p): Bien.
Elle avance l'air digne, j'ai l'impression qu'elle va m'écraser d'un seul de ses doigts.
(T/p): Je dois aller faire quelque chose que je déteste.
Elle prend un visage impassible et inhumain. Ses yeux deviennent vides de sentiments.
(T/p): Fais ce que tu veux.
Elle part vers la porte.
Moi: D'accord.
Je pars dans la chambre de la reine en observant mes nouvelles possessions.
Je vois un homme pas net, (T/p) va vers lui.
(T/p): Vous n'avez que ce que vous méritez.
???: Pourrit en enferrr !!!
Il essaie de la frapper mais les gardes l'en empêche. Elle ne bouge pas d'un millimètre. Elle part devant, les gardes la suivent avec l'homme, elle s'arrête, les gardes continuent. On lui donne une magnifique épée. L'homme essaie de se dégager à sa vue mais rien y fait. On ouvre une porte, ils font entrer l'homme et (T/p) part à leur suite, tête baissée, épée en main.
'Elle va pas l'exécuter...'
J'entends des hurlements déchirants, des bruits de bagarre.
'Mon Dieu...'
Je regarde le phœnix et surtout ce bouton. Soudain les bruits s'arrêtent. La première chose que je vois quand (T/p) sort c'est le sang sur l'épée qu'elle tient.
(T/p): Emmenez ses biens à sa mère. Et amenez-moi son complice.
???: Oui Majesté.
'Doit avoir une raison pour qu'elle tue quelqu'un...'
Ils amène un deuxième qui lui fait vraiment peur.
???: Tu sais quand j'ai violé cette petite fille et que Jack l'a disséqué j'ai pensé au moment où tu me découperai la tête ma beauté !
???: NE PARLEZ PAS DE CETTE MANIÈRE À LA REINE !
(T/p): Il suffit. Qu'on en finisse.
???: La nuit je me touche en pensant à toi.
(T/p): Ne répondez pas à sa provocation.
???: Tu sais pas à qu'elle point j'aime t'imaginer nue.
(T/p): Placez le.
???: Au dessus ou en dessous de toi ?
Il arrive à se dégager et se jette sur (T/p), la plaque contre le mur et lui lèche la joue. Elle lui met un pied dans le ventre, les soldats lui bondissent dessus mais rien y fait.
(T/p): Tant pis. Vous enverrez quelqu'un pour nettoyer.
Elle lui coupe la tête d'un coup, le regard toujours sans vie.
(T/p): Voilà, c'est fini.
???: Ma...Majesté vous allez bien ?
(T/p): Très bien merci.
Elle repart vers sa chambre. Elle ne me remarque même pas mais je vois dans ses yeux qu'elle n'ai pas bien, je distingue même un léger tremblement sur ses lèvres.
'BRUH.'
Moi: (T/p)...
La porte se ferme, les gardes partent, elle ne m'a pas entendu et rentre en tremblant de manière imperceptible.
Moi un peu plus fort: (T/p)...
Je vois la porte s'ouvrir, elle regarde à droite, je suis à gauche. Elle me voit.
(T/p): Oui ? Qu'y a t'il ?
Elle me sourit. Ses yeux la trahissent.
Moi: Tu trembles...
Je mets l'épée dans son fourreau ayant plus de valeur que le budget du Bataillon et me lève pour la câliner.
Moi: Tes yeux te trahissent.
Elle détourne les yeux.
(T/p): J'ai froid c'est tout. Cette tenue n'est pas très couverte.
Moi: J'ai vu ça. Attends.
Je retire mon pull et lui mets.
Moi: Mais ce n'est pas la seule chose.
Elle reste impassible.
(T/p): Tu dois te faire des idées alors.
Elle est crispée.
Moi: Tu me connais. Tu sais que je m'en fais souvent. Mais là, je m'en fais pas.
(T/p): Tant mieux alors si tu vas bien.
Elle se retourne pour partir.
Moi: Faudrait peut-être que je te montre le pouvoir que j'ai acquis où tu t'en fous ?
Elle se retourne.
(T/p): Fais péter !
Elle me regarde en souriant même si je vois ses mains trembler en continu.
Moi: Tu vois cet arbre ?
Je lui montre un arbre par la fenêtre.
(T/p): Oui ?
Je fais tomber plusieurs éclairs dessus. Elle s'éloigne choquée.
Moi: Voilà. Je suis un Dieu de la Foudre.
(T/p): C'est... Impressionnant...
Moi: Et encore là, c'est mignon par rapport à ce que je peux faire.
(T/p): Mais je préfère te voir à l'œuvre quand tu es énervé.
Elle s'avance vers moi et pose ses mains sur mon torse, elle se rend compte qu'elle tremble et les retire de suite. Dans l'espoir que je ne m'en soit pas rendu compte. Je lui prends les mains. Elle tremble toujours.
Moi: Ça fait 10 minutes que tu trembles. Il doit y avoir un truc !
(T/p): Non... J'ai juste froid... Je suis frileuse...
Moi: Arrête de me faire croire des choses fausses. Je sais que tu n'es pas frileuse. Tu es même en train de crever de chaud. Je le sens sur tes mains. Et je sens aussi que tu ne vas pas bien.
Je vois son visage se crisper. J'ai une vision, les morceaux du prisme brisé de son âme sont en train de se craqueler encore plus qu'il ne le sont déjà. Je lâche ses mains mais elle me prend les miennes.
Elle pose sa tête contre mon torse et fixe le sol.
(T/p): Pardon... D'être autant une source d'inquiétude... J'ai... Je ne m'habitue pas à exécuter et... J'ai eu peur... Quand il m'a sauté dessus...
Moi: J'ai vu la peur dans tes yeux. Je t'avoue que je voulais juste lui jeter un éclair dessus tellement je voulais le tuer.
Je lui fait un bisou sur le crâne.
Moi: Mais tu as des gardes, bon faut le dire, incompétents. Mais moi je suis là. Tu n'as plus besoin d'avoir peur.
Elle se serre contre moi.
(T/p): J... J...
Elle se met à pleurer. Je caresse sa tête.
Moi: Pleure... Tu en as besoin...
Elle viens totalement à moi. Elle passe ses bras autour de ma taille et pose son visage dans mon cou, elle se serre très fort contre moi. Je la sens faiblir. Elle arrête de trembler.
Moi: Ça va mieux ?
Elle hoche faiblement la tête.
(T/p): Grâce à toi...
Nouvelle vision mais cette fois-ci je vois les morceaux se rapprocher entre eux. Je souris légèrement en coin.
Moi: Ça fait plaisir.
Je lui embrasse le front. Elle lève les yeux vers moi et me fait un petit sourire, sincère cette fois-ci. Je l'embrasse et la serre contre moi. Elle pose son front contre le miens, les yeux fermés. Je la sens s'abandonner dans mes bras. Je sens sa respiration se calmer. Je l'allonge sur son lit, la couvre et regarde encore ce pendentif. Elle se colle à moi, je la sens se détendre, l'expression de son visage se soulage. Ça doit faire très longtemps qu'elle ne s'était pas relâchée. Je caresse sa joue délicatement.
(T/p): Levi....
Elle met sa tête contre mon torse et sert mon tee-shirt. Sa respiration accélère.
'Elle commence à faire un cauchemar...'
(T/p): Papa... Levi ... Non... Je ne veux pas tuer... Lâchez-moi... Ne me touche pas ! Laissez-moi ! Laissez-moi !
Moi: (T/p)...
Je la serre contre moi. Elle me sens, elle se calme. Elle enfouit sa tête dans mon cou et m'entoure de ses bras fébriles.
(T/p): Je ne te lâche plus... Je ne te lâche plus...
Moi: Moi non plus. Je ne te lâcherai plus jamais.
Elle couine.
'Ça m'a manqué tout ça...'
???: Votre Altesse ?
Elle se réveille d'un coup.
(T/p): Oui ?!
???: Vous avez de la visite.
(T/p): Qui ?!
???: Hum... Edward madame...
(T/p): Dite lui que je n'ai pas de temps à perdre.
???: Bien...
(T/p): Grrrrr il m'énerve.
Moi: Qui est Edward ?
(T/p): Un homme qui s'est mis dans la tête de m'épouser... Je peux pas le rejeter comme les autres vu qu'il représente mon équivalence en France... Et il le sait cet enfoiré.
Moi: Uh... Je l'aime pas du tout.
???: Ma reine... Il ne veut pas partir.
(T/p): Grrrrr.
Elle se lève et va vers la porte. Elle ouvre et voit le garde empêcher un homme imposant de rentrer.
(T/p): Edward.
Edward: Cristal.
(T/p): Arrête de m'appeler comme ça.
Edward: Non, c'est ce que tu es. Tu le nie c'est tout.
Il lui prends les poignets, elle ne bouge pas. Et de toute évidence il ne m'a pas vu.
Edward: Tu sais très bien que me résister nuirais à ton statut.
Il ferme la porte de la chambre.
(T/p): Tu compte faire quoi ?
Edward: Tu sais ce que je veux.
(T/p): Et tu sais que je veux pas.
Edward: Mais à cause de ton statut tu ne peux pas m'en empêcher.
Il lui embrasse la joue.
(T/p): Arrête.
Edward: Pourquoi ?
(T/p): S'il te plaît...
Edward: La reine d'Angleterre, juge suprême de France, plus belle qu'un lys. Et tu crois vraiment qu'avec tout ce que tu représente j'allais te laisser filer ?
(T/p): J'aime déjà quelqu'un.
Edward: Je vais te le faire oublier.
Il lui embrasse le cou, elle se crispe et recule d'un pas. Je me faufile discrètement derrière Edward, énervé qu'il ose toucher ma femme. Je lui mets une petite grosse décharge électrique dans les bras.
Il sursaute, la lâche et se retourne.
Edward: ?! Qu'est-ce que ?! Qui t'es toi ?
Moi: Le mari de celle que tu essayes de violer connard.
Edward: AH AH AH AH AH ! Tu vas me parler autrement.
(T/p): Vas t'en.
Edward: Oui dégage.
(T/p): Pas lui, toi.
Edward: Non, j'aurais ce que je veux. Je fais ce que je veux, et tu ne peux pas m'en empêcher.
