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Epilogue

Lettre aux étoiles n°357

Salut,

Depuis la naissance d'Alex, il y a maintenant quatre ans et demi (le temps passe si vite) je crois n'avoir jamais vécu une journée si heureuse. Si magique. Si belle. En même temps ce n'est pas tous les jours qu'on peut appeler pour la première fois l'amour de sa vie, sa fiancée. Fiancée. Plus je dis ce mot, plus j'ai du mal à croire que ce qui est arrivé s'est vraiment produit. Je suis clairement l'homme le plus chanceux du monde.

Alors voilà comment ça s'est passé, c'était le soir de la remise des diplômes, Annabeth et moi allons enfin pouvoir oublier les cours et trouver un véritable emploi. En réalité Annabeth en avait déjà un, elle avait déjà fini l'Olympe il y a quelques mois mais les dieux, tellement contents de son travail, lui avaient confié la construction complète de la Nouvelle-Athènes -oui ! il avait accepté le projet en comprenant qu'on ne pourrait pas tous s'entasser à la Nouvelle-Rome et que toute une génération de demi-dieux avait réussi à survivre, faisant de moins en moins d'offrandes tant qu'ils n'auraient pas un endroit ou vivre. J'avais demandé à Hazel et Frank de garder Alex pour la soirée et... eh bien... la nuit aussi. J'avais réservé une table dans le meilleur restaurant de la ville. Je n'avais rien demandé là-bas, je voulais faire ça dans l'intimité, que nous deux.

J'étais sûr de moi. Annabeth était aux anges. Et même si maintenant nous avions vingt-trois ans pas tant de chose avait changé depuis l'adolescence entre nous, insouciants, amoureux et complices comme à l'aube de notre amitié et de notre amour. Nous avions passé une soirée parfaite. Toutes les chances étaient de mon côté.

. : . : . : . : .

Percy ferma la porte derrière lui. Même s'il était persuadé qu'Annabeth dirait oui, il stressait et essuya ses mains moites sur la veste du costume qu'il avait porté pour le restaurant et la remise des diplômes. Il défit sa cravate pendant que sa petite-amie, assise sur le canapé, enlevait ses escarpins noirs qu'elle portait depuis trop longtemps pour que ses pieds résistent à une seconde de plus. Il la trouvait toujours magnifique, mais aujourd'hui elle était plus que ça. Elle portait une robe grise qui faisait ressortir ses yeux, elle lui arrivait aux genoux laissant à Percy une vue imprenable sur ses longues jambes bronzées. Le décolleté semi-plongeant avait obligé le brun à se concentrer sur tout sauf ça. Et le fin lacet qui retenait la robe à l'arrière en laissant apercevoir son dos à la manière d'un corset aurait sûrement raison de tout bon sens dans la tête du fils de Poséidon -absolument pas la réaction qu'avait recherché la fille d'Athéna en achetant cette robe, bon peut-être un peu... Ses boucles relâchées semblaient flottées telles une auréole autour de sa tête maquillée seulement d'un peu de rouge à lèvres et de mascara.

Percy cherchait ses mots. Il avait préparé un petit discours déclamant tout son amour, mais maintenant qu'il y était, il ne se souvenait plus de rien. Il tâta sa poche, la bague y était toujours. Il avait pris quelque risque en choisissant de laisser la bague sans boite mais cela prenait beaucoup de place dans sa poche et se devinait facilement.

- Percy ?

- Oui ?

- Tu as l'air bizarre, ça ne va pas ?

- Si, si, tout va parfaitement bien, assura trop rapidement le fils de Poséidon.

Elle releva sa tête blonde pleinement vers lui et se leva.

- Tu as quelque chose à me dire Cervelle d'Algues ? demanda-t-elle en arquant un sourcil.

- Euh ouais, dit Percy en canalisant son courage. Maintenant qu'on est diplômés, parents et demi-dieux à la presque retraite, je me suis qu'il était temps de te demander un truc.

- Ah oui ? fit Annabeth d'une voix douce.

Il lui a jeté un coup d'œil et a vu qu'elle se retenait de sourire.

- Tu te moques de moi ! s'est-il plaint.

- Pas du tout !

- Tu me facilites vraiment pas les choses.

- Sache, Cervelle d'Algues, que je ne te faciliterai jamais, jamais les choses. Fais-toi une raison.

Il la regarda pleine d'amour se rappelant ce qui c'était passé la dernière fois que leur conversation avait ressemblé à ça.

- Et comme ta question tarde à venir, je vais poser la mienne en premier. D'accord ?

Percy hocha la tête.

- Honnêtement, Cervelle d'Algues, je pensais que je n'aurais pas besoin de la question. Je m'attendais à ce que tu me la pose il y a longtemps maintenant. Mais c'est bon, on est au vingt-et-unième siècle, je peux la poser. Je ne suis pas très doué pour faire des discours, je veux dire, on sait tous les deux qui est le romantique dans l'histoire, et c'est pas moi.

Elle marcha de quelques pas vers Percy, avançant au fils de ses paroles.

- Mais ce n'est pas parce que je manque de moyen pour te le montrer, ou même le prouver, ou je ne sais quoi encore, que je t'aime moins que toi tu le fais. Je t'aime Percy Jackson, plus que tout au monde. Ça fait des années que je ne vois plus ma vie sans toi. Maintenant je voudrais que ce soit officiel, que quand les gens regardent ma main ils se disent « ah j'espère qu'elle a trouvé le bon. » et oui j'aurais trouvé le bon, Percy.

Ledit Percy avait la fâcheuse impression que sa copine était en train de lui voler sa question.

- Bon je sais que normalement c'est les hommes qui le font. Mais dans les films c'est toujours les hommes qui demandent. Alors je vais me mettre à genoux mais il n'y a rien de bizarre, ok ?

Annabeth était tellement stressée. Elle ne voulait pas que Percy prenne sa démarche comme de l'impatience de sa part. Peut-être que lui voulait attendre encore un peu. Après tout, il avait eu plein d'occasion de demander, même Jason et Piper c'étaient déjà fiancés et se mariaient cet été, s'il avait voulu il l'aurait fait. Ou peut-être que Percy ne voulait tout simplement pas se marier, qu'il l'aimait de tout son cœur mais que le mariage n'était pas une institution pour lui. Ils n'avaient jamais vraiment parlé de ça ensemble. Pour elle, depuis la fin de la guerre, il était évident qu'ils s'épouseraient un jour, elle avait juste assumé que c'était pareil pour lui, parce que le Tartare...

Elle ravala ses craintes, essayant de se convaincre que si Percy disait non ce n'est pas parce qu'il l'aimait pas et finalement mit un genou à terre.

Percy, lui, n'était que joie. Pour le fils de Poséidon, peu importait qui posait la question tant qu'il pouvait clamer sur tous les toits être le mari d'une femme si formidable. Juste il aurait aimé pouvoir utiliser la bague et le discours qui commençait par lui revenir par bribe. Mais il s'en foutait, Annabeth le demandait en mariage, par les dieux de l'Olympe !

- Bon, je n'ai pas de bague... les bagues de fiançailles pour homme ça existe pas -injustice complète ! - et je me voyais mal en acheter une pour moi...

Annabeth laissa sa voix retomber alors qu'elle prenait une grande inspiration pour poser une des questions les plus importantes de sa vie. Percy profita de cette petite pause pour prendre la parole.

- Moi j'ai une bague. Pour toi évidemment...

- Tu- tu avais prévu de faire ta demande ? questionna Annabeth les yeux écarquillés.

- Oui, affirma Percy en sortant une bague argent avec un seul diamant l'ornant de sa poche.