Il la pousse violemment sur le sol. Je me mets devant lui énervé. Il commence à pleuvoir.
Edward: Toi le nain, écoute moi bien. Si tu me touche, je la fais tuer. Y a pleins d'hommes prêt à prendre sa place.
Il lui met un coup de pieds dans le ventre.
(T/p): Ghn...
Edward: Pathétique.
Un orage violent commence. Une boule électrique apparaît dans ma main. Je prends ma femme de l'autre et fixe l'homme.
Edward: Tu vas la lâcher. Elle est à moi.
Il me l'arrache des bras, elle tire une tête complètement blasée.
Edward: Petite peste tu vas tellement regretter d'être resté dans ses bras...
Il la jette sur le sol et lui balance une table dans la figure avant que j'ai le temps de réagir.
(T/p): UH... Gnh...
Edward: Tu vois ce genre de bruit j'aimerai que tu les fasses pour une autre raison...
Il se met à rire. Je passe derrière Edward, le prends par le cou et lui fait faire une semi souplesse arrière. (En gros limbo.)
Moi: Alors on a qu'à régler ça comme des hommes. Maintenant, tout de suite, dehors pour pas blesser qui que ce soit.
Mes yeux lui lancent des éclairs. Je me sens grandir.
'Conscience: C'est encore les 20cm en plus quand tu es énervé...'
Moi: Celui qui gagne aura le droit de garder la reine.
Je le regarde en attendant sa réponse.
Edward: Tu es trop faible pour moi. Je veux tellement te laminer que je vais accepter.
On part dehors, (T/p) reste par terre en se tenant la figure. Les gardes se précipitent sur elle. On atterrit dans le jardin. Edward n'attend même pas et se précipite vers moi pour me planter un poignard dans le dos. Je lance un éclair à côté de lui sans bouger d'un pouce. Il s'écarte en écarquillant les yeux.
Edward: Que ?!
Une pluie d'éclairs s'abat autour de moi.
Moi: Tu as osé frapper mon épouse Edward. Tu dois en subir les conséquences.
J'avance pendant qu'il recule.
Edward: Tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre d'avoir "frapper ta femme" ? Pauvre petit. Je fais ce que je veux et Cristal Judicia ne peux rien y faire car je suis d'un niveau équivalent à elle. Mais... En Angleterre le régime est beaucoup plus strict qu'en France et si elle s'en prend à quelqu'un ou si elle résiste contre quelqu'un de haut rang voilà ce qui arrive.
Il me désigne la fenêtre de la salle où (T/p) à tué quelqu'un tout à l'heure.
Edward: Ce sera tellement bête de mourir pour ça, et la Reine le sait. Je sais qui vous êtes Caporal-Chef et j'en ai strictement rien à foutre.
Son corps s'allonge et il devient un... Loup. Mais en 6 dois plus gros avec des dents pointues.
Edward: Ça une fois j'ai dû l'utiliser pour faire peur à notre chère reine. Ça ne sert à rien d'être ceinture noire deuxième dan quand on peut pas toucher son adversaire sous peine de mort.
Il rit.
Edward: Elle aura beau faire ce qu'elle voudra elle restera une petite chose fragile.
J'entends des pas derrière moi. Des pas précipités.
(T/p): Levi !
Elle court vers moi mais se fait retenir.
(T/p): Mais lâchez-moi !
???: Ma reine c'est pour votre sécurité !
Elle se retourne lui met un pieds dans le ventre, fais un tour sur elle même pour prendre de la vitesse et lui donne un grand coup de pieds dans le ventre encore une fois, il vole contre un arbre.
(T/p): Désolé.
Elle vient à moi et me prend les épaules.
(T/p): Ne te bat pas contre lui... Je ne veux plus te perdre Levi...
Elle me regarde inquiète.
Moi: Tu ne me perdras pas. Je te le promets.
Je la regarde dans les yeux.
(T/p): Tes yeux... Sont bleu perçant.
Moi: C'est normal. Maintenant éloigne-toi s'il te plait.
Elle fait ce que j'ai dit. Une pluie d'éclairs s'abat autour de ce Loup et de moi.
Edward: Bwahahahahah ! Tu veux sauver ta princesse ?
Je sens que (T/p) se retient d'y aller. Edward avance.
Moi: Oui.
Je ne bouge pas.
Edward: Meurt.
Il se jette sur moi. Je lui mets un coup de pied dans le bide. Il vole à plusieurs mètres. Je fait tomber un éclair de puissance moyenne sur lui. Je lui fonce deus et le jette contre un arbre. La pluie d'éclairs continue. Il hurle et me mord l'épaule de toute ses forces, puis la taille, le bras. Je saigne de partout, il m'a arraché quelques bouts de chairs par endroit. Mais je m'en fous. Je fait tomber un éclair de grande puissance sur lui. Il hurle encore mais plus fort cette fois. Il est totalement tétanisé mais il n'est pas mort. Je lui décoche plusieurs coup de pieds dévastateurs accompagnés de coups de genoux et de coudes. Il est inconscient. Je lui ai brisé plusieurs côtes, je ne me contrôle plus et je le frappe partout. Soudain je sens des mains autour de moi.
(T/p): Si tu continue tu vas le tuer...
Moi: Mouais. Mais au moins, il a compris qu'il ne peut pas rivaliser avec un Dieu de la Foudre. Et surtout, tu reste avec moi.
Je me retourne vers elle et la serre. Les gardes partent s'occuper d'Edward en me regardant reconnaissant. Je hoche la tête.
Moi: Comment va ta tête ?
(T/p): On s'en fiche de ma tête. Tu es blessé.
Elle se retourne et appelle des infirmiers.
Moi: Mais tu t'es pris une table dans la tête. C'est grave (T/p). Tu saignes même.
Je l'attrape et regarde attentivement sa tête.
Moi: C'est pas mes blessures qui vont m'achever.
(T/p): Les miennes non plus. Arrête.
Elle s'écarte et des infirmier arrive, des gardes se précipitent sur elle.
???: Majesté !
???: Votre Altesse !
???: Ma reine !
???: Votre grandeur !
Ils la prennent et l'emmène vers le château, elle soupire et se laisse faire.
???: Elle est têtue hein ?
Je me retourne et me retrouve face à Grey, son grand frère
et deuxième de la famille après Gaara
et avant Grimmjow
et (T/p) étant la dernière de la famille.
Moi: Très têtue. Mais on l'aime comme ça.
Je me fais agresser par des infirmières. Elles s'occupent de moi sur le champ.
Grey: Moui, le truc c'est qu'avant c'était facile à détourner. Maintenant elle est bornée, quand elle veut quelque chose elle l'obtient.
Moi: J'ai remarqué ça depuis mon arrivée. Elle préfère se mettre en danger que de mettre quelqu'un qu'elle aime en danger.
Grey: Elle est devenue très caractérielle. Il y a des moments où j'ai été très impressionné. Ce qui me sidère le plus c'est Ryan qui persiste alors qu'à chaque fois elle ne le laisse même pas dire un mot.
Il plisse les yeux.
Grey: Ça fait quelque temps qu'il y a quelque chose de louche au château et je pense qu'elle le sais. Depuis qu'elle a instauré la langue française pour le personnel afin que ses enfants comprennent mieux je pense. Ça n'a pas d'importance mais c'est mon point de repère. Je pense qu'il y a quelque chose qui se prépare, une tentative d'assassinat ou un truc du genre. Elle est constamment sur ses gardes.
Moi: Mais qui pourrait faire ça ?!
Grey: C'est une reine, pleins de monde aspirant à prendre le pouvoir. Mais je pense que c'est encore plus subtile que ça. Je penses que Ryuzaki en saurait d'avantage mais... Je doute qu'il veuille divulguer une information pareille. De plus même sous la pression ou la torture (T/p) ne révélerai rien.
Il se tient le menton.
Grey: Je pense qu'il va falloir que j'aille parler à Pavel.
Moi: Qui est Pavel ?
Grey: L'homme qu'elle a failli épouser il y a 4 mois. D'un accord commun. Ça ne c'est pas fait car Edward a remis en question le mariage.
'Alors Edward n'est pas si bâtard que ça... En fait si.'
Moi: Oooh...
Grey: Il se trouve que pour des raisons stratégiques territoriales Pavel et (T/p) avaient prévus de se marier mais lorsque Edward, plus puissant que Pavel, est arrivé Pavel à décliner car il risquait trop gros. De plus Pavel est un prince et il lui fallait une descendance.
Moi: Et donc maintenant ce serait possible que Pavel veuille le mort de (T/p).
Grey: Voilà.
Il fronce les sourcils et parle un peu pour lui même.
Grey: Mais il est intelligent, normalement il n'use pas de la violence. De plus il est vraiment très gentil alors cela m'étonnerait beaucoup. Il y a d'autres possibilités mais c'est la plus probable. C'est quand-même bizarre... Ce n'est pas le genre de Pavel. Il avait même réussi à séduire ma soeur...
Je le regarde choqué.
'QOÉ ?!'
Il me regarde.
Grey: Hum ?
Moi: Répète la dernière phrase que tu as dit...
Grey: Il a réussi à séduire ma soeur ?
Moi: Ouais...
Grey: Elle était seule, et puis il est gentil, intelligent et puis plutôt bien fait. Et puis je sais pas... Elle était pas bien et c'est le seul qui l'a remarqué en dehors de sa famille. Alors même si elle avait du mal à se laisser approcher lui il a réussi.
Moi: Tch. Je l'aime pas.
Grey: Moi je l'aime bien. C'est quelqu'un de gentil et d'attentionné. Et c'est le seul qui a réussi à la faire sourire. D'ailleurs je crois l'avoir croisé dans les couloirs tout à l'heure, il vient la voir de temps en temps. Elle lui fait confiance à 100 %. Et jusque là ça n'a jamais posé de problème. C'est pour ça que même si c'est à lui que la mort de (T/p) rapporterai le plus, je ne penses pas que ce soit lui. Il l'aurai déjà fait.
Moi: Mouais.
On entend un cri. C'est (T/p), on accourt et on l'a voit sur le sol. Devant un homme avec une épée.
Grey: J'aurais dû y penser avant... Kyle.
Il se rut sur Kyle ainsi que les gardes. Kyle se fait arrêter. Un homme arrive en courant. Il se penche vers (T/p) et lui tend la main.