Annabeth pleura presque en voyant le bijou. Il était si simple et si beau à la fois, un peu comme eux. Sans superflu, sans chichi, juste l'essentiel. Un essentiel concentré en une beauté pure.

- Mais comme de toute évidence je suis en retard, continua Percy en se mettant lui aussi à genoux face à la fille d'Athéna. Je t'en prie continue.

- Percy, sourit-elle de toute ses dents. Cervelle d'Algues, me ferais-tu l'honneur de m'épouser ?

- Oui, tous les oui du monde Puits de Sagesse...

Elle passa les bras autour de son coup et l'embrassa avec passion, souriant contre ses lèvres. Elle l'avait fait, elle l'avait fait ! Et il avait dit oui ! Ils étaient fiancés et dans un futur qui paressait soudain plus proche ils seraient mari et femme. Elle était la femme la plus comblée du monde.

Quand ils se séparèrent à bout de souffle, front contre front, Percy demanda :

- Tu veux la bague ?

- Bien sûr !

Le demi-dieu aux yeux d'océan passa la bague au doigt de sa future femme. Future femme, il pouvait enfin appeler Annabeth de cette manière et rien ne pouvait le rendre plus heureux (sauf peut-être le jour où il pourrait dire qu'elle était sa femme tout court).

Et le reste de leur nuit n'appartient qu'à eux... (on raconte que c'est parce que l'auteur déteste le citron...)

****

Lettre aux étoiles n°496

Eh bien, aujourd'hui a été une grosse journée.

Je pense qu'un déménagement n'est jamais reposant (j'en avais moi-même fait l'expérience en venant à la Nouvelle-Rome et en changeant d'appartement pour un plus grand peu avant la naissance de notre deuxième enfant) mais je vous assure que déménager à l'autre bout du pays à dos de chien des Enfers avec un enfant qui refuse de quitter ses copains malgré l'assurance de revenir le plus souvent possible était très fatigant.

Et oui ça y est ! on a déposé nos valises à la Nouvelle-Athènes. En plus d'avoir versé un salaire en drachmes à Annabeth -trop petit, selon moi, pour la montagne de travail qu'elle fournissait- les dieux lui avait offert une maison en bord de mer. Deux chambres à l'étage, une salle de bain et une suite parentale, et au rez-de-chaussée une immense pièce à vivre avec une baie vitrée qui donne sur le jardin qui lui-même mène à la plage. Un petit nid d'amour rien que pour notre famille.

Le départ avait surtout été dur pour Alex. On le privait de tous ses amis juste avant son CE1, ce dont il avait l'air de beaucoup souffrir. Annabeth et moi avions eu du mal à comprendre, mais à son âge Annabeth venait juste de fuguer et moi je changeais d'école tous les ans, nous n'étions pas vraiment en mesure de concevoir ce qu'il ressentait. Malgré tous les adieux à ses amis ont été particulièrement déchirants. Cela faisait longtemps qu'il savait que ça se produirait, quasiment depuis sa rentrée à l'école. Mais vous savez comment sont les enfants, ils comprennent que quand la chose et vraiment là.

. : . : . : . : .

Alex serra ses copains dans ses bras chacun leur tour (ses parents avaient organisé une petite fête sur la Via Principalis), puis il se tourna vers sa mère.

- Maman, on est obligé d'y aller ?

- Oui, Alex c'est notre nouvelle maison là-bas, répondit Annabeth d'une voix qui se veut réconfortante

- C'est ici ma maison ! répliqua Alex.

- Comment tu parles à ta mère ? le réprimanda Percy en déposant sa fille au sol.

Cela faisait un moment qu'elle gigotait entre ses bras, remuant les jambes pour lui signaler qu'elle voulait marcher, une capacité qu'elle possédait depuis peu mais elle adorait déjà ça.

- Désolé, s'excusa le petit brun aux yeux vairons en baissant la tête.

- Je préfère ça, approuva la blonde.

- Mais je veux pas déménager.