???: Tu as le chic pour te mettre en danger.
Il lui sourit, elle prend sa main.
(T/p): Pavel...
Pavel: J'étais venu te voir mais je ne te trouvais pas.
(T/p): Ah bon uh uh..
Pavel: Tu es toujours fourrée partout en même temps !
(T/p): C'est vrai.
Pavel: Si tu as un soucis appelle-moi.
(T/p): Oui !
Elle lui sourit, pas comme quand elle me sourit à moi, mais pas non plus comme à n'importe qui. Il tourne les talons et la salue.
Pavel: J'ai à faire avec Ryuzaki, à tout à l'heure !
(T/p): D'accord à plus tard !
Pavel s'en va. Je le regarde étonné.
'Il est peut-être pas si méchant...'
Elle se retourne et me vois, elle me sourit et viens à moi.
(T/p): Ça va mieux ?
'Conscience: Je crois qu'elle se rend même pas compte qu'il lui fait de l'effet.'
Moi: Ça va bien. Cool de voir que tu es complice avec Pavel. Et toi ?
(T/p): ... Ça va.
Elle se retourne et part vers sa chambre.
???: Majesté vous avez un procès en France.
(T/p): Je sais je vais me préparer.
'Faudrait peut-être que j'aille voir les autres...'
Je vois (T/p) ressortir de sa chambre en tenue stricte avec une jupe un peu trop courte à mon goût, un décolleté un peu trop grand à mon goût et les cheveux détaché. Elle passe devant moi et part vers la porte. Je part à la frontière. Je vois une jeune fille passer, me faisant énormément pensé à Armenne et Mephisto... Chisaki ?
???: Aller Cerise dépêche toi !
Cerise: J'arrive Chisaki !
Dans le mile. Alors c'est elle Cerise...
Moi: Chisaki !
La jeune fille se retourne et ne tilte pas tout de suite.
Chisaki: Oh bonjour Justin. Si tu cherche Kate elle est en cours, nous on a perm avec Cerise.
Moi: C'est pas Justin.
Chisaki: C'est pas drôle...
Moi: Je suis vraiment pas Justin.
Elle me dévisage.
Cerise: Bon viens Chisaki de toute évidence cette homme n'est pas Justin donc on s'en fout.
Chisaki: ... L...Levi ?
Moi: Oui ?
Chisaki: C'est toi ?
Moi: Oui c'est moi.
Elle me fonce dessus.
Chisaki: Tu es vivant !!!
Cerise ne comprends rien mais reste en retrait. C'est vrai qu'elle ne m'a jamais rencontré, Floralia et Gelisio ne lui parle pas trop de tout ça...
Moi: Oui... Tu m'as manqué Chisaki. Comment vont Armenne et les autres ?
Chisaki: Très bien... Qui est au courant ?
Moi: La famille royale et Erwin. Là, j'allais voir tous les autres.
Chisaki: Tout à beaucoup changé, depuis l'arrivée de (T/p) et Edward au pouvoir. l'Angleterre à garder ses codes avec l'interdiction de la voiture, mais la France c'est... On dirait un autre monde. (T/p) passe le plus clair de son temps là-bas.
Elle fronce les sourcils.
Chisaki: Pourquoi t'es blessé ?
Cerise: Je comprends rien...
Moi: Je suis ton beau-frère. Et Chisaki, Edward a essayé de me défier et je l'ai un peu beaucoup violenté. Où sont tes parents ?
Chisaki: Maman est médecin et Papa directeur des hôpitaux maintenant. Ils sont dans le Building Stade.
Cerise: L'énoooooooorme tour faite toute en verre.
Moi: D'accord.
Chisaki: Soit pas trop choqué... Par le changement brutal.
Moi: Je m'attends au pire... Bon bah je vais aller voir... Au revoir Chisaki.
Chisaki: Bye.
On m'ouvre la porte et là je me retrouve face à la France. C'est choquant comment ça a changé.
Ça fait peur...
Pas loin un espèce de bâtiment géant en verre laisse voir l'intérieur du tribunal. Je peux voir (T/p) qui parle, en hauteur, à sa place de Juge. Je pars d'abord chez moi. Chez moi c'est une superbe maison. Toute blanche, très propre. De grande baie vitrée laisse voir l'intérieur parfaitement rangée et assis sur une table, Miuna, Haruka et Yukio qui font leurs devoirs j'imagine. Miuna montre quelque chose à Yukio sur un livre. Il s'en fout. Je rentre sans toquer. Mes enfants se retournent.
Haruka: Papa !
Yukio: T'es rentré !
Miuna: Salut. Yukio page 340, document 2.
Yukio: Nan.
Moi: Si.
Miuna: Yukio tu regarde ça sinon tu vas avoir une mauvaise note. Tu te rappelle de ce qu'a fait maman la dernière fois ?
Il regarde le document directement. Je hausse un sourcil.
Moi: Elle a fait quoi ?
Miuna: Elle lui a fait nettoyé toute la maison.
Je souris intérieurement. Haruka est en train de manger et je remarque qu'elle a un plâtre à la jambe. Je pars la voir et regarde son plâtre de plus près.
Moi: Tu t'es fait quoi ?
Haruka: Je dirais pas.
Miuna: Elle est tombée derrière le canapé en dansant dessus.
Haruka: Mais tais-toi !
Yukio est mort de rire. Je ris aussi. Ça me rappelle quand (T/p) a chanté du Céline Dion sur le canapé du Prince de France.
Haruka: Vous moquez pas de moi !
Elle se met à pleurer.
Moi: Haruka... Si tu savais toutes les choses bêtes qu'ont a tous fait dans cette famille... Tu réagirais pas comme ça.
Je caresse ses cheveux de jais.
Haruka: M'en fiche.
Elle fait la tête de hamster de sa mère quand elle est vexée. Je souris.
Moi: Aussi têtue que ta mère.
Yukio: Papa ! Je suis fort maintenant !
Haruka vient et me fais un câlin pendant que Miuna soupire aux paroles de Yukio.
Miuna: T'es chiant surtout, un vrai délinquant, insupportable.
Yukio: Et je l'assume totalement.
Moi: Yukio.
Yukio: Quoiiiiiiiiii ?
Haruka me tend les bras pour que je la prenne.
Yukio: J'ai une soeur qui se prend pour ma mère et l'autre un vrai bébé.
Haruka: C'est pas vrai !
Miuna: Elle est juste un peu moins mature que son âge c'est tout...
Yukio: Elle prend encore la tétine !
Miuna: Et alors ?
Haruka se met à pleurer.
Haruka: T'es méchant Yukio !
Moi: Tu sais que ce que tu fais ne t'apportes rien de bon ?
Yukio: Qu'est-ce t'en sais ?
Haruka couine parce que je l'ai toujours pas prise.
Miuna: Yukio tu dis des bêtises.
Je prends Haruka.
Moi: J'en sais beaucoup plus que tu ne le crois Yukio.
Je le regarde dans les yeux. Elle met sa tête dans mon cou et sa tétine dans sa bouche, sa respiration se calme.
Yukio: Moi je sais surtout que t'as jamais eu du bon dans ta vie à mon âge. T'es pas un exemple.
Miuna: Yukio.
Moi: Justement je ne suis pas un exemple. Alors ne fais pas comme j'ai fait. Tu penses que faire pleurer tout le monde c'est cool, tu te sens supérieur, tu crois que tu es Dieu mais non. Si tu fais ça, c'est que tu es désespéré. Toi t'as pas vécu là où j'ai vécu. Tu as la belle vie. Alors ne fais pas ton voyou où tu vas te retrouver seul, sans personne pour t'aider et avec tous les autres pour se foutre de ta gueule.
Yukio: Essaie de me faire peur avec tes histoires.
???: Ah oui ? On verra ça quand t'auras plus ta console.
Yukio: Guh ! Mais maman !
(T/p): T'as pas honte de parler comme ça a ton père ?!
Elle lui tire l'oreille droite.
Yukio: Aïe !
(T/p): Maintenant tu va révisé ton contrôle et tu redescend juste pour manger parce que tu es punis.
Il tire une tronche de trois kilomètres.
(T/p): Aller !
Il monte, Miuna part à la douche.
(T/p): Tssss.
Elle pose ses affaires. Haruka est toujours dans mes bras.
Haruka: Papa ?
Moi: Oui ?
Haruka: Yukio...
Moi: Ne t'inquiète pas. Je vais lui parler. Je sais qu'il en a absolument rien à faire mais je vais lui dire. Il va encore faire son Thug, je le sais.
Elle est trop mignonne, on dirait un bébé. Elle a 6 ans et demi faudrai qu'elle arrête la tétine.
Moi: Haruka... Pourquoi tu gardes ta tétine ?
Haruka: Hmmmm !
Moi: Haruka... Je sais que tu ne fais pas ça pour ton propre plaisir... Tu cherches seulement à te faire remarquer et aimer par la population. Ouais, c'est violent ce que je dis je sais mais je sais que toi, Haruka Ackerman, n'es pas un bébé dans le corps d'une fille de 6 ans. Je sais que tu sais que les gens aiment ce qui est mignon donc tu essaies de le devenir pour te faire aimer en tant que Haruka et pas en tant que fille de la reine. Alors retire-moi cette tétine de la bouche et laisse sortir ta vraie personnalité.
Je vois des larmes couler de ses yeux. Ma femme arrive et me prend ma fille.
(T/p): Garde ta tétine mais écoute ton père. Tu es toi alors reste toi.
Elle la laisse filer dans sa chambre.
(T/p): Sa tétine elle y tient, j'ai déjà essayer de lui enlever, rien y fait.
Moi: Si elle y tient, elle peut la garder. Mais faut qu'elle fasse attention aux remarques plutôt déplaisantes qu'elle risque de recevoir de la part de son frère... D'ailleurs, faut que j'aille lui parler à ce dissident.
(T/p): Son frère est comme toi.
Elle s'avance vers moi et me prend par la taille.
(T/p): Étant jeune tu as fais pire que lui, ne l'oublie pas.
Elle me fait un bisou.
Moi: Justement. Je dois lui expliquer tout. Je sais pas si je dois lui dire ce que j'ai fait mais je vais lui faire comprendre l'énorme erreur qu'il est en train de faire.
(T/p): Levi j'ai essayé beaucoup avec lui. Alors ne sois pas trop déçu... Il est comme ça depuis quelques temps déjà. C'est un adolescent avant l'heure...
Moi: Tu me connais nan ? Tu sais que c'est mon double mais en version mini. Je sais ce qu'il pense vu que j'ai été dans le même cas que lui alors je le ferai réagir d'une manière ou d'une autre.
(T/p): Je te fais confiance.
Elle me serre contre elle.
Moi: Je sais. Ne t'inquiète pas. Mais s'il se retrouve à insulter qui que ce soit, il le regrettera. Grandement.
(T/p): Ne sois pas trop dur avec lui. Tu viens d'arriver et c'est ton fils. Ce n'est pas facile tout les jours pour lui...
Elle m'embrasse rapidement.
Moi: Ça ne l'est pas pour le reste de la famille non plus. C'est mon rôle de père et d'adulte de le faire réagir à ses erreurs.
Je pose mes lèvres sur le front de ma femme.
Moi: Soit patiente. Je reviens.
Elle me lâche. Je pars dans la chambre de Yukio. Il est en train de déchirer une feuille de papier.
Yukio: Elle me saoule elle a toujours me donner des trucs à faire ! Et fais tes devoirs et Gnagnagna ! Connasse va !
Moi: Tu vas voir petit con si t'insultes ta mère.
Il se retourne.
Yukio: On frappe quand on entre.
Moi: Oh pardon.
Je sors puis donne un coup de pied dans la porte.
Moi: T'as pas précisé comment fallait frapper.
Je ferme la porte et m'appuie contre celle-ci.
Yukio: Vas y tu me saoule.
Il se met dos à moi et met ses affaires dans son sac.
Moi: Toi aussi tu me saoules. Mais vraiment.
Yukio: Bah barre-toi alors.
Moi: Non. Je suis bien ici. C'est toi plutôt qui devrait changer ton comportement.
Yukio: Si tu restes là c'est moi qui m'en vais alors.
Moi: Et tu iras où ?
(T/p): Ailleurs pour pas voir ta sale tête.
Moi: Mais tu sais que tu me verras toujours.
Il soupire.
Yukio: Mais ta gueule...
Moi: Toi ta gueule. Tu vas gentiment arrêter de me faire chier et m'expliquer pourquoi tu as décider de faire ton thug si c'est pas pour être reconnu dans le monde.
Yukio: Peut-être bien pour te faire chier justement.
Moi: Je connais déjà tes intentions. Je sais que ensuite tu vas faire une chose horrible puis tu vas t'enfuir pour ensuite revenir en rampant vers ta famille que tu es censé détester.
Yukio: Cool TA vie.
Moi: Oui. Cool MA vie. Mais bizarrement, je me reconnais en toi.
Yukio en riant: Je m'en fous !
Moi: Je sais que tu t'en fous. C'est pour ça que je suis là. Pour te faire chier à t'expliquer des choses dont tu te fous totalement.
Yukio: Bah t'as réussi tu peux partir maintenant.
On entend des voix dehors.
Haruka: Mamaaaan ! J'ai faim !
(T/p): Cri pas, je vais faire à manger.
Miuna: Ce serait pas de refus ! Tu veux de l'aide ?
(T/p): D'accord merci !
Haruka: Moi aussi !
(T/p): Viens alors.
Miuna: On fait quoi ?
Haruka: Des pâtes !
Miuna: Carbo !
(T/p): OK !
Haruka: Non !
Miuna: Siii !
Haruka: Pourquoi des pâtes carbonisée ?!
Miuna: Carbonara pas carbonisée !
Haruka: Aaah ! Ouiii !
Elles rient toutes les trois et descendent.
Moi: Tu te rends compte que quand tu fais pas chier, la famille s'entend à merveille ? Tu te rends compte que quand tu étais encore normal, tout allait bien ? Tu te rends compte de l'influence de ta crise d'adolescence pré-pubère sur la famille ?
Yukio: Arrête je vais pleurer.
Moi: Alors je continue. Tu te rends compte de ce que tu fais ? Tu te rends compte de l'ampleur que tes actions peuvent prendre ? TU TE RENDS COMPTE que tu peux faire et dire des choses horribles ?
Yukio: C'était pas vrai hein.
Moi: Je sais. Mais je t'ai dit que j'étais là pour te faire chier.
Yukio: T'as fini ?
Moi: Oui et non. J'ai juste une dernière question à te poser.
Yukio: QUOIIIIIIIIIIII ?
Moi: Tu veux quoi comme preuve de ton immaturité ?
Yukio: Hein ?
Moi: Tu veux quoi comme preuve que ce que tu fais et comment tu agis est enfantin et totalement con ?
Yukio: J'en sais rien moi putain !
On entend encore du bruit dehors. (T/p) ouvre la porte folle de rage juste après que je me sois décalé.
(T/p): YUKIO ! QU'ES-CE QUE TU AS FAIS A HARUKA TOUT A L'HEURE ?!
Yukio: Mais vas y tu m'as fais peur !
(T/p): TU NE MENACES PAS TA SOEUR AVEC UN COUTEAU ! TU ES PUNI POUR UN LONG MOMENT JEUNE HOMME !
Yukio: VAS Y T'FAÇON T'ES QU'UNE GROSSE PUTE !
(T/p): PARDON ?!
Moi: T'AS DIT QUOI ?!
Yukio: MAIS TA GUEULE TOI JE TE PARLE PAS !
(T/p): TU SURVEILLE TON LANGAGE !
Yukio: MAIS DÉGAGE GROSSE PUTE LÀ ! T'ES BONNE QU'À FAIRE CHIER TON MONDE ! TU SERS À RIEN ! T'FAÇON JE T'AIME PAS ! T'ES PAS MA MÈRE ! T'ES JUSTE UNE CHOSE DÉCORATIVE SALOPE !
(T/p) sort, elle sort très vite.
'Alors là non.'
Moi: TOI TU VAS REGRETTER TOUT DE SUITE CE QUE TU VAS DE FAIRE !!
Je le prends par le pantalon et le force à descendre. Je vois Miuna.
Moi: Miuna. Occupe-toi de ta mère. Je reviens bientôt avec ce petit con.
Je prends mon fils en mode sac à patate et sors violemment de la maison et me dirige vers...
Les Bas-Fonds.
Yukio: Lâche moi ! Lâche moi ! Connard ! À L'AIDE !
Les gens qui passent nous regarde. On arrive devant les Bas-fonds. Je descends. On se fait fixer par les gens.
Yukio: C'est quoi ça ?
Moi: Je viens de là pauvre con. Tu vois la gueule de ces gens ? Désespérés et affamés. Et ils ne se plaignent pas, ils font pas chier contrairement à toi. Regarde à gauche.
Une femme se fait voler son sac.
Femme: RENDEZ LE MOI ! RENDEZ LE MOI !
Elle se fait frapper. Je lance un éclair sur les voleurs. Ils s'enfuient. Je pars rendre son sac à la dame et l'aide à se relever.
Moi: Est-ce que ça va ?
Femme: Oui merci...
Elle s'en va.
Moi: Tu as vu ces voleurs ?
Yukio: Oui...
Moi: Tu les trouves comment ?
Yukio: Ils me font peur...
Moi: Bah ils étaient dans le même cas que toi. Ils ne respectaient rien, ils frappaient leurs camarades et ils insultaient leur famille. Regarde à droite maintenant.
Il voit des hommes s'entretuer. Ils meurent tous.
Moi: Merde. Cette fois j'ai rien pu faire. Mais tu les a vu ces gens s'entretuer ?
Yukio: Oui...
Moi: Bah ils étaient aussi comme toi. Des cons dissidents qui sont pas foutus de vivre en communauté. Pas foutus d'accepter leur vraie valeur. Pas foutus d'être agréable. Regarde en face maintenant.
Deux hommes regardent un troisième qui est apparemment mort. Il le fixe, le regard vide. Mais on peut voire des larmes couler dans leurs yeux.
Moi: Tu vois la tristesse de leur expression ? Tu vois aussi le con qui s'enfuit derrière ?
Il est complètement mort de trouille.
Yukio: Oui...
Moi: Bah le con était comme toi. Et les gens tristes étaient comme le reste des Ackerman. Tu as vu comment les cons comme toi peuvent rendre leur famille triste ? Tu as compris maintenant pourquoi je t'ai amené ici pour voir ces atrocités ? Tu as compris que tu étais en train de devenir un meurtrier voleur et même pire, tu aurais réussi à faire pleurer les seules personnes à qui tu es cher à leurs yeux ? Y compris moi ?
Il hoche la tête, tout blanc.
Moi: Alors tu as intérêt à changer de comportement et à respecter les autres en te respectant d'abord toi-même.
Je commence à remonter les escaliers.
Moi: Je sais que tu es un gars bien. Alors n'essaie pas devenir "fort" en faisant ce genre de choses. Justement, ce sont les faibles qui font ça. Si tu veux être fort, le physique ne compte qu'à 30%. Le mental compte à 30% et le respect de l'autre à 40%. Et ces deux choses vont ensemble. Mais tu ne les a pas.
Il fixe le sol pendant tout le trajet, on rentre et voit Miuna et Haruka qui mange en parlant.
Haruka: Elle est où maman ?
Miuna: Elle à dit qu'elle avait à faire.
Haruka en souriant: Ah d'accord !
Moi: Tu as vu ? Ta mère est mal à cause de toi. D'abord, tu vas t'excuser auprès de tes sœurs.
Yukio part devant et les regarde. Elles nous remarque.
Yukio: Je m'excuse...
Haruka: T'inquiète pas !
Miuna surprise: Ah Heu... Pas grave...
Moi: Les filles ? Vous pouvez le surveiller le temps que je fasse un petit truc ? Merci.
Je ressors et commence à chercher (T/p).
'Conscience : Elle est peut-être dans la ruelle...'
Je vois un de ses collègues passer. Il me reconnaît.
Zoro: Ouaaaah bah dis donc un revenant ! C'est pour ça que ta femme partait à son bureau ? Tout les trucs administratifs et tout... Wah c'est chauuuud ! Je suis choqué ! Je lui demanderai au bureau parce que là j'ai pas l-
???: Zoro !