- Ecoutes, commença sa mère en s'accroupissant face à lui. Je sais que c'est dur, même ton père et moi on a fini par s'attacher à cette endroit. Mais chez nous c'est près de la Colonie, près de chez Mamou, d'accord. Là-bas il y a déjà plein d'enfants super. (Alex s'apprêta à répliquer mais sa mère l'en empêcha en continuant.) Je sais que ce ne sera pas pareil qu'avec ceux d'ici et je sais qu'ils te manqueront très longtemps. Mais parfois dans la vie on a besoin de changement, et ton père et moi avons besoin d'un changement, à cause de notre passé on en a vraiment besoin, d'accord ?

- Et tout le monde se fiche de ce dont moi j'ai besoin !

- Ce dont tu as besoin pour le moment Alex c'est de deux parents qui t'aiment et un toit au-dessus de ta tête, c'est beaucoup plus que ce que moi ou ton père ou des dizaines de nos amis aurions espéré au même âge, alors je te demanderais de respecter notre décision. De toute façon tu as deux choix : soit tu restes borné, ça arrive quand même et tu n'es pas content, soit ça arrive et tu saisi l'occasion pour partir à l'aventure et te faire plein de nouveaux amis, finit Annabeth.

- En plus j'ai entendu dire que Maelys Alatir nous rejoindrait dans deux semaines, ajouta Percy.

A cette information le visage de l'enfant se fendit d'un sourire auquel il manquait une dent. En effet la fille de Travis et Katie était « l'amoureuse » d'Alex, une situation qui faisait bien rire les parents mais qui pouvait s'avérer utile.

A ce moment, Alex comprit qu'il ne gagnerait pas cette fois-là et partit s'amuser pour une dernière fois avec les descendants de Bacchus, Hermès, Vénus, Héphaïstos, Hécate et autres divinités. Pendant que ses parents discutaient avec leurs amis qui restait ici, Frank, Hazel, Jason, Piper, Reyna et bien d'autre qu'ils s'étaient fait au fil des ans. Léo et Calypso avait préféré la côte Est ainsi que Nico et Will qui étaient déjà partit s'installer à la Nouvelle-Athènes avec Ivy, leur petite fille tout fraichement adopté descendante d'Apollon elle aussi. Elle était ce qui s'approchait de plus d'une meilleure amie pour Eileen, la fille de Percy et Annabeth, dans la mesure ou un enfant d'un an pouvait avoir un meilleur ami.

- On se reverra tous très bientôt, assura Piper en allaitant Mike, son premier enfant.

- Bien sûr ! J'espère bien que vous viendrez voir le superbe travail que j'ai fait sur cette ville. Et vous êtes tous invités pour Thanksgiving.

- On viendra avec plaisir, assura Hazel en tripotant sa toute nouvelle bague de fiançaille.

- Vous serez là pour le mariage aussi, même si on ne sait pas trop quand est-ce qu'il aura lieu, continua Frank.

- Et on ne perd pas espoir pour que Léo finisse enfin par demander à Calypso la grande question, intervint Jason.

- Ou l'inverse, fit Percy en repensant à ses propres fiançailles. Et puis il y aura sûrement le mariage de Reyna et Lucie aussi, il se tourna vers les concernées. N'est-ce pas ?

- Ne te presse pas trop, on est ensemble que depuis un an et des poussières. Je ne veux pas aller trop vite, répliqua la préteur.

- Raconte ce que tu veux, mais mon instinct de fille d'Aphrodite me dit que vous vous êtes très bien trouvés.

Et la journée continua, les adultes discutant autour d'un verre à la table d'un café, les enfants jouant à quelques mètres. Une fois un dernier repas avaler tous ensemble, la petite famille se dirigea à l'extérieur de la frontière de Terminus. Sous les pleurs, les embrassades et les adieux des enfants alors que les adultes se promettaient de garder contact.

Percy siffla Kitty O'Leary qui sortit des ombres (Blackjack n'étant pas disponible, une histoire de fille...) Annabeth monta la première, Percy aida Alex à escalader et l'installa devant sa mère. Il passa ensuite Eileen à sa femme, grimpa à son tour, récupéra Eileen alors qu'Annabeth enlaçait Alex en lui promettant que tout se passerait bien.

Si la chienne des Enfers bataillait avec le poids de ses passagers elle n'en montra rien et s'élança à travers les ombres.

Le voyage fut de courte durée et rapidement ils se trouvèrent dans le centre-ville de la Nouvelle-Athènes. A peine remercier Kitty O'Leary disparut. La ville n'était pas encore aussi grande que son équivalente romaine mais Annabeth l'avait conçu de sorte qu'on puisse encore l'agrandir. Construite dans la forêt, voisine de la Colonie des Sang-Mêlé elle était organisé en damier, au centre l'agora avec l'estrade des politiciens (Il avait été décidé que la Nouvelle-Athènes reprendrait le système politique que son homologue à ceci près que les femmes pouvaient voter -heureusement ! - et que toute mention du tirage au sort était banni.), les commerces, les écoles et l'Université. Et plus on s'éloigner du centre moins les infrastructures était importante, des tout petits commerces, des squares, des immeubles de résidence. Et à l'extérieur des maisons de plus en plus éloigné au fur et à mesure. Quant à l'Acropole il se trouvait sur la colline qui séparait la colonie et la ville.

Les personnes présentes sur la place saluèrent les nouveaux arrivant. Après quelques bavardages de politesse Percy prétexta une fatigue dû au déménagement pour s'éclipser vers leur maison.

Leur nouveau foyer était le plus éloigné de la ville et était relié à celle-ci par un petit chemin de terre. Alex insista pour être le premier à ouvrir la porte et pénétra dans sa nouvelle maison, finalement heureux de repartir à l'aventure.

Les différents meubles et cartons attendait déjà dans les différentes pièces, merci à Hermès Express. Mais personne n'avait le courage de commencer à ranger.

Annabeth lâcha la main d'Eileen et elle partit explorer sa nouvelle maison sans demander son reste. Ses yeux vairons en miroir avec ceux de son frère pétillaient de curiosité. Sa petite touffe de cheveux blonds bouclés était exactement la même que celle de sa mère au même âge.

- Bon, commença Percy. On a une maison qui donne sur la mer et il fait chaud. Moi je dis : tous à l'eau !

. : . : . : . : .

Et cette nuit-là j'ai commencé à apprendre à ma fille à nager. J'ai hésité entre encourager mon fils et ma femme quand ils ont fait une course. Cette nuit-là j'ai regardé toute ma famille et réaliser à quel point j'avais de la chance de les avoir. Cette nuit-là j'ai levé les yeux vers les étoiles, je me suis rappelé de cette fresque au plafond d'Alex qu'il avait exigé qu'on refasse dans sa nouvelle chambre. J'ai pensé aux derniers vingt-sept ans et retenu une larme. J'ai prononcé une prière muette aux étoiles destinée à tous ceux qui étaient morts pour que j'ai une vie aussi heureuse. La vie c'est dure et parfois on a juste envie de tout abandonner de se laisser porter par ce flot de malheur mais si j'ai un conseil à vous donner, c'est de vous battre car je vous jure que ça en vaut la peine.

J'ai regardé Annabeth qui, Eileen dans un bras, arrosait notre fils avec sa main libre et Alex qui, même s'il faisait semblant de ne pas se servir de ses pouvoirs, envoyer trop d'eau pour ne pas le faire. J'ai vu un jet partir dans la tête de mon fils. Il m'a accusé et j'ai du jurer sur le Styx que ce n'était pas moi, mais Eileen était morte de rire, on a vite trouvé la coupable.

Ouais, en voyant ça je peux vous affirmer une simple chose pour laquelle je serai éternellement reconnaissant : on va bien.

Fin

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