Zoro: J'arrive ! Bon bah... À plus... Waaah...
Il part en courant.
'Ok...'
J'arrive devant la ruelle.
Personne.
'Je le savais.'
Je pars vers la tour de verre. En regardant bien tout en haut je l'aperçois qui tape sur un clavier d'ordinateur, concentrée. J'aperçois aussi Fatou et Justin en train de discuter sur un truc qui a l'air important. Je rentre dans la tour.
Hôtesse d'accueil: Vous désirez ?
Moi: Je désire voir une certaine Fatou Panda et un certain Justin Ackerman.
Hôtesse: Ils ont demandé à ne pas être dérangés pour le moment malheureusement. Repassez plus tard...
Moi: Et (T/p) Ackerman ? Je dois repasser plus tard aussi ?
Hôtesse: Non elle n'a pas de rendez-vous et n'est pas occupée. C'est le bureau 795 étage 89.
Moi: Merci.
Je rentre dans l'ascenseur. Je le mène à l'étage que je veux et arrive devant le bureau. Je toque à la porte.
(T/p): Entrez.
J'entre.
Elle me voit et sourit.
(T/p): Tu as besoin de quelque chose ?
Je ferme la porte.
Moi: Premièrement, de te dire que Yukio est calmé. Pour de bon. Deuxièmement, te réconforter.
(T/p): Ça va... Comment tu as fait ?
Moi: Je lui ai plus ou moins montré l'avenir qu'il aurait eu s'il continuait de faire son Thug.
(T/p): Tu l'as emmené dans les Bas-Fonds...
Moi: Voilà. C'était nécessaire.
(T/p): ... Sûrement...
Moi: Mais au moins, il s'est rendu compte de ses erreurs. Puis c'était aussi pour le punir de t'avoir insulté. Ça j'ai pas supporté.
(T/p): Je commence à être habituée...
Moi: Huh ?!
(T/p): Bien il fait ça souvent en pensant que je l'entends pas... Mais comme il était perturbé je laissais un peu passer... J'avais pas envie que les seules heures où je sois là je l'engueule...
Moi: Je comprends... Dire que j'étais presque comme ça petit...
(T/p): C'est ma faute s'il est comme ça...
Elle se prend la tête.
Moi: Ce n'est pas ta faute...
Je me mets derrière elle et pose ma main sur sa tête.
Moi: Il a toujours été comme ça...
(T/p): Sûrement...
Elle se pose contre moi.
Moi: Je le sais. De toutes façons s'il recommence, il y retourne.
On entend la porte.
(T/p): Oui ?
La porte s'ouvre, c'est Armenne, Fatou, Justin et Meph'.
Les quatres: Levi !
Fatou: La réceptionniste nous a dit qu'un certain Levi Ackerman était passé nous voir !
Justin: Alors on a prévenu Armenne et Meph'
Mephisto: Content de te revoir gros !
Il s'avance et me tape amicalement l'épaule. Armenne me saute dans les bras, Fatou va vers (T/p) et Justin s'appuie contre le mur.
Fatou: (T/p) ça faisait un moment aussi...
(T/p): Désolée...
Armenne en pleurant: Levi tu m'as manqué bouhouuuuu !
Mephisto: Je rêve où Fatou a du poulet dans sa poche ?
Justin: Ta gueule.
Mephisto: Quoi ?!
Justin: T'as le chic pour tout gâcher.
Mephisto: Hey ! hey hey hey ! Ta gueule toi même !
Fatou: Mais vos gueules merde...
Armenne: J'ai cru que je te reverrais jamaiiiis ! Bouhou...
Moi: Content de tous vous voir les gars.
Je pose ma main sur la tête de ma sœur.
Fatou: Toutes façons, j'ai toujours du poulet dans ma poche. Et t'en auras pas. Est-ce que t'en veux chérie coco ?
(T/p): Non merci.
Mephisto: (T/p) j'aurais jamais cru que tu puisses avoir des cernes pires que ton mari un jour.
(T/p): Merci...
Fatou: OOOOOOOOH J'ai un autre truc à vous dire.
Justin: Attends un peu.
(T/p): De quoi ?
Justin: Je préfère qu'on attende un peu avant de vous l'annoncer.
Fatou: Pfffffh...
(T/p): Toi t'es enceinte.
(T/p): Ok.. Vous allez vous marier alors ?
Fatou: Heheheheheheeeeeee...
Chicken freak pointe un bague sur son annulaire gauche.
Justin: Voilà voilà...
(T/p): WAAAAAAH Trop Bieeeeeeen !!!
Armenne: Geeeeenre !
Mephisto: Les enfants de ce couple vont être géniaux...
Armenne: Hum... Je te signale que notre fille de "4 ans" est très calme et sage contrairement à toi.
Mephisto: Elle a 12 ans.
Armenne: Tu sais très bien pourquoi joue pas dessus.
Mephisto: Ouais ouais...
Fatou: OUAIS T'AS VU C'EST GÉNIAAAAAAAAAAAAAL !!! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHZHAHAHAHZHAA !
Justin: OH putain ça recommence...
Il prend sa fiancée dans ses bras.
Justin: Je te conseille de te calmer...
Fatou: Pourquoiiiiiiiiuuiiu ?
(T/p): Parce que j'ai déjà 2 enfants qui hurle et mal au crâne...
Fatou: Oh désolée. L'euphorie.
Moi: Il est prévu pour quand ce mariage ?
(T/p): Ah oui d'ailleurs ?
Fatou: Alors... Eeeeeeeeeeeeeeeeuuuuh...
Justin: Dans 1 an. Le temps qu'elle tombe enceinte.
Fatou: Huhuh ? T'es sérieux là ?
(T/p): Tu planifie sans elle ?
Armenne: Fais pas l'erreur que Meph' à fait je lui en ai voulu un long moment..
Mephisto: C'est boooon...
(T/p): On s'était mis d'accord nous.
Armenne: Mais Levi c'est pas Justin.
(T/p): Sans vouloir vexé Justin je préfère que ce soit comme ça.
Justin: Oh.
(T/p): Non mais pas que je t'aimes pas mais imagine vous étiez pareils, j'aurais l'impression de partager mon mec, j'aime pas.
Armenne: C'est vrai !
Moi: C'est vrai.
Fatou: C'est vrai ! Et je tombe enceinte APRÈS le mariage. Pendant la lune de miel. Attends quand même. On aura tout le temps de copuler, tu vas prendre ma virginité et tout le monde sera content !
(T/p): Je me passerai des détails.
Armenne: Moi aussi...
Mephisto: J'veux bien la cassette !
Armenne lance un regard noir à Mephisto qui sourit comme un con. Je sens (T/p) s'empêcher de rire. Je me retiens de rire.
Justin: Dans tes rêves. Seul moi la verra dans son plus simple appareil.
Fatou: Calme tes hormones...
(T/p) éclate de rire.
Je me retiens d'exploser de rire.
Fatou: Bah quoi c'est vrai !
Justin: On en parle de toi ?
Fatou: Bah quoi ? Je suis totalement innocente !
Armenne: Lol.
Je me retiens plus. (T/p) s'appuie sur moi.
Fatou: De quoi ?!
Justin: Tu n'es pas innocente. J'ai beau avoir les hormones qui me travaillent, toi aussi.
Fatou: Et j'ai fait quoi ?
Justin: Tu crois que me twerker sous le nez en portant une de mes chemises c'est innocent. Après tu te demandes pourquoi je suis turned on ?
Ma femme a fini par se mettre dans mes bras pendant qu'Armenne s'appuie contre Meph' en riant.
Fatou: Oui. Puis tu profites bien après !
Justin: Et toi tu profites du fait que je profite huh ?
Fatou: Oui.
Justin: Ensuite tu peux faire des choses encore pire !
Fatou: Ah ouais quoi ?
Je pleure de rire. (T/p) a failli se casser la gueule sur moi tellement elle riait.
Justin: Par exemple, juste pour me faire chier, tu viens bien avec la tenue qui met trop tes formes en valeur pour que tous les sales ils te regardent comme des porcs et que moi je rage intérieurement. Et le pire c'est que tu mets bien ton décolleté en valeur pour me faire loucher dessus.
Fatou: Mais j'ai jamais fait ça !
Justin: Tu le fais tout le temps.
Fatou: Mais non. C'est faux.
Justin: Puis aussi. Quand on vient à peine de se réveiller et que tu poses ta poitrine sur mon visage, c'est plus ou moins déconcentrant pour le reste de la journée !
Fatou: Et toi tu poses tes mains sur mon cul quand je fais ça !
Justin: En plus tu assumes que tu le fais !
Fatou: Maiwai.
(T/p): Je ne citerai personne !
Moi: Huhuh ?
Justin: Si ça se trouve tu fais ça que pour m'exciter et que tout le monde pense que suis qu'un gros sale !
Fatou: Si ça se trouve tu fais que pour que j'ai des traces de tes doigts sur le cul et que tout le monde pense que je me fais claquer le cul le matin !
Justin: Mais c'est pas comme si ça te dérangeait !
Fatou: Et toi alors ? Ça te dérange pas de profiter de mon cul beau et attirant !
Justin: Mais tu n'as aucune modestie !
Fatou: On en parle de Môssieur Justin Ackerman ?!
J'ai mal au ventre tellement je ris.
(T/p): Vous avez bientôt fini ?! Parce que je vais mourir AHAHAHA !!
Justin: On continuera cette discussion plus tard...
Fatou: À part si t'as envie de me malaxer la poitrine d'un coup !
Moi: Ça- HA... Devient gênant...
(T/p): C'est pas comme si tu aimais pas ça !
Moi: De quoi ?
(T/p): Riiiiennnn !
Moi: Je préfère pas en parler... Hehehe...
(T/p): Par contre t'aimes bien le faire...
Moi: Quoi ?
(T/p): Riiiiennnn !
Je plisse les yeux.
Moi: T'es sûre ?
(T/p): Je t'assure que tu ne veux pas que je dise à tout les autres ce que tu apprécies au nivea-
Moi: Culinaire.
(T/p): Voilà.
Elle me regarde malicieusement.
(T/p): Tu voudrais certainement pas passer pour le méchant ?
Moi: Quoi ?
(T/p): Quoi "quoi" ?
Moi: Quoi "quoi "quoi"" ?
(T/p): Rien je comprends plus rien !
Moi: Moi non plus...
Fatou: On devrait s'en faire plus souvent des trucs comme ça entre amis de longue date...
(T/p): Si j'avais le temps.
Moi: T'en a déjà un peu plus comme maintenant je vais reprendre le Bataillon.
(T/p): Bah oui mais j'ai un autre projet en tête !
Moi: Et quel est-il ?
(T/p): Secret !
Moi: Tch.
(T/p) en souriant: Tch.
Moi: Pfuh.
(T/p): Pfuh !
Moi en souriant: Je ne dirai pas ce que je pense.
'Hamster.'
(T/p): Pfuh !
Elle m'embrasse.
Justin: Vous n'êtes pas seuls.
Je me sépare de ma femme.
Moi: Dit celui qui vient de finir une conversation plutôt gênante avec sa fiancée.
(T/p): Je lui ai juste fais un bisou !
Moi: Toi tu parles ouvertement du fait que tu profites du postérieur de Fatou.
(T/p): Alors pas de commentaires !
Fatou: Alors on a qu'à tous le faire comme ça tout le monde ferme sa gueule !
(T/p): Heuuuuuu non.
Meph: Je trouvais que c'était une bonne idée.
Moi: Non.
Fatou: C'est Justin qui a déteint sur moi.
Justin: Whaaaaat ?
(T/p): Je vais vous laisser dans vos délires et rentrer chez moi les enfants.
Elle prend ses affaires.
Moi: Faut que j'aille voir le Bataillon moi.
(T/p): Il est déjà 22 h alors tu rentres pas trop tard !
Moi: T'inquiète pas pour ça.
(T/p): D'accord.
Elle sort.
Moi: J'ai été heureux de vous revoir tous. À plus.
=======
Je suis devant le bataillon que (T/p) à mis au courant. J'entre dans le bâtiment.
Qui est propre.
'Waouh...'
???: Bonjour Major je suis votre secrétaire pour la vie et si ça vous fais chier bah tant pis c'est la reine qui m'a nommé, moi c'est Terry.
Moi: Ok. Cool. En fait je m'en fous que ce soit toi ou quelqu'un d'autre mais bon... Si c'est la reine qui t'a nommé...
Je m'assois sur le siège plutôt confortable.
Terry: Ouais cool, prenez ça.
La petite femme asiatique me file des papiers. Pardon. Une tonne de papiers. Je les regarde et les remplis tous un par un.
Terry: Votre femme va se faire une joie de tout lire. Vous pouvez arrêter là pour aujourd'hui. Elle en a pas besoin en urgence.
Moi: Ok.
'Je l'aime déjà pas.'
Je me lève et sors.
Moi: Au revoir.
Je me dirige vers la frontière. J'arrive chez moi, les enfants sont couchés et (T/p) est endormie sur le canapé. Je la prends en mode princesse et la ramène dans la chambre. Je la change, me change et la mets dans le lit. Je me mets à côté d'elle et la regarde attentivement. De la tête aux pieds, son visage d'ange et ses cheveux courts.
'Ça lui va bien les cheveux courts...'
Elle se colle à moi. Je frissonne.
'Ça m'avait manqué...'
(T/p): Levi... T'en va pas...
Moi: Je ne partirai pas.
Je passe mon bras autour d'elle. Elle fourre sa tête dans mon tee-shirt.
'Conscience: Hamster pervers le retour.
Ça m'a manqué aussi... Mais sa chaleur m'apaise.'
Je sens son souffle contre mon torse. Je la serre doucement contre moi. Sa poitrine s'écrase contre mon torse.
'Conscience : C'est pas comme si ça te dérangeait.'
Moi: Je t'aime...
(T/p): Moi..aussi je... t'aime...
Je pose rapidement mes lèvres sur son front et m'endors paisiblement, heureux d'avoir retrouvé ceux que j'aime.
======
Matin, je me réveille et je vois (T/p) qui dors sur moi. Ses cheveux brillent au soleil. Je clique plusieurs fois des yeux pour voir qu'il fait jour et qu'un magnifique soleil et de mise. Je remarque une main de (T/p) sur mon torse, une autre sur le matelas et une jambe... Entre les miennes.
'Oh.'
Je regarde ma femme du coin de l'œil.
Elle dort.
'Conscience: La t'es perturbée. C'est une perverse inconsciente en fait !
Je sais pas vraiment quoi faire...
Conscience: T'es en chaleur non ? T'as rien fait depuis 2 ans ! Sinon... Tu la laisse se réveiller.
MAIS JE VAIS PAS ALLER L'AGRESSER DÈS SON RÉVEIL MERDE !
Conscience: C'est que ta conscience hein ? Et puis t'es pas obligé de l'agresser... Tu peux le faire en douceur... Ehehehehehe...
Taré...'
(T/p) commence à bouger. Elle retire sa jambe dans son sommeil sans s'en rendre compte et ouvre les yeux à moitié.
'Conscience: Je ne suis que le reflet de tes profonds désirs...
Trop mignonne... Mes PROFONDS désirs... Je veux pas qu'ils ressortent pour le moment.
Conscience: À ce soir alors ehehehehehe...'
Elle se roule en boule et enfourne se tête sous le coussin.
'Ok... Merci le soutien quoi...'
(T/p): Hum casse-couille !
Je me retiens de rire. Elle relève la tête du coussin d'un coup en sursautant.
'Suricate.'
Moi: Bonjour.
(T/p): Ohayo...
Moi: Ça va ?
Elle éternue.
(T/p): Pfiou ! Oui... Et toi ?
'TROP KAWAII.'
Moi: Bien.
Elle cligne des yeux.
(T/p): Pfiou !
Elle gonfle les joues et remet la tête sur son coussin.
Moi: On est quel jour ?
(T/p): Same- Pfiou ! Di !
'Conscience : Samedi rime avec gémit !'
(T/p): Pfiou !
Elle plisse les yeux.
(T/p): On est en Mars... Ok le pol- Pfiou ! Pollen !
'Pollen de merde.
Conscience : Pollen rime avec... Pollen.'
(T/p): Pfiou !
'Conscience: Ou avec obscène !'
Je sors du lit et me mets du côté de ma femme.
Moi: T'as quelque chose pour contrer cette allergie ?
'Conscience : Allergie rime avec PLAISIR AU LIT !'
(T/p): Pfiou ! Oui...
Elle sort et va vers la salle de bain.
'Conscience: Oui ça parle de lui même !
Mais ta gueule...'
Elle revient.
(T/p): Ça devrait- Pfiou ! Se calmer... Pfiou !
Elle s'affale sur le lit et se remet sous la couette.
'Conscience: Calmer rime avec baiser !'
Moi: Normalement.
'Conscience: Normalement rime avec niquer violemment !'
(T/p): Ça va ? Tu fais une tête bizarre depuis tout à l'heure ?
Elle s'asseoit et me tend les bras en souriant.
'Conscience: Ooooooh ! Heure rime avec Douleur ! Mais pas trop grande juste ce qu'il faut !'
Moi: Ma conscience est devenue folle...
Je vais dans les bras de ma femme.
'Conscience: Folle rime avec "mon sperme colle" !'
(T/p): Hein ?
Elle m'entoure et m'embrasse doucement avant d'allonger sa tête sur mon torse.
(T/p): Ton coeur bat vachement vite !
Elle met sa main sur mon front.
(T/p): T'es brûlant ! Oh mon pauvre !
Elle me fait un bisou.
(T/p): Je reviens attend !
Elle commence à se lever.
'Conscience: Reviens rime avec va et viens ! Et puis si elle pouvait revenir en tenue sexy ce serait cool !
MAIS TA GUEULE !'
(T/p): Pardon ?!
'Merde. J'ai pensé tout haut.'
Moi: Désole. Ma conscience. J'en ai marre d'elle... Elle me fait chier...
'Conscience: Chier rime avec forniquer !'
Moi: Haaaaan...
'Conscience: Très beau gémissement.'
(T/p): Mouais...
Elle gonfle les joues et va vers l'armoire à pharmacie.
'Conscience : Mouais rime avec jouet ! Tu sais de quels jouets je parle...'
Elle prend un torchon et met de l'eau froide dessus sur le robinet à côté, elle revient et me le met sur le front en m'allongeant, elle se colle contre moi.
(T/p): En fait t'es tout brûlant ! Mais partout !
'Conscience: Surtout à un certain endroit ma jolie...
Nan mais nan...'
Moi: J'en ai marre de ma conscience... Elle est plus en chaleur que les violeurs des Bas-Fonds...
(T/p): Hum ? C'est une demande ça ?
Elle se met à rire.
Moi: Non... Mais c'est que depuis une heure elle fait plein d'allusions sales... Et ça m'énerve.
(T/p): Pfuhu... Il est 6 heures et tu te prends déjà la tête tout seul.
Elle me fait un sourire radieux.
'Conscience: Refais un sourire comme ça et je t'assure que les heures elles vont passer plus vite !'
Je hoche la tête.
Moi: Je veux juste qu'elle ferme sa gueule.
'Conscience : Copule et on verra !'
(T/p): Je peux arranger ça...
Elle se penche sur moi en souriant et me fait un bisou sur mon point sensible. La situation l'amuse beaucoup, je le vois dans ses yeux.
'Conscience: O-ooooh...'
Moi: Gnnnh...
'Connasse... Tu te fous de moi...'
Elle lèche ma lèvre inférieure et m'embrasse. Et d'un coup elle me fait pleins de chatouille sous les bras.
'Conscience: Chope la ! Chope la !'
Moi: HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAGAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHZHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAA !
'Mais on va m'entendre de loin...
Conscience: Cette maison est insonorisée dans toute les pièces t'es con ou quoi ?!'
Elle est morte de rire, elle ça l'amuse.
'TU M'AS PERTURBÉ AVEC TES ALLUSIONS SALES ESPÈCE DE CONNARD DE TES MORTS !'
Moi: Te fous pas de moi...
'Conscience: Montre lui qui est le patron !'
(T/p) en souriant: Mais tu es adorable comme ça...
Elle m'embrasse.
'Pour une fois que tu dis un truc intelligent toi...'
Je pose mes mains sur ses hanches et l'embrasse. Je commence à la chatouiller.
(T/p): HAHAHAHAHAHAHAHAHAGHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHZHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAJAHAHAHAHAHAHABAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!
Elle fini par m'esquiver et passe en dessus de moi.
(T/p): Awe ?!
Elle mord mon point sensible, puis mes oreilles.
'Conscience: À la recherche du patron.
Toi tu fermes ta gueule.'
Je repasse au dessus d'elle et continue de la chatouiller en jouant avec son point sensible.
'Conscience : Là je te retrouve !
Là tu fermes ta gueule.'
Elle pousse un petit cri et essaie de se dégager mais sans succès cette fois-ci.
'Conscience: Elle pourrait crier pour autre chose... Avoue tu aimes ça quand elle crie... Avoue tu as envie qu'elle crie...
Je ne commenterai pas tes paroles pauvre con.'
Je souris en coin et mordille son point sensible.
'Conscience: T'es en train de durcir en bas mec. C'est sa poitrine apparente qui fait ça ?'
En effet je me rends compte que sa poitrine est découverte au milieu grâce à un énorme décolleter formé par le détachement de certains boutons pendant qu'elle se débat, mais elle est quand-même encore protégée.
(T/p): Pfiou !
Moi: À tes souhaits.
'Tch.'
(T/p): Gnagnagna...
Elle mord mon point sensible pour m'embêter.
'Conscience: Wouuuuh j'ai appuyé sur un point sensible ? Avoue tu aimerais voir sa poitrine en entier.. Qu'es-ce que tu attends pour réagir ?! C'est ta femme bordel, à toi ! La tienne ! Elle t'appartient ! Alors vas-y !'
Je vois que (T/p) a mis son soutien qui s'accroche devant. Je le décroche.
(T/p): Ah ouais ? Trop tard !
Elle roule sur le côté et va se lever.
'Conscience: Noooooon !'
Je lui prends les poignets et l'empêche de se lever. Elle me regarde dans les yeux en souriant. Je me lèche les lèvres puis souris en coin en me mordant la lèvre. Je scelle nos lèvres entre elles. Je lâche ses poignets pendant que nos yeux sont fermés. Je pose mes mains sur ses hanches pendant que les siennes me caresse le dos sous le T-Shirt. Je la sens suivre la cicatrice dans mon dos avec ses doigts. Elle arrête le baiser et me retire le haut lentement. On se retrouve tous les deux torse nu comme j'ai retiré sa chemise et son soutien-gorge.
(T/p): Levi... C'est quoi cette cicatrice ?
Je me crispe sous la douleur. Elle le sent.
(T/p): Désolée...
Moi: C'est pas toi...
Je lui souris même si je souffre.
(T/p): Alors c'est quoi comme cicatrice ?
Moi: Pendant mon entraînement, un gars qui voulait ma place m'a attaqué par surprise et m'a fait ça dans le dos. Ça me lance encore un peu mais ça va aller pour moi. Ne t'inquiète pas.
Elle ne dit rien. Elle caresse doucement cette cicatrice de merde.
(T/p): C'est pas la vraie raison Levi... Je le sens Levi.
Moi: Pourtant ça m'est arrivé.
(T/p): Je te crois sur ça mais c'est pas la raison de cette cicatrice... Tu l'as depuis trop longtemps pour que ce soit la vraie raison. Pourquoi tu ne veux pas me le dire ?
Je détourne le regard.
Moi: C'est un moment assez sombre de ma vie que j'aimerais pas vraiment évoquer... Désolé.
(T/p): Nan c'est pas grave... Je comprends.
Je la regarde.
Moi: Mais je te le dirai un jour (T/p). Je te le promets.
Je pose mon front sur le sien.
(T/p): Je serai là pour t'écouter alors.
Elle me sourit. Je la regarde amoureusement.
Moi: Merci (T/p). Je t'aime.
Je l'embrasse. J'inverse les positions en continuant de l'embrasser. Elle se retrouve au dessus de moi entre mes jambes. Elle caresse mon torse pendant que je la serre contre moi. Je dirige mes lèvres vers son point sensible. Elle gémit pendant que je marque mon territoire. Elle remonte ses mains dans ma chevelure et enfouit sa tête dans mon cou. Elle joue aussi avec mon point sensible comme je fais avec elle.
Moi: MMMmmmmh...
(T/p): Levi...
On retire nos têtes du cou de l'autre puis on se fixe. On s'embrasse fougueusement. Je caresse doucement sa poitrine pendant qu'elle effleure mes fesses.
???: Votre Altesse !!
On s'arrête à contre-cœur.
(T/p): Oui ?
???: Vous êtes demandée par Prince Pavel Ma'am !
Son visage s'illumine.
(T/p): Dites lui que j'arrive !
'Je l'aime encore moins.'
???: Oui Votre Majesté.
Le garde s'en va. (T/p) se retire de entre mes jambes. En se rhabillant, elle m'embrasse encore une fois. Je m'habille comme d'habitude -de façon classe- et regarde (T/p) sortir de la chambre. Je pars manger avec les enfants.
Miuna: Ça fait longtemps que (T/p) n'a pas mangé avec nous...
Yukio: Ouais...
Je vois la principale concernée passer à côté de nous. Elle nous fait un bisou à chacun et part en prenant un croissant.
Haruka: Maman...
Moi: Au moins elle pense à vous. C'est déjà ça.
Miuna: Ouais... C'est déjà ça.
On termine tous de manger et laissons les servantes nettoyer. Je pars au QG comme d'habitude maintenant que je suis Major. Je croise Eren et Petra dans les couloirs. L'un est hyper gêné, l'autre est en train de faire sa pute. Je les ignore et entre dans mon bureau. Je fais ce que j'ai à faire quand un soldat toque pour me dire qu'il faut manger. Je sors et pars manger pas grand chose. Je retourne dans mon bureau et termine tout. Je retourne au Palais. Je me fais toiser par les gardes. J'entends un gros BOOM venant de la chambre. Je rushe et vois ma femme par terre avec la tête en sang.
Moi: Mais t'as fait quoi ?!
(T/p): Je suis tombée ! C'est con hein...
Elle s'évanouit. Je la rattrape de justesse et l'emmène à l'infirmerie.
Médecin: Elle s'est juste cognée la tête contre la table de chevet ? Elle a dû y aller fort pour pouvoir être inconsciente après ça.
Il la soigne.
Médecin: Vous pouvez l'emmener dans sa chambre !
Moi: D'accord.
Je prends (T/p) doucement et l'emmène dans la chambre. Je la change dans ses vêtements les plus confortables et la surveille de loin. Je vois Pavel entrer dans la chambre. Il ne m'a pas vu. Il se penche un peu sur (T/p).
Pavel: Aaah (T/p)... Toujours aussi maladroite huh ? Ça te rend tellement mignonne...
Il caresse sa joue.
'Il fait quoi là ?'
Pavel: Tu es si belle... J'aurais tellement voulu t'épouser... Je t'aime...
'Eeeeeeeuuuh non.'
Il pose ses lèvres sur les siennes et passe sa main dans sa chemise.
'T'as pris tes rêves pour la réalité toi !'
Je lui lance un petit éclair dessus. Il retire ses mains et ses lèvres puis me regarde.
Pavel: Qui es-tu ?!
Moi: Le mari de la Reine.
Je lui montre mon alliance. Il me regarde mal.
Pavel: Alors c'est toi Levi Ackerman... Tu ne peux rien faire contre moi. Je suis trop puissant. J'aurai (T/p).
Moi: Ne prends pas tes rêves pour la réalité Pavel. Je te rappelle que je l'ai déjà.
Je hausse un sourcil en guise de moquerie. (T/p) bouge un peu. Il me maudit en silence et regarde (T/p) inquiet. Elle ouvre les yeux.
Pavel: Ça va ? Tu veux quelque chose ?
Je vais vers elle. Je me penche à l'oreille de Pavel pour faire en sorte que seul lui puisse m'entendre.
Moi: Tu veux jouer à ça ? Bien.
Il fausse un regard amusé.
(T/p): Je vois que vous êtes devenus amis...
Moi: Ouais. Mais tu vas mieux ? Attends.
Je vérifie sa chaleur en posant ma main sur son front.
Moi: T'es brûlante.
Je pars chercher une bassine d'eau froide et un torchon pour le poser humide sur le front de ma femme.
Pavel: Oh ! Je t'ai ramené la chose la plus précieuse que tu m'avais confié ! Je l'ai donné aux gardes devant la porte.
(T/p): Merci...
Moi: Tu veux quelque chose ?
(T/p): Oui...
Pavel: Dis-moi et je te l'amène !
(T/p): Il est déjà là.
Elle me prend la tête et l'enfouit dans sa poitrine. Pavel me regarde très mais TRÈS TRÈS mal.
(T/p): C'est bon je crois !
Pavel: D'accord. Alors je vais partir ! À demain (T/p) ! Dors bien avec ton mari ! *pour moi dans l'oreille* C'est peut-être la dernière fois...
Je hausse un sourcil en le regardant partir.
'Le pire, c'est le peut-être, ça peut se passer n'importe quand.
Conscience: Et (T/p) ne se doute de rien.'
(T/p): Levi... T'es mon doudou.
Moi: Je sais Chérie.
Je remarque que Pavel n'a pas fermé la porte.
Moi: Attends juste un peu.
Elle me lâche. Je lance un éclair de force nulle et ferme la porte.
(T/p): Plutôt pratique !
Elle rit légèrement.
Moi: Ouais.
Elle me reprend dans ses bras. On reste comme ça pendant un long moment avant qu'on ne se fasse déranger.
???: Votre Altesse !
(T/p): Oui ?
???: Vous êtes demandée par une certaine Kami !
(T/p): Dites lui que j'ai pas le temps !
???: Elle insiste Ma'am !
???: OUVRE J'AI PAS QUE ÇA À FAIRE !!
(T/p): N'OUVRE PAS !!
???: Oui Votre Altesse !!
???: SI OUVRE !!
???: Désolé Mlle.Kami mais je ne peux vous ouvrir.
Kami: Alors je le ferai moi-même !!
Une fille entre. Elle est blanche comme un cul.
'Conscience: C'est toi qui dit ça ?
Oui.'
Kami: Ahaa !!! Je suis entrée !
(T/p): Et tu vas sortir.
'POPOPOOOOOOOOOOOOO.'
Kami: Pas tant que j'aurais ce que je veux. Ton titre et ton mari. Tu peux garder tes enfants.
(T/p): C'est mort.
Kami: Alors juste ton titre.
(T/p): C'est mort.
Kami: Ton mari.
(T/p): C'est mort.
Kami: Je veux être la Reine !!!
Elle saute comme un enfant en martelant le sol.
Kami: Je veux ton mari !! Tu le mérites pas !!
Moi: Non.
Kami: Hein ?
Elle s'arrête et me regarde.
Kami: Tu veux pas avoir tout ça ?
Elle ouvre sa chemise et montre sa poitrine.
Moi: Non.
Kami: Pourquoi ?
Moi: Car premièrement, j'ai mieux. Et deuxièmement, je déteste les poitrines siliconnées.
Kami: Mais moi c'est du vrai !
Moi: La seule chose vraie sur toi, c'est ton nez. Ah merde, c'est pas vrai. Tu l'as aussi refait.
(T/p): Ça c'est mon mari !!
Kami: Maieuh... Tu verras (T/p). Je l'aurai un jour !! Je l'aurai !!
Elle trébuche sur le tapis. Je me lève pour aller vers elle. Elle me regarde espérante et tends la main vers moi. Je pose mon doigt sur son front, ouvre la porte et la pousse dehors. Elle se viande sur le sol. Je referme la porte énervé.
Moi: Elle m'a gavé.
(T/p): Dis-toi que je la supporte depuis 2 ans.
Moi: C'est ce que je me dis.
Kami: JE N'AI PAS DIT MON DERNIER MOT !!
On entend ses talons sur le marbre du sol.
Moi: Putain... Faut l'enfermer.
(T/p): Déjà essayé mais elle réussit toujours à sortir en faisant des avances aux gardes.
Moi: En plus c'est une pute...mais c'est génial...
(T/p): Je note bien l'ironie dans ta voix.
Je regarde (T/p).
Moi: Sinon ta tête ? Ça va ?
(T/p): Tranquille !
Elle me sourit. Je lui rend son sourire puis pars me changer. Je reviens et m'allonge près de ma femme et la serre doucement contre moi. Sa chaleur m'apaise. Elle me fait un bisou sur le front.
(T/p): Tes cheveux ont poussé.
Moi: C'est vrai. Faudrait que je les coupe. Je le ferai demain. Maintenant dors.
Elle hoche lentement la tête et enfouit sa tête dans mon haut. Elle se cale sur ma respiration calme et s'endort. Moi je réfléchis.
'Pavel va faire un truc... Je le sens pas...'
=====
Ça fait un bon mois que je suis revenu et tout se passe à merveille. Pavel n'a rien tenté, Kami est toujours aussi conne, les enfants se portent bien et voient un peu plus leur mère qui se remet de ses émotions en douceur.
Je rentre tranquillement du QG du Bataillon et entends des voix venant d'une des fenêtres ouvertes sur un balcon du Palais. Je m'arrête et vois (T/p) et Pavel penché sur une carte dont je n'ai aucun rapport avec. Je vois un truc briller dans la main de Pavel qu'il cache derrière son dos.
Un couteau.
'JE LE SAVAIS.'
Il lève son bras pour faire genre qu'il va le mettre sur les épaules de ma femme mais il va la planter. Je tire un éclair sur le couteau qui conduit l'électricité dans tout le corps de Pavel.
Pavel: ARGH !
Il s'éloigne de (T/p) qui le regarde sans comprendre. Je rushe en prévenant les gardes d'un attentat contre la Reine vers le balcon. J'entre en défonçant la porte.
Moi: Je savais que tu allais tenter quelque chose Pavel.
(T/p): Mais de quoi tu parles ?
Pavel jette le couteau sans que (T/p) s'en aperçoive.
Moi: Ce très cher Pavel a essayé de te poignarder avec ça.
Je pointe le couteau.
(T/p): Mais nan... T'as dû halluciner Levi... Il est trop gentil po-
Pavel: Ton mari a raison (T/p).
Elle le regarde choquée.
(T/p): Tu mens...
Pavel: Non.
Il s'approche d'elle.
Pavel: J'ai bien essayé de te tuer très chère amie.
Il s'arrête à 20 centimètres d'elle. Je me prépare à l'attaquer.
(T/p): Pavel... C'est une très bonne blague !
Elle rit nerveusement.
Pavel: Je ne blague pas (T/p). J'ai bien essayé de te tuer. Et je compte bien réussir à le faire.
Il commence à l'étrangler. Je lui fonce dessus et lui met un coup de coude en plein dans le nez. Il lâche (T/p) en se tenant le nez. Elle tombe sur le sol en se tenant la gorge. Les gardes viennent la prendre en charge. Pavel me regarde mal.
Pavel: T'es tenace toi.
Moi: Une vraie tâche. Même le plus puissant des détergents ne peut m'éliminer.
Pavel: Sauf que tu ne m'a pas vu à l'action.
Je le regarde dans les yeux. Il sort un autre couteau de sa poche. Il m'attaque mais je l'esquive facilement. Il rage et lance le couteau sur le garde qui tenait (T/p). Il se prend le couteau dans la nuque. (T/p) tombe sur Kami qui lui sourit et la lance sur Pavel. Il la prend par le cou et la fais prendre au dessus du vide. Il sourit comme un psychopathe.
Pavel: Tu sais ma belle, je t'ai toujours aimé. Mais depuis que Edward a empêché notre mariage... Je cherche un autre moyen d'accéder au trône de l'Angleterre. Je pensais faire une alliance tout simplement avec toi mais ton mari est arrivé et a contrecarré mes plans. Donc j'ai décidé de te tuer. Alors au revoir (T/p).
Je lui fonce dessus pendant son monologue. Il lâche (T/p) qui tombe à une vitesse plutôt très rapide. Je plonge dans le vide et m'accroche au rebond du balcon avec mes pieds. Je rattrape (T/p) de justesse. Je sens Pavel me planter son couteau dans le pied. Je me mords la lèvre sous le coup de la douleur et remonte (T/p) sur le balcon malgré les couteaux que je reçois dans les pieds. Je réussis à éjecter Pavel dans la pièce où est la carte mais sens plus mes jambes. Je tombe mais me rattrape aux barreaux du balcon. (T/p) m'aide à me remettre sur le balcon. Je me tient au rebord. Pavel me lance des boules de feu que n'esquive difficilement.
'C'est aussi un Dieu !?'
Sauf qu'on avait pas vu une chose.
Kami.
Elle plante (T/p) à côté du cœur. Cte pute s'approche de moi et me plante dans le bide.
Comme ça. Tranquille.
Je crache du sang.
Kami: Puisque tu refuses de m'avoir, je t'aurai mais mort.
'Mais qu'elle est conne...'
Je tombe sur le sol en me tenant le ventre.
Kami: Si tu veux que ta belle reste en vie, alors meurs.
Je la regarde mal. Je lui lance un éclair dessus avec le peu de force qu'il me reste. Elle tombe inconsciente. Je réussis à me lever en supportant la douleur et porte ma femme. Son cœur bat toujours.
Je sors de la pièce en traînant des pieds. Pavel me laisse bizarrement passer en souriant.
Pavel: Elle ne survivra pas. N'essaie pas de la sauver. Elle est morte.
Des gardes me voient.
???: Il s'est passé quoi ?
Moi: Pa...vel...
Je tombe avec (T/p) dans mes bras.
~PDV extérieur~
Levi tombe avec sa belle dans les bras. Une flaque de leur 2 sangs mélangés s'étend sur le sol. Des cris d'effroi se font entendre dans tout le palais.
Levi: Sauvez...la...d'abord...
L'homme Ackerman atteint le stade de l'inconscience. Les différentes infirmières les prennent en charge et les emmène se faire soigner. Pavel sort de la pièce comme si de rien n'était. Il regarde la flaque de sang.
Pavel: Mon Dieu ! Que s'est-il passé ?
Les gardes l'arrêtent.
???: Vous avez tenté de tuer la Reine et son époux !
Pavel: Non !
Les gardes le lâchent.
'Pavel: Tellement simples d'esprit...'
Pavel: Seulement la Reine. Monsieur Ackerman, c'est Kami qui s'en est chargé après que j'ai -accidentellement- blessé grièvement l'époux de la Reine aux pieds l'empêchant de d'esquiver les attaques.
Le fourbe sourit.
Pavel: Au revoir. Et dites à la Reine si elle reste en vie que je n'ai pas disparu avec Kami. On la surveille.
Le jeune blond se téléporte avec la jeune gourgandine siliconnée dans les bras. Les gardes essayent de l'attraper en vain.
???: Faudrait nettoyer tout ça...
???: Flemme. Au pire, le fils de la Reine le fera si elle le punit encore.
???: Ouais.
Les 3 gardes flemmards partent. D'autres plus efficaces arrivent.
GardeEfficace1: On doit nettoyer !
GE2: On saura bien comment tout cela est arrivé à un moment où un autre.
GE3: Marie ! Christine !
Les 2 servantes arrivent.
Marie: Faut nettoyer hein ?
Le GE3 hoche la tête.
Christine: Ok. Fuck off les gardes.
GE1: On comptait partir de toutes façons.
Marie: Ouais ouais.
Les gardes partent. Les flemmards leur explique ce qu'il s'est passé.
GE2: On doit faire un rapport de cela et déposer un avis de recherche sur Pavel et Kami.
Flemmard1: Ooooh ça va...
F2: Au pire, Ackerman le fera quand il se réveillera...
GE3: Et s'il se réveille pas ?!
F3: C'est un dur lui. Il est revenu à la vie je te rappelle. Il se réveillera.
GE1: Je ferai le rapport quand même. Il y a quand même une perte.
F1: Qui ?
GE3: Jordan, le petit nouveau qui venait d'arriver et qui avait un avenir prometteur, il s'est pris un couteau dans la nuque. Il ne survivra pas à moins qu'un miracle ne se produise.
F3: Dommage. Il était pas mal en plus...
Les 2 groupes se séparent.
